Salut, je suis nouvelle dans ce monde fiction. J'ai décidé d'écrire une fiction sur fascination, la suite de Hésitation.
C'est ma première fois, alors dites-moi s'il y a certaines amélioration que je pourrais apporter à mon écrit. J'apprécierais beaucoup, car après tout, il y a toujours place à l'amélioration. (P.S : Si quelqu'un ne veut que me dire des bêtises ou des insultes, je vous donne un bon truc, changer de page)
Tous les personnages, sauf Élizabeth, sont ceux de Stephenie Meyer et une partie de l'histoire vient de ses romans.
Je vous avertis tout de suite, il y aura plusieurs partie (trois) dans cette fiction. La première est consacrée à Bella qui raconte l'histoire. Cependant, la deuxième ce sera Élizabeth, Alice, et Bella qui raconteront l'histoire. Pour la troisième, ce sera un mixte de tous les personnes (Alice, Edward, Félix -je ne vous dit pas qui c'est-, Bella, Élizabeth et Rosalie) qui raconteront l'histoire. Aussi que certaines points dans cette histoire ne coordonne pas avec le roman:P En dernier lieu, il y a les descriptions physiques et psychologiques des personnages (les personnages que vous connaissez déjà le sont beaucoup moins, décrit) Par contre, les Volturi seront un peu différents, même noms,mais pas même apparences.
Alors, je vous souhaite bonne lecture : j'espère que vous allez apprécier.
Résumé :
Devenue vampire, Bella devient incontrôlable! Mais est-ce vraiment elle qui s'attaque à tous ces humains dont elle ne se rappellent jamais d'avoir tués? Les Cullen tentent de comprendre lsa situation très étrange qui entoure Bella.
Entre temps, les Cullens décident d'aller déménager à Londres, où les nuages règnent, mais que le paysage est magnifique. Ils achètent une villa près d'un bois, bien entendu. Cependant, une autre villa occupe les environs, près de la leur. Une jeune fille de seize ans est fascinée par cette famille et surtout par l'un deux... Cependant, elle tente de prendre contact avec cette famille si mystérieuse, à ses yeux...
Première Partie
1. Préparatifs
Je m'éveillai dans ma chambre comme à l'habitude, mais différemment de la routine, Edward n'était pas à mes côtés ce matin-là. J'avais peur, étrangement. Pourtant, en ce magnifique jour ensoleillé –rare fois à Forks-, j'allais épouser l'homme que j'aimais le plus au monde. Qu'est-ce qu'il avait de si épeurant dans tout cela? Ce n'était certainement pas celle que le mariage ne se déroule pas comme prévu puisque c'était ma chère future belle-sœur Alice qui s'en occupait. Elle ne laisserait certainement rien gâcher cette journée de bonheur –je la connaissais que trop bien pour ce point. Alors qu'est-ce qui pouvait bien me faire peur?
Peut-être était-ce le fait de voir Jacob assis à l'une des allées de sièges pendant mon mariage? Je ne pouvais me cacher le fait qu'il me manquait énormément, mon cher Jacob. Son magnifique sourire si rayonnant à mes yeux, qui me forçaient à moi-même lui sourire, me manquait. Bien sûr, je savais que l'amour que je portais pour lui n'était égal à celui que j'avais pour Edward. J'espérais de tout mon cœur qu'il vienne et qu'il ne vienne pas à la fois. De voir son visage figé sans émotion en me voyant marier un autre homme que lui me torturerait jusqu'à la fin de ma vie… non, toute l'éternité que je vivrai. Je n'avais plus de nouvelle de mon Jacob. Parfois, j'avais peur qu'il soit arrivé quelque chose à mon meilleur ami. Mais je savais bien que cela pouvait être impossible : il était un loup-garou. Il ne pouvait pas mourir et de plus, s'il se blessait, il aurait une cicatrisation très rapide.
Une autre supposition traversa mon esprit : peut-être était-ce le fait qu'après mon mariage, je deviendrais un vampire? Depuis quelque temps, je faisais des cauchemars sur ma transformation que Edward m'avait promise en échange du mariage. J'avais peur de tuer des innocents à cause de ma soif du sang. Je savais bien sûr que j'allais en Alaska vivre pour étudier afin d'être à l'écart des humains. Par contre, il avait sûrement des humains dans cette université. Bien que je doutais beaucoup que Edward me laisse agir ainsi, je savais que ma force serait bien plus grande que celle de mon amoureux. Je pourrais réussir à prendre le dessus et ainsi assouvir ma soif.
Je secouai la tête pour me changer les idées. Aujourd'hui, il fallait que je pense aux bons côtés de mon mariage. Je serais enfin la femme de Edward Cullen! Madame Edward Cullen, plutôt drôle à y penser. Je pourrais enfin être sienne pour l'éternité et lui, avec moi pour l'éternité.
