Titre : TRUE LOVE
Résumé : En proposant à ses amis du temps pour se retrouver, Hermione n'aurait jamais imaginé que cela tournerait au désastre pour leur vie respective. Mpreg.
A propos de la fiction : En cours d'écriture. Je ne peux dire combien va-t-elle comporter de chapitres ni à quel fréquence je posterais.
Disclaimer : Rien n'est à moi (tout le monde le sait). Ni les personnages ni l'histoire de base qui est celle d'un film que j'ai vu cet été « Pourquoi me suis-je marié ? » de Tyler Perry, et qui m'a beaucoup plut. Je l'ai tellement aimé qu'à la fin, au lieu des personnages principaux, ce sont ceux de JKR qui se sont imposés dans mon esprit. Alors,
même si j'ai pris quelques libertés sur le film originale, la seule chose qui me revient c'est l'adaptation de ces deux mondes… Et même ça je me suis fais aider par ma bêta…
Quand au titre, vous l'aurez comprit, il s'agit de la chanson de Pink « True Love » qui, à mes yeux, illustre trop la relation entre Harry et Drago. Au début, je voulais faire une Song-Fic, mais finalement je me suis aventurée dans une fic à chapitre. Mais, tout au long de votre lecture, gardez en tête cette chanson.
Bref, tout cela pour vous dire que… Vraiment, rien n'est à moi !
Rating : M. Au moins pour le langage assez cru.
Bêta correctrice : Voracity666
Avertissement : Bon si vous êtes ici, vous savez à quoi vous en tenir. Ceci est un slash, donc il y aura des relations entre hommes et, si vous avez une gène avec ceci, s'il vous plaît retourner à la page précédente et repréciser votre recherche…. Pour les autres, bonne lecture !
Je remercie Voracity666 de me suivre encore dans cette aventure et EliH, (oui même si elle a annoncé son départ, j'adore l'embêter !) pour ses commentaires. Bisous, ma belle !
Chapitre 1 : Voyage mouvementé
Hermione se regarda à travers le miroir et soupira. Son reflet lui montra un visage qu'elle avait maquillé légèrement, des cheveux qui d'habitude étaient ébouriffés, étaient tirés en un chignon dans sa nuque. Sa robe, noire et simple, épousait parfaitement son corps.
Bien. Elle était présentable. Elle pouvait descendre avant que…
-Hermione ?! On va être en retard ! fit une voix masculine
Elle sourit. Décidément, il était prévisible.
-J'arrive ! lui répondit-elle.
Après un dernier regard à la glace, elle quitta sa chambre le sourire aux lèvres.
Par Merlin ! Quand est-ce que les hommes comprendront que les femmes avaient besoin de temps pour se faire belle ?
Elle descendit les escaliers qui la menaient à son salon. Elle chercha son sac à main des yeux et le vit sur le buffet, au milieu des photos.
-Je prends juste mon sac à main !
Arrivée au niveau du buffet, elle ouvrit son sac et en sortit des boucles d'oreille en forme de perle de couleur écru qu'elle mit aussitôt. En les mettant, son regard s'attarda sur une photo qui la représentait elle et ses deux meilleurs amis en tenue de leur uniforme à Poudlard et qui ne cessaient de lui faire des signes.
Elle soupira. Que le temps passait vite… Plus de quinze ans maintenant s'étaient écoulés depuis la fin de la guerre. Tant de choses avaient changé … Si à l'époque on lui avait dit…
-Chérie ? Tu as finis ? Lui dit la voix masculine qui la fit se retourner. On va réellement être en retard.
L'ancienne Gryffondor sourit. Oui, tout avait bien changé. Elle fixa cet homme aux cheveux noirs coupés très courts et au sourire enjôleur qui se tenait devant elle. Un homme qu'elle n'avait jamais regardé lors de sa scolarité. Et qu'elle avait épousé. Adrian Pucey.
-Hermione, insista Adrian, c'est toi qui a instauré ces fameuses semaines sans magie perdu au milieu de nulle part, alors ne soyons pas retard, ok ?
-Ne t'en fait pas, on sera à l'heure pour le train.
