Bonjour a tous! Voici une nouvelle fic. J'espère qu'elle vous plaira

Toujours un HPDM

Mes autres fics sont en chantier est viendront d'ici peu de temps!

C'est un rationg T enfin je croislol

Bonne lecture!

:://::Il y a eu des cris, du sang, de la douleur, la sensation de sentir mon âme se déchirer. Mon corps se salir, l'envie de mourir… Et puis plus rien. Le noir. Trop de tout, pendant trop longtemps, trop souvent.

Pourtant, ma vie était si bien jusqu'à ce jour…

Enfin… Je crois.

Même avant, mon esprit vagabonde entre des évènements flous et imprécis. Seule les sensations sont restées intactes. La sensation d'être aimé, entouré, protégé. Pourquoi a t-il fallu que ça s'arrête ?

Pourquoi a t-il fallu que je perde tout ?

J'avais cinq ans, quand tout à changé. J'avais cinq ans, lorsque j'ai vu la voiture arriver sans s'arrêter, entendu les freins hurler et la tôle se froisser.

Nous étions quatre dans cette voiture, et cette nuit là, il n'y eut qu'un seul survivant.

Moi, et seulement moi.

Ma petite sœur et mes parents sont morts dans cet accident, ainsi que le conducteur de l'autre voiture. Moi seul ai survécu, et je ne saurais jamais pourquoi ?

Est-ce que le destin s'amuse avec le fil de ma vie depuis le début ? A t-il pour moi l'unique projet de la souffrance ?

Des questions qui resteront sans réponse. :://::

:://::Aujourd'hui, je sors enfin de l'hôpital. Je souffre encore de deux fractures. Une au poignet et d'autres aux côtes.

Les médecins ont tout de même voulu me laisser sortir avec mes nouveaux tuteurs. Les autres ? C'est bien simple, ils sont en prison et leur fils en maison d'accueil. J'aurais voulu aller avec mes nouveaux tuteurs bien avant. Mais le problème c'est qu'étant ce qu'ils sont aux yeux de la société moderne, ma garde ne leur à pas était accordée. Mais je ne resterais pas longtemps avec eux. Je dois partir pour l'école d'art que j'ai choisit et c'est un pensionnat. J'entre directement en deuxième année de maîtrise supérieure. Je fais du violon, depuis mais cinq ans. J'ai commencé un peu avant l'accident, c'est ma mère qui m'a appris. Je me souviens d'avoir était bercé par la musique depuis tout petit. Elle m'a appris et j'ai continué. Une chose que ma tante et mon oncle ont accepté sans trop de coups après chaque leçon. En tout cas pas plus que d'habitude.

Dans la voiture, pas un mot n'est prononcé. Mon parrain et son mari gardent le silence.

Une fois arrivés dans leur maison, Sirius me montre ma chambre et la maison, qui est assez grande !

Remus prépare à manger pour trois. Tous deux me laissent tranquille.

Ma chambre est sympa, bleue pale, rideaux blancs. Il y a une commode, une armoire, un bureau, avec un ordinateur, et une salle de bain en pièce contiguë, accessible par la porte du fond. Je m'assoie péniblement sur le rebord de mon lit.

Mes côtes me font encore souffrir.

Je m'allonge doucement sur mon lit en grimaçant, les bras en croix.

Je regarde obstinément le plafond. Je dois m'endormir, car c'est le téléphone, vers 22h00, qui me réveille. Mes parrains ont dû manger sans moi, me voyant endormi.

J'attrape mon portable, acheté en solde par mes propres moyens, et décroche.

« Allô ?

Ry ! Tu vas bien !

Oui Mei, je vais bien.

Je suis soulagée. J'ai eu peur tu sais.

Mais ça va maintenant, ma voix est lasse.

Tu veux que je te laisse, hein ?

Je suis fatigué.

Je vais te laisser. Mais avant quelques questions rapides.

Vas-y, je soupire.

Tu sais que tu peux toujours m'appeler ou m'écrire en cas de problème, que je suis ouverte 24h/24 et 7j/7 ?

Oui.

Que je vais m'inquiéter et que je sais que tu me mens quand tu me dis que ça va ? Parce que je te connais par cœur ?

Oui, je ris doucement.

TU sais que je t'aime ?

Oui !

