Auteur : Sheina

Origine : Gundam wing.

Couple : ben au début c'est du 13X6, après vous verrez bien ^_^

Genre : J'suis obligée d'en trouvé un ?

Note : le faite que j'aie des migraines est très désagréable mais quand on se réveille avec un mal au crâne et qu'on a une fic en tête, ben je fais un effort pour la supporter ^_^

Disclaimer : Les personnages ne sont malheureusement pas de moi mais j'vais les avoir pour mon anniversaire (peux toujours rêver, c'est pas encore taxer)

Résumer : Treize commet une erreur qui pousse Zechs à rejoindre les G-boys. Comment ceux-ci vont réagir et que va-t-il se passez ?

Béta lectrice : Azaléa et Leija. (Dieu seul sait à quel point elles ont du travail avec moi et mon orthographe pathétique). (Merci à Word qui corrige un peu et qui allège le travail ^_-)

Le choix de Miliardo

Chapitre 1 : L'erreur de Treize.

Treize était d'une humeur massacrante. Sa journée avait été plus qu'ennuyeuse, de plus, la dernière réunion l'avant ennuyer au plus au point. Il voulait se divertir un peu. Mais comment. Lentement, ses mains glissèrent alors sur son corps, cherchant une échappatoire à toute la frustration et la colère de la journée. Il défit bien vite le bouton de son pantalon pour se caresser lentement. Ses doigts glissèrent le long de sa cuisse remontant vers son entre jambe. Il commençait à augmenter ses caresses, quand l'on frappa à la porte. Il se dépêcha de refermer son pantalon avant de dire :

- Entrez.

Sur ce, Zechs entra avant de refermer la porte. Le visage de treize s'éclaira. Il sourit. Zechs s'avança et déposa sur le bureau du colonel, une farde à rabat. Celui-ci dit ensuite :

- Voila le contre rendu de la réunion.

Mais lorsqu'il le va les yeux vers son supérieur, il vit un sourire sadique apparaître sur ses lèvres. Il recula d'un pas tandis que treize se rapprochait de lui. Une fois devant son subordonné, il dit :

- Tu tombes bien Miliardo.

Et avant qu'il ne face quoi que se soit, Treize se plaça dans son dos et le plaqua contre le bureau. Miliardo prit la parole, légèrement paniquer et essoufflé sous le coup qu'il avait reçu en percutant le bureau :

- Treize, qu'est-ce que tu fais ?

Celui-ci compris bien vite lorsqu'il sentit son pantalon tombé, très vite suivis de son boxer. Il essaya de se dégager mais Treize l'en empêchait. Il dit alors :

- Treize arrête.

- Voyons Miliardo, je sais que tu aimes ça. Tu gémissais sous moi la dernière fois.

- Oui mais ce n'était pas dans ses condition. Arrête.

- Oh non.

- Je croyais que tu m'aimais.

- Ah, laisse-moi rire. J'ai juste envie de ton corps. Tu sais, te prendre n'est pas différent de prendre une femme. Tu gémis comme elles sous moi. Alors arrête de faire l'enfant, et rend toi utile en te laissant faire.

Miliardo était sous le choc. Lui qui croyait que Treize l'aimait. Lui qui s'était offert corps et âme à lui. Le fil de ses pensées fut brisé par une violente douleur. Treize venait de le pénétrer sans aucune douceur, sans aucune préparation. Et plus ses coups de reins se faisait fort et pressant, plus Miliardo souffrait. Dans un coup de reins plus puissant que les autres, Treize se déversa en lui. Lorsqu'il se retira, l'on pouvait voir, en plus du sperme du colonel, du sang. Treize sortit de son bureau après s'être rhabillé, laissant un jeune homme brisé à terre.

Miliardo :

Jamais je n'avais imaginé une telle chose. Comment pouvait-il faire ça. J'essayai de me relevé mais une vive douleur me vrillait les reins et le dos. Il allait me le payer très cher. Plus jamais tu ne me verras Treize. Tant bien que mal, je me rhabille pour partir loin de celui qui m'a volé mon cœur et mon âme. Il me restait pourtant un espoir. Rejoindre les rebelles pour faire coule ce monstre. Sans plus attendre, je me rendais vers la seule personne capable de me dire ou trouvé les garçons qui portaient sur leur épaule l'espoir des colonies.

