Nouvelle histoire, mais vous inquiétez pas je continue l'autre. Je posterais une fois par semaine, sinon deux chapitre en cas de manque de temps. Surtout ne faites pas attention aux fautes. N'hésiter pas à me dire se que vous en pensez, c'est un peut mou sur ce chapitre mais normal c'est que le début je vous promet plein de rebondissement allé je vous laisse lire et surtout oublié pas le bouton review bisous.

Les personnages appartiennent a stephenie meyer je joue seulement avec.


Chapitre 1 Nouvelle vie

Point de vue de Bella

Me voilà enfin arrivé, après plusieurs heures de vol en avion je me retrouvais enfin à destination de Nice, en France.

J'avais décidé de tout quitter, de tout recommencer. J'allais pouvoir être une nouvelle Bella, dans une nouvelle vie, faire ce que je voulais avec qui je voulais, quand je voulais.

Recommencer à zéro, laisser mon passé derrière moi. J'en avais besoins, il le fallait, de toute façon ce n'est pas comme si j'en avais eu le choix. C'était sois tout quitté, sois me caché en entraînant avec moi les fantômes de mon passé. Et je ne voulais pas faire ça, je voulais pouvoir revivre, rire chanter danser, être comme les jeunes filles de mon âges.

C'est avec ce nouvel entrain que je sortais de l'aéroport, avec seulement mon sac à main et ma valise. J'avais quasiment tout laissé derrière moi, je ferais quelques boutiques pour me racheter des vêtements, et j'étais bien décidé à changer de tenue vestimentaires.

Oui une nouvelle Bella prenait place, adieu Bella timide, réservé, portant des vêtements bien trop grand pour elle, et bonjours la Bella pleine de vie audacieuse, sexy, enfin autant que je pouvais l'être, je n'avais pas un corps de rêve non plus.

Je sortais mon téléphone de ma poche pour trouver ma location, j'avais loué un petit studio sur le net. Je n'avais pas encore trouvé d'appartement pour l'instant et je préféré être sur place pour me faire une idée.

Le petit studio comportait juste une pièce de vie et une salle de bain, pas idéal mais juste pour quelques temps cela me suffirait, je savais qu'il se situait dans le centre-ville, vue que je n'avais pas de voiture pour l'instant cela me semblait idéal.

Je ne prenais pas vraiment le temps de regarder les environs, suivant simplement le chemin que m'indiquait mon téléphone, je ne faisais même pas attention aux personnes qui m'entourait. J'aurais bien le temps de visiter la ville plus tard.

Une fois que mon GPS, m'indiquais que j'étais rendue, je regardais l'endroit indiquer, le numéro 12 appartement 28. C'était un grand immeuble des années 80, pas très moderne me dit-je, et en plus il semblait un peu triste. Il y avait une grande porte en bois massif, le genre de porte impossible à craquer...parfait pour moi. Un interphone se trouver contre le mur à droite de la porte, j'appuyais dessus.

-Oui ? Fit la voix dans l'interphone.

-Bonjours, je m'appelle Isabella Swan, mon…

-Oui je suis au courant je vous ouvre, attendez moi dans le hall près des escaliers. Me coupait-elle.

Ok me dis-je à moi-même, ça promet. J'entendais le clic qui m'indiquait que je pouvais ouvrir la porte. J'entrais et avançais dans le hall avec mes bagages, le hall était classique. Mur beige, sol gris clair, escalier en fer forgés, et pas d'ascenseur ça ne m'étonnerais même pas. Il y avait quelques tableaux qui se battaient en duel et une plante dans l'entrée.

Je vie la femme de l'interphone venir à moi, elle avait les cheveux grisonnant, visage fatigué, et on pouvait voir qu'elle était guère contente d'être ici.

-Bonjours je suis Madame Bourn, me dit-elle en me serrant la main. Je suis la gardienne, voici vos clés, le local à poubelle se trouve derrière les escaliers. Mon mari Monsieur Bourn passera dans la semaine pour régler avec vous les derniers détaille pour votre dossier. Vous avez des questions ?

-Non, je pense que ça ira.

-Vous avez besoins d'aide ? Me demandait-elle en me montrant ma valise.

-Non ça ira, quel étage ?

-Troisième.