Alors c'est bon ! Bonne nuit Ry !

Bonne nuit Mei.

Une dernière chose Potter ! T'a intérêt à m'écrire et à manger sinon ça va chier ! T'entends ?!

Oui maman !

Te fous pas de moi ! Allez, je te laisse, dort bien et quand tu seras arriver au pensionnat tu m'appèles.

Oui.

C'était pas une question ! »

Je l'entends rire et raccrocher. Je l'adore cette fille !

Ouais, le pensionnat. Personne ne me connaît, et je n'y connais personne. Je me demande ce que ça va donner. Après tout, je m'en fou un peu. Je suis peut être un jeune talent, un artiste, mais un artiste brisé, je ne sais pas ce que ça apporte. Parce que, même si dans mes morceaux, je savais faire passer les émotions, maintenant à pars, mon corps, mon cœur, mon âme fracassés, je ne sais pas ce que je vais donner, aux autres et à la musique. Surtout à la musique, et encore plus aux autres. :://::

:://::Je n'ai presque rien mangé ce matin pour changer. Remus s'inquiète ainsi que Sirius. Mais je n'ai pas faim. Je ne mange jamais grand chose de toute façon, c'est pour ça que je suis si maigre d'ailleurs. L'habitude d'être privée de nourriture sans doute.

« Harry, commença Remus alors qu'il me refaisait mon bandage, tu sais que nous sommes là pour toi ? Que tu peux nous parler ? On sera toujours là pour toi. »

Que voulez-vous que je lui dise d'enrichissant ou de rassurant? Je ne peux pas. Je me contente de le regarder d'un regard un peu flou. Il soupire et continue ses soins.

Une heure plus tard, nous sommes tout trois dans la voiture, en route vers la gare. Le pensionnat est plutôt loin et le seul moyen d'y accéder est la gare. C'est un vrai petit village, d'après ce que je sais. Le voyage va durer trois bonnes heures. Les adieux ne durent pas longtemps. Sirius m'aide à mettre mes valises dans un wagon. Je m'installe dans un compartiment libre. Les élèves disent au revoir à leur parents et montent également dans le train.

Le train démarre.

Maintenant ça commence.

« Tiens celui là est occupé, on y va ? dit une voix féminine.

mais on va peut être déranger, dit une autre voix.

Allez Nev, on va pas le laisser seul, ça lui fera de la compagnie ! Continua une autre voix. »

Je tourne la tête. Trois personne entre dans le compartiment avec le sourire. Mon regard indifférent semblent quelque peu les déstabiliser, surtout le petit brun.

La fille me demande si ils peuvent rester dans le compartiment. Je ne dit rien, je me contente de mettre mon sac à terre, pour faire une place en plus.

« Je m'appèle Hermione Granger, le grand roux c'est Ronald Weasley…

salut, me lance t-il.

… Et le grand timide c'est Neville Lomdubat.

Bonjour, me dit celui ci.

Tu es nouveau ?

Oui, dis je d'un ton morne. »

Le ton de ma réponse bloque certaines envies d'aller plus loin. Pourtant, ça ne suffit pas pour toutes les faire mourir.

« Et… heu… Tu… Tu es dans quelle section, me demande le roux. »

Je le regarde avec lassitude. Je soupire, prend mon sac et me tire du compartiment, sans un regard en arrière.

La train est plutôt bien équipé et je trouve des toilettes assez rapidement. Je vais dans une des cabines et ferme la porte à clef.

Allez respire Harry. Ca va passer ! Pas la peine d'en faire tout un plat ! C'est fini maintenant ! Putain de merde ce sera toujours comme ça ! Putain ! Sort de ma tête ! Sort de mon corps !:://::

:://::Je finis par sortir de la cabine, au bout de vingt minutes. Je me sens perdu, sale. Pourtant, je sais que c'est pas de ma faute, hein ? C'est pas de ma faute ! C'est lui ! C'est eux !

Mon visage dans le miroir. Ma faute dans le miroir.

Je déteste mon image. Je me déteste !

Mon poing vient se loger avec une telle force dans la glace, que je m'en étonnerais presque moi même.

La douleur je me demande si je la sens encore.

Du sang coule le long mon poing. Il y a des « ploc » incessant sur le carrelage.

La glace est fissurée telle une toile d'araignée géante.