Descendis au rez-de-chaussée pour me faire un petit déjeuner. Je pris deux rôties à la confiture à la fraise et une orange pour mon repas. Mon père dormait encore –une des rares fois qu'il pouvait faire la grâce matinée.
Après mon repas, j'appelai chez les Cullen pour parler avec Edward, mais ce dernier demanda à Rosalie de me faire le message qu'il ne pouvait pas me parler pour le moment. Déçue, je raccrochai l'appareil à sa place et montai à l'étage pour me réfugier dans ma chambre. Je devais absolument finir mes vœux pour le mariage. Je m'installai dans mon lit et relut les lignes que j'avais commencées. Je finis par chiffonner la feuille et la recommencer. Je pris une feuille vierge, un crayon et un appui pour écrire.
Edward Cullen, homme de mes rêves,
Je te jure fidélité jusqu'à la fin de mes jours, en ce magnifique jour. Je veux te dire que mon amour pour toi est inconditionnel. Je t'ai rencontré dans cette petit ville nommée Forks et dès que je t'ai aperçu, mon cœur était tien. Moi, Isabelle Swan, je deviens ton épouse jusqu'à la fin des temps.
Edward Cullen, l'homme que j'ai choisi,
En ce jour de notre union, je veux te dire à quel point tu m'es cher. C'est pour cette raison que je te jure fidélité jusqu'à la fin des temps.
Soudain, quelqu'un cogna à ma porte. Je sursautai, sortant de ma rêvasserie.
-Je peux entrer, Bella? entendis-je mon père me demander.
-Bien sûr! m'exclamai-je en jetant ma feuille dans la poubelle.
La porte s'ouvrit lentement, provoquant un petit grincement. Le visage de mon père apparut et puis, ce fut le tour du corps. Il marcha lentement vers mon rocking-chair et s'y assit sans dire un mot. Je remarquai alors, dans son regard, une certaine nervosité.
Je me rappelle encore de la soirée, où j'avais annoncé à Charlie que j'étais la fiancée de Edward avec l'aide de ce dernier. Il avait tellement mal réagi face à cette nouvelle et je l'avais compris. Ma mère et lui avait eu la même idée et malheureusement, ma mère s'était enfuie de Forks avec leur nourrisson (moi), regrettant son choix. Il avait passé la soirée à tourner en rond dans le salon en marmonnant des mots intelligibles, qui n'étaient certainement pas élogieuses. Puis, il avait ordonnée à Edward de partir afin de discuter avec moi, seul à seule. Mon petit ami avait hésité, mais avec l'insistance du regard froid de Charlie, il dut se soumettre à son ordre.
-Comment? avait hurlé mon père. Comment peux-tu prendre une décision aussi puéril soit-elle, Bella?
-Papa… avais-je commencé, hésitante.
-Non, Bella! Il est hors de question que tu te maries à ton âge!
-Mais…
-Tu n'as même pas vingt ans encore! s'était-il écrié. Je ne te laisserai certainement pas faire la même erreur que Renée et moi avons faite dans notre passé.
-Je l'aime, avais-je tenté.
-Oui, j'aimais aussi ta mère!
J'avais baissé les yeux, étant incapable de supporter le regard empli de reproche de mon père. J'avais eu raison d'avoir peur de la réaction de mon père. Par contre, quoi de plus normal? De voir son enfant marcher dans le même chemin que nous-mêmes avons pris pour après le regretter… il fallait bien que nous l'empêchions –au moins essayer de l'empêcher.
-Bella, je t'en prie, dis-moi que c'est une blague, m'avait-il imploré.
-Papa, j'ai eu la même réaction quand Edward m'a demandé ma main, avais-je répliqué. Cela m'a pris beaucoup de temps avant de l'accepter.
-Je dois rêver, avait-il murmurer pour lui-même.
-Non, papa. C'est la réalité. J'aime inconditionnellement Edward : c'est l'homme de ma vie.
Les lèvres de Charlie avaient tremblé après ma réplique terminée.
-Renée, dans ma tête de jeune écervelée, était la femme de ma vie.
-Papa, ce n'est pas parce que cela t'ait arrivé à toi que cela va nécessairement arriver à moi.
-Tu es trop jeune, Bella, et Edward aussi.
J'avais étouffé un rire. Edward trop jeune! et quoi encore? Quoiqu'il ne savait pas encore que mon amoureux avait plus d'un siècle, mon père.
-Bella, laisse tomber ce projet de fou! Tu vas encore te retrouver dans cette longue dépression que tu a eue quand Edward t'avait quittée si vous deviez divorcer!
Ce sombre souvenir ressurgi par cette réplique de mon père me fit frissonner de peur. Bien sûr que je savais fort bien que Edward ne ferait pas la même chose. Il m'aimait trop pour cela… enfin, je l'espérais de tout mon cœur. Par contre, cela était inconcevable à mes yeux.
-Papa, c'est du passé, avais-je riposté en cachant mon malaise de parler de ce chapitre de ma vie.
