Salut ! Alors voilà, je viens de m'inscrire et je poste ma toute première fanfic ! Et forcément, je suis assez anxieuse… Pour tout vous dire, je n'aime pas trop le résultat… Sinon, c'est normal que ce chapitre soit très (très) court car c'est le (la ? Je ne me rappelle jamais…) prologue. Je promets d'en faire des plus longs après, enfin… Si vous aimez cette fic et qu'elle ne s'avère pas être le bazar total de la mort qui tue XD.
Donc cette fic est faite du point de vue de la tribut du un de la seconde Expiation, vous savez, celle qui a été victime du champ de force ? Qui c'est prit ça propre hache dans le crâne ?
Et je tiens à préciser que TOUT est de Suzanne Collins (sauf les péripéties de la vie de la tribut du un que j'invente en partie).
Si vous avez aimé, n'hésitez pas à reviewer, ça fait toujours plaisir ^^.
Je me suis battue longtemps dans cette arène. J'ai tout fait pour survivre, pour revoir ma famille.
Nous n'étions plus que deux, deux gosses prêts à tout pour sauver leur peau. Alors, dans le paysage mortellement féérique, notre sang écarlate coulait sur le sol. Nous étions gravement blessés, mais nous nous en fichions un peu : le principal était de tuer l'autre. Le reste, le Capitole s'en occuperait.
L'adrénaline contrôlait mon corps et j'avais l'impression d'être un animal. Mais la détermination qui se lisait dans le regard de mon adversaire m'effrayait, et j'avais bien raison de l'être. Je tenais fermement ma hache dans ma main et tentait tant bien que mal de l'envoyer dans la tête du sale gamin. C'est qu'il était rapide et agile le bougre !
Peu à peu, je me suis lassée du combat et j'ai tout simplement lancé ma hache, que le petit con a réussit à esquiver. Il est resté couché sur le sol, prit de convulsions.
Dorénavant, c'était celui qui était le moins blessé qui avait le plus de chances de s'en sortir.
Donc j'allais gagner, quoi.
J'ai essuyé mon œil crevé puis j'ai vu une masse voler vers moi. Le court instant entre celui où j'ai vu ma hache voler en direction de ma tête et celui où elle m'a fendu le crâne, j'ai réalisé une chose : que j'étais née pour mourir et que le destin n'avait fait qu'accélérer l'inévitable.
Mon corps est lourdement tombé au sol, mes cheveux châtains clairs baignant dans le sang et la cervelle. Je représentais sans doute un tableau bien effrayant.
Mais je ne suis pas morte sur le champ, non. Je suis morte après trois ou quatre secondes d'intense douleur, au moment exact où le dernier coup de canon a retentit.
Je me suis battue, j'ai tué pour survivre… Au même titre qu'Haymitch Abernathy m'a tué pour survivre.
