Commentaire de l'auteur: Hey tout le monde! Je suis ici avec une nouvelle histoire. Celle-ci va être une série d'one-shot indépendants les uns des autres concentrés sur différents couples d'Hetalia et leur progéniture. Pour la plupart, je ne fais pas de demande sur tel ou tel couple, mais je suis ouverte à d'autres idées. Maintenant, allons-y!
Commentaire de la traductrice: Yo~ Je ne m'attarderai pas, je fais cette note juste pour dire que la fiction originale appartient à Hitomi Shirou, que je ne fais que traduire et que pour la fiction en anglais, c'est ici /s/5465204/1/Family-Relations
Couple: Allemagne x Italie
Rating: T
Avertissements: Yaoi, Mpreg, noms humains
Disclaimer: Je ne possède pas Hetalia, mais je vis vraiment au Canada (fuckyeah!), qui est l'un de mes personnages préférés (et le meilleur des pays).
Ludwig marchait dans la maison silencieuse, chose inhabituelle. D'habitude, la maison était remplie de toute sorte de bruits à cette heure de la journée. L'allemand regarda sa montre pour s'assurer que ce n'était pas l'heure de la sieste. Cinq heures du soir, ça faisait bien longtemps que les autres occupants de la maison devaient être réveillés. Ce fait le fit froncer les sourcils, Ludwig marcha dans la grande maison, vérifiant chaque pièce deux fois, à la recherche des boucles de cheveux défiants la gravité. Comme il ne localisa pas de signe de vie au rez-de-chaussée, il grimpa les escaliers jusqu'à l'étage.
En passant devant la chambre d'ami, il vit ce qui était probablement les restes d'une sieste de trois heures, mais aucun italien ne dormait. En repartant vers la chambre principale, il ne trouva aucun signe de vie. Après être rentré dans la plus petite chambre à coucher en bas du hall (il gardait fermé le bureau et les placards), il entendit un rire bête venant de l'armoire, rapidement étouffé.
"Donc ils jouaient." pensa Ludwig en souriant doucement. "Oh mon," dit-il à voix haute, "Où peuvent-ils être?" Il marcha à grands pas vers le lit. "Pourraient-ils se cacher sous les couvertures?" Il tira les couvertures du lit. "Non…peut-être sont-ils sous le lit?" Ludwig se mit à genoux et vérifia sous le lit. "Non, pas ici non plus." Il se leva puis marcha à grands pas vers l'armoire. "Mais alors où peuvent-ils bien être?" Il marqua une pause, écoutant les petits rires étouffés. "Je sais, ils doivent être…dans l'armoire!"
Ludwig ouvrit brusquement l'armoire et fut accueilli par les cris aigus des rires et par des bras tendus, demandant un câlin.
"Tu nous as trouvés Vati!" cria la petite fille en entourant ses bras minces autour du cou de son père. "Maman a dit que tu viendrai et il avait raison!"
"Ton Vati me trouve toujours, n'est-ce pas Zaffie?" dit Feliciano en chatouillant la petite fille sous les bras.
Zaffie éclata de rire. "Si! Vati trouve toujours Maman!"
Ludwig souleva Zaffie de l'armoire. "Bon sang vous deux, vous cacher de moi comme ça. Je me suis inquiété." Il réprimanda Zaffie et Feliciano qui firent la moue.
"Ve~, nous jouions seulement." dit Feliciano. Il se mit sur la pointe des pieds et planta un baiser sur la joue de Ludwig (Ludwig devait quand se pencher un peu). "Pourquoi ne pas me dire ce que vous voulez pour le dîner?"
"Je veux des pasta!" cria Zaffie en se penchant pour recevoir son baiser que l'italien lui donna.
"Tu veux toujours des pâtes." dit Ludwig en souriant. Les deux lui firent leur sourire d'ange, marque déposée, et eurent une série de fou rire. Feliciano serra la main de Ludwig et se dirigea vers la cuisine. Zaffie se tourna vers son père.