Il avait soupiré de nervosité et s'était assis à son fauteuil, tentant sûrement d'assimiler l'idée que je serais imperturbable à son refus face à mon mariage. Les mains couvrant l'arrière de sa tête baissée, les coudes accotés à ses genoux, il avait gardé le silence pendant un long moment. Je m'étais permise de m'asseoir devant lui en indienne, lui donnant le temps qu'il lui fallait pour reprendre la parole. Cependant, à ma grande déception, il s'obstina à garder le silence.
-Papa, j'y ai beaucoup réfléchi avant d'accepter la demande de Edward, m'étais-je lancé. Tout d'abord, j'ai tout de suite refusé, car j'ai pensé à maman et toi. Puis, plus j'y pensais, plus je me suis rendue compte à quel point je pouvais aimer Edward, l'amour de ma vie.
Charlie avait levé les yeux vers moi, m'invitant à continuer, mais je voyais bien qu'il avait du mal à digéré le « amour de ma vie » dans ma déclaration.
-Pour moi, Edward est une drogue dont j'ai constamment besoin d'en prendre une dose chaque jour.
Il avait relevé le sourcil.
-Comme une toxicomane, je ne pourrais vivre sans ma dose quotidienne.
-Les toxicomanes sont bien capables de s'en sortir du trou noir de la drogue, contre-attaqua aussitôt mon père.
J'avais regretté ma tentative.
-Pourquoi essais-tu de détruire mes sentiments pour Edward que je tente de t'expliquer le plus clairement possible?
Il avait promptement relevé la tête et avait plongé son regard ébahi dans le mien.
-Parce que je suis ton père, avait-il simplement répondu. Je t'aime trop pour te revoir retomber dans ta dépression, de te voir pleurer, de te voir détruite, de te voir avoir le moral à terre.
-J'ai dix-huit ans, pas cinq!
-Mais tu es encore mon bébé pour moi.
J'avais souris.
-Edward saura me protéger de cela, avais-je voulu le rassurer.
-Mais pas du mal que lui, il pourrait te faire, avait-il soulevé.
Je fermai les yeux, tentant de calmer la nervosité qui montait en moi face à cette perspective. Charlie avait eu raison pour ce point et je n'avais pas pu le contredire. Rien ne pouvait me protéger du mal dont Edward serait la cause, sauf ce dernier…
-Laisse-moi vivre mon expérience, avais-je demandé.
-Pour après devenir comme moi! s'était-il exclamé en se levant d'un bond, me faisant sursauter. Sais-tu combien j'ai souffert lorsque ta mère est partie du seuil de la porte avec toi pour ne plus jamais revenir vers moi?
Il s'était retourné, mais j'avais pu voir les larmes s'accumuler dans ses yeux. Le départ de ma mère l'affectait encore. Je me sentis alors mal à l'aise.
-Je ne veux pas que tu vives cela, Bella! Jamais!
-Et pourtant, je le ferai, même si tu le refuses!
J'avais bien pesé cette perspective avant de me lancer dans l'annonce de la nouvelle. Pour être honnête, je m'étais bien douté que j'allais finalement peut-être me marier sans le consentement de mon père et de ma mère.
-C'est vraiment ça que tu veux, avait-il soupiré.
Sa voix emplie de tristesse m'avait touché le cœur.
-Bien sûr que oui! Cela fait plus de vingt minutes que je tente de te le faire comprendre.
-Monte te coucher, il se fait tard. On n'en reparlera demain, Bella.
J'avais obtempéré sans argumenter. J'avais pris le temps de fermer la porte de ma chambre et en me retournant vers mon lit, Edward m'attendait, calme comme toujours, assis sur mon rocking-chair. J'avais pris place sur ses genoux, sous son invitation. La tête appuyée sur son épaule, j'avais émis un soupir, disant long sur ma conversation avec mon père.
-Il va l'accepter, avait dit mon amoureux en m'embrassant sur la joue.
-Je n'en suis pas si sûre, avais-je avoué.
-Crois-moi, je l'ai lu dans ses pensées!
J'avais souri.
-Es-tu prête à aller te coucher, mon amour? s'était-il informé.
-Je crois que ce sera préférable.
Il m'avait prise dans ses bras pour finalement m'amener dans mon lit. Je lui avais demandé de rester avec moi pour toute la nuit, bien que cela fût son habitude de rester. J'avais sûrement voulu m'assurer qu'il ne me quitte jamais.
-Drôle de question! s'était-il moqué de moi en me couvrant de mes couettes.
Il avait réussi à m'emmener dans le monde du sommeil en me fredonnant près de l'oreille la berceuse qu'il avait pris l'habitude à me chanter avant de me coucher.
Au lendemain matin, cela avait été le coup sur la porte de ma chambre qui m'avait tiré du sommeil. Lentement, je m'étais relevée sur mes coudes sans dire quoi que ce soit, il était beaucoup trop de bonheur. Edward n'était plus là –bien entendu.
