Rien ne m'appartient, tout est a J.K. Rowling!
Petit avertissement, avant de commencer: il y a du BL, là-dedans, alors si vous êtes un homophobe, vous connaissez la procédure à suivre. Regardez tout en haut à droite de votre écran, vous verrez un carré rouge avec un X. Ne cliquez surtout pas dessus!
Lisez, plutôt. Et j'espère que ça va vous faire changer d'avis!
Sinon, cette fic contient un nombre incalculable d'incohérences (normal, c'est une fic) avec de véritable univers d'Harry Potter. Notamment des anachronismes. Ne vous en formalisez pas, c'est le but de exercice.
Ses yeux deviennent vitreux. La Mort le gagne. Il y a échappé tant d'années, mais aujourd'hui, c'est le moment. Il est arrivé au bout du chemin. Et malgré les regrets, malgré tout le reste, il n'y a plus qu'à se résigner.
Il a été malheureux, c'est vrai, mais le fait de sombrer dans l'oubli l'attriste encore plus. Personne ne saura ce qu'il a fait toutes ces années. Personne ne lui dira jamais merci. Il est le ténébreux. Il est le méchant.
Mais voilà qu'une silhouette familière s'approche de lui. Il reconnaît son visage. Mais si les traits sont flous, il peut distinguer la couleur de ses yeux. Vert émeraude.
De si beaux yeux, qui lui rappellent la douleur, la perte et Lily Evans. Sa chère Lily. La première personne qui lui a dit, il y a de cela tellement d'années, qu'elle l'aimait. Pas comme un couple, détrompez-vous, mais comme une sœur, une amie, une mère. Et il l'a aimée, lui aussi.
Elle a été son univers. Et même si elle a choisi Potter, il l'a toujours affectionnée.
Il ne lui est jamais venu à l'idée de faire sa vie avec elle. Il l'a aimé, certes, mais pas dans le sens où vous l'entendez. Son amour a été d'une telle profondeur... Elle est devenue sa famille. Et jamais il n'aurait osé la toucher.
Son corps ne l'a pas attiré une seule seconde. Il y a eu quelqu'un d'autre, pour ça.
Mais Lily est partie. Lily est morte. Elle ne lui a laissé qu'un fils. Harry Potter. Le sosi de ce connard de James Potter. Et il aurait du le haïr. Il a le même visage que son père, il lui rappelle cet homme à tous les instants... Mais comment détester un enfants pareil. Un enfant qui lui a fait penser à lui-même à chaque fois que leurs regards se sont croisés.
Et ce Harry Potter a fini par avoir une place dans son cœur. Il est devenu important. Il est comme son fils.
Aujourd'hui, il sait quel avenir a été réservé pour lui. Il doit mourir. Harry Potter, un enfant à peine sorti du berceau (manière de parler, il a tout-de-même 17 ans) va déjà devoir donner sa vie en sacrifice. Il ne sera pas le seul, mais il sera l'un des plus jeunes. Si seulement ça pouvait être évité. Si seulement il pouvait vivre...
Il se passe alors quelque chose qui devra changer la cours de l'histoire.
Severus Snape lève les yeux vers le visage d'Harry Potter en lui disant de recueillir ses larmes. Car oui, il pleure. Ce sont des larmes d'amertume. Tous ceux qu'il aime sont morts, et le dernier d'entre eux est condamné au même sort.
Qu'aurait-il donné pour le sauvé? Il a préservé Draco en se sacrifiant, en gardant le secret de la mort de Dumbledore. Il aurait voulu avoir la chance de faire de même pour Harry.
Voilà qu'il l'appelle par son prénom. Et puis pourquoi pas?
Il va mourir, non? Peut-il se permettre un petite folie? Il est attaché à ce gamin. Si seulement il pouvait savoir à quel point il voudrait le voir vivant. Il en est arriver à haïr Dumbledore pour avoir laissé Lily se faire assassiner. Et sa haine n'est d'attisée par la mort imminente de Harry.