Réléna :

Je m'ennuyais. J'avais beau tout faire pour aider les garçons, je n'étais bonne à rien. Ils étaient de nouveau partis pour plusieurs jours en missions. Je n'aimais pas tous ses combats. Ils allaient finir par être gravement blesser. Je soupirais encore une fois lorsque je vis un étrange personnage s'avancer vers moi. J'avais pourtant demandé que l'on ne me dérange pas lorsque j'étais dans le jardin. Cette étrange personne s'arrêta devant moi. Elle portait une longue cape noire dont la capuche, posée sur la tête de l'inconnu, m'empêchait de voir son visage. Sans rien demander, il se mit à genoux devant moi et me dit d'une voix difficile à entendre :

- J'ai besoin de ton aide Réléna. Aide-moi à trouver Heero.

- Mais qui êtes-vous ?

Lentement, il enleva sa capuche. C'est alors que je pus voir le visage de mon frère. Il avait l'air fatigué, mais dans ses yeux brillait la flamme du combat. Je lui dis :

- Que fais-tu ici Miliardo ? Et regarde toi, tu as l'air complètement exténué. Tu ferais bien de te reposer un peu.

- S'il te plait, répond moi.

- Mais pourquoi veux-tu savoir où ils sont ? Tu sais très bien que je ne te le dirais pas, je ne veux pas qu'il leur arrive malheur.

Son geste me surpris. Il me prit dans ses bras pour me serrer contre lui. Sa voix se brisa. On dirait qu'il était sur le point de pleurer.

- Je t'en supplie petite sœur. Je te promets que je ne leur ferais aucun mal et que je ne révèlerais pas où il se cache.

Je soupirais avant de lui dire :

- d'accord je vais te le dire, mais tu te trompes sur leur compte. Ils ne se cachent pas.

Miliardo :

Réléna m'avait donné leur point de ralliement. J'avançais donc à travers cette vaste forêt. C'est alors que je me sentis soulever. En un éclair, je me retrouvais à près de 5 mètres au dessus du sol, balançant au bout d'un câble. Mais quel est le con qui ma foutu des pièges au beau milieu d'une forêt aussi paumée que celle-ci.

Cela faisait maintenant deux bonnes heures que j'essayais de me libérer. Malheureusement pour moi, celui qui avait conçu se piège n'étais pas le premier venu. Il me restait bien la solution de tout coupé mais cela me vaudrait quelques membres cassé si pas le cou. Un bruit sourd et lointain attira mon attention. On dirait des bruits de moteur, de gros moteurs. La nuit commençait à tombé et cela faisait deux heures et demi que je jouais à Tarzan quand j'entendis des bruits de pas. Soudain, le câble qui me retenait se détendit et je chutai. Heureusement pour ma pauvre tête mais malheureusement pour mon pauvre dos, la chute se stoppa à 1,50 mètre du sol en un coup sec. Ce que je vis ne fut guère réjouissant. Enfin, au moins j'avais trouvé Heero, bien que celui-ci me menace de son arme.

Heero :

Nous venions de rentrez dans la dernière planque du moment après notre mission, lorsqu'un coup d'œil au système de sécurité placer avant le début de la mission, m'indiquait qu'un intrus était prit dans l'un de mes pièges. Sans plus attendre, et après avoir prévenu les autres, je me dirigeais vers l'indésirable. Quelle ne fut pas ma surprise lorsque je vis Miliardo pendre à 5 mètres au dessus du sol. Je le fis descendre sans douceur avant de le menacer de mon arme. Il ne bougea pas lorsque je détachais le filin qui le retenait. Je lui bandais ensuite les yeux pour l'emmener dans notre planque. La forêt n'était pas de toute sûreté une fois la nuit tombée. Les ours et les loups sortaient de leur tanière pour chasser. Une fois arrivé en vue de notre maison, je vis Duo m'attendre sur le pas de la porte. Lorsqu'il reconnu l'intrus, il se figea. D'un simple regard je lui fis comprendre que je n'en savais pas plus que lui et qu'il nous l'expliquerait lui-même une fois rentré. Une fois à l'intérieur je le conduisis dans le salon. Sur place je le poussais sur une chaise. Quatre, Trowa et Wufei nous avaient rejoints. Duo avait certainement été les chercher. Lorsqu'ils virent Miliardo, ils me regardèrent tous, attendant simplement une explication.