-Bella?
-Rentre, papa, lui avais-je permis en frottant mes yeux.
Il s'était assis au bout de mon lit, habillé pour partir à son travail. Par contre, il avait trouvé le temps pour venir me parler.
-Puisque c'est ce que tu veux, Bella, épouser Edward, je te donne mon consentement, me déclara-t-il, me faisant complètement oublier ma fatigue. Quel père ingrat serais-je si je te refusais d'unir ta vie à un homme qui te comble?
J'avais ouvert la bouche pour dire quelque chose, mais levant la main, il m'empêcha de parler.
-J'y ai réfléchi toute la nuit. L'amour que tu portes pour ce jeune homme te l'est redonné par ce dernier, même peut-être plus. J'ai observé l'agissement d'Edward et il semble ne vouloir que ton bien.
Je n'avais pas pu résister à l'envie de lui sauter dans les bras. Je l'avais étreint si fort qu'il m'avait forcé à desserrer mon étreinte.
-Tu ne peux pas savoir à quel point tu peux faire mon bonheur de la journée, lui avais-je murmuré à l'oreille. Merci infiniment, papa!
-Il ne reste qu'à l'annoncer à Renée et tout sera parfait.
-Tu es sûre de ton choix, Bella, s'informa Charlie en me regardant.
Il me posait cette question sans cesse depuis que je lui avais annoncé mes fiançailles avec Edward. Un petit sourire s'étira sur mes lèvres et je hochai la tête, en guise de réponse. Il semblait bien plus nerveux que moi, mon père. Il entremêlait et démêlait ses doigts inconsciemment et sa jambe droite tremblait d'elle-même.
-J'ai plus l'impression que c'est toi qui va te marier, me moquai-je de lui pour le détendre.
-En effet, admit-il, mais marier sa fille est beaucoup plus stressant que je ne l'aurais pensé. Bon, Alice a appelé et m'a déclaré qu'elle sera ici pour midi.
Je regardai mon cadran, il me restait trois quarts d'heure pour me préparer… enfin, m'habiller puisque ma chère future belle-sœur avait insisté pour dîner avec moi –plutôt me regarder manger pendant qu'elle me relaterait l'horaire de la journée. Rosalie s'était ajoutée à la compagnie.
Étrangement, Rosalie avait beaucoup changé d'attitude à mon égard, non du mauvais côté, mais du bon. Bien qu'elle ne partageait pas du tout la même opinion face à mon choix de devenir un vampire, Edward lui avait demandé de ne plus m'harceler pour que je revienne sur ma décision. Sa jalousie envers moi s'était un peu atténuée depuis un moment. Elle devenait de plus en plus amicale avec moi et j'aimais bien cela. Je me demandais bien pourquoi d'ailleurs.
-Alors, je te dis à tout l'heure, Bella, me dit Charlie en se levant du rocking-chair. Je te laisse t'habiller et après, j'aurais un petit cadeau pour toi à te donner.
-Un petit cadeau, répétai-je, renfrognée.
-Quoi? Il faut bien qu'un père quelque chose à sa fille le jour du mariage de celle-ci, sourit-il avant de sortir de ma chambre.
Je grognai et il se permit de rire. Je me précipitai à la salle de bain pour au moins me laver sous une bonne douche. Finie de me laver, je me séchai les cheveux et m'habillai rapidement puisque j'entendis le moteur de la Porsche d'Alice. J'étais en retard.
-Alice est là, Bella! cria mon père du rez-de-chaussée.
Je cherchai mon jean et l'enfilai. Puis, ce fut le tour de mes chaussettes.
-Oui, j'arrive! lançai-je en mettant mon chandail.
Je descendis si vite de l'escalier que je trébuchai à la dernière marche et juste à temps, mon père m'attrapa avant que je ne tombe au sol, face première.
-Après tu me dis que c'est moi le plus nerveux des deux, plaisanta-t-il en me lâchant. Oh, j'allais oublier. Attends-moi ici.
J'obtempéré sans oser de regarder Alice. Mon père revint avec un boîtier blanc et me le donna dans le creux de ma main.
-Ça vient de ma grand-mère. Je voulais te l'offrir pour un jour spécial et quoi de mieux que le jour de ton mariage.
J'ouvris délicatement l'écrin, curieuse. Je m'aperçus alors que c'était une magnifique chaîne en argent avec un saphir comme pendentif. Mes yeux s'embuèrent.
-C'est… c'est… trop, papa, dis-je en refermant le boîtier.
-Non, je veux te le donner, Bella! Jamais je ne porterai ce bijoux, étant un homme, ou même le donnerai à une autre femme que toi. Tu le porteras pour ton mariage… enfin si tu en as envie.
Alice toussota pour m'annoncer qu'il était plus que temps de partir.
-Merci beaucoup, le remerciai-je pour une dernière fois en fermant l'écrin.