Il ne devrait pas avoir ce genre de pensés.
Harry bouche la fiole remplie de ses larmes. Il sait quoi en faire, c'est un garçon intelligent.
-Regarde-moi.
Il n'a pas pu s'en empêcher. Revoir ses yeux une dernière fois. Mourir en les contemplant... Si il avait eu plus de souffle, plus de temps, il lui aurait dit temps de choses.
Mais ses souvenirs le feront à sa place.
Sa vue se brouille doucement. Il meure. C'est moins douloureux que ça en a l'air.
Il va bientôt les rejoindre tous. Tous ceux qu'il aime.
?%&?%&
Harry s'est immédiatement dirigé vers la pensine. La vois de Voldemort résonne encore dans sa tête. Elle lui ordonne de se rendre, elle lui promet de laisser les autres en vie. Elle le menasse...
Il tremble de tous ses membres en se penchant au dessus de la structure en pierre. Au moment de plonger sa tête dans le bassin, la porte du bureau de Dumbledore s'ouvre et quelques silhouettes font irruption dans la salle.
Hermine, Ron et d'autres, il ne sait pas, accompagnés d'une masse floue, un fantôme, peu-être.
Et les souvenirs de Snape l'enveloppent. Il revoit son enfance, il le revoit s'approcher de sa mère, Lily. Il le revoit l'aimer. Il le revoit pleurer au moment de sa mort, la retrouver dans sa chambre. Crier, jurer contre Dieu et maudire Albus Dumbledore.
Il le revoit le protéger lui, Harry Potter. Il le revoit s'attacher. Et Dumbledore qui lui annonce qu'Harry doit mourir, qu'il est le dernier horcruxe. La douleur... Violente. La rancœur... Et puis son visage se dessine avec des contours flous.
Ce n'est pas un souvenir. C'est un message. Sa voix grave retentit dans le silence.
-Harry...
Il y a tellement d'émotion dans cette voix, elle semble lui dire « Je t'aime », elle semble lui dire « Vit ». Et elle est emplie de larmes.
-Mon dernier vœux s'adresse à toi, Harry. Je veux que tu vives, tu m'entends? Je vais te faire vivre. Voici ta dernière chance. Ce n'est pas ce qu'avait prévu Dumbledore... Il ignore la source de tout ça... Il ignore ce qui s'est passé à cette époque. Tu dois réparer ce qui a été brisé, Harry. Tu dois empêcher ce qui est arrivé. Bonne chance.
Un sourire triste se dessine sur le visage de Snape. Et Harry sent qu'il est aspiré quelque part.
?%&?%&
Harry revient à lui avec un énorme mal de tête. « Bordel, c'est quoi ce cirque? »
À sa droite, Hermione le dévisage étrangement. À côt, d'elle, Ron semble encore plus perdu qu'à son habitude (et ce n'est pas peu dire).
-Où sommes-nous?
Harry regarde autour de lui. Puis il s'aperçoit de son propre état. Il est petit, très petit. Et maigre. Il a rajeuni. De combien d'années? Il scrute le visage d'Hermione. Elle avait cet air quand elle était âgée de... 11 ans? Mais quel genre de sort Snape a-t-il utilisé?
-Avez-vous entendu le message de Snape?
Hermione fait « oui » de la tête.
-Nous sommes à Poudlard, dit-elle. Mais à une autre époque.
-Je crois que nous sommes à l'époque de Tom Jedusor, avance Harry.
Un garçon passe à côté de lui. Ils sont dans un grand couloir sombre, comme il y en a tant à Poudlard.
-Salut, James, fait-il à l'intention d'Harry.
-Pourquoi ce gars t'appelle Jack? demande Ron, avec son air d'imbécile.
Harry hausse les épaules.
-POTTER!gueule tout-à-coup une voix suraiguë.
Malfoy lui fait face, le visage rougi par la colère.