Je m'y vois toujours. Même en tout petit, je ne supporte pas mon image.

J'enrage. Tout mon corps est en feu et réclame d'être calmé, par tous les moyens !

Ma main, déjà pleine de sang, balaye les deniers morceaux de miroirs.

Ils tombent tous à terre, et je tombe avec eux en pleurant.

Je ne veux plus me sentir comme ça.

Je veux que ça s'arrête.

Un bout de verre semble m'appeler. Il est plutôt gros. Assez pour me trancher les veines. Ce serait si facile finalement. Je n'ai qu'a faire un mouvement sec sur mon poignet.

Tout sera fini. Ce serait tellement plus simple de ne plus souffrir. Tellement simple.

« Putain qu'est ce que tu fou ! »

Je le regard même pas. IL a crié fort, mais sa voix me semble tellement loin.

Il m'arrache l'éclats des mains et pousse le reste avec son pied.

Je pleure toujours et je veux pas le regarder en face.

« Ca va ? me dit-il en me prenant par l'épaule.

Lâchez moi, ma voix est à peine audible, mais je veux qu'il parte, qu'il me laisse. Je veux pas qu'il me touche !

IL semble reculé, mais continue de me parler.

« Vous voulez que j'appèle quelqu'un ?

Foutez moi la paix !

OK je me tais. Par contre je reste avec vous. »

Je redresse vivement la tête. Je tombe sur deux orbes d'un bleu acier envoûtant.

Son caractère et sa façon d'agir me fond penser à Mei. Je baisse piteusement la tête.

« Pourquoi, je murmure.

Comment ?

Pourquoi vous faites ça ? j'articule entre deux sanglots.

Parce que ça me semble normale, me dit-il d'une voix douce, j'allais pas vous laissez faire un connerie. »

Il rit un instant. Un rire amer.

Je continue de pleurer. Je sais qu'il me regarde et qu'il ne sait pas quoi faire.

Je l'entend qui fouille dans sa poche. Il se lève, fait couler l'eau du robinet et s'approche de moi.

IL me prend doucement le poignet. La sensation de sa peau contre la mienne m'électrise. C'est comme si mon poignet, mon corps tout entier, était la parfaite combinaison de son propre corps.

C'est déroutant, ça me fait peur. Je recule vivement, et manque me fracasser la tête par terre. Il me rattrape de justesse.

« Restez avec moi s'il vous plaît… Je ne vais pas vous faire de mal. Je veux juste nettoyer votre plaie. »

Je le regarde intensément.

Comment savoir, s'il est de bonne foie ou non ? Comment je peux savoir qu'il ne me fera jamais de mal ?

« Je peux le faire moi même, ma voix n'est qu'un souffle.

Bien, tenez. » :://::

:://::Le voyage a était vraiment très très très long. Le garçon ne m'a pas posé de question sur mes actes. Il ne m'a pas lâché tant que je n'était pas sortie des toilettes. IL me fait penser à Mei. Vraiment ! C'est exactement ce qu'elle aurait fait. Après être sortie, j'ai pu me retrouver seul. Je me suis trouvé un coin tranquille dans un strapontin, j'ai mis m'a musique aux oreilles et j'ai attendu la fin du voyage.

Maintenant, je suis dans le dortoir qu'on m'a assigné, et j'attend mon colocataire.

Dans la mesure où ils doivent, tous, être en train de se parler de leurs vacances, je vais attendre encore un moment.

La chambre est assez spacieuse, une salle de bain pour deux, deux lits, deux bureaux, et une grande armoire.

Plusieurs chambres sont reliées à une grande salle commune. Il n'y a que par là qu'on peut sortir de ces immenses couloirs.

Poudlard est si grande, que j'ai été ravie de trouver un plan de l'établissement à chaque début, milieu et fin de bâtiment. J'ai commencé mon installation. J'ai d'ailleurs été heureux de découvrir toutes mes affaires dans ma chambre. J'ai posé mon violon dans un coin sans risque. Inutile d'avoir du tracas en plus. Sous le lit, il ne risque absolument rien.

Je n'ai pas encore eu le courage d'appeler Mei, ainsi que Sirius et Remus. Surtout Mei, parce que je sais très bien que je ne vais pas réussir à lui mentir, en lui disant que tout va bien. Je vais me faire engueuler et elle va me demander de l'appeler tous les soirs, pour être sur de mon état, ou bien c'est elle qui m'harcèlera matin, midi et soir pour s'en assurer.

