Note de l'auteur: Coucou, voici une toute nouvelle fic' qui sera petite, je pense. La premiere étant finie depuis au moins 3 ans, je me suis dit que je pouvais retenter l'expérience dans un registre moins glauque.

Dites moi ce que vous en pensez.

Je l'ai mise en T, pour ceraines scenes à venir, mais principalement pour le langage plutôt cru et les gestes équivoques.

Pour finir tout appartiens, encore une fois, à JKR sauf l'histoire qui viens de mon esprit tordu.

A votre plaisir,

AZAAZEAL

PARENTAL ADVISORY :

Explicit Love

Chapitre 1. La chaleur tu subiras.

Femme : nom fém. sing. Être humain considérée uniquement sur tout ce qu'elle possède que n'ont pas les primates mais qu'ils rêvent d'avoir.

Primate : nom masc. sing. Être humain considéré uniquement du point de vue de sa virilité.

Sexe : nom commun. sing. 1 : ensemble des éléments corporels qui séparent les femmes des primates. 2 : ensemble des éléments physiques qui rapprochent les primates des femmes.

Le soleil, c'est le genre de phénomène qu'ici, en Angleterre, on ne connait qu'en théorie. Ainsi ce nom ne dépasse jamais, en temps normal, la barrière de mes lèvres. Mais aujourd'hui fait exception à la règle.

Le soleil c'est cruel et je comprends pourquoi aucuns Anglais ne s'est jamais plains de ne pas en avoir eu dans sa vie. Soit c'est ma faute, soit celui-ci brûle beaucoup trop.

Il fait toujours presque 40 dans les pays tempérés où c'est juste moi qui divague ?

Ah oui, j'oubliais, moi c'est Hermione.

Je pense ne pas avoir besoin de me présenter. Vous avez, comme tout le monde, lu les journaux sorciers. Harry, Ron et moi, grand héros de guerre, ont vaincus Voldemort bla bla blaaa… Le type discours barbant qu'on me resservira chaques jours de ma vie.

Si vous saviez à quel point ça me ARGH…. Je tordrais bien le cou à cette vipère de Rita Skeeter, mais je risquerais de faire encore une fois les gros titres. Etre célèbre, ce n'est vraiment pas drôle.

Enfin, c'est sous se soleil écrasant que je m'apprête à retourner pour la dernière fois à Poudlard. Si je suis pas du genre à m'attacher aux choses, je crois que cette école n'en fait pas partie. Tout ça va me manquer. Le château va me manquer, les professeurs vont me manquer, les élèves vont me manquer…mais plutôt crever que de le dire !

C'est donc le cœur officiellement lourd que je rejoins le quai 9 ¾, d'où Harry et Ron, les deux énergumènes puant la testostérone qui me servent d'amis m'attendent, certainement impatients de me faire un rapport très précis de leurs exploits sexuels de l'été.

Il nous arrive d'être con quand on à 17 ans.

Si je devais devenir puérile l'espace d'un instant je dirais que Ron, du haut de ses 1m87 est plutôt pas mal, que dis-je vraiment beau. Sculptural. Dommage qu'il soit roux en fait, c'est pas mon truc les roux. Harry, quand à lui, Mmm, un mâle dans toute sa puissance, ténébreux, secret. Le genre de mec pour qui vous n'avez qu'une envie, lui arracher toutes traces visibles de vêtement et lui sommer de vous prendre sur l'instant peu importe l'endroit où vous vous trouvez. Mais pas mon genre non plus.

Je me suis contentée de chacun à plusieurs reprises au début et à la suite de la guerre. Bah quoi ? J'étais persuadée que j'allais mourir…à l'époque.

Enfin, bref. Je les retrouve tout deux sur le quai, la chaleur ambiante était telle, que les malheureux tee-shirts qu'ils portaient suintait, leurs peau claires brillaient de sueur. Pas faute d'être très peu vêtue, je dégoulinais également. Pas sex' tout ça.

- Mione, plus le temps passe et moins on voit tes vêtement, c'est moi ou ils on tendances à rétrécir ?

- C'est plutôt le reste qui grandit – répliqua Harry en lorgnant sur ma poitrine, trop pleine pour ma robe.

J'intervenais.

- Faudrait que quelqu'un vérifie. Ron ?

Le regard de celui ci devint tout de suite plus intéressé. Il s'approcha goûta de ses lèvres brûlantes la partie visible de ma poitrine. Et, dans un sourire satisfait.

- Ce sont eux qui grandissent.

Quand, une voix lointaine.

- Bon les amoureux vous montez où j'viens vous chercher !

Ginny Weasley était pas vraiment le genre de fille qui appréciait qu'on lui fasse perdre du temps, surtout pour quelque chose qu'elle serait susceptible de raconter à papa, maman. Vous voyez le genre ?

Je crois, qu'en réalité, elle envie le comportement décadent de son frère.

Passons les détails du train voulez vous. 2h cloîtrés à 4 dans un étroit compartiment bouillant, il aurait suffi d'une minute de plus pour que je finisse nue, collée contre la vitre, à la recherche d'une once de fraîcheur.

Une semaine avant la rentrée, j'avais reçu par hiboux un courrier qui m'expliquait brièvement que je deviendrais préfète en chef, ce à l'instant même où mon magnifique pied se poserait devant les grilles du château.

Ceci fait je ne perdais pas de temps et réglait en quelques minutes les détails de l'entrée dans l'école des autres élèves.

C'est à nous. Entrons.