Titre : Professeur ! aide moi !
Base : Gundam Wing
Couple : 02x01
Bêta-lectrice : Killua11, que j'aime et que j'adore (#-# arrête je rougis ! Mici ma tite Tenshi ! Moi aussi je t'adore Killua11)
Disclamer : Jusqu'à preuve du contraire ils ne sont pas a moi, y a que l'histoire écrite de mes blanches et pures mains, lol
Nota-bene : Attention, cette fic sera exclusivement citronnée que ceux qui pourraient être choqués par des actes et rapports sexuels entre deux hommes quittent immédiatement cette page.
Vous êtes encore là ? Bande de pervers.
Comment ça moi aussi ? bon d'accord je plaide coupable je suis une fan incontestée de la gamme hentai et lemon en tout genre
Dédicace spéciale : A ma Tsuki-no-shinigami d'amour. Elle est pour toi puce, j'espère que ça te plaira
Bonne lecture à tout le monde, et lâchez vos reviews que je sache ce que vous en avez pensé
Prologue : les songes du 7ième ciel
Je le vois s'approcher de moi, la démarche sensuelle et féline à souhait, il prend l'un de mes poignets et le monte vers le montant du lit, tandis qu'il enfouit sa tête dans mon cou et commence à mordiller, sucer la peau mise à vif par ce traitement bestial et doux à la fois. Mon poignet droit est attaché au montant du lit par une menotte et le gauche le suit rapidement, tandis que mon bourreau continue sa torture avec une application sadique.
Il se relève, ses longs cheveux cascadent le long de ses épaules, tout contre ses bras, son torse. On dirait un ange, un ange de luxure. D'un coup vif et rapide il m'arrache mon T-shirt noir et vient mordre avec rudesse l'un de mes mamelons, me faisant crier de douleur et d'excitation. Ses dents deviennent plus tendres, plus joueuses, il attise un feu qui monte progressivement en moi, me faisant haleter et quelques perles de sueur parcourent mon front, tandis que je prie pour que les choses avancent. Vite. Beaucoup plus vite.
Il remonte et m'embrasse violemment, mordant mes lèvres avec possessivité, puis quitte mes lèvres et me bâillonne, me laissant difficilement reprendre mon souffle, coupant mes gémissements. Ça m'excite, il m'excite.
Je ne sais pas qui c'est, mais sa taille mannequin, ses gestes brutaux et doux, me donnent envie d'expérimenter plus loin ce désir violent et inassouvi.
Il m'embrasse, mord, griffe mon torse jusqu'à ce que de fines gouttes de sang apparaissent, descendant progressivement, me faisant gémir de frustration et de plaisir à ce qui m'attend.
Il arrive enfin à ma virilité, la caresse un moment, joue outrageusement avec ma verge. Puis ses doigts quittent mon sexe, remplacés rapidement par des lèvres gourmandes.
Je sens mon corps s'enflammer, mon sang battre furieusement dans mes tempes, mon sexe tendu à l'extrême.
Plus qu'une caresse, une seule et je serai libéré de ce désir qui transporte chaque cellule de mon corps dans un plaisir sans nom, indescriptible.
Mon bourreau arrête pourtant ses caresses buccales, me faisant pousser un grognement de mécontentement étouffé par le bâillon. Je n'ai pas d'avantage le temps de me plaindre, qu'il agrippe mes jambes, les écarte rapidement et s'empale brusquement en moi.
Des larmes de douleur s'échappent de mes yeux, mais sont vite oubliées par le mouvement irrégulier de va-et-vient qu'il effectue à l'intérieur de moi, la douleur cédant au plaisir présent depuis l'apparition de cet être qui me procure ce plaisir violent.
Je sens l'extase approcher, mon sang, mes muscles, même mes os se tendent et accélèrent. Toujours plus vite. Je sens la morsure des menottes sur mes poignets, les saignant violemment alors que j'essaye désespérément de m'en libérer pour venir m'accrocher à son dos.
Je vais enfin me libérer entre ce bel éphèbe et moi, il s'enfonce une dernière fois en moi et…
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Bip, Bip, Bip…
Je me relève en sursaut, le corps en sueur, le cœur battant la chamade.