Hermione se dirigea alors vers le vestibule afin de prendre son manteau et ses chaussures. Il était vrai qu'après quelque temps sans avoir de nouvelle de ses amis à cause de leurs métiers respectifs, elle leur avait imposé une semaine quelque part dans le monde sans magie afin de se retrouver.
Si au début certains avaient été réticents, et avaient critiqué son initiative, aujourd'hui ces mêmes personnes la pressaient de fixer une date pour leur prochaine « escapade » comme tout le monde les nommait.
-Je suis prête, Adrian. On peut partir.
Son mari la regarda avant de lui sourire.
-Hermione…Commença-t-il.
-Adrian… Ce n'est pas toi qui me pressais pour m'apprêter ?
-Tu as raison… Allez, viens on y va.
Sur ce, le couple quitta leur appartement.
OoooOoooO
-Je pense qu'on aurait du amener Gabriel avec nous. Tu as vu comme il était tout pâle lorsqu'on l'a laissé à Bones.
Harry leva les yeux au ciel tout en agrippant le volant.
Il se trouvait dans une voiture en route vers leur escapade annuelle avec leurs amis. Comme Hermione avait décrété cette semaine « sans magie », chacun devait venir par des moyen moldus. Il avait donc décidé de prendre la voiture. Il aimait conduire, cela le détendait en général. Il avait même forcé ses amis à apprendre à conduire !
Cela n'avait pas été facile. Le monde sorcier s'était ouvert à la technologie moldue à la fin de la guerre, et on pouvait trouver aujourd'hui beaucoup d'objets conçus avec des idées moldues.
Le « Parchemess » (1) était l'homologue moldue de la messagerie instantané qui consistait à s'écrire sur un parchemin afin de discuter avec un sorcier qui pouvait se trouver à l'autre bout de la terre comme s'il était à côté de vous, ou encore le « Parchevoc », l'homologue du téléphone. Celui-ci permettait aux sorciers de parler entre eux. Les sorciers avaient une petite boîte plate (à l'image des androïdes moldues) avec micro intégré où ils pouvaient parler.
Et même si le transplanage restait le mode de transport préféré des sorciers, il n'était pas rare de les voir derrière un volant.
-Elle s'appelle Susan, tu sais ? demanda t-il à son passager qui consultait son Parchevoc de couleur blanc et argenté.
-Bones est bien son nom de famille, non ? répondit celui-ci d'une voix traînante. Je ne pense pas lui manquer de respect, « Amour ». Et puis je préférais lorsque c'était Neville qui le gardait. Lui au moins savait s'en occuper, et puis on peut lui faire confiance.
-Arrêtes ça, on va voir Neville ce soir. Et on ne pouvait pas continuer à lui laisser le petit. Cela dérangeait Ginny.
-En quoi cela la dérangeait ? C'était une bonne chose, cela empêchait Nev d'être tout seul ! Peut être le fait que Gabriel soit un mélange de nous deux lui insupporte ?
-Tu sais que tu es puéril ?
-Mais c'est pour ça que tu m'aimes, non ?
Harry sourit. Oui il aimait cet homme si différent de lui. L'arrogance personnifiée. Sa fouine personnelle. Son mari. Drago Malefoy.
Beaucoup de choses s'étaient passées depuis Poudlard. La guerre était finie et chacun avait put se reconstruire une vie malgré les morts. Lui, depuis le milieu de sa septième année, il était en couple avec le dernier né des Malefoy. Chose qu'il avait dut cacher car durant la guerre, le blond avait été espion pour l'ordre dans les rangs de Voldemort.
C'est seulement lorsque tout fut finit qu'il avait put profiter réellement de son petit ami. Par la suite, ils s'étaient mariés et avait eut un enfant.
-Gabriel va bien, Drago. Ne t'en fais pas.
-Comment tu le sais ? Aurais-tu des capacités que je ne saurai pas, mon tendre époux ?
-Peut être parce que je suis un médicomage spécialisé auprès des enfants… Tu sais ce pourquoi j'ai étudié après la guerre ?
-Ah oui ? Dis-moi… Ce n'est pas toi qui lui avais permis de voler sur un balai toute la journée s'il le voulait, dans le jardin, le jour le plus froid de l'année ?