Je la remerciais et montais les escaliers, ce ne fut pas très difficile vue la légèreté de mes bagages. Une fois rendue au troisième étages je cherchais le numéro 28, il était quasiment au fond du couloir. Je déverrouillais la porte et entrais, encore une fois dans surprise, le studio était simple, une kitchenette se trouver à droite avec une plaque chauffante et un évier en inox. Plus loin se trouver un clic-clac rouge qui faisait office de lit, en face une table blanche laquer qui pouvait contenir que deux personnes maximum et à gauche du clic-clac une armoire du même type que la table. Les murs étaient recouvert de papier peint beige, comme le hall, sauf que le sol était couvert par du lino imitation parquet.

Je posais mes affaires et allé voir la salle de bain, il y avait un simple lavabo avec un miroir au-dessus, il y avait aussi une mini douche, et un cabinet waouh plus petit qu'un cagibi cette salle de bain.

Au moins j'étais sûr d'une chose, je ne resterais pas bien longtemps ici. Je rangeais le peu d'affaire que j'avais, prenais une douche et allé faire quelques courses. J'en profitais pour visiter un peu le coin, c'était assez sympas. On se croyait dans les îles avec tous ses palmiers.

Sur le chemin je croisais pas mal de bars restaurant, et des magasins de vêtements, j'irais faire un tour demain me dis-je. Une fois rentrer, je me fis un repas vite fait, des pâtes avec de la sauce tomate, mangeais et me couchais, ce voyage m'avait fatigué. Je m'endormis rapidement, le lendemain matin je devais me lever tôt. J'avais pas mal de chose à faire, je devais tout d'abord me racheter des habits, les lavés puis trouver un boulot.

Je passais donc ma mâtiné dans les boutiques, essayant de trouver des vêtements en solde, de qui plus est changerais un peu de mon look habituelle, je m'étais promis de plus redevenir la Bella d'avant, essayant des habits qui moulait plus à mon corps, et un peu plus court dans la limite du raisonnable. La Bella timide, réserver, la Bella faible n'existait plus, je ne voulais plus jamais avoir à faire avec cette fille.

C'était de sa faute si j'en étais rendue ici aujourd'hui et je m'étais fait une promesse, c'est de ne plus être ce genre de personne qui se contente d'encaisser sans réagire...il en valait de ma survie, pour eux, pour moi je devais me battre pour ne plus être cette fille qui avait engendré autant de malheur autour d'elle.

Je passais par la laverie, et due attendre 40 minutes pour que mon linge soit lavé et 30 pour le faire sécher dans le sèche-linge, une éternité donc. Heureusement pour moi il y avait des magazines qui avait été laissé, je connaissais donc tous les petits potins des magazines people, au retour je prenais le journal pour les annonces d'emplois.

Une fois chez moi, je prenais une donc une douche et me changeais. Je prenais la tenue acheté ce matin même, un legging noire et une tunique légère violette à manche longue, avec une ceinture noir au niveau de la taille, ainsi que des ballerines violettes. Je laissais mes cheveux détaché tombant dans mon dos.

Une fois prêtes je partais en direction des bars restaurants, j'avais vue plusieurs annonces dans le journal, et pour commencer ça serait plutôt pas mal.

Malheureusement pour moi, soit ils avaient déjà pas mal de demande ou alors ils ne cherchaient plus, j'étais à mon septième bars restaurant, celui-là était un peu plus éloignés de chez moi, mais je risquais rien à demander.

J'entrais donc dans le restaurant, qui était assez sympas, branché je dirais. En face de l'entrée se trouver un bar avec des leds en haut et en bas qui donnait une ambiance de discothèque, avec des chaises rouges. Plus loin se trouver des tables en bois couleurs hêtres avec des chaises en bois marrons foncé, il y avait plusieurs photos accroché au mur. Les murs étaient en pierres apparente, et le sol en carrelage marron foncé à grand carreaux.

Une femme blonde, très élégante d'environ mon âges s'approchait de moi, avec un sourire qui en ferait tombé plus d'une personne, elle était vraiment très belle. Ça devait être un plus pour accueillir les clients je suppose.

-Bonjours la salle n'est pas encore ouverte, vous voulez patienter au bar autour d'un verre ? Me proposait-elle.

- Heu ok pour un verre, lui dis-je. Elle me fit signe de la suivre, je prenais place sur un siège rouge au bar, pendant qu'elle faisait le tour de celui-ci.

-Vous voulez quoi ?