-Tu y est pour quelque chose dans ce basard, Potter? Ha! Bien sûr que si! Je vais le dire à on père, tu vas voir! Prépare-toi Potter.
Crabbe et Goyle encadrent Malfoy tels des gardes du corps.
Harry regarde Crabbe avec curiosité.
-Tu n'étais pas mort, toi?
-Ouais, répond ce dernier. J'étais un fantôme, mais en me faisant aspirer, je suis redevenu normal, je ne comprend pas trop...
-Je crois que personne ne comprend tout ça... dit doucement Hermione.
-Je pense qu'on est à l'époque où Tom Jedusor était étudiant à Poudlard, répète Harry à leur intention.
-Mais non! Gronde Malfoy. On est sûrement à l'époque où Severus était étudiant.
-De quoi parlez-vous? Je paris que nous sommes à l'époque où Dumbledore allait à Poudlard, dit Hermione.
-Ou celle où c'était Merlin, ajoute Ron.
-Il est allé À Poudlrad?
-Aucune idée.
-Mais non, imbécile, postillonne Goyle. On est forcément à l'époque de Salazar Serpentard...
-Je croyais que tout était en noir et blanc, dans ce temps-là, remarque Crabbe.
Malfoy soupire.
-Qui m'a foutu des idiots pareils? marmonne-t-il.
Des éclats de voix leur parviennent de la Grande-Salle. Ils se dirigent dans leur direction.
-Vas-y, James! Défonce-lui la gueule!
La porte est grande ouverte et des élèves de première année entrent dans la Grande-Salle tandis que ce qui a l'air d'une bataille agite toute l'assemblée.
-Ouais! James, t'es le meilleur!
Harry et les autres se mélangent parmi les élèves de première année.
Deux garçons d'à peu près 15 ou 16 ans sont montés sur une table et se frappent sur la tête avec violence. Harry sursaute en reconnaissant Snape. Et l'autre...
-Ne te laisse pas faire, James!
James... Son père.
Harry avance. Il ne peut pas laisser son père casser la gueule de Snape sans rien faire. Au même moment, McGonagall se jette pratiquement sur eux.
-Potter! Snape! Ça suffit!
Elle les sépare à elle seule. Les deux adolescents se toisent avec un air menaçant.
-Je vais te tuer, grogne Snape.
-Pas si je le fait avant, réplique James.
-Sale con.
-PD.
-J'suis pas un PD, Potter!
-J'ai dit ça suffit, intervient McGonagall d'un ton sans appel.
Snape et James s'éloignent de mauvaise grâce.
-Putain de serpent, fait James en rejoignant Sirius, Rémus et Peter.
-Et vous êtes tous les deux en retenue, ajoute la professeur de métamorphose.
Harry les entend jurer tous les deux.
-Avancez, vous tous, continue McGonagall.
Les première année sont d'abord hésitants, puis ils se décident à suivre les indications et prennent place devant la petite chaise surmontée du choixpeau magique. Il a l'air moins vieux que celui qu'Harry connaît. La cérémonie commence par une chanson, puis les élèves sont appelés. Le premier de leur groupe est Crabbe.
Il se dirige vers la choixpeau. Il est calme, Il connaît déjà sa maison. Il s'assoit, le choixpeau est déposé sur sa tête. Il y a un moment de silence, puis un seul mot résonne dans la Grande-Salle.
-Serdaigle.
Hermione ouvre grand sa bouche, mais elle ne trouve rien à dire. Quoi?
Et ça continue en ce sens... Je ne vous parle pas de la tête qu'a fait Ron en voyant sa petite-amie rejoindre la table des Poufsouffles. Goyle s'est retrouver avec Crabbe à Serdaigle, Harry a faillit faire une crise cardiaque en entendant "Serpentard" lorsqu'il s'est assis sur la petite chaise.
Malfoy s'est étouffé avec sa salive en s'assoyant auprès d'Hermione, à Poufsouffle, et Ron est allé déprimer à la table des Gryffondors.