Je souffle un bon coup et appèle.

Ca sonne.

Je peux peut être encore raccrocher ?

« Allô ?

Salut Mei c'est moi ! j'ai pas la voix trop enjoué.

Qu'est ce que tu as fait comme connerie Potter !

Bah en fait…

Vas –y crache le morceau !

Je… J'ai… enfin… » :://::

:://::j'ai fini par tout avoué, mais j'ai fini en larmes. Encore.

« Ry, écoute moi deux secondes.

Snif.

Rien n'est de ta faute. Ca t'ai arrivé sans qu'on s'y attende et rien ne cloche chez toi.

mais… je me sens si sale… Tu comprends, … Je… J'ai l'impression que plus rien ne m'appartient. Ni, mon corps, ni mon esprit. C'est… Je…

Harry tu te fais du mal. Ca va peut être comme ça pendant encore un moment. Mais on est là et on te laissera pas tomber. Ne te ferme pas. Laisse les autres venir vers toi. Tu en a besoin. D'ailleurs, il est comment le garçon ?! »

Elle rit effrontément, et je ne peux m'empêcher de faire pareil.

« Tu sais… je sais pas… c'était… bizarre toute à l'heure.

ET les autres ce que tu as vu, tu vas allez les voir pour t'excuser, j'espère ?!

Oui, je vais le faire. C'est vrai qu'ils n'avaient rien à voir avec tout ça.

Bien ! C'est mieux avec de l'optimisme. Dis donc pour changer de sujet…

Oui ?

Est ce que tu as mangé ce matin ?

Un peu…

Ce midi !

Bah tu sais…

ET CE SOIR !

Ben…

TU FAIS CHIER ! T'AS PAS BESOIN DE MAIGRIR ! »

La porte s'ouvre sur mon colocataire.

Merde !

« Bonsoir !… Tiens c'est vous ! »

IL avait un grand sourire resplendissant qui vient de ce changer en sourire gêné.

« C'est ton coloc ?! Passe le moi que je lui dise deux mots !

Je te rappèle !

QUOI ! TU VAS PAS OSER ME RACCROCHER AU NEZ !

Bonne nuit Mei.

POTTER ! »

Je le regard dans les yeux.

Pourquoi faut toujours que ça me tombe dessus !

« Va falloir se présenter et ce tutoyer maintenant si je comprend bien !

Ca me pose pas de problème ! Moi, c'est Draco, Draco Malfoy ! »

Il me tend sa main, que je sers gauchement.

Il a retrouver le sourire plutôt vite, lui. Il doit avoir l'habitude des moments gênants.

« Heu… moi… c'est Harry Potter.

Le « Potter » je l'avais entendu, dit-il en riant.

Ouais, je marmonne.

Tu sais, tu as pas à être gêné, je ne dirais rien. C'est pas mon genre.

merci

De rien… »

Il commence à ranger ses affaires.

C'est super gênant comme situation.

« Alors ?… Commence t-il. T'es en quoi ?

Violon, je… J'entre en deuxième année.

Directement ?

Oui.

Tu verras la plus part des profs sont sympas.

Je…Tu…

Tu récites tes pronoms personnels », me demande t-il moqueur en se redressant.

La situation est trop troublante pour moi.

Elle l'est tellement que mes idées, mes phrases, ne s'emboîtent plus aussi parfaitement qu'avant. Mais lui aussi me perturbe, il y a quelque chose chez lui qui me… Je serais pas comment décrire ce que je ressent. Ou alors je ne veux pas essayer de comprendre.

« Bon bah alors ? tu voulais me dire quoi ?

Rien ! » dis je précipitamment.

Il hausse un sourcil interrogateur, me fixant un moment.

Il finit par hausser les épaules et retourne à son rangement.

Mon vibreur me fait sursauter. Je regarde le numéro. C'est Mei.

Aie ! Si je fais genre, je vais encore me faire engueuler.

Je grince légèrement des dents.

Draco se retourne en riant.

« T'as copine n'as pas apprécié que tu lui raccroche au nez !

On dirait. »

Je prend le téléphone et vais dans la salle de bain.