Miliardo :

J'avais remarqué que j'étais maintenant dans un bâtiment. L'on me poussa ensuite sur, je supposais, une chaise. Qu'allait-il me faire, me frapper ? Me torturer ? Un instant je me maudis d'avoir voulu les trouvé. Une étincelle de peur s'insinua en moi, me nouant douloureusement l'estomac. Je sentis bien vite une personne se placé derrière moi. Je frissonnais. Ça me rappelait Treize. Une main vient alors défaire le nœud du bandeau, me rendant ainsi la capacité de voir. Clignant des yeux pour m'habitué à la lumière, je vis ensuite cinq visages tournés vers moi. Heero ne me menaçait plus avec son arme mais elle restait a portée de sa main. Simplement glissée sur le côté de son jean. Contrairement à ce que je pensais, ce ne fut pas Heero qui prit la parole mais Duo :

- Que viens-tu faire ici Zechs ?

Je baissais les yeux, que pouvais-je leur dire. La vérité certes, mais me croiront-ils si je ne leur fournis pas de raison. A vrai dire je n'ai plus vraiment le choix. Soupirant, je leur dis alors simplement :

J'ai quitté OZ. Je veux me rallier à vous.

Ils me regardèrent tous quelques peu surpris. Duo repris :

Et qu'est ce qui nous dit que ce n'est pas encore un mauvais coup d'OZ ?

je n'ai rien pour vous le prouvez, s'il vous plait, faite moi confiance.

Le natté s'avança et se plaça à quelques centimètres de moi. Il m'observa un instant. Ses yeux brillaient d'une couleur améthyste étrangement froide. Il me dit ensuite :

Te faire confiance et puis quoi encore. Combien de fois n'as-tu pas essayé de nous tuer toi et OZ ? Très peu pour moi.

Que pouvais-je leur dire pour qu'il me fasse confiance. Soupirant, je repris :

Réléna m'a fait confiance puisque c'est elle qui m'a dit où je pouvais vous trouvez. En elle, vous avez confiance non ?

Oui, nous pouvons faire confiance en Réléna mais pas en toi. Mais tu marques un point, si elle t'a fait confiance c'est qu'elle a ses raisons.

- Ro… ? J'ai pas confiance moi. Y nous cache quelque chose.

- Alors Zechs, que nous caches-tu ?

Rien.

Ne ment pas. Si Duo dit que tu nous caches des informations c'est que c'est la vérité.

S'il vous plait…

Ne pouvant supporter leur regard, j'avais baissé les yeux. C'est alors que Duo me pris le visage entre les mains. Frissonnant sous le contact de sa peau, je plongeais mes yeux dans une mer aux multiples reflets violets. Je ne pus que garder le silence devant cette mer violine. J'avais l'impression qu'il lissait en moi comme dans un livre ouvert. Après quelques minutes de silence, il me lâcha et se releva. Il se pencha à l'oreille d'Heero et lui murmura quelque chose. Heero porta son regard glacé sur moi avant de dire :

Ok tu peux rester. Reste à savoir où tu vas dormir. Mais sache que je punirais moi-même toute trahison.

Quatre s'approcha de moi, me tendit la main et me dit :

Viens, on va te trouver un endroit où dormir.

ça va, ne vous déranger pas, je peux très bien rester dormir sur le divan.

Je pense qu'il ne vaut mieux pas, tu risques de mourir après ta première nuit sinon.

Quatre, ne viens pas remettre ça.

C'est pourtant la vérité Duo.

Je vis l'américain tirer la langue avant d'aller se placer contre le torse du japonais. Celui-ci l'entoura de ses bras, en prit la parole :

- Vu ta tête tu dois certainement te demander quoi. Je vais t'expliquer. Duo ne passe jamais une nuit sans se réveiller pour aller fourrez son nez dans le frigo. S'il te voit, il risque de te tirer dessus en ayant oublié que tu es maintenant dans la même planque que nous.

Quatre repris la parole, il se tourna vers moi et dit :

- J'espère que le luxe ne va pas trop te manquer car nous n'avons pas toujours la possibilité de dormir dans un bon lit douillet. Il nous arrive parfois de devoir dormir dans le froid et l'humidité.