-Un coucher de soleil sans alcool s'il vous plaît, lui soufflais-je. J'étais épuisé, j'avais passé mon après-midi à chercher du boulot et la matinée à faire les boutiques j'en pouvais simplement plus.

-Vous avez l'air épuisé, me dit-elle en me regardant du coin de l'œil tout en préparant mon cocktail.

-Je le suis, je suis arrivé hier des États-Unis, et j'ai passé mon après-midi à chercher du travail, je ne pensais pas que ça serait si dur dans une aussi grande ville.

-C'est la crise partout, me dit-elle simplement.

-Oui, vous…vous ne cherchez pas quelqu'un par hasard lui demandais-je doucement.

-Non je suis désolé, vous avez essayé les bars en ville ?

- J'y reviens, j'aurais peut-être plus de chance demain. Elle me donnait mon verre, et me regardait désolé.

-Pourquoi être partis des États-Unis si je peux me permettre ? Je me raidis, je ne pouvais pas tout simplement dire la vérité, non cela ferait trop mal, je ne voulais pas encore pleurer, j'en avais assez de me morfondre.

-J'ai…je n'avais plus rien qui me retenais là-bas tout simplement, et j'avais envie de recommencer à zéro. Vous savez…une nouvelle vie quoi ! Dis-je en haussant des épaules.

-Hum, vous avez trouvé un logement facilement ?

-Oui un studio au centre-ville, un peu petit mais j'espère trouver mieux bientôt. Je bus mon verre doucement, n'étant pas presser pour rentrer et être de nouveau toute seule.

-Le problème ici, c'est que les loyers sont chère, c'est pour ça qu'il y a beaucoup de colocations dans le coin !

-A bon je ne savais pas, mais ce n'est pas évident non plus de cohabiter avec des inconnus, surtout que l'on s'est pas sur qui on tombe, vous imaginé si il faut en plus payé la part de l'autre.

-Oui c'est sûr, et vous ne connaissez personne dans les environs ?

- Non, dis-je en finissant mon verre. Je vous dois combien ?

-3 euros 50 s'il vous plaît !

-Tenez, vous pouvez garder la monnaie, lui dis-je en lui tendant un billet de 5 euros.

-Merci, je commencer à me lever mais elle me retenait.

-Attendez, elle faisait le tour du bar pour me faire face, elle reprit. Ecouter pour l'instant on ne peut pas engager qui que ce soit, pas sur du long terme du moins, mais…avec mon maris nous souhaitons bientôt faire des soirées à thèmes, on pourrait vous prendre en extra. Je sais que ce n'est pas vraiment ce que vous aurais envisagés…, je la coupais.

-Oh non ça me va très bien, vous êtes sur ? Je veux dire, je ne veux surtout pas que vous me prenez en pitié, je saurais me débrouiller, je l'ai toujours fait.

-Je vous prends pas en pitié, nous en parlons déjà avec mon mari, nous pensions faire passer une annonce dans quelques semaines mais…vue que vous êtes là, pourquoi pas, vous avez déjà fait du service en salle ?

-Oui j'étais serveuse dans un café, je sais que ce n'est pas la même chose mais j'apprends vite.

-On peut faire un essai, passé demain vers 11h00, je vous présenterais mon mari, et vous expliquerais notre fonctionnement, on fait un essai pour voir comment vous vous débrouillez et ensuite on verra pour des soirées, cela vous va ?

-Super lui dis-je en lui souriant franchement, j'étais heureuse qu'elle me donne ma chance. Quel genre de soirée à thème il s'agit ?

-Nous voulons proposer différent thèmes, sur l'alimentation et sur des activités proposées, karaoké, sketch, nous avons des groupes qui viendront chanter aussi. Nous proposerons des plats d'origines différentes aussi.

-C'est une super idée, en plus vous avez vraiment un super restaurant !

-Merci c'est gentil, on a dû tout refaire, c'était dans un sale état.

-J'en doute pas, quel idiote j'ai oublié de me présenter, Isabella Swan, mais on m'appelle Bella !

-Enchanté Bella, me disait-elle en me serrant la main, elle reprit. Moi c'est Rosalie McCarthy, mais appel moi Rosalie et on se tutoie, je déteste que l'on me vouvoie.

-Enchanté rigolais-je, bon je vais rentrer. A demain alors Rosalie, elle me fit un signe de la main et je sortais du restaurant pour rentrer chez moi plus sereine, ma nouvelle vie pouvait enfin commencer.