« TU N'ES QU'UN CON POTTER ! TU LE SAIS « CA » ! TU AS OSER ME RACCROCHER AU NEZ ! A MOI ! TU SAIS CE QUE CA COUTE CE GENRE DE CHOSES ! T'ES ENCORE PLUS SUICIDAIRE QUE JE LE PENSAIS ! DE QUEL DROIT TU M'AS FAIT CA ! C'EST QUI TON COLOC POUR QUE TU ME FASSES UN COU AUSSI FOIREUX ! ALORS ! J'ATTENDS ! »

Sous le bruit, j'ai repoussé le combiner aussi loin de mon oreille que possible.

Elle hurle si fort que je suis persuadé que Draco l'a entendue et qu'il doit être en train de se fendre la poire.

« C'était le gars du train », je murmure.

Ma réponse semble la calmer, car elle continue sur son ton habituel.

« Ah. Je comprends. Mais c'est pas une raison pour me raccrocher au nez !

Désolé.

Y a intérêt ! … Bon maintenant, tu vas te coucher et demain matin t'a intérêt a avaler quelque chose sinon ça va chier !

Oui promis !

Mouais, pas convaincue… IL DOIT MANGER ! GARDE LE EN MEMOIRE LE COLOC ! SINON TU EN FAIS DE LA CHAIRE A PATTE !

Non, mais ça va pas ! »

Un bruit me parvient tout de même de la chambre.

« PROMIS ! »

« Bonne nuit Ry ! je t'aime fort ! …

MEI ! je vais te…

Tut… tut… »

C'est pas vrai ils sont fichus de bien s'entendre en plus !:://::

:://:: « Bonjour à tous et bienvenue pour cette nouvelle année ! IL a vraiment pas changé le vieux !

Seamus ! Enfin, on ne parle pas du directeur comme ça !

Roh ! Arrête donc ton char de seconde Mione ! Avec tous les Weasley qui sont passés par cette école, je peux te dire que le vieux Dumby n'a jamais changé, en ce qui concerne le début de son discours annuel !

C'est pas une raison ! »

y a de l'animation, dés le matin ici ! Je viens à peine de sortir de la douche que ça cri déjà de partout. N'ayant pas encore pris mon café, je ne suis pas en mesure de suivre une conversation ni être de bonne humeur.

« Jour, je lance à l'assemblé, tout en me laissant tomber dans un fauteuil. La grimace passe également par là. Petit problème de côtes.

Tiens c'est toi ! Bonjour, me lance Hermione. On est désolé de t'avoir dérangé hier. Ce n'était pas notre intention !

Ouais désolé, Continue Ron. La prochaine fois on écoutera Neville.

D'ailleurs il est où celui là ? demanda Seamus, enfin je crois.

Il a toujours du mal le matin tu sais bien, lui répond Ron.

Et Dray il est où ? »

Elle parle de qui là ? De Draco ? peut être, sûrement.

« Douche, j'articule.

T'es pas du matin toi », rigole Seamus.

Je me renfrogne légèrement en m'enfonce encore plus dans le fauteuil.

« Et ben faut dormir la nuit vieux ! me taquine t-il encore.

Fou lui la paix crétin d'Irlandais ! S'écrie Ron. Tout le monde ne peut pas dormir comme un loir et ronfler en prime, toutes les nuits !

C'est bien dommage ! »

Je grince ostensiblement des dents.

Qu'ils la boucle tous !

« Vous en faites un foutoir, soupire Draco en sortant de la chambre. Avec la douche on vous entend !

Ainsi qu'avec les boules quiesses, continue un petit brun que je ne connais pas.

ah bon, tu dors avec des boules quiesses Dean ? demande Seamus.

Ouais et un jour faudra que je t'explique pourquoi. »

Son regard se pose sur moi.

« Tiens un nouveau ! Moi c'est Dean Thomas ! Et toi c'est comment ?

Harry Potter.

Enchanté !

Je voudrais pas vous déranger mais où est le réfectoire ? je demande.

t'inquiète on va y aller on attend plus que celui là s'habille, dit Ron en montrant Dean du doigt, que Neville se dépêche. Que Blaise et Théo arrêtent de se tripoter et que Pansy la pipelette débarque ! »

Je re grince des dents. Ca fait trop de chose à enregistrer dès le matin !:://::

:://:: Dans le réfectoire, j'arrive enfin à me réveiller avec un bol de café salvateur. Merci !

