Désemparé.

Fic n°1.

Notes : J'ai fait deux versions de cette fic, une toute gentille et l'autre plus brut si je peux dire ça comme ça.

Disclaimer : Les personnages de Prince of tennis ne m'appartiennent pas.

Couple :Au début SakunoRyoma, puis Fuji RyomaFuji.

C'était son troisième rendez-vous avec Sakuno, et Ryoma devait se rendre à l'évidence, il n'était pas tellement attiré par elle, s'il avait accepté de sortir avec elle, c'était vraiment pour lui faire plaisir, il ne pouvait sûrement pas dire qu'il l'aimait, il avait de l'affection pour elle, et sa timidité l'amusait, bien sûr, toute l'équipe de Seigaku était au courant, et s'en amusait surtout Fuji qui faisait des blagues encore plus perverses que d'haabitude, mais parfois Ryoma pouvait lire dans ses yeux quelque chose de bizarre, il n'avait aucune idée de ce à quoi cela correspondait. Lheure avait sonné pour lui d'aller retrouver sa petite amie.

Sakuno ce jour-là portait une robe rose qui la mettait en valeur et s'harmonisait totalement avec la couleur de ses joues. Ryoma, en la voyant sourit un peu ironiquement ce qui pour la jeune fille correspondait à un sourire tendre. Ils se promenèrent tranquillement dans la ville, visitant quelques boutiques de ci, de là. A aucun moment, ils ne se rendirent compte qu'ils étaient suivis. Ils se rendirent dans un parc pour pouvoir discuter un peu. A un moment, Sakuno leva la tête vers lui les yeux suppliants, Ryoma pencha la sienne vers elle mais au moment de l'embrasser, il se leva brusquement, s'excusa, puis partit en courant. Ne faisant même pas attention où il allait, ni à ce qu'il avait devant lui. Bien entendu, il rentra dans quelqu'un, le faisant tomber et se retrouvant assis sur lui, il leva aussitôt la tête, resta en arrêt pendant un instant devant l'expression perverse de son vis-à-vis.

Ca ne me gêne pas que tu restes sur moi, Echizen-kun, mais je ne suis pas sûr que ce soit l'endroit.

Gomen, Fuji sempaï, je ne faisais pas attention (et repensant à ce qu'il s'était passé, il sentit des larmes coulées, sur ses joues), suma Fuji-sempaï, sayonara, (et il voulût repartir, mais il fût retenu, avant d'avoir pu faire un pas).

Matte, Echizen-kun, Daijoubou ?

Je ne sais pas, je ne comprends rien, il faut que je réfléchisse.

Allons-en parler ailleurs, qui sait, je pourrais peut-être t'aider ?

Sane ? (Il suivit le tensaï de Seigaku jusque chez lui, se demandant ce qu'il allait pouvoir lui dire, il ne pouvait tout de même pas lui raconter que s'il n'avait pas pu embrasser Sakuno, c'est parce qu'il l'avait vu devant ses yeux et qu'il n'avait pas réussi à passer outre).

Alors que s'est-il passé avec Ryuzaki-Chan ? Tu étais avec elle, Ne ? (Il sourit en le voyant rougir légèrement).

Oui.

Et ?

Je ne sais pas comment dire, hummmm…

Elle t'a sauté dessus et tu t'es sauvé en courant ? Non, ne me dit pas que c'est toi qui t'es jeté sur elle ?

Fuji Sempaï ! C'est juste qu'elle voulait que je l'embrasse …..et je n'ai pas pu.

Quoi, tu n'as pas embrassé cette jolie demoiselle ? (Pourquoi je sens de l'ironie sous-jacente ? ).

Non, je n'ai pas pu parce que je voyais quelqu'un d'autre devant moi, et je n'ai pas su quoi faire….

Et qui était-ce ?

Je ne peux pas vous le dire.

Dis-moi, et je t'aiderai, sans ça (il lui glissa lentement la main dans le cou, lui lécha le lobe de l'oreille, l'embrassa sur le front, puis releva la tête, Ryoma avait fermé les yeux) Dis-moi.

Je ……voudrais vous le dire, mais j'ai peur, et pourquoi souhaitez-vous le savoir ?

Ca m'intéresse parce que je tiens à toi, non, ne baisse pas la tête, où veux tu que je te montre à quel point je tiens à toi ? (Il baissa la tête, prêt à l'embrasser, mais le jeune prince, se rejeta en arrière, effrayé).

Fuji sempaï, onegaï. Là, c'est moi qui ne comprends pas.

Hummmmm…. Qu'y –a-t-il qui ne soit pas clair, le fait que je puisse tenir à toi ? C'est simple, tu es mignon, doué, ambitieux, volontaire. Je t'aime, ca ne s'explique pas. (Il vit les yeux du jeune brun s'écarquillés de surprise, puis il lui sauta dans les bras.

Fuji sempaï, c'est vous que j'ai vu, mais je ne voulais pas vous le dire, parce que je craignais que vous vous moquiez de moi.

Jamais, je suis ravi de savoir çà, (il s'assit plus confortablement et prit son petit ami sur ses genoux, il lui suça les lèvres doucement, le força à écarter celles-ci, puis explora tendrement sa bouche lentement, il prit sur lui d'interrompre leur baiser, ne voulant pas l'effrayer, Ryoma se blottit plus complètement contre lui). Autre chose, que vas-tu faire pour ta petite amie ?

Oups, je l'avais oublié, je vais devoir rompre, je pense, je préfère être avec toi qu'avec elle. Ca va sans doute lui faire mal, mais c'est sans doute mieux, comme ça.

Tu as raison. (Il lui embrassa le front).

Je devrais y aller, non ?

Ca peut attendre demain. »

Il le reprit tout contre lui et l'embrassa.

Le lendemain à la pause de midi, Ryoma alla trouver Sakuno, et demanda à lui parler, ils sortirent sur le toit.

Excuse-moi, pour hier.

Ce n'est rien.

Il faut que je t'explique…

Ce n'est pas la peine, je savais que ne m'aimais pas, si tu veux qu'on arrête de se voir ça me va. (Elle lui fit un pauvre sourire). Je vais y aller.

Merci, Sakuno (il lui caressa doucement la joue), Gomen.

Il la regarda partir, triste pour elle, il sentit deux bras se refermer sur lui, il se retourna pour mieux se presser contre Fuji.

Alors comment ça s'est passé ?

Bien, je n'ai même pas eût à rompre, elle l'a fait elle-même.

Elle est intelligente et elle t'aime.

Voui je sais, mais moi c'est toi que j'aime, et maintenant c'est sur nous deux que l'équipe rira.

Quelle importance ? Ca te gêne tant que ça ?

Non du moment qu'on est ensemble.

Ca tu peux en être sûr. »

Et Fuji l'embrassa pour mieux sceller sa promesse.

OWARI

Cette fic est complètement OOC mais ce n'est pas rave.