Je ne possède pas Avatar, seulement mes Ocs.

Prologue

L'eau, la terre, le feu, l'air. Il y a très longtemps ces quatre nations vivaient en harmonie, mais un jour la nation du feu décida de passer à l'attaque, seul l'Avatar, maitre des quatre éléments pouvait mettre fin à la guerre. Mais juste au moment ou on avais besoin de lui, il disparu. Un nouvel Avatar vit le jour, un fils de l'air. Comble du malheur, il disparu à son tour sans laisser de traces. Des années plus tard un maitre de l'eau fut désigner Avatar.

Alors que nous pensions que le règne sanglant de la Nation du feu allait prendre fin. L'Avatar rallia la Nation du feu.

Les trois autres Nations unirent leurs forces pour vaincre la Nation du Feu, hélas, la puissance de l'Avatar était sans égales. Les tributs de l'Eau et de la Terre furent capable de résister.

La tribut de l'Air en revanche subit la colère de l'Avatar. Jour après jour, années après années. Ils ont pratiquement tous périt.

Les seules chances de vaincre l'Avatar s'amenuisait alors que les maitres de l'Air disparaissaient, en effet, la seule chance de vaincre l'Avatar était d'unir les 4 éléments, ou à défaut, qu'un autre Avatar apparaissent pour le défier.

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Bien des années plus tard.

Dans la nation du feu, la famille royale était dans un bien triste état. La reine avait disparut et le plus jeune des princes avait été exiler.

Dans le jardin du palait royale, devant une petite mare d'eau. Un jeune homme se tenait debout, immobile.

Il avait dans les 16 ans. Des cheveux noirs qui descendaient jusqu'aux épaules. Une petite barbe bien entretenue montrant qu'il entrait dans l'âge adulte. Des yeux verts. Enfin il portait une armure rouge semblable à celles des généraux du palais, prouvant ainsi sa puissance et son rang.

« Déjà cent ans que la guerre à commencer » pensa le jeune homme en serrant ses poings « l'Avatar Rushu et mon père ont pratiquement anéanti le monde ».

« Père nous demande Tseng ».

Il fut déranger de ses pensées par une jeune fille. Les cheveux noirs. Les yeux noirs. Et une armure identique au jeune homme. Enfin, elle avais un regard dérangeant, un regard montrant aussi bien sa malice que sa folie.

« Que me veux-tu Azula? » demanda ledit Tseng d'un ton ennuyer en soupirant.

Azula croisa alors ses bras sur sa poitrine, et grimaça à la remarque « dit carrément que je te dérange! ».

« C'est exactement ce que je dis » répond Tseng en étirant ses bras et baillant. « donc, tu disais? »

« Père veut nous voir » répond Azula avec un sombre sourire s'affichant sur son visage.

Le visage de Tseng s'assombrit « moi pas » dit-il simplement.

Azula soupira à son tour avec un air ennuyer « oublie un peu Zuko! Tu nous casse les oreilles! » Un regard dangereux de son frère la fit palir.

Si il y à bien quelque chose qu'Azula devait reconnaitre, c'est la puissance de son frère. Bien qu'en temps normal Tseng et calme et blazée. En combat, c'est autre chose, à 7 ans il maitrisait déjà les éclairs. À 11 ans il battit le général Zhao lors d'un agni-kai

Et à 15 ans, son père, le seigneur du feu Ozai le reconnu comme son égale et en à fait son bras droit.

« Attention à ce que tu dis en ma présence ma sœur! » menaça Tseng « Zuko est et restera à jamais mon frère! ».

En effet Tseng à toujours été protecteur envers Azula et Zuko malheureusement, il était absent le jour ou Zuko fut exiler, même s'il reste loyale envers son père, leur rapport se sont dégrader depuis ce jour.

Tseng soupira dans la déception « allons-y » dit-il en se retournant vers sa sœur.

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Quelque part au pole nord.

« ça suffit Sokka, rend moi mon collier! » pleura une jeune fille.

Elle avait la peau bronzé, les yeux bleux, et les cheveux bruns attacher en tresse. Elle portait un manteau bleu.

« Alors montre moi un de tes tours! » se moqua ledit Sokka. Un jeune garçons aux yeux bleu et à la peau bronzé également, les cheveux brun attaché en queue de cheval.

La fille devait avoir dans les 10 ans et le garçon dans les 11 ans.

« Sokka arrête! » plaida la jeune fille.

« Nanana nanere! » se moqua le garçon, aussitôt une baffe à l'arrière de la tête le projeta au sol.

« Tu trouve ça drôle d'embêter ta sœur Sokka!? »

Le jeune garçon se leva en se frottant l'arrière du crane « non » dit-il avec un air tristounet.