"Vati! Vati! Pendant que maman fait cuire le dîner, tu me lis une histoire?" demanda-t-elle. Ludwig avait initialement projeté de s'avancer un peu dans sa propre lecture, mais s'il y avait une personne qui pouvait faire fondre son cœur d'ancienne nation fasciste (en excluant l'homme aux cheveux couleur cuivre qui était en bas dans la cuisine), c'était le petit ange actuellement installé dans ses bras.
"D'accord, mais seulement une petite, après nous nous laverons pour aller manger." dit-il en emmenant la petite fille de cinq ans dans le salon. Une fois à terre, elle alla immédiatement à la plus grande étagère, pleine de livre pour enfants.
"Lis celui-là Vati." dit-elle en prenant un livre aux couleurs vives. Elle trottina jusqu'à son père et monta sur ses genoux.
"La Princesse de Sac en papier? Je ne te l'ai pas raconté une douzaine de fois?" demanda Ludwig en lisant le titre du livre.
"Mais c'est mon préféré." dit Zaffie, tournant ses yeux azurés vers le haut pour regarder fixement une paire d'yeux identique. "La princesse est si forte."
"Ja, elle est forte." dit Ludwig en tapotant les cheveux blonds sur le haut de la tête de la petite fille.
Zaffie mit le livre dans les mains de son père. "Lis avant que maman finisse le repas."
Ludwig lu l'histoire, tout le temps Zaffie était assise sur ses genoux, en lisant les mots tandis que son père les lisait à haute voix. La maison était vivante maintenant avec les sons de vie. Feliciano cliquetant dans la cuisine, la voix bourrue de Ludwig lisant un livre pour enfant et les petits rires de Zaffie quand l'histoire progressait.
"Le dîner est prêt!" appela Feliciano depuis la cuisine. "Allez vous laver les mains pendant que je met la table."
Zaffie quitta les bras de son père et couru à la salle de bain pour se laver. Ludwig se leva et marcha vers la cuisine (Zaffie ne pouvait pas utiliser l'évier de la cuisine parce qu'il était trop haut et il n'y avait aucun tabouret). Ludwig regarda Feliciano courir à pas précipités dans la cuisine en emmenant le couvert à la table. Il sourie à cette vue. La présence de l'italien dans sa vie était probablement la meilleure chose qui lui soit jamais arrivé. Certes, ils auraient put se rencontrer dans de meilleurs circonstances (la guerre n'était pas le meilleur moyen pour se rencontrer), mais ils ont fais avec. Feliciano fini de mettre le couvert et se tourna vers l'évier tout en cherchant Ludwig.
"Ve~ Ludwig, tu devrais te laver les mains." dit Feliciano.
"Oui." dit Ludwig, sortant de ses pensées. Il se mit à côté de l'homme aux cheveux cuivré devant l'évier. "Si quelqu'un peut me faire avancer sur cette voix, ce sont bien ces deux-là."
Commentaire de l'auteur: Ahg, je n'aime pas la fin. Peut-être que j'en referais sur ces trois-là plus tard. Si vous vous demandez pourquoi j'ai rendu Allemagne un peu OOC, j'imagine que la maternité l'a adoucit un peu.
Commentaire de la traductrice: Le fait est que je n'ai pas grand-chose à dire -_- J'ai une vie ennuyante de "mademoiselle-tout-le-monde" donc bon… et pour échapper à l'ennui, je traduis! (oh! une rime!) oh oui je sais, vie passionnante que la mienne u.u Prochain chapitre, Francis, Arthur et leur fille Jeanne! (oui, oui, je te jure qu'elle s'appelle comme ça U.U)
A part ça, toi qui as lut ce premier chapitre, laisse-moi une reviews, sinon cette nuit je sortirai de ton placard pour te faire faire des cauchemars! (oh! une autre rime!)