Je soulève mes draps précautionneusement, et m'aperçois, qu'une fois n'est pas coutume, mes draps ont subit l'assaut de mes rêves…
Coquins.
Je me lève rapidement, retire mes draps et en mets des propres, prends des affaires propres et me dirige vers la salle de bain, emportant avec moi la preuve d'un désir plus que visible.
Une fois arrivé, je m'enferme dedans, mets mes draps dans la machine à laver ainsi que d'autres vêtements à moi, et saute aussitôt dans la douche.
Histoire de me rafraîchir les idées.
Au faite, j'oubliais de me présenter.
Je m'appelle Heero Yui, je suis en seconde, j'ai seize ans et des hormones qui jusqu'alors m'avaient épargné.
Depuis quelques jours, quoique le mot « semaine » conviendrait mieux, je fais des rêves hauts en couleur me représentant moi et un/une étranger(e)… Et oui je n'arrive même pas à savoir si c'est un partenaire ou une partenaire sexuel avec qui je passe toutes mes nuits…
Enfin. Pas tant que mon rêve ne se termine, et qu'il m'empale entièrement sur son membre.
Mais là encore, ça pourrait être une femme, avec ces nouveaux accessoires, enfin qu'importe…
Mais ça ne me gène pas plus que ça, le fait que ce soit un homme ou une femme ne me rebute pas.
Peu importe, ce qui compte, c'est que ces rêves m'assaillent chaque nuit, et qu'ils me laissent de plus en plus frustré et que, comme aujourd'hui, ils me mettent en retard pour aller au lycée.
Je sors rapidement de la douche et me sèche, enfile un boxer, un baggy et un T-shirt noir à col V.
Je repars dans ma chambre, prend ma veste en jean, mon sac et pars directement au lycée, sautant encore une fois la case « petit déjeuner ».
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Vous êtes encore là !?!
Venir en cours avec moi vous fait donc tant plaisir ?
Bon, puisque vous êtes encore là, laissez-moi me présenter plus que je ne l'ai fait ce matin.
Comme vous le savez je m'appelle Heero Yui, j'ai 16 ans, je mesure 1m60, ce qui est plus petit que la moyenne française, ce que mes gentilles camarades de classe m'ont fait remarquer en me taquinant.
Mais ils ont vite appris qu'il ne fallait pas trop taquiner quelqu'un qui avait obtenu sa ceinture noire de karaté à l'age de 12 ans, et qui s'amusait à faire des compétitions pro de temps à autre.
Sans vouloir me vanter, je suis très bon à l'école, car il est vrai que peu de personnes peuvent se vanter d'arriver en seconde générale et d'avoir une moyenne globale de 16.
J'avoue que mon option, troisième langue japonais, y est probablement pour quelque chose étant donné que ma moyenne est de 20. En même temps, ç'aurait plutôt été une honte de ne pas avoir cette moyenne là, étant donné mes origines nippones et que j'ai appris cette langue bien avant le français.
Je crois qu'on a fait le tour, à part si vous voulez que je vous dise que je ne suis pas un modèle de sociabilité, que mes trois seuls amis habitent le nord de la France, et que moi je suis bloqué au sud. Que vous pouvez rêver pour que j'approche les autres élèves, que je trouve particulièrement débiles.
Et que, pour finir cette merveilleuse (ennuyeuse) journée de cours, je me retrouve en biologie.
Pas que je sois mauvais en bio, loin de là même. Mais depuis le début de cette année, depuis que je connais le prof, ma note stagne plutôt vers le 11 de moyenne, ce qui est franchement médiocre quand on voit mes autres résultats.
Quel rapport avec cette année ? Quel rapport avec le prof ?
Nouvelle année, dit nouveau prof, nouvelle façon d'enseigner etc.…
Mais dans mon cas, cela veut surtout dire : Nouveau prof.
En tant normal, je m'en serais contrebalancé. « Un nouveaux prof, oui et alors », mais là, c'est vraiment différent.
Il s'appelle Duo Maxwell, mesure dans les 1m85 environ pour un poids qui devrait être proche des 60kg, il n'a que 27 ans.