- Je ne suis pas difficile. Je vous remercie déjà de bien vouloir supporter ma présence. Mais je ne comprends pas pourquoi ?

- Pourquoi quoi ?

Mon regard se posa sur le français. Il venait de prendre la parole pour la première fois. Avalant ma salive je répondais :

- Pourquoi ne pas m'obliger à vous dire pourquoi je suis là ? Pourquoi me croire si aisément ? Vous me faite confiance si vite et si facilement.

- Si tu te demandes pourquoi nous ne t'avons pas torturer la réponse est simple. Nous ne sommes pas OZ. Nous ne sommes pas des barbares. Nous combattons pour préserver au maximum les vies humaines. Si Duo nous dit de ne pas insister et de te laisser une chance c'est qu'il a une bonne raison.

- mais comment peut-il faire confiance à quelqu'un si facilement.

Ce fut Heero qui me répondit, tant dit que Duo avant caché son visage dans son cou :

- Tu te trompes. Duo est la personne qui accorde le moins sa confiance aux autres. Il nous a fallut du temps pour être accepté. Mais il a toujours eu le don de voir si une personne est sincère ou pas. Si nous ne te faisons pas encore confiance, lui il a toute notre confiance. Bien, il est temps d'aller dormir.

- ok Heero. Wufei tu vas devoir partager ta chambre avec Zehcs.

Le chinois se mit à râler dans son coin. Heero mit alors devant me pieds, le sac que j'avais pris en partant de la basse d'OZ. Il me dit :

- Je suppose que se son tes affaires. Je ne les ai pas fouillées. N'oublie pas que nous te tenons à l'œil.

Sur ce, ils partirent tout en directions de pièces différentes. Le chinois m'attendit pour me montrer où se trouvaient la salle de bain et sa chambre. Alors que je m'assaillais sur le lit de camps qui serrait le mien, il me dit :

- Tu dois savoir que c'est Duo qui passe toujours premier à la salle de bain le soir et le dernier pour ce qui est du matin.

- Pourquoi ?

- Il faut du temps pour que ses cheveux sèches. Pour ce qui est du matin, il se lève toujours le dernier.

Après quelques minutes de silence, je lui demandais de nouveau :

- Et vous n'allez pas manger maintenant ?

- Non, nous mangerons demain. Ici nous rentrons de mission et à vrai dire nous sommes fatigués. Cela fait cinq jours que nous n'avons presque pas dormi. Mais tu peux aller manger quelques choses si tu as faim, la cuisine se trouve en bas.

- Non, non, ça va. Bonne nuit.

Lorsque tout le monde fut passé à la salle de bain, le silence s'installa peu à peu. Je me laissais lentement bercer par se silence étrange et par cette atmosphère apaisante, calme et sereine. Je fini par m'endormir.

Alors que je dormais paisiblement, je fus réveillé en sursaut. Un étrange bruit provenant d'une des pièces d'à côté m'avait inquiéter. Écoutant, j'entendis de nouveau cet étrange bruit. Que devais-je faire ? Regardant autour de moi, je ne reconnu pas l'endroit où je me trouvais. Sentant la panique m'envahir peu à peu, je faillis me relever brusquement. C'est alors que je me souvins que j'étais avec les G-boys. Cela me calma un peu, mais je ne savais toujours pas quels étaient ses bruits. C'est alors que j'entendis Wufei me dire :

- Calme toi, c'est Duo qui est partit se faire de quoi manger. Il n'arrive pas à tenir la nuit sans manger quelque chose.

Me calmant complètement, je me concentrais sur les bruits étranges. C'est vrai Que cela ressemblait à des bruits de vaisselle. J'entendis aussi des bruits de pas d'une autre personne passant dans le couloir. Wufei du deviner ma question silencieuse car il me dit :

- ça c'est Heero qui va le chercher. S'il laisse Duo trop longtemps dans la cuisine, il mange comme quatre et fini par allez dormir dans le canapé, trop fainéant pour retourner jusque dans son lit. Après il attrape froid et devient infernal.

- Duo fait ce qu'il veut dans votre groupe ?

- Nous faisons tous ce que bon nous semble, mais nous restons ensemble et soudé. Jamais nous ne ferons quelques chose qui peut attrister l'un des notre. Le faite que Duo se lève au milieu de la nuit pour manger ne nous gêne pas.