Oui, oui, voilà une nouvelle fic alors que je m'étais juré de ne pas en publié une autre tant qu'une ne serait pas finie. Mais ce n'est pas une fic ordinaire ! En fait, la publication ne dépendra pas de moi vu que je reprends la fic de ma cousine mais que je change le point de vue. Love Dangerous est du point de vue de Lavalya Marchombre. Dangerous love est la même histoire, mais vue par Maena Marchombre, sa cousine. J'ai, bien entendu, l'accord de l'auteur, Slytherin Lavalou xD

Voilà. J'espère que ça plaira quand même un peu ^^


Dangerous love

Prologue : Adieu


Poudlard n'était plus que poussières : les statues du château, ses pierres et même des pans de murs jonchaient le sol. Poudlard n'était plus que l'ombre de ce qu'il était.

La guerre contre Voldemort venait de prendre fin : l'ordre du Phénix et l'Armée de Dumbledore avaient gagné, menés par Harry Potter. Malgré les risques, peu d'élèves avaient trouvé la mort, ce soir-là. Et encore moins d'adultes.

Maena se trouvait dans la Grande Salle et avait à peine jeté un regard aux défunts, son regard ne recherchant qu'une seule personne. Où était-il ? Elle devait le trouver, absolument ! Et ne pas regarder les visages morts de certaines personnes qu'elle reconnaissait ! Non, ne pas s'arrêter sur le visage de Colin Crivey qui semblait si minuscule. Ne pas regarder les elfes de maison, ne pas donner un coup de pied au cadavre de Bellatrix Lestrange, tuée par Molly Weasley. Non. Elle devait le retrouver, lui !

Elle vit d'abord Molly Weasley qui serrait Ginny à l'en étouffer. Maena n'en revenait toujours pas que cette mère de famille à l'apparence si douce, ait pu se montrer aussi impitoyable ! Mais elle se rappelait de sa propre mère et de sa tante, se battant comme des tigresses : le désir de protéger sa progéniture changeait la plus douce des femmes.

Mais les yeux verts de Maena ne s'arrêtèrent pas sur la mère de famille. Elle vit Arthur Weasley prendre sa femme et sa fille dans ses bras. Elle aperçut George qui embêtait Percy. Elle ne s'arrêta pas sur Bill qui étreignait Fleur comme s'il avait peur qu'elle disparaisse. Elle ne se préoccupa pas de Charlie qui était en train de se faire soigner par Mrs Pomfresh. Non, ce n'était pas eux qu'elle cherchait, mais elle le devina tout près de sa famille.

Et quand elle le vit, elle se remit à respirer. Lui aussi l'avait vu et elle crut lire du soulagement dans son regard bleu. Retenant des larmes de soulagement, Maena resta plantée là, à le regarder, à admettre qu'il était sauf, que cette guerre ne l'avait pas privé de celui qu'elle aimait. Car oui, elle aimait Fred Weasley. Depuis des années. Depuis… le début ?

Fred ouvrit ses bras et sans réfléchir, Maena s'y précipita, se serrant contre lui pour sentir sa chaleur, pour percevoir le battement de son cœur. Il était vivant. Elle pouvait recommencer à vivre.

Elle leva la tête vers lui pour lui dire qu'elle était heureuse qu'il n'ait rien, que s'il lui était arrivé quelque chose, elle se serait occupée de son cas, qu'elle était soulagée, tout simplement. Mais il ne lui en laissa pas le temps : à peine avait-elle entrouvert les lèvres pour parler qu'il y posa brusquement les siennes. Ce baiser ne ressemblait en rien aux autres qu'ils avaient déjà partagés. Il était plus brusque, moins doux, empli de peur contenue. Mais c'était loin de déranger Maena qui répondit au baiser du rouquin avec ferveur.