Je l'ai appris grâce aux pimbêches de ma classe, qui trouvent plus passionnant l'histoire de sa vie que l'histoire des bio-molécules.
Qu'importe, car maintenant je sais qu'il n'a que 27 ans, ce qui ne nous fait qu'une petite différence de 11 ans. Il a la taille mannequin, musclé mais tous en finesse. Autrement dit une très belle musculature, qui vous donne envie de tracer chaque courbe de son corps avec votre regard, à défaut de pouvoir le faire avec la langue. « Mmmh… » rien que d'y penser me fait gémir. Gémissement qui passe totalement inaperçu, vu que la classe est en plein débat, à savoir : « quelle est la taille moyenne du sexe de l'homme » le tout ponctué par le rire cristallin du prof qui trouve amusantes ce genre d'imbécillités.
Après tout, on ne pouvait pas couper à ce genre de questions alors qu'on est en plein cours de « qu'est-ce que la sexualité ?». le ministre de la santé a obligé les professeurs de bio à rajouter 2 heures dans leur programme pour nous expliquer ce qu'est la sexualité, les moyens de contraception, la façon de les mettre, les façons d'aborder une première fois etc.…
Pour ma part, lorsque la classe devient assez bruyante pour que le cours s'arrête quelques minutes, je me contente de l'observer, un peu comme maintenant. Ses longs cheveux châtain clair aux doux reflets miel, attachés en un bas catogan. Un visage fin, qui me semble doux, si doux, que s'en est presque cruel que de ne pas pouvoir toucher cette peau douce et sucrée. Oui j'en suis sûr, sa peau est sucrée, léger goût de caramel.
Mais le plus impressionnant, ce sont ses yeux.
Ses yeux améthystes.
Yeux qu'une fille un peu trop scientifique et pas trop pimbêche, de notre classe s'amuse à comparer au permanganate de potassium (1).
Des yeux vraiment envoûtants, mais ils ne le seraient pas autant sans ces étincelles de joie et de malice qui restent scotchées au fond de ses prunelles.
Ces étincelles qui nous prouvent qu'il est toujours jeune, qu'il aime s'amuser, qu'il aime la vie, qu'il aime partager ces chose là avec les autres.
Ces étincelles, qui le rendent incroyablement beau et fort. Ces yeux tellement beaux que vous pourriez en jouir rien qu'en les regardant.
Ce prof un peu trop sadique, qui attise mon désir, mon envie grandissante.
Je veux coucher avec lui, et je réussirai.
La fin du cours sonne. Nous vidons la classe.
Et je sais que comme à son habitude, il va aller en salle des professeurs, boire tranquillement un café, avant de revenir dans la salle, pour corriger des copies, ou seulement préparer les prochains cours.
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Je viens de finir mes devoirs, mes révisions, et tout ce que je devais faire, et pour le moment je suis tranquille pour les trois semaines à venir.
Comme je l'ai dit ce soir en bio, j'ai envie de ce prof.
Je coucherais avec ce prof, j'en ai envie, beaucoup trop envie. Et une fois que ce sera fait, peut-être pourrais-je me concentrer à nouveau sur son cours, plutôt que sur son cul.
Ma libido sera satisfaite et je pourrais revenir à la normale, à moins que je ne passe à autre chose. Mais pour sûr ce ne sera plus un prof et mes notes reviendront à la normale.
Les autres profs sont tous quadragénaires et si je ne sors pas avec des maternelles, je ne sors pas non plus avec des retraités.
J'ai un plan pour l'obliger à coucher avec moi.
Après tout il est encore jeune, un confrontation directe et implicite devrait suffire.
Je m'accorde trois vendredis pour le faire craquer.
Pourquoi le vendredi ?
Parce que c'est le seul jour de la semaine où nous l'avons, et nous avons droit à 2 sublimes heures avec notre mannequin de prof.
J'espère seulement qu'il soit homo, ou bi et qu'il ne me renvoie pas pour ce que je compte faire, car ça reste tout de même très osé.
A suivre…
(1) petit clin d'œil à « c'est toi le chat » de calamithy.
alors, est-ce que ça vous a plus ?