Harry soupira. Et c'était reparti !
-Drago ! Je me suis déjà excusé pour ça ! On ne va pas se re-disputer pour ça !
- On ne se dispute pas, Trésor… On fait un débat en argumentant chacun notre point de vue.
-On…
Harry ne put poursuivre car le Parchevoc que Drago avait en main se mit à sonner et celui-ci décrocha aussitôt.
-Allô ?
Harry qui s'était crispé à la première note de la sonnerie marmonna :
-Ça, c'est un bon sujet de débat.
-C'est Marcus, Harry, répondit Drago qui l'avait entendu, c'est urgent.
-C'est toujours Marcus, et c'est toujours urgent…
-… Oui, tu as réussit à avoir les infos sur eux ? Continua Drago sans se préoccuper de son mari. Ok, tu me les envoies par hiboux-mail ? Je les regarderai une fois que je serai arrivé au chalet…
-Non, non, non, Drago ! Tu ne vas pas lire tes messages quand on va arriver ! Tu es censé être en vacance !
Drago lui jeta un regard noir tout en disant au revoir à son secrétaire.
-Je peux savoir ce qui t'arrive ? Lui demanda t-il d'une voix froide.
-Ce qui m'arrive ? Drago ! Cela fait des heures que nous somme en voiture et tu passe ton temps au Parchevoc ! Et c'est toujours la même chose ! Même à la maison ! Tu délaisses même ton fils pour ça !
-Je ne te permets pas de me critiquer ! Je suis un bon père, Harry ! Je lui assure une route toute tracée pour son avenir afin qu'il n'ait pas de besoin de travailler ! Et puis tu peux parler toi, monsieur l'Élu Médicomage ! Tu travailles tout autant que moi !
-Peut être, mais je n'ai jamais manqué un repas, ou encore un anniversaire ! Je suis présent à la maison !
-Je le suis aussi !
-Non tu ne l'es pas, car à peine arrivé tu cours t'enfermer dans ton bureau pour répondre à tes hiboux-mails ou alors tu organises des conférences via Patronus avec Marcus que tu as vu toute la journée !
-Et alors ? Il faut bien…
-Tu as une famille, Drago ! Et tu es en vacance, là ! Est-ce trop te demander d'éteindre ce putain de Parchevoc et de passer tout ton temps avec moi, ton mari ?
Drago soupira. Son stupide mari était en colère. Franchement, il ne le comprenait pas. Il n'avait rien fait ! Juste répondre au Parchevoc !
-Bien, répondit en lâchant l'objet de la dispute du jour sur ses jambes. Je suis à toi toute la semaine … C'est ce que tu veux, non ?
Harry soupira. Si seulement c'était vrai !
OoooOoooO
-Franchement, Neville, je te remercie de me permettre de me joindre à vous pour ces vacances !
L'ancien gryffondor répondit tout en cherchant sa place :
-Ce n'est rien Olivier. C'est normal de ne pas te laisser seul durant les vacances ! On ne peut pas se relaxer dans ces conditions !
Ils se trouvaient dans un avion. Celui-ci était plein et ils devaient avancer à la queue leu-leu. Neville sourit en trouvant sa place. Il était entre deux hommes. Des moldus. Pas qu'il les aimait pas, loin de là, mais même s'il avait appris à conduire avec Harry, Ron et les autres, il préférait de loin les transports sorciers. Plus sûr et beaucoup plus rapide ! Heureusement qu'il adorait Hermione !
Après s'être excusé, il essaya de s'installer confortablement sur son siège. « Essaya » car ce n'était pas évident de bien s'asseoir sur ce « petit siège » quand on avait la taille de trois personnes pour soi-même. Son voisin, qui était dérangé, se leva furieux et partit parler aux hôtesses qui se trouvaient près des portes.
-Ça va Neville, tu es bien installé ? Demanda Olivier qui était assis derrière lui. Tu veux peut-être te placer à côté de ta femme ?
-Allons Olivier, répondit une belle rousse assise à ses côtés, il est installé, c'est l'essentiel. Ce n'est pas pour rien que l'on attribut des sièges ! Occupe-toi de toi et met ta ceinture. On va décoller.
