Salut, je reviens avec cette fic (qui est finie sur le papier, il faut juste que je la retape à l'ordi), j'avais un peu hésité avant de la poster parce qu'elle concerne des personnes existantes (enfin plus ou moins pour le panda) et je l'effacerai pet-être si il y a un problème (si je trouve comment on fait d'ici là). N'hésitez pas à me donner des conseils pour l'écriture, je sais que j'en ai besoin ( je peux réécrire totalement cette fic, ça ne me pose pas de problème si ça peut être plus agréable à lire). A bientôt j'espère.
Introduction
Entraide
1,2,3
Danse pour moi
1,2,3
Pleure, tremble, supplie-moi
1,2,3
Maintenant, je suis roi
« -Qu'est-ce que tu me veux ? » lâcha l'homme, d'habitude poli et souriant, frappant le sol de sa pelle.
« -J'ai besoin d'aide. »
« -Quel genre d'aide ? »
« -Un abri sûr. »
« -En quoi ma modeste demeure est-elle un lieu sûr ? » releva l'homme en levant un sourcil.
« -Tu es le seul en qui je puisse avoir confiance. »
« -Tu as tenté de tuer Mathieu. »
« Tu sais aussi bien que moi que ce n'est pas le cas, François. » L'homme gronda comme une bête puis se détendit légèrement en demandant :
« -Et moi qu'est-ce que j'y gagne ? »
« -Mon soutien et mon silence. »
L'homme à la pelle sursauta, son visage expressif s'arrondissant en O ses yeux s'écarquillant de surprise avant de se rembrunir rapidement, sa pelle quittant le sol pour se placer en diagonale devant lui, en position de défense.
Son opposant ne bougea pas, levant à peine un sourcil, avant de se mettre à avancer doucement, pas après pas. L'homme en noir commença à reculer jusqu'à ce que son dos tape contre la porte. Il tourna brièvement la tête en sursautant, faisant rire son homologue qui en profitant pour se coller contre lui :
« -Alors, marché conclu ? »
L'homme en noir tenta à nouveau de reculer avant d'acquiescer rapidement.
Le plus petit eut un sourire triste et d'un rire sans joie, il enchaîna d'un voix un peu nostalgique :
« -C'est quand même étrange que seul le chantage permet d'obtenir rapidement ce que l'on souhaite, tu ne trouves pas ? »
François ne répondit pas, le visage pâle sous la couche de poussière qui le recouvrait. Finalement, il repoussa son opposant et moitié soupirant, moitié grognon, finit par agir.
« -Tais-toi et rentres, sale peluche. »
Il ouvrit la porte et l'homme entra, attendant qu'il ait refermé la porte pour retirer son manteau.
« -Bon... Faisons bon ménage ! »
« -C'est ça, à d'autres malandrin. » souffla le fossoyeur en se passant une main sur le visage, l'autre lâchant Pupuce qui s'empressa d'aller s'installer sur le canapé.
L'ursidé s'assit tranquillement aux côtés de la pelle, et dit avec un sourire tranquille:
« -Je t'en prie, appelle-moi Maître Panda. »