-Ha... La malédiction des Weasley... a-t-il bougonné dans sa barbe.
Crabbe et Goyle se sont regardés, à la table Serdaigle, en se demandant si le choixpeau n'est pas un peu maboule, à cette époque.
-Pourquoi sommes-nous toujours ensemble? Demande Crabbe , la bouche pleine.
-Oh... Parce que ça sonne bien de dire « Crabbe et Goyle ».
-Ah... Je comprends, sourit Crabbe, comme si cette réponse était la plus logique qui soit.
?%&?%&
-Pourquoi suis-je ici?
Harry a mal au cœur. Il vient d'avaler tout un tas de bonne nourriture, et il lui semble qu'elle va ressortir encore plus vite qu'elle est entrée. Comme quoi ce n'est pas toujours très bien de manger nos sentiments.
Lucius Malfoy le dévisage drôlement.
-Salut, finit-il par dire. Tu t'appelle Potter?
-Oui, répond Harry.
-Eurk. Comme James Potter?
-Oui.
-Trop eurk. Ce James est un con. Double eurk. Il en pince pour cette folle de Lily Evans. Eurk suprême!
-Je ne voit pas ce qu'il y a de mal à ça.
-Ça fait de lui un traître à son sang, imbécile. Un vrai sang pur ne doit pas s'approcher des Nés-Moldus. C'est la vermine.
Plus jamais Harry ne se demandera qui a pu faire cet espèce de lavage de crâne anti-moldus à Draco Malfoy.
-Et puis mon père est tellement plus cool que le siens... Et le tiens? Il est comment?
-Eh...
-Moins bien que le miens, ça c'est sûr! Trop eurk.
Harry se fait la réflexion que le look androgyne de Lucius Malfoy lui donne vraiment l'air d'une Brabie crâneuse. Hehehe. Quel sens de l'humour il a...
Malfoy se retourne vers les Première année.
-Viens Eurky Potteurk, j'vais te montrer le dortoir. Et vous aussi, les microbes! On se grouille.
Il se lève et se dirige vers la sortie.
-Et arrêtez de me mater le cul. Je sais qu'il est beau, j'ai le même que mon père.
Harry se demande alors si Malfoy rit en faisant « Eurk eurk eurk ». Encore une fois, il trouve son humour de très bon goût.
Il aperçoit Snape du coin de son œil. Il a l'air amoché.
-Eh... Bonjour, risque-t-il.
-Bye.
Snape ne lui accorde même pas un regard.
-Ça va?
-Dégage.
-Tu t'es battu?
Ça ressemble plus à une affirmation qu'à une question.
-À ton avis?
-Avec qui t'es-tu battu?
-James Potter, qui d'autre? Ce type ne connaît que deux concepts, dans la vie :me taper dessus et draguer Lily Evans.
-De vrai? Et il est bon à ça?
-Il est très talentueux.
-Cool.
-Parle pour toi.
-Et... Il t'a déjà cassé un truc?
-Un truc? Oh non! Tout un tas de trucs!
« ...réparer ce qui a été brisé... » Oulà! Ça ne va pas être facile. Et surtout à regarder le nez de ce pauvre Snape... Tout ce boulot qui l'attend!
?%&?%&
À Gryffondor, Ron se morfond sur son propre sort. Il est déjà à la salle commune, et il regrette d'être venu si vite.
Devant lui, son père et sa mère se lancent des mots d'amour.
-On aura tout plein d'enfants!
-Gros bizou tout plein!
-Et le premier s'appellera...
-Bill!
-Non, Charlie!
-Non, Ronald!
-Non, Percy!
-Non, Fred!
-Non, George!
-Oh... Non pas ça, c'est horrible comme prénom.
-Tu as raison... Surtout pour un enfant.
-Et si c'est une fille?
Silence.
-On verra bien!