Dans sa tête, elle se demanda un instant quelle tête ferait Lavalya, sa cousine, si elle les voyait s'embrasser ainsi, en public. Sa cousine avait toujours su que Maena avait un faible pour Fred, et la taquinait souvent avec ça. Mais elle savait aussi qu'elle n'apprécierait sûrement pas qu'elle s'affiche ainsi, dans les bras d'un Gryffondor… Lavalya restait après tout une Serpentard, pure et dure ! Et qui dit Serpentard, dit "y a pas intérêt à ce qu'un Gryffondor touche ma cousine !" Oui, telle était Lavalya Marchombre.

Mais à l'instant précis, Maena ne pensait qu'à une chose : au baiser de Fred. Car elle savait, au fond, que même s'il était un Gryffondor, Lavalya ne voulait que son bonheur.

Maena savait que la deuxième personne qu'elle voulait prendre dans ses bras, c'était Lavalya. Elle l'avait vue, après la guerre, la savait vivante. Elles s'étaient regardées, avaient échangé un long regard, yeux verts dans yeux verts, avant que Lavalya ne lui fasse signe d'aller le retrouver. Maena avait eu un petit sourire triste envers sa cousine, puis était partie à la recherche de Fred. Elle savait qu'elle avait souffert, même si elle était peut-être incapable de savoir à quel point.

Fred rompit doucement le baiser et Maena se rendit alors compte que celui-ci lui avait coupé le souffle. Elle leva les yeux vers lui et lui sourit. Il la dépassait d'une tête, ce qui faisait que la jeune fille devait pratiquement lever la tête pour le regarder.

Le jeune homme prit le visage de Maena entre ses mains et caressa du pouce une éraflure sur sa joue.

- Tu n'as rien, souffla-t-il.

C'était les premiers mots qu'il prononçait et Maena ne put s'empêcher d'avoir un petit sourire en coin.

- Ton sens de l'observation m'épatera toujours…

Il ne dit rien, se contentant de caresser le visage de la Serpentard, de remettre une de ses mèches rousses derrière son oreille, de la couver du regard. Quand il la regardait ainsi, Maena avait l'impression d'être la plus belle qu'il ait jamais vue.

Fred se courba et, sans lâcher le visage de Maena, posa son front contre le sien, les yeux fermés. La jeune fille ne le quitta pas du regard.

- Tu n'as rien, répéta-t-il.

Et il poussa un long soupir de soulagement qui eut presque raison de Maena : elle ferma les yeux tandis qu'une larme s'échappait de la barrière de ses paupières.

- Salazar soit à louer, toi non plus, soupira-t-elle.

Fred ouvrit les yeux, amusé par la formulation de la jeune fille : elle était bien une Serpentard ! Il essuya la larme qui s'était faufilée sur sa joue et déposa un tendre baiser sur son front avant de la serrer contre lui. Il posa son menton sur le sommet de la tête de la rousse et soupira de bien-être.

Maena ne sut combien de temps elle resta dans les bras de Fred, mais elle fut ramenée à la réalité par un cri :

- Maena !

La jeune fille ouvrit les yeux et son regard tomba sur Julius, qui la regardait, du soulagement se lisant dans son regard bleu.

Julius n'était pas seul : il était en compagne de Cécilia, la jeune sœur de Lavalya (et donc la cousine de Maena), d'Ellarosa Butaker (qui était la cousine de Maena du côté maternel) et de Karim (un garçon de Poufsouffle duquel Lavalya était très proche – en amitié).

Maena crut entendre Fred grommeler après Julius –quelque chose qui ressemblait curieusement à un "qu'est-ce qu'il veut, celui-là" – mais ne s'en formalisa pas. Elle se détacha doucement de Fred et serra Cécilia et Ellarosa dans ses bras, contente de voir ses jeunes cousines saines et sauves. Puis elle serra Julius dans ses bras, qui lui rendit son étreinte, et prit Karim de court en lui sautant dans les bras, le garçon n'ayant pas l'habitude que la rouquine se montre si affective avec lui.

- Vous êtes sains et saufs ! Vous êtes sains et saufs ! Vous êtes sains et saufs ! répétait-elle inlassablement.

- Mae' ! Dis-moi que tu as vu Lavalya ! la coupa Cécilia, au bord de la crise de nerfs. Je t'en prie, dis-moi qu'elle s'en est sortie !

- Oui, rassures-toi, dit Maena. Je l'ai vue, elle n'a rien !

Le groupe poussa un soupir de soulagement.

- Mais pourquoi tu me poses cette question ? s'étonna Maena. Elle ne doit pas être loin.

- Papa ne la trouve pas, répondit la blonde aux yeux bleus.

Maena fronça les sourcils.

- Comment ça, il ne la trouve pas ? Tu as demandé à mon père ? Avec ses… facultés, il pourrait la repérer ?

- Sauf que ton père aussi à fait chou blanc, lui apprit Ellarosa.

- Ça… ça, c'est pas normal, par contre…

- Elle est sûrement partie, dit Karim, essayant de rassurer le groupe. Elle est peut-être rentrée chez vous, ne supportant plus la vue du château…

- Hummm… C'est tout à fait possible, dit Cécilia après un silence. Je vais prévenir papa, dit-elle.

Et elle partit en courant, ses longs cheveux blonds voletant derrière elle, la faisant ressembler à une vélane au milieu de toute cette ruine.

Maena la suivit des yeux en portant ses doigts à son collier. Celui-ci était en argent et représentait un chaudron. Elle l'avait reçu le jour de ses onze ans car elle clamait déjà haut et fort qu'elle voulait devenir potionniste. C'était un peu comme un porte-bonheur… mais grâce à Lavalya, ce médaillon était devenu bien plus que cela…

- Quelque chose ne va pas ? demanda Fred en s'approchant.

Maena revint à l'instant présent et se tourna vers le jeune homme qui glissa une main autour de sa taille, en un geste possessif, comme s'il avait peur qu'elle ne s'éloigne de trop.

- On se demandait où était Lavalya, lui apprit Julius d'un ton assez neutre.

- Elle est partie en direction du Parc, leur apprit le Gryffondor.

Il s'attira ainsi le regard surpris des trois Serpentard et du Poufsouffle.

- Comment tu le sais ? s'étonna Maena.

- Je l'ai vue, répondit Fred comme si c'était une évidence.

- Ah bon ? s'étonna Julius. Tu l'as vue ?

- En quoi cela te surprend-il ? demanda Fred d'un ton un peu trop brusque.

- Je pensai que tu étais trop occupé à lui enfoncer ta langue dans sa gorge, répondit le Serpentard en haussant les épaules et en regardant Maena.

Maena leva les yeux au ciel, se demandant pourquoi son ami détestait toujours autant les Gryffondor. Il n'était pourtant pas d'une nature belliqueuse, et Maena savait qu'il n'était pas jaloux, n'ayant jamais éprouvé pour la jeune fille que de l'amitié. Mais le fait qu'il soit un ancien Gryffondor semblait suffit aux yeux du Serpentard pour ne pas l'apprécier.

- L'un n'empêche pas l'autre, rétorqua Fred.

- Bon, ça suffit maintenant, intervint Maena. Si Lavalya est partie vers le Parc, c'est sûrement pour aller à Pré-au-Lard pour transplaner jusqu'au manoir. Il ne serait pas étonnant qu'elle ait envie de se retrouver seule !

Les autres acquiescèrent. C'était la seule explication possible. Julius et Karim s'éloignèrent ensemble tandis qu'Ellarosa se jetait dans les bras de sa mère, qui se trouvait être la sœur de la mère de Maena.

- Ton pote n'a pas l'air de m'apprécier, remarqua Fred en lançant un regard interrogateur vers Julius.

- T'es un Gryffondor, expliqua Maena. Et à ses yeux, c'est une raison suffisante pour ne pas t'apprécier.

- Tu es sûre qu'il n'est pas…

- Je te l'assure, il n'est pas amoureux de moi, assura Maena. C'est un ami. Son cœur bat pour quelqu'un d'autre.

- Dans ce cas, pourquoi il ne m'aime pas alors que ça n'a pas l'air de le déranger de parler avec un Poufsouffle ? fit Fred en levant les sourcils.

Maena ne répondit pas, préférant lui offrir un sourire énigmatique plutôt que d'expliquer les raisons pour lesquelles Julius appréciait le Poufsouffle.

- Le plus important, c'est que moi, je t'aime, non ? demanda-t-elle innocemment.

Fred sourit et lui vola un rapide baiser.

- Oui, c'est sûr et certain.

Maena répondit à son sourire avant de se blottir contre lui, l'oreille contre sa poitrine. Elle se sentit bercée par les battements de son cœur. Jusqu'à ce que…

- Maena !

La jeune fille soupira et se sépara à contrecœur de Fred afin de faire face à son père. Elle se dirigea vers lui et il la serra dans ses bras avec force, heureux de voir que sa fille unique n'était pas blessée.

- Tu n'as rien, ma petite chérie ?

- Non, papa, tout va bien, répondit Maena en s'éloignant de lui. Et je suis heureuse de voir que maman et toi vous allez bien !

- Parfait, dit-il. Nous rentrons. Tout de suite.

- Euh… je peux au moins dire au revoir… ?

Alec Marchombre grimaça mais lâcha néanmoins sa fille. Il la regarda aller vers ce Weasley d'un œil mauvais, n'appréciant pas que ce rouquin pose les mains sur sa précieuse fille. Et il dut se retenir de les séparer quand il vit le garçon se pencher vers Maena, une main sur la nuque, pour l'embrasser doucement. Quand sa fille revint vers lui, il lui sourit, lui prit doucement la main, heureux de la savoir près de lui.

- Au revoir, dit le rouquin.

Alec se raidit, sous l'œil attentif de Maena qui l'avait senti.

- Au revoir, jeune homme, répondit l'homme en le toisant du regard.

Maena offrit un sourire à Fred et lui envoya un petit baiser du bout des doigts.

Alec et Maena retrouvèrent le reste du clan Marchombre. La jeune fille se serra contre sa mère. C'était une grande femme au visage fin, aux épaisses boucles rousses et aux yeux gris. Elle répondait au doux nom de Laurana.

Edward Marchombre était le portrait craché d'Alec, ce qui était normal vu qu'ils étaient jumeaux. La seule différence était qu'Edward était un peu angoissé par l'absence de sa fille et qu'il n'avait qu'une envie : la retrouver. Alec et Edward était grand et avaient une carrure d'athlète. Ils partageaient une chevelure sombre et des yeux d'un vert éclatant. Mais Alec avait les traits tirés, des cernes sous les yeux, quelques cicatrices lui barrant le visage. Mais il était indéniable qu'ils étaient jumeaux, malgré ces quelques différences.

Précieuse Marchombre était la tante de Maena, la mère de Lavalya. C'était une beauté blonde aux yeux bleus. Choses qu'elle avait léguées à sa plus jeune fille, Cécilia. Celle-ci était justement dans les bras de sa mère.

- Maena ! dit Précieuse en la voyant approcher. Cécilia m'a dit que tu avais vu Lavalya aller en direction du Parc ?

- Euh… Oui. Disons plutôt que c'est un ami qui l'a vue…

Alec se raidit une nouvelle fois, comprenant que cet "ami" devait être ce rouquin qui avait l'audace d'embrasser et de toucher sa petite fille.

- Elle doit donc être au manoir, dit Edward, un soupir de soulagement dans la voix. Allons-y.

Les Marchombre quittèrent alors le château. Edward et Précieuse ouvraient la marche, lui la tenant par l'épaule. Alec et Laurana se tenaient de la même manière et Maena et Cécilia se tenaient par la main, comme lorsqu'elles étaient enfants.

Lorsqu'ils furent en dehors des protections du château, ils transplanèrent, Maena utilisant le transplanage d'escorte pour transporter sa jeune cousine qui n'avait pas encore son permis.

Arrivés au manoir, tous entrèrent dans la demeure, heureux. Edward n'avait qu'une hâte : retrouver son aînée et la serrer dans ses bras afin de s'assurer qu'elle n'avait rien.

- Lavalya ? appela-t-il une fois dans le hall. Lavalya ?

Mais il n'eut aucune réponse. Maena fronça les sourcils, prise d'un mauvais pressentiment. Et ce pressentiment prit la forme d'un elfe qui tendit un morceau de parchemin à son oncle. Edward Marchombre, surpris, déplia le parchemin et devint livide. Sans un mot, il lâcha le parchemin avant de se ruer vers les escaliers, se précipitant dans la chambre de son aînée. Alec, sentant que son jumeau avait un souci, le suivit aussitôt. Maena, sentant que cela avait un lien avec sa cousine, son alter-égo, les suivit de près.

La rousse s'arrêta sur le pas de la chambre de Lavalya, juste derrière son père, tandis que son oncle fouillait chaque placard, ouvrait chaque tiroir. Il sortit sa baguette et lança de nombreux sortilèges. Mais Maena se doutait que c'était inutile : connaissant sa cousine, celle-ci avait sûrement tout fait pour que personne ne puisse retrouver sa trace, si c'était que c'était ce qu'elle voulait.

Edward se laissa tomber sur la chaise de bureau de sa fille, le visage entre ses mains. Alec se dirigea vers son frère et posa une main réconfortante sur son épaule.

Maena, elle, n'avait pas quitté des yeux le point argenté sur le lit de sa cousine. Lentement, telle une automate, elle se dirigea vers le meuble. Elle se baissa et prit précautionneusement entre ses doigts le médaillon d'argent de sa cousine. C'était une baguette magique. Car si Maena montrait des prédispositions en potions, Lavalya elle avait toujours démontré ses talents en sortilèges. C'est pourquoi elle avait reçu un médaillon en forme de baguette.

Mais que Lavalya ait laissé son médaillon derrière elle signifiait autre chose pour Maena. Car, quelques années plus tôt, sa cousine avait ensorcelé les deux médaillons : il suffit que l'une des cousines pense à l'autre pour que le bijou chauffe. Cela voulait-il dire que Lavalya ne voulait plus aucun contact avec Maena ? Sa cousine voulait-elle couper les ponts avec elle ? Définitivement… ?

La rousse serra le collier de sa cousine dans sa main et baissa la tête. Et enfin, elle se permit une chose qu'elle s'était refusée à faire depuis que cette guerre avait commencé : elle pleura, pleura et pleura. Silencieusement, les larmes inondèrent ses joues qui étaient encore couvertes de la poussière du château.

Ne supportant pas de voir son oncle aussi abattu, elle quitta la chambre de sa cousine et descendit rejoindre sa mère, sa tante et sa cousine. Ces deux dernières étaient en pleurs tandis que Laurana était horrifiée par le parchemin qu'elle tenait en mains.

Essuyant ses larmes, Maena rejoignit sa mère et prit le parchemin laissé par sa cousine. Un nouveau hoquet la prit et elle chiffonna le morceau de papier d'une main, l'autre tenant le médaillon en forme de baguette qui chauffait comme une braise entre ses doigts. La rousse ferma les yeux, laissant échapper de nouvelles larmes. Elle ne sentit pas la main de sa mère se poser sur son épaule tandis que derrière ses paupières dansait le seul mot que Lavalya avait laissé derrière elle. Un mot si impersonnel qu'il en était presque cruel.

Adieu.


Et voilà pour le prologue ^^

Le chapitre 1 arrive de ce pas.