Je tiens à vous expliqué l'origine de ma fanfiction.
Tout a commencé par un dessin que j'ai fait au début de l'automne. Et quelques nuits plus tard j'ai fait un rêve que j'ai rapidement oublié, mais qui m'ai revenu en tête il y a quelques jours donc, le voici.
April marchait seul dans la rue. Il devait être près de midi, les rues étaient bordées de touristes, de vendeurs et de civiles. April savait qu'elle devait être sur ses gardes, mais il ne pouvait rien lui arriver temps qu'elle était entourée d'une telle foule. Non?
Elle s'arrêta devant un stand de journal pour lire les grands titres. Il n'y avait rien de bien intéressant.
- Mademoiselle,lui avait dit le vendeur, furieux. Soit vous achetez, soit vous partez!
- C'est bon, c'est bon, répondit-elle. Je m'en vais.
Elle s'éloigna à toute allure du vendeur impoli. Elle était sûre qu'il allait la prend sur le fait, mais il n'avait rien vu.
Un fois assez loin, elle sorti le journal voler de sous sa veste. Il n'y avait rien d'intéressant, mais Donnie aimait bien savoir se qui se passait au-dessus de sa tête.
Elle rangea rapidement le journal, soudainement d'une présence près d'elle. Mais il n'y avait rien. Pourtant, elle n'était pas folle. Splinter l'entraînait depuis déjà six mois. Elle n'était plus une débutante et ne se faisait plus duper aussi facilement.
Elle tourna dans une ruelle isoler, voulant forcer son suiveur à se montrer. Mais, encore une fois, personne ne se montra.
Elle jeta un coup d'oeil derrière elle quand, soudain, elle se cogna sur quelque chose. Le fameux suiveur. Elle fit un bond par derrière et fonça encore une fois dans une masse.
- Voila longtemps qu'on te cherche, dit une voix forte et rude.
Elle leva les yeux. Il était grand, mais à peine deux pouces de plus que l'homme qui se trouvait devant elle. Qui en passant devait facilement mesurer plus de six pieds. Ils portaient tous deux des manteaux de cuivres, des pantalons noirs et des gants de cuivres. Celui de face portait un chapeau noir qui cachait son visage et l'autre portait un casque de moto.
- Nous ne te voulons aucun mal April, dit celui de face d'une voix à la fois enfantine et sauvage.
- Quoi? Même pas une égratignure? blagua le plus grand.
Tous deux rigolaient à ce commentaire complètement stupide. April utilisa ce moment de distraction pour s'échapper.
- Est-ce qu'on la suit? demanda le plus jeune.
- Non, ils vont venir à nous, répondit le plus vieux de sa voix sadique.
- Alors, on peut aller manger? Je meure de faim.
-Allons trouver de la pizza.
- Ouais, génial!