Tout le monde parle gaiement, et se demande quel prof il aura cette année.

Les interrogations se terminent vite lorsque les emplois du temps son enfin distribués.

Il y a beaucoup de cris d'indignations, ou de détresses à voir.

« je vais mourir ! gémit Neville après lecture de son emploie de temps.

t'as encore Rogue cette année ! mon pauvre Neville je te plein, déclare Ron. T'inquiète on va te soutenir !

Qu'est ce que ce prof à de si spéciale ? je demande innocemment.

Il est tyrannique ! Voilà ce qu'il a ! C'est un prof de violon qui ne supporte pas la moindre fausses notes, le moindre écart de conduite, le moindre chuchotement. Il est sadique comme pas permis ! Il a aime plus que tout de rabaisser à chaque moment, pour que tu comprennes que c'est lui qui commande et que tu n'es qu'une limace fasse à lui ! »

La façon dont Neville en parle j'au eu l'impression qu'on me racontait une histoire d'horreur.

Il peut pas être comme ça quand même.

« Je suis sur que tu en rajoute !

Je te jure que non Harry ! rien que dis penser j'en ai des frissons de peur. Il me terrorise. »

Je le regarde avec étonnement.

« Le mieux c'est que tu te fasse t'a propre idée, me dit Draco. Tu verras bien ce que ça donne. Tu dois l'avoir aussi puisque tu fais violon. »

Je regarde mon emploie du temps et oui effectivement, j'ai le professeur Rogue.

« Je ne vous est même pas demandé en quoi vous étiez ?

Moi je suis en piano, me dit Draco., Pansy et Blaise sont en théâtre. Ron joue du violoncelle. Seamus et Dean sont en art et Théodore et Hermione sont en danse. » :://::

:://:: « Maîtrise, maîtrise et encore de la maîtrise, déclara solennellement Rogue. Sans cette arme, rien, je dis bien rien, en musique n'est possible. Il vous faut de la rigueur et du talent ! Malheureusement, certain n'arriveront jamais à ce si simple niveau requis, mais continuerons tout de même leurs inepties en osant s'appeler artiste ou virtuose. »

Avec ce qu'il vient de sortir, je comprends ce que ressent Neville, qui semble s'incruster, encore plus si c'est possible, dans son siège.

Sa nouvelle ambition : devenir un revêtement de siège.

J'avoue moi non plus, je n'en mène pas large. Il a un côté pervers qui me dérange chez lui. Mais on voit à sa façon de parler, que la musique est toute sa vie. Elle est son amante, sa compagne à tout instant de la vie. Et j'ai hâte de l'entendre jouer du violon.

Car je sais qu'une fois la maîtrise est parfaite, les sentiments doivent entrer dans la musique, dans votre corps, dans votre instrument, dans votre âme, pour ne faire qu'un.

Je sais qu'il n'est pas très beau, mais son charisme et son charme ont un immense potentiel.

Son nez et ses cheveux ne sont pas là pour jouer en se faveur. Mais je sens que je vais adorer ce cours. Même si le prof est un brun sadique et perfectionniste. Il aime son art. Il le vénère. La musique est un art qui sévie dans toutes les langues et nous permets de nous comprendre en toutes circonstances, car la musique ne sait pas mentir. Contrairement aux gens !

« Bien maintenant quelque rappels de ce que je tolère pas en classe ! » :://::

:://:: Arrivée le soir, tous sont complètement crevés. Hermione et Théodore surtout. Leur prof de danse classique doit être encore plus sadique que Rogue. Une grande femme, mince, un chignon séré sur la tête, les ongles longs, le professeur MacGonnagal.

Les premiers jours sont éprouvants. Draco me l'avais pourtant bien dit.

Pendant la pause déjeuner, je suis allé voir à quoi ressemblait la salle de concert et la salle d'entraînement pour le conservatoire.

Être dans l'orchestre est obligatoire à partir du moment où l'on joue d'un instrument.

L'ambiance ici me plait énormément. Les gens sont très sympathiques. Je vais me plaire et réussir à oublier. C'est ce que je voulais. Et surtout, je vais pouvoir me reconstruire. :://::

J'espère que c chapitre vousa plus ! A la prochaine fois

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