Disclaimer: tout est à Pratchett, y compris le crayon. Je le lui rends à la fin, un peu mâchouillé (mais c'est pour la bonne cause. Et sinon, j'accuse ouvertement Taraxacum d'avoir une très mauvaise influence sur moi :)
Genre: délire (rien d'inhabituel, quoi) et slash (mon tout premier!!) Tambourinoeud / Moite von Lipwig, dans une série de vignettes. Cent mots chacune.
Spoilers: sur Timbré. Pas grand-chose: le crayon est piqué au début, le destin de Moite n'est en suspens que dans le premier chapitre et son costume n'est pas une surprise.
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Pour un crayon même pas taillé...
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1- Le crayon chipé.
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Tambourinoeud restait perplexe : il ne voyait pas bien ce que Lord Veterini comptait tirer d'un homme tel que Moite Von Lipwig. A part des ennuis supplémentaires à gérer.
A commencer par ce vol de crayon : le scélérat, non content d'obtenir la clémence du Patricien, chapardait impunément dans les poches du premier secrétaire.
Il avait bien senti un frôlement en passant près de lui, mais jamais il n'aurait pensé... Qu'avait-il pensé sur le moment, d'ailleurs ?
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Tambourinoeud s'empressa d'oublier pensées, crayon et séduisant, non : pervers, non ! exaspérant ! voleur reconverti dans l'acheminement du courrier.