Je l'embrassai sur la joue et partis en vitesse avec Alice qui me faisait des gros yeux. Je sus donc que je venais de la mettre en retard sur son horaire. Pourquoi fallait-il absolument le suivre? Bon, il était vrai que je lui avais donné la permission de préparer mon mariage comme elle l'entendait –mais bien sûr, je lui avais posé des limites.
-Pas trop nerveuse, Bella? me demanda Alice lorsque nous fûmes dans la voiture.
Mon silence lui donna ma réponse.
-Quoi de plus normal? ricana-t-elle pour tenter de me calmer.
J'avais envie de parler d'un sujet qui brûlait mes lèvres, mais je n'étais pas sûre si c'était le bon moment pour le demander. Par contre, je ne pus y résister à le mettre sur le plateau de la conversation.
-Alice? bredouillai-je, visiblement hésitante.
-Oui, ma chère?
-Aurais… Aurais… tu eu u… ne vision à propos de ma tran… sfor… mation?
-Wow, ça t'a pris du temps à dire ta question!
Je m'empourprai de gêne.
-Oui, il va s'occuper de ta transformation comme il te l'a promis, Bella! Mon frère tiens toujours ses promesses!
Je soupirai de soulagement.
-Mais pas ce soir, m'annonça sombrement Alice avec hésitation.
-Quoi? m'exclamai-je. Pourquoi? tempêtai-je, hors de moi.
Elle se pinça les lèvres.
-Alice, insistai-je, menaçante.
-Edward te l'expliquera! Aujourd'hui, je dois m'occuper de ton union avec lui, rien de plus.
-Je veux ton cellulaire, fulminai-je.
Impuissante face à ma colère, elle me tendit le petit appareil argenté. Je composai le numéro d'Edward, rageuse. Il répondit du premier coup.
-Hé, mon amour, comment te portes-tu? entendis-je la magnifique voix de mon amoureux.
-Colère, répondis-je sèchement.
-Oh, qu'y a-t-il, ma chérie? s'inquiéta Edward. Alice ne te ménage pas, hein?
Est-ce qu'il faisait semblant d'être un imbécile né? Ou l'était-il vraiment?
-Non, c'est toi le concerné, Edward, sifflai-je entre les dents.
Il y eut un petit silence.
-Oh, Alice te l'a dit finalement, devina mon petit ami.
-Oui!
-Je ne peux pas t'expliquer la raison au téléphone, Bella.
Je grognai et il rit, m'énervant encore plus.
-Et pourquoi pas? rétorquai-je.
-Il faut y aller, Bella, m'annonça Alice en fermant les moteurs.
-Tu es chanceux que je n'aie pas le temps de te parler, mon cher amour, dis-je à Edward. Par contre, ne t'en crois pas tirer d'affaire, car tu auras affaire me donner des excellentes raisons!
Je fermai la ligne avant de lui laisser répliquer qui que ce soit. Nous étions chez les Cullens et bien entendu, seules Esmée et Rosalie nous y attendaient au seuil de la porte. Je marchai vers la maison sans adresser la parole à Alice. Je saluai brièvement ma future belle-mère et mon autre future belle-sœur et entrai dans la maison.
-Qu'est-ce qu'elle a? demanda Rosalie.
-Elle vient d'apprendre que Edward ne la transformerait pas ce soir, répondit Alice.
-Oh, soupirèrent simultanément Rosalie et Esmée.
Je me dirigeai vers la salle à manger et m'assis à la table. Pourquoi, pourquoi fallait-il que lorsque j'arrivais près du but, ma transformation, Edward se défile à la dernière minute? Je vis alors Esmée et Rosalie apparaître dans mon champ de vision.
-Tu remarqueras ce soir que ton futur époux aura les yeux complètement noirs pendant votre mariage, s'enquit Rosalie avec une voix douce.
-Il n'a pas chassé! m'étonnai-je, ahurie.
-Il était trop accaparé par Alice pour avoir le temps. Tu sais, préparer un mariage parfait en à peine trois mois, c'est plutôt difficile, plaida Esmée.
-Il ne veut pas te tuer en te transformant ce soir, ajouta Rosalie en croisant ses mains sous son menton. De plus, dis-toi que cela te fait une journée de plus en tant qu'humaine, blagua-t-elle.
Il fallait bien que cette phrase sorte de la bouche de Rosalie. J'accotai ma tête sur le dossier de ma chaise.
-Je prendrais le risque, maugréai-je.
-L'as-tu dit à ta famille? Que tu ne les reverrais plus?
-Ils savent que demain, je pars pour ma lune de miel et après, je pars directement à l'Alaska. N'est-ce pas assez, Rosalie?
Rosalie se mordit les lèvres, elle s'apprêtait à me dire quelque chose.
-Es-tu sûre de ton choix, Bella? voulut-elle savoir. Tu sais que tu ne pourras jamais avoir d'enfant…
Je n'écoutai pas la suite de son opinion. Je le connaissais par cœur, maintenant. Je comprenais parfaitement pour lesquelles elle me poussait à revenir sur ma décision. Par contre, ne pouvait-elle me laisser enfin tranquille à propos de cela, surtout le jour de mon mariage? Elle se dévouait à un objectif (me convaincre de ne pas devenir un vampire) qui était déjà perdu à l'avance.
-Rosalie, je crois que je te l'ai répété assez souvent que j'étais sûre de ce que je voulais.
-Certes, mais après, ne viens pas me reprocher que je n'ai rien fait pour t'empêcher de faire cette bêtise, répliqua-t-elle.
-Comment pourrais-je t'en vouloir? rigolai-je. Je vais être avec Edward pour l'éternité!
Elle semblait sceptique à cela, mais heureusement, elle ne fit aucun commentaire. Alice apparut alors à côté de moi avec une assiette remplie d'un énorme sandwich –je n'étais un porc quand même– avec une salade. Elle la déposa devant moi et avec sa vitesse surhumaine, elle alla me chercher un breuvage et revint avec du jus d'orange. En me regardant manger tranquillement, Alice me fit la lecture de mon horaire de la journée.
-Je vais m'occuper de ta coiffure, ton maquillage, et tout pour ta journée. Nous allons décorer l'extérieur de la maison pour la fête qui suivait la cérémonie.
Hé, oui, les Cullen avaient décidé faire la cérémonie chez eux et bien sûr, à sept heures, où le soleil commençais à se cacher et par conséquent, ses rayons ne les illumineraient pas comme des étoiles. Mes proches avaient trouvé étrange ma décision sur l'heure de la cérémonie, mais ils avaient quand même acceptés de venir. Mon père avait bien sûr proposé d'inviter Jacob et Billy, mais réticente, j'avais refusé. Par contre, à mon insu, quelqu'un avait été envoyé des invitations chez Jacob. Alors, je ne pouvais savoir s'il viendrait.
-Esmée et Rosalie s'occuperont de l'extérieur et moi, je serai avec toi, continua Alice. Le magasin nous a livré ta robe de mariée hier soir.
C'était une journée pluvieuse de juillet que nous, Alice et moi, avions magasiné ma robe de mariée à Seattle, seules. Bien sûr, Alice avait convaincu mon père pour que ce dernier m'eût permis d'y aller avec des arguments très convaincants.
-Par où veux-tu commencer, Bella? avait-elle demandé.
-N'importe où, avais-je répliqué.
Au premier magasin, elle m'avait trouvé plusieurs robes très jolies et m'avaient forcée à aller les essayer. Je n'avais pas pu rouspéter de la journée puisque Alice gagnait à chaque fois et devenait plutôt menaçante quand elle le voulait. Finalement, à chaque fois que j'eus essayé une robe, elle était entrée avec moi dans la cabine d'essayage afin de m'aider. Elle n'était pas du tout gêné à me voir presque nue quand elle me demandait d'enlever mon soutien-gorge, ne faisant que son travaille de styliste.
-Es-tu folle? m'étais-je exclamée. Pas devant toi!
-Ah, arrête de faire l'enfant, Bella! s'était-elle impatientée face à mon pudeur. Nous sommes, les deux, des filles. Alors, arrête de faire comme si c'était mon frère qui était à côté de toi!
Moi, contrairement à elle, j'avais été plutôt mal à l'aise à me déshabiller devant elle. Bien qu'elle soit très proche de moi, je préférais qu'elle ne voient pas comment mon corps minable comparé à celui des vampires.
-Allez, avait-elle insisté, agacée.
-Sors d'abord, avais-je ordonné.
Elle était alors devenue plus menaçante avec sa voix sévère et ses yeux noirs.
-Bon, soit tu l'enlèves maintenant, ou je le fais moi-même, Bella. Tu ne seras pas capable de mettre ta robe, seule. Gaffeuse comme tu es, tu vas la briser et je vais devoir la payer.
J'avais détaché ma brassière, laissé tombé au sol celle-ci et cacher aussitôt ma poitrine nue en croisant mes bras. Elle avait ri.
-Tu es vraiment trop pudique, toi! avait-elle rigolé.
-Aide-moi à fermer la fermeture éclaire de la robe, avais-je grommelé en me retournant.
Toute la journée, nous avions été déçues par les robes, rien d'original. Alice avait finalement décidé de me faire confectionner une robe sur mesure.
La semaine suivante, pendant la journée pluvieuse, nous étions allé en Italie pour aller rencontrer une couturière, qui se spécialisait pour les robes de mariée.
Alice avait parlé avec la couturière du style de robe qu'elle désirait pour moi. Une longue robe blanche traînant au sol. Elle ne voulait pas que j'ai des manches, rien ne recouvrirait mes épaules afin que la délicatesse de mes épaules me mettent en valeur –quoi encore?- pour ainsi avoir l'air plus fragile. Puisqu'elle avait appris que j'aimais le satin comme tissu, elle avait demandé à ce que la robe soit confectionnée avec du satin blanc. Mon haut serait un corsage blanc, où du satin le couvrirait en partie. Alors, j'en avais conclu, que da ma poitrine à taille, cela serait très serré et à partir de ma traille, ma robe deviendrait ample. J'aimais bien l'idée.
Après que la couturière eût montré son croquis à Alice et que cette dernière eût trouvé le dessin parfait, elles prirent mes mesurent. Je dus encore me mettre en sous-vêtement. Deux longues heures à être immobile, debout sur un petit tabouret, afin que la couturière puisse bien prendre mes mesures. Après avoir payé la couturière de ses services et des coûts du tissu qu'elle utiliserait, nous étions reparti chez les Cullen en avion.
J'avais été étonné que Alice n'eût pas été effrayée à l'idée de croiser les Volturi. Si cela n'avait pas été son cas, cela l'avait été pour moi. À chaque seconde que j'avais été là, j'avais regardé autour de moi afin de m'assurer que les Volturi n'étaient pas dans les parages.
Puis, nous étions retourné plusieurs fois au commerce de la couturière, à la demande de celle-ci puisqu'elle devait s'assurer que la robe me ferait.
-Génial, me réjouis-je. Je peux la voir?
-Non, ce n'est pas encore le moment, débita Alice.
Je ravalai ma déception et écoutai Alice continuer son horaire de la journée. Jamais je n'avais eu une journée aussi remplie de soin esthétique. Comme j'en avais eu peur, ma future belle-sœur en faisait un peu trop…
-Bon, nous allons décorer, annonça Esmée lorsqu'on sonna à la porte. Rosalie, viens!
-Merci, bégayai-je, gênée. Merci pour tout.
Elles sourirent toutes en même temps et Esmée et Rosalie quittèrent la salle à manger. Alice m'attrapa alors le bras et m'attira à l'étage, je maugréai, la faisant rire. Pourquoi fallait-il que je lui eusse permis d'organiser mon mariage? Je regrettais, elle voyait cela trop grand! Je lui avais pourtant dit de ne pas faire cela trop grandiose. Elle me guida jusqu'à sa chambre. Puis, je ne sus pourquoi, mais elle me demanda de me mouiller les cheveux dans la salle de bain. Lorsque je revins, la tête complètement trempée, quelques minutes plus tard,
-On va changer ta coupe de cheveux, m'informa Alice en prenant une paire de ciseau.
-Oh, non! protestai-je immédiatement.
-Je vais leur mettre un dégradé, Bella!
-As-tu déjà fait une coupe de cheveux, Alice?
-J'ai beaucoup regardé vos émissions d'humains, lança-t-elle.
-Alors, double non! Tu ne toucheras pas mes cheveux, Alice.
Elle me fit alors son coup de petite fille blessée. Ses grands yeux devinrent tristes et je soupirai de découragement.
-Je n'ai pas eu de vie humaine…, commença-t-elle.
-D'accord, cédai-je. Mais si tu massacres mes cheveux, je t'en voudrai pour l'éternité.
Elle sautilla de joie avec les ciseaux dans les mains. Je ne pus m'empêcher de sourire. J'avais l'impression qu'elle était une gamine qui venait de gagner une nouvelle poupée. Elle me demanda de m'asseoir sur la chaise qui était devant un miroir.
-Tu vas aimer, jura-t-elle, les yeux brillants d'excitation.
Ensuite, lorsque je vis ma première mèche tomber au sol, je fermai les yeux, priant n'importe quoi pour que cela ne soit pas désastreux. Les minutes passèrent et j'entendais les ciseaux s'ouvrir et se refermer. Parfois, je n'entendais plus rien : elle hésitait. J'eus peur à ces moments. Pourquoi hésitait-elle? Avait-elle fait une erreur? Ah, ce que je n'aimais pas cela et pourtant, je n'osais pas regarder.
-C'est fini, déclara-t-elle après une bonne heure interminable à mes yeux.
J'ouvris de peine et de misère mes paupières, de peur de découvrir une coupe de cheveux affreuse. Quel étonnement qu'eus-je en la trouvant magnifique. J'avais une petite frange qui allait jusqu'au milieu de ma joue et mes cheveux dépassaient un peu mes épaules. Ils étaient tous éméchés et j'adorais cela.
-Alors? Quel est le verdict? Suis-je condamnée à être haie par toi pour l'éternité? s'inquiéta Alice puisque je ne réagissais pas.
-C'est, c'est magnifique, admis-je, étonnée.
Un magnifique sourire de triomphe éclaira le minois de ma future belle-sœur.
-Mais tu ne voulais pas me faire une coiffure? la questionnai-je.
-C'est ça, ta coiffure, rit-elle. Tu voulais ça simple… alors j'en ai fait en sorte que ce soit ainsi. À moins que tu aies changé d'avis, espéra-t-elle.