En entendant ça Neville sourit. C'était bien sa femme ça !
D'aussi loin qu'il pouvait se souvenir, il avait toujours aimé Ginny Weasley. À ses yeux, elle incarnait la femme parfaite. Bon d'accord, elle s'énervait vite, mais c'était une jeune fille qui n'avait pas pour l'habitude de se laisser faire.
Il n'avait jamais crut un jour qu'elle le regarderait, et lorsqu'elle s'était mise en couple avec Harry au début de la sixième année, il pensait l'avoir perdu à jamais. Mais lorsqu'Harry l'avait quitté pour chercher les horcruxes, il avait été là pour la consoler. Et lorsque le Héros national avait annoncé sa mise en couple avec Drago à la fin de la guerre, il était toujours à ses côtés. Et c'est en restant à ses côtés que leur couple s'était formé et solidifié jusqu'au mariage.
Tandis que Ginny était toujours aussi belle et adulée car elle était devenue joueuse de Quidditch professionnel, lui s'était beaucoup effacé. Ginny avait besoin d'espace.
Et même s'il était un botaniste reconnu, il ne se montrait pas car il était aux petits soins pour elle. Il s'occupait de la maison tandis qu'elle faisait ses matchs. Et lorsqu'elle ramenait un collègue de l'équipe, il y avait toujours une chambre prête à être utilisée. C'était le cas en ce moment. Olivier Dubois, dont la carrière n'était plus à démontrer, subissait en cette période la pression de plusieurs clubs et dormait à la maison. Pour ne pas le laisser seul, Neville lui avait proposé de venir avec eux lors de leur escapade avec leurs amis.
Il était plutôt heureux que sa femme ait des amis à elle, il savait qu'elle n'avait toujours pas digéré sa rupture avec Harry.
Et puis le fait qu'il reste à la maison lui avait fait prendre du poids. Oh il savait que sa femme n'aimait pas ça, donc il faisait un régime mais ce n'était pas encore ça pour la dernière des Weasley qui refusait d'être vu en public avec lui.
-Mais Ginny, je…
Olivier qui avait commencé à parler, fut coupé par l'arrivée d'une hôtesse qui s'adressa à Neville :
-Bonjour… Je suis désolée monsieur, mais l'avion est complet aujourd'hui.
Neville la regarda surprise et dit
-C'est ce que je vois, mais… J'ai acheté mon billet il y a longtemps.
-Je comprends, monsieur, dit l'hôtesse de plus en plus gênée. Mais le règlement de la compagnie stipule que... Les personnes… De… De votre corpulence doivent acheter deux places.
Un silence gêné s'installa. Neville, désolé, jeta un regard vers son épouse pour lui demander de l'aide.
-Ce n'est pas la peine de me regarder, répliqua sa femme d'une voix moqueuse.
-Ginny ! s'exclama Olivier. Ne dis pas ça !
-Quoi ? Cela fait des mois que je dis à ce gros bourrin de maigrir ! Il ne fait rien de ses journées ! Je suis contente que ce soit une autre personne qui le lui dise !
Olivier leva les yeux au ciel. Il se leva et dit à Neville :
-Nev, tu vas prendre ma place, je vais descendre et…
-Et puis quoi encore ? Lui coupa Ginny. Et moi je vais m'asseoir où ? Non, Non…
Elle fouilla dans son sac à main et continua en tendant des billets à son mari :
-Écoutes, Neville, tu sais conduire, n'est ce pas ? Alors prend la voiture. Harry et Drago viennent en voiture aussi… Tiens prend ces billets, cela te permettra de payer l'essence. On se retrouvera au chalet d'accord ? Aller descends, et n'oublie pas d'aller te faire rembourser, ok ?
Neville la regarda avec tristesse.
-Heu… Monsieur, dit alors l'hôtesse, Veuillez descendre de cet avion s'il vous plaît.
Neville soupira et se leva pour la suivre. Il se retourna ver sa femme et dit :
-Ben… On se retrouve là bas ?
-Bien sûr mon chéri, lui dit Ginny d'une voix mielleuse tout en s'installant confortablement sur son siège. Aller, vas y, on ne pourra pas décoller sinon !