Ils se jettent l'un sur l'autre et s'étreignent avec amour.
Lupin le regarde avec bienveillance.
-Ah... L'amour...
Il se tourne vers Ronald.
-Comment t'appelles-tu?
-Ronald Weasley.
-Ah. Comme lui (il désigne son père).
-Ouais, les Weasley sont une famille très élargie.
-Je n'en doute pas. Et elle risque de continuer à s'expendre, avec les projets d'avenir de ces deux-là.
James se poste derrière Ron. Il a les cheveux plus en bataille que jamais.
-Alors, les PD? On se marre?
-Arrête de dire ça, James. C'est très homophobe.
-Oh... Ça va. Eh, toi le roux, tasse-toi un peu sur le côté.
Ron s'exécute.
-Ah... C'est ça...Mmmmm...Lily Evans...
James a les pupilles dangereusement dilatées. Il fixe une jeune fille rousse. Elle se retourne brusquement vers lui.
-Severus est plus sexy que toi, Potter, lance-t-elle sans pitié.
-Ouille, ça fesse! ricane Peter, à la droite de Rémus Lupin.
Sirius se met aussi de la partie. Il attrape une fille au hasard et l'embrasse passionnément.
-Et moi, poupée? Suis-je plus appétissant de ce bon vieux Servilius?
-Oh... Oui.
Il lâche la fille, qui va s'écraser sur le sol, puis il regarde au loin, avec un air mélancolique.
-Ah... La vie est comme une partie de Quidditch. Tu te marres bien quand ce sont les autres qui reçoivent le souaffle en pleine figure, mais quand c'est ton tour, tu rigoles moins... Servilius a du l'apprendre quand l'un d'eux lui a cassé le nez...
-Très poétique, commente James.
-Merci.
Peter applaudit comme un idiot.
James lance un regard empli de désir à Lily, puis il fait l'imitation de la panthère. La rousse se pend avec une corde imaginaire.
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Draco fixe Hermione comme si elle était la source que tous ses problèmes.
-Pourquoi sommes-nous ici?
-Je ne sais pas.
-Depuis quand ignores-tu des trucs, toi?
Il y a un silence.
-Je devrais être à Serpentard, et toi, à Gryffondor, en train de drague Sirius Black, comme dans toutes les fics où on voyage dans la temps.
-Bof... Ça me branche pas trop pour le moment. Et puis je veux d'abord réaliser mon rêve.
-Quel rêve tordu peut bien avoir une fille comme toi?
-Avoir un gay friend, bien sûr!
-Et qui ça va être?
-Eh bien... Tu n'es pas gay?
-Quoi? Pas encore!?
-On te dit souvent ça?
-Non, non... Enfin, oui, mais là n'est pas la question. C'est que J'EN AI MARRE DES FICS DÉBILES OÙ ON ME FAIT PASSER POUR UN UKE PRÉTENTIEUX ET FRUSTRÉ!
-C'est ce que tu es, non?
Draco a un moment de réflexion.
-Merde. C'est bien vu quand-même... Mais je vais encore me faire enculer pas Percy Jackson.
-Tu veux dire Harry Potter.
-Ouais ouais... Ce type là...
-Il n'est pas si mal, non?
Draco lui envoie un regard noir.
-Si tu essais de m'avoir, je te préviens tout-de-suite, ça ne marchera pas. Je ne dirai jamais de bien de Percy Jackson!
-Harry Potter!
-Ouais ouais... Potter... Et puis ça ressemble à un nom de clébard.
-Ce n'est pas gentil. Et n'oublie pas que c'est mon ami.
-Et moi, alors? Je ne suis pas ton gay friend? Mika et Xavier Dolan ont le droit de faire subir au monde entier leurs crises d'artistes incompris, alors moi, je peux bien chier un peu sur la tête de Percy Jackson si ça m'amuse!
-POTTER! Corrige Hermione.
-C'est du pareil au même!
-Non! Harry a les cheveux noirs, