We've Got Time to Burn | Du temps à faire brûler...

Disclaimer traductrice : Cette Fic n'est pas de moi, je n'ai fait que la traduire. La version originale a été pensée par seasonsclouds, sous le même titre et sur ce site.

Disclaimer: FOX, Hart Hanson, Kathy Reichs, etc.

Chapitre Un

"Je sais. Vous pouvez le croire ? Je veux dire, regardez-moi… comment pourrait-elle résister ?" fit Seeley Booth en grimaçant un sourire sans vergogne, tendant ses bras de part et d'autre, prêt pour l'inspection.

Kathryn Baker hocha la tête amusée. "Vous avez raison, évidemment, Agent Booth. Je ne comprends pas comment n'importe quelle femme pourrait résister à quelqu'un qui a une conscience aussi modeste de ses meilleures qualités."

En dépit de ses commentaires sarcastiques, Kathryn ne pouvait s'empêcher de sourire à l'agent vantard. Elle travaillait en tant que secrétaire de Cullen depuis sept ans et elle savait que la suffisance de l'Agent Booth était bien méritée - il était vraiment l'un des meilleurs agents qu'ils avaient. En jetant un coup d'œil sur sa gauche, cependant, elle nota - une fois encore - que sa partenaire n'était pas si réceptive à son charme.

Temperance Brennan était assise, parfaitement droite sur sa chaise, les bras croisés en travers de sa poitrine, ses lèvres formant une ligne serrée. Elle regardait froidement un point fixe devant elle, ignorant complètement l'homme avachi, très souriant et relaxé qui avait pris place à coté d'elle.

Booth ne se laissa pas démonter par le désintérêt que lui portait sa partenaire. "Vous savez, Kathryn, un de ces jours je vais la faire céder. Elle devra abandonner à un moment ou à un autre."

Brennan brisa son silence grognant avec dérision. "Je peux vous dire avec une extrême certitude, Agent Booth, que vous n'allez pas 'me faire céder.' Combien de fois devons-nous avoir cette discussion ? Je n'irai pas en rendez-vous avec vous."

Booth lui envoya un sourire affectueux et tapota son genou doucement. "Aww, vous voyez, c'est cela que j'aime le plus chez vous, Bones. Vous êtes toujours si compatissante et gentille."

Brennan regarda la main sur son genou, suspicieuse, avant de lever les yeux vers lui. "Honnêtement Booth, ça devient ridicule. Combien de temps allez-vous continuer cette plaisanterie ? Ça n'amuse personne."

Booth enleva sa main de la jambe de sa partenaire et la passa derrière sa tête confortablement. "C'est là où vous avez tout faux, Bones. Ce que vous continuez à ne pas comprendre, c'est que ce n'est pas une plaisanterie." Il ferma ses yeux, un petit sourire ornant ses lèvres.

Brennan le regarda fixement quelques instants avant de reprendre sa position stoïque, choisissant de ne pas pousser plus loin une bataille déjà perdue.

Ils étaient assis en silence jusqu'à ce que Kathryn s'éclaircisse la voix. "Agent Booth ? Dr Brennan ? Cullen va vous recevoir maintenant."

Booth sauta de sa chaise et attendait que sa partenaire fasse de même. Comme ils commençaient à traverser la pièce, il plaça sa main dans le bas de son dos, récoltant un regard furieux et réprobateur. Booth grimaça un sourire à Kathryn et lui envoya un clin d'œil. "J'ai tout le temps du monde," chuchota-t-il, afin que seule la secrétaire entende.

Kathryn lui renvoya un sourire sympathique. Elle savait sans doute que Booth attendrait le Dr Brennan jusqu'à la fin des temps. Mais elle ne pouvait pas s'empêcher de se demander ce serait encore assez.


"Nous devons de parler."

Booth jeta un coup d'œil au-dessus de son bureau jonché de dossiers et de paperasse pour voir sa partenaire appuyée contre le chambranle de la porte. "Ça c'est sûr, Bones."

Elle entra à grands pas et s'assit sur le siège près de lui. Elle joignit ses mains puis les appuya sur le bureau avant de le regarder carrément dans les yeux. "Vous devez arrêter."

Booth déposa son stylo et pencha la tête. "Arrêter quoi ?" demanda-t-il tout en connaissant la réponse. Cela allait être la même discussion qu'ils avaient eue durant le dernier mois.

"Arrêtez d'essayer de me faire sortir avec vous. Ce n'est pas professionnel, Booth. C'est complètement inconvenant. Et ma réponse ne va pas changer."

Booth se pencha en arrière dans son fauteuil, ne la quittant pas des yeux un instant. "Je comprends votre inquiétude, Bones. Vraiment. Mais je n'arrive pas à être d'accord avec. Je crois que 'nous en tant que couple' serait l'étape suivante la plus appropriée."

"Comment pouvez-vous dire ça ? Nous sommes partenaires. Notre travail vient d'abord, aucune exception."

Booth haussa les épaules. "Notre travail est important, oui. Mais ce n'est pas la chose la plus importante."

"Ça l'est pour moi," fit Brennan avec défi.

Booth la regarda un moment. Il ne voulait pas entrer dans une dispute pour le moment. "Malgré tout", dit-il, en essayant de reprendre la main, "une relation de ce type ne serait pas un obstacle pour notre travail."

Brennan le regarda fixement avec stupéfaction, incapable de comprendre comment il pouvait croire que c'était vrai. "Évidemment qu'une relation changerait les choses. C'est pour cela qu'il y a des règles en place. Afin de garantir le professionnalisme et limiter les enchevêtrements romantiques."

Booth gloussa. "Nous ne serions pas dans un 'enchevêtrement romantique,' Bones. Nous sortirions ensemble. Voilà comment je vois ça : je m'intéresse à vous. Depuis longtemps. Que nous sortions ensemble ou pas, ça ne va pas changer ce que je ressens. Quelles que soient les conséquences qui découleraient des sentiments romantiques qu'on pourrait se dévoiler l'un envers l'autre. Mais, pour l'instant, ils ne le sont pas. Notre performance de travail n'a pas été affectée par mes sentiments pour vous. Donc en parlant logiquement -" il lança un sourire dans sa direction "-rien ne devrait mal tourner parce que nous aurions un rencard."

Brennan soupira avec agacement. Elle avait déjà entendu tout cela auparavant. Et elle n'en était toujours pas convaincue. C'était une mauvaise idée, elle n'allait pas en démordre. "Pourquoi ne pouvez-vous pas juste laisser tomber ?" supplia-t-elle.

"Parce que je ne suis pas encore prêt à renoncer à vous," répondit-il simplement.

Brennan pencha la tête et le regarda fixement un moment. Quand il ne fit rien de plus pour clarifier son raisonnement, elle soupira avec résignation en haussant les épaules. "Je vous appelle dès que nous avons une identité."

Booth fit un signe de tête puis reprit son stylo en ouvrant un dossier pour recommencer à travailler. "J'attendrai."

Brennan marqua un temps sur le pas de la porte en entendant ces mots mais s'en fut bien vite vers le hall, sans un regard en arrière. Elle n'en était pas sûre à 100 %, mais elle soupçonnait que les résultats du labo n'étaient pas l'objet de cette attente.


"Il le fait à nouveau," se plaignit Brennan au moment où elle ouvrit la porte, apercevant le visage de sa meilleure amie.

Angela sourit. "Allez viens, Bren. Je fais des Margaritas." Elle ouvrit complètement la porte pour laisser passer Brennan.

"Il est seulement 11 heures du matin," protesta Brennan, en enlevant sa veste et suivant son amie dans la cuisine.

Angela haussa les épaules. "Donc j'ai une heure d'avance... Je peux respirer, non ? La semaine a été dure."

Brennan se hissa sur un tabouret et prit une petite gorgée de la Margarita sur le comptoir devant elle. Elle fit une grimace. "Angie, c'est vraiment fort."

L'artiste sourit malicieusement. "Juste comme je les aime, Sweetie."

Brennan commença distraitement jouer avec le sel du rebord de son verre, regardant fixement le liquide à l'intérieur.

"Donc" commença Angela, se souvenant des mots de Brennan à la porte. "Booth essaie toujours de t'emmener en rencard, hein ?"

Brennan soupira d'un air morose. "Oui", répondit-elle, paraissant complètement embêtée.

Angela ne pouvait pas s'empêcher de rire, renversant ce faisant sa boisson.

"Quoi ?" demanda Brennan confuse.

"Je suis désolée, Sweetie. Mais tu es la seule femme que je connaisse qui paraît déprimée parce que Seeley Booth l'a invitée à un rendez-vous. Toute autre femme serait exaltée."

Brennan fit la grimace. "Ces autres femmes ne travaillent pas avec lui. Elles ne doivent pas s'inquiéter d'être professionnelles et de rester dans la charte de conduite d'une agence gouvernementale."

"Oh, arrête d'être si dramatique." dit Angela en agitant sa main d'un air dédaigneux. "C'est un rendez-vous, Bren. Juste un rencard. Sors avec lui. Dinez, buvez quelques verres, amusez-vous."

"Le FBI a des règles pour ça-"

"Rien à faire du FBI. Qui se soucie ce que disent leurs directives ? Le fait que vous brisiez quelques règles rend ça encore plus sexy."

"Angie …"

"Tout ce que je dis, Bren, est que tu as passé le mois dernier à rejeter Booth pour raisons professionnelles et à cause de ce que le FBI pourrait en penser. Pas une seule fois tu n'as parlé de ton ressenti à toi."

"J'estime que ce serait problématique."

"Je sais ça, Sweetie. Je sais que tu crois que ce serait une faute. Mais que ressens-tu ?"

Brennan prit une autre petite gorgée de sa Margarita, sentant subitement un besoin d'alcool. "Je me sens... mal à l'aise. Et maladroite. Et confuse."

Angela fit un signe de tête, se penchant sur le comptoir. "Qu'est-ce qui te met mal à l'aise ?"

"C'est Booth! Nous n'avons pas ce type de rapport. Nous parlons de l'homme qui bégaie et rougit à la première mention de sexe, qui refuse de parler des femmes qu'il voit et qui craint de m'entendre parler de n'importe quel aspect de mes propres activités sexuelles. Nous avons toujours été juste des partenaires. Je ne comprends pas quand ça a changé pour lui ou ce qui l'a fait vouloir pousser notre rapport plus avant dans cette direction. Et je me sens maladroite en devant continuer à le repousser semaine après semaine. Qui le met lui-même dans cette position ? Pourquoi ne peut-il pas juste renoncer ?"

Brennan poussa son verre de côté et se mit la tête dans les bras, appuyée sur le comptoir. "Je déteste ça," marmonna-t-elle.

Angela caressa ses cheveux doucement. "Je sais."


"Désolée je suis en retard. Hodgins a eu besoin de moi pour examiner quelques résultats à l'institut." Légèrement essoufflée, Brennan s'assit dans un fauteuil à côté de son partenaire et jeta un œil à l'homme assis face à eux.

Le Dr Sweets fit tout son possible pour paraître sévère. "Dr Brennan, comme nous en avons discuté auparavant, il est inacceptable pour vous d'arriver en retard à nos rendez-vous."

Booth commença à sourire. Brennan semblait elle aussi un peu amusée par la tentative de châtiment Sweets.

Sweets continua. "Ça me donne l'impression que ces séances ne signifient rien pour vous."

"Elles ne signifient rien pour moi," répondit Brennan brusquement. "Je déteste la psychologie."

Booth ricana et envoya un sourire reconnaissant à sa partenaire.

Sweets soupira. Il détestait qu'ils doivent passer par ça chaque fois qu'ils se rencontraient. "Ce dont je voudrais discuter aujourd'hui," commença Sweets en changeant de sujet, "est le désir…persistant… de l'Agent Booth pour faire avancer votre relation vers un nouveau palier."

Brennan tourna sur sa chaise et lança un regard furieux à l'homme placé à côté d'elle. "Booth!" râla-t-elle. "Vous l'avez dit à Sweets ?"

L'agent haussa les épaules. "Peut-être que si vous vous étiez manifestée à l'heure je n'aurais pas été laissé seul avec notre psy depuis quinze minutes. Il n' pas arrêté de me tourner autour, Bones. Comme un vautour. Je devais dire quelque chose."

Brennan laissa échapper un "tsk" exaspéré et se détourna de son partenaire. Elle s'adressa à Sweets. "Je préférerais ne pas en discuter. Cela n'a aucune incidence sur notre travail et n'a pas à être abordé dans ce cadre."

Booth fit entendre un bruit de désapprobation.

"Voulez-vous partager vos pensées, Agent Booth ?" questionna Sweets.

"Non, il ne veut pas," répondit Brennan.

Booth lui lança un regard furieux. "En fait, je serais heureux de les divulguer."

Sweets semblait ravi. "Continuez s'il vous plaît," ajouta-t-il, en essayant de ne pas paraître trop curieux.

"Je trouve juste un peu amusant que le Dr Brennan dise maintenant qu'avoir ou non une relation n'aurait aucune incidence sur notre travail quand elle a passé le mois dernier à dire le contraire."

"Le mois dernier ?" répéta Sweets. Il jeta un coup d'œil à Booth. "Vous avez essayé de l'inviter à sortir depuis le mois dernier ?"

Booth haussa les épaules.

Sweets hocha la tête tristement. "Mon gars...", déclama-t-il, témoignant de la sympathie à l'agent, avec solidarité et compréhension ou de la pitié. Peut-être les deux.

"Je ne crois pas vraiment qu'il soit approprié d'en discuter ici," essaya Brennan,soudainement consciente que ses joues rougissaient légèrement.

"Bon, vous n'en parlerez nulle part ailleurs non plus, Bones. Je crois que c'est un endroit aussi bien qu'un autre." Booth reporta son attention sur le psychologue. "Vous voyez, Sweets, le Docteur ici présent a entré dans sa petite tête intelligente que si nous commencions à sortir ensemble, ça réduirait nos carrières en miettes. Et je ne suis pas d'accord avec ça." Il passa ses mains derrière la tête et se pencha en arrière dan son fauteuil avant de continuer à expliquer toutes les raisons qu'ils avaient de sortir ensemble.

Brennan ignora son discours. Il ne disait rien qu'elle n'aie pas entendu auparavant. Elle trouvait son attitude détendue et décontractée agaçante. Elle commença à évoquer affectueusement des souvenirs de ses jours pré-Booth où elle travaillait dans son labo et voyageait dans des endroits intéressants. Quand elle n'avait pas à s'occuper de choses comme les rendez-vous, les émotions et les psychologues ennuyeux. Quand elle n'était pas distraite par son partenaire beau à en crever. Comment tout était-il devenu si compliqué au cours de ces dernières années ?

"Dr Brennan ? Dr Brennan ?"

Temperance revint de sa rêverie et se concentra sur Sweets. "Hmm ?"

"Que ressentez-vous à propos de tout ça ?"

Brennan bougea, mal à l'aise, et jeta un coup d'œil à son partenaire. Il la regardait si attentivement qu'elle se sentit s'enfoncer dans son fauteuil, tout en essayant de se soustraire à son regard. "Je..."

Ses mots furent coupés par la sonnerie de son téléphone. Sauvée par le gong, pensa-t-elle. Elle se précipita pour tirer son téléphone de sa poche. "Brennan".

À côté d'elle, Booth soupira, détestant qu'à chaque fois qu'il essayait de lui parler de cela, elle réussissait toujours à trouver un chemin de sortie.

Brennan claqua son téléphone pour le refermer. "Désolée, je dois rentrer au Jeffersonnian."

Elle était déjà hors de son siège et mettait sa veste avant que Sweets ne puisse prononcer quelque protestation. "Mais Dr Brennan …" commença-t-il.

"Bones …" commença Booth.

"Je vous appellerai si on a quoi que ce soit d'important." Elle donna à son partenaire un rapide coup d'œil avant de se dépêcher de traverser la pièce et passer la porte.

Booth se balança en arrière dans son fauteuil et ferma ses yeux. Sweets le regardait fixement avec compassion. "Le fait est, Sweets," commença Booth, les yeux toujours fermés et une expression légèrement affligée sur le visage, "que Bones aime tout avoir sous contrôle. Autant elle pense que la vie a besoin d'évoluer et changer pour continuer, autant elle n'applique pas cette règle à elle-même. Elle est bien dans sa vie. Elle n'aime pas quand des gens ou des évènements arrivent et essaient de la changer. Ça la révulse. Elle n'apprécie pas d'être dans l'instabilité. Comme j'ai dit, elle tout dans le contrôle."

Sweets n'était pas tout à fait sûr de savoir que dire. Il avait un million de théories psychologiques à appliquer au Dr Brennan et son besoin de contrôle, ainsi qu'à la persistance de Booth. Mais pour une fois, il estimait que ce ne serait pas une bonne idée de mettre la pression sur Booth pour le moment. Il le sentait juste... triste et sympathique. Il était assez intelligent pour savoir qu'il y avait des fois où ses propres mots et théories ne pouvaient pas aider ses clients. Et c'était une de ces fois-là. Ainsi au lieu d'une leçon, il est resté sur ce qu'il espérait avoir été perçu comme un silence compatissant.

Après quelques minutes, Booth se leva et s'étira. "Bien,Sweets, c'était sympa. Je suis sûr qu'on se croisera dans le coin."

Sweets répondit d'un signe de tête, mais Booth s'était déjà retourné, passant la porte pour accéder au couloir. Le psy s'assit en silence quelques minutes de plus laissant aller ses pensées. Décidé, il prit son téléphone et composa un numéro.

"Brennan."

"Salut, Dr Brennan. C'est Lance Sweets."

"Booth est encore avec vous ?"

"Umm, non. Il est parti il y a peu. Dr Brennan, je crois que ce serait avantageux-"

"Désolée Sweets, je dois y aller."

Et comme ça, Sweets se retrouva à écouter le son froid de la tonalité. Il appuya sur le bouton de fin d'appel et rappela aussitôt.

Elle répondit à la première sonnerie. "Qu'est-ce qu'il y a Sweets ?"

Il refusa d'être intimidé par son ton ennuyé et froid. "Nous avons besoin de parler de ce que Booth m'a dit aujourd'hui, Dr Brennan."

Il y eut une pause. "Écoutez Sweets, j'apprécie que vous fassiez votre travail et que vous croyiez que vous savez ce qui est le mieux pour nous. Mais nous nous en sortions très bien avant que vous n'essayiez de nous aider. Nous pouvons le faire nous-mêmes."

"Eh, je ne crois pas vraiment que vous puissiez."

"Que vous a dit Booth ?"

"Je ne peux pas vraiment vous le dire, Dr Brennan. Si l'Agent Booth veut me divulguer certains renseignements ou des pensées dehors de nos séances communes, j'estime qu'il n'est pas approprié de vous donner les détails de quel-"

"J'appelle Booth."

"Dr Brennan, atten-"

La tonalité retentit une fois de plus à son oreille. Sweets abaissa lentement le téléphone et raccrocha. Il jeta un coup d'œil à son bureau vide. "Merde".

C'est tout pour cette fois. Je fais le même découpage que l'original, donc RDV au prochain chapitre... Rock on !