-Vas bon te semble, lui proposai-je en souriant. Tu as gagné ma confiance pour cela.
-Alors, tu seras magnifique! Non, je ne veux pas dire que tu ne l'es pas…
-J'ai compris le sens, Alice, la rassurai-je.
Elle reprit son travail avec dévouement et me parla en même temps de tout et de rien. Puis, je remarquai qu'elle s'amusait énormément à ce petit jeu de coiffeuse. Finalement, elle me fit une sorte de chignon, mais avec des cheveux qui en sortaient. J'aimais bien cela.
-Ton voile sera mieux placer avec cette coiffure, dit-elle en finalisant ma coiffure.
Il était déjà trois heures de l'après-midi lorsque Alice eut terminé son travail avec mes cheveux. Il nous restait deux heures avant que ma mère n'arrive un peu en avance. Alice décida de s'attaquer à mes sourcils, qui, d'après son point de vue, étaient trop épais. Je grimaçai tout le long qu'elle aminci mes sourcils avec une petite pince à épilation. À la fin, j'avais le haut des yeux complètement rouge. Par contre, la vampire me créma le visage afin d'apaiser ma peau.
-Bon, il faut s'occuper des tes mains, maintenant, déclara-t-elle avec un large sourire.
Elle présenta plusieurs couleurs de verni à ongle, mais je préférai celui qui était clair. Alors, avec beaucoup d'application, elle vernit mes ongles. Elle aurait tant été une bonne esthéticienne, pensais-je.
-Tu as beaucoup regardé d'émission sur l'esthétique, hein? devinai-je.
-J'ai toujours été fascinée par votre vie quotidienne qui est plutôt hilarant, mais j'aime bien tout ce qui touche la beauté, répliqua-t-elle. Bon, il nous reste une heure.
-Déjà! me stupéfiai-je.
-Tu vas bientôt être une Cullen, Bella!
Elle m'invita à quitter la chaise, à mon grand plaisir –j'avais les jambes engourdie à rester assise tout ce temps. Je descendis au rez-de-chaussée en sa compagnie. Puis, nous nous dirigeâmes vers la cour qui m'était méconnaissable.
Une grande piste de danse prenait le milieu de la cours. Une dizaine de tables rondes, qui acceptaient quatre personnes chaque, entouraient cette piste de danse. Cependant, il y avait une longue table, la table des mariés. Un petit plateau de spectacle occupait un côté de la piste, la place du DJ.
Des fleurs de fleurs de lotus sur une grosse feuille verte ornait les tables rondes. J'aperçus alors les cadeaux pour les invités de la part des mariés. C'était une petite boîte de chocolat suisse.
-Alice, je t'avais dit de ne pas faire trop gros, sifflai-je.
-Oups, fit-elle faussement désolée. Mais il n'y a seulement que trente-cinq invités.
Hé, oui, elle avait décidé d'inviter la ville complète pour mon mariage. J'avais voulu contesté, mais cela lui faisait tellement plaisir que je n'avais pas osé, de peur de la blessé. Soudain, je lu sur une des petites table : Jacob Black. Alors, il serait là!
-Bella, ta mère est à la porte, cria la voix de Rosalie.
Je me précipitai à l'entrée, contente que Renée soit enfin là. Lorsque je la vis, elle était en compagnie de Phil. Ce dernier me salua et me félicita pour la journée. Ma mère me prit dans ses bras et m'étreint. Nous restâmes ainsi un moment. Je pris de ses nouvelles.
J'appris alors que Phil et elle désirait de déménager dans une autre banlieue qui serait près du travail de Phil. Puis, de Phil, je sus que Renée avait fait une crise d'angoisse une semaine plu tôt. Je me sentis alors coupable, me doutant fort bien qu'elle l'avait faite à cause de l'approche de mon union avec Edward.
Ma mère avait mal pris mes fiançailles avec mon amoureux lorsque j'étais allé en Floride la visiter avec Edward et mon père. Dès que mon père avait traversé de seuil de sa porte, elle avait été alertée qu'il y avait une grande nouvelle qui venait avec. Elle avait tellement hurlé alors que nous, Edward et moi, tentions de lui expliquer.
-Pourtant, nous avons tant eu de discussion sur les relations amoureuses à ton âge, avait-elle crié. Qu'est-ce qui te prend à suivre mes pas, Bella?
Finalement, mon père était intervenu et avait discuté seul à seule avec Renée. Lorsqu'ils étaient revenus de leur rencontre, elle était beaucoup plus calme et ouverte.
-Tu toujours sûre de ton choix, Bella? dit ma mère en me regardant.
-Oui, maman, souris-je.
-Tu es très jolie, coiffée ainsi, me complimenta Phil.
Bon, je vous dis dès le début (O.K, je l'ai commencé il y a bientôt 20 jours, mais bon), j'adore les reviews, même ceux des anonymes, lol:P