« Rend lui ce collier! » dit la nouvelle figure d'un ton strict.

Le jeune Sokka s'exécuta en boudant et donna ledit collier à sa sœur.

La jeune fille essuya ses larmes et se précipita vers la figures pour l'attraper à sa taille « merci Nita! » dit-elle toute souriante.

Ladite Nita avais également la peau bronzé. Ses cheveux était blanc comme la neige, ses yeux bleu, comme le ciel. Elle portait un manteau bleu similaire au deux enfants. Elle devait avoir dans les 15 ans.

Ses mains ganté se sont posés sur les cheveux de la petite fille « de rien Katara » dit-elle un sourire aux lèvres. Puis son regard se posa sur son frère qui essaya de s'éclipser en douce . « Sokka j'aimerais te parler un moment » dit-elle avec un ton laissant présager les ennuis.

« Quelle poisse! » pensa le jeune garçon qui pensait s'en tirer.

Quelques minutes plus tard Sokka et Nita était assis sur un mur de neige.

« Franchement Sokka, tu devrais arrêter d'embêter ta sœur comme ça » soupira Nita.

Le jeune garçon regarda vers le sol, honteux.

« Tu es l'homme de la tribut à présent, c'est injuste je sais, mais le village compte sur toi, tu ne peux plus déconcentrer ta sœur avec ces enfantillages. » expliqua Nita calmement, le ton qu'elle employait montrait clairement que ce n'était pas une critique, mais plutôt un apprentissage pour l'avenir.

« Je suis désolée » marmonna Sokka doucement.

Nita le regarda alors tendrement « vraiment? »

« Je ne le ferait plus » répondit Sokka.

Un sourire diabolique s'afficha sur le visage de Nita.

« Et maintenant: PU-NI-TION! »

Elle se mit à chatouiller Sokka qui se mit à hurler de rire.

Au loin, une vieille femme regardait la scène avec un sourire au lèvres.

« Qu'y a-t-il Mabouba? » demanda Katara qui s'entrainait à sa maitrise de l'eau.

« Rien ma chérie, continuons ».

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Dans une lointaine montagne à l'est, dans un temple en ruine vivait une jeune moine ayant dans les 17 ans habiller en moine. Elle avait les yeux gris, Et des flèches bleu Sur sa tête presque chauve, à part une tresse shaoline, et ses mains.

Elle était en train de méditer dans une salle poussiéreuse.

« Nous avons de la compagnie » dit un homme entrant dans la pièce. Il avait une trentaine d'année, il portait un pantalon marron, et était torse nu, on voyait donc son torse incroyablement musclés. Une belle barbe, une moustache digne d'un noble. Il était assez grand, ses yeux était marron, ses cheveux bruns, et un air stricte.

La jeune moine se leva presque en volant « Alors c'est quoi, qui, comment, ou? » demanda-elle visiblement exciter.

« Calmos Xiao-Mei » répondit l'homme d'une voix impressionnante.

« Bla bla bla, Alors? » coupa la jeune fille.

« Des soldats de la nation du feu, apparemment une certaine maitre de l'air aurait fait du tapage en menaçant un marchand de créer une tornade s'il ne lui vendait pas son poisson à moitié prix. » dit l'homme provoquant à Xiao-Mei de tousser.

« Ah vraiment! Il y a des gens sur terre! c'est incroyable à quel leur débilisme est stupide! » dit-elle en espérant passer inaperçu.

« Alors premièrement tu es certainement la dernière maitre de l'air, et deuxièmement on dit idiotie ou stupidité ou débilisme n'existe pas. »

Xiao-Mei fit un sourire idiot et leva le doigt s'apprêtant à dire quelque chose.

« Non ne répond pas! » coupa l'homme provoquant à Xiao Mei de bouder « on va encore devoir déménager. »

« Ou vas-t-on aller Huan? J'en ai marre de changer de maison moi! » se plaint la moine.

« Nous allons aller au Pole Nord, personne ne pensera à nous chercher là-bas. » expliqua Huan.

La jeune fille se mit à rire en pensant à son ami tremblant de froid dans la neige.

Huan se mit face à l'entrée d'où il était apparut et tapa dans le sol avec son pied. Aussitôt un mur de pierre scella la sortie.

« Accroche toi à moi Huan! » dit Xiao -Mei près du vide après avoir détruit un mur. Huan s'exécuta et Xiao-Mei sauta.

Après quelque seconde de chute libre, Xiao-Mei se mit à tourner sur elle-même, le vent se mit à tourner autour d'eux jusqu'à former une violente tornade.

« Direction le Pole Nord! ».