-… D'accord…
-C'est ça… On se voit ce soir. Je t'aime ! Cria la rousse en voyant son mari s'éloigner.
OoooOoooO
-Ça ne peut plus durer ! J'en ai assez de voir la tête de ton ex tout le temps !
Ron ferma les yeux en soupirant. Il se recroquevilla sur son siège en essayant de disparaître. Il était sûr que tout le wagon avait entendu la réflexion de son mari. Pourquoi devait-il parler aussi fort ?
Il regrettait d'avoir pris le train ! Pourquoi n'avait-il pas prit la voiture comme Harry ?
-Blaise, s'il te plaît… dit-il gênée, arrêtes tu me fais honte !
Blaise Zabini regarda le rouquin qui rougissait de honte d'un regard froid et lui dit à voix haute :
-C'est toi la honte de cette histoire, Ron ! J'allais très bien jusqu'à ce que l'on dépose tes enfants chez cette putain de Brown !
-Elle s'appelle Lavande, Blaise ! Et c'est leur mère ! Qu'est-ce que tu veux que je fasse !
-Déjà commence par lui dire qu'il faut qu'elle arrête de me regarder comme si j'étais un moins que rien !
- Elle ne t'a même pas regardé !
-Et comment tu le sais ? Tu n'as pas put voir son visage car tes yeux étaient braqués sur sa poitrine qu'elle a refaite !
Ron soupira. Mais qu'est ce qu'il avait fait pour mériter cela ?
À la sortie de la guerre, il s'était fiancé avec Lavande Brown avec qui il sortait depuis leur sixième année de Poudlard, et lui avait donné deux jumeaux, Cherryl et Alexander. Mais quand ceux-ci eurent trois ans, il se sépara de leur mère car cela n'allait plus entre eux.
En effet, Lavande lui reprochait de ne pas avoir changé depuis leur scolarité, et de préférer passer chaque moment de libre avec sa famille et ses amis de toujours qu'elle n'appréciait pas tous, au lieu de sortir voir du monde comme elle le disait si bien.
Il est vrai qu'il n'avait pas changé ses habitudes. La guerre l'avait mûrit, les différents entraînements et combats lui avaient redessiné un corps qui semblait plaire à beaucoup de monde, mais dites-moi pourquoi changer de comportement alors que tout vos proches vous aimaient tel que vous êtes ?
Lorsque leur séparation fut prononcée, Ron ne fut pas longtemps célibataire car Blaise Zabini le courtisa si bien qu'il finit par céder et l'épouser, ce qui fit enrager Lavande car jamais le rouquin n'avait envisagé le mariage à ses côtés.
Ron soupira. Il vit le noir marmonner quelque chose, sortir un flacon et boire une gorgée. Et voilà qu'il commençait à boire. Décidément, il n'y s'y ferait jamais !
-Tu pourrais arrêtez ça une minute ? Lui demanda-t-il doucement.
-Tu pourrais aller en enfer une minute ? Lui répondit Blaise.
-J'y suis déjà. Répliqua Ron dans sa barbe.
-Pardon ?
-Je n'ai rien dit.
Blaise voulut répliquer mais il fut coupé par une femme qui était assise derrière eux qui leur dit :
-Excusez- moi, mais pouvez vous faire moins de bruit, il y a ma fille qui dort.
Blaise se leva et la toisa du regard et dit :
-Je vais vous expliquer une chose. Blaise est en train de s'expliquer avec son mari et il n'y a rien de plus énervant que d'être interrompue dans une conversation, alors je me moque de savoir si votre fille dort ou pleure ! Mais c'est pas vrai ! Vous ne voyez pas que notre discussion est importante ? Vous croyez que je suis qui ? Une stupide moldue de votre genre ne …
Ron mit sa tête sur ces mains. Pourquoi était-il là déjà ? Ah oui, il allait en vacances avec ses meilleurs amis… Il aimait Hermione, mais là, il maudissait le moment où elle avait décrété que leur escapade se fasse sans magie… Par Merlin ce voyage allait être long !
(1): Je n'ai pas besoin de précisez pour les Drarryvore que vous êtes, le clin d'œil à Leviathoune et sa fic « Parchemess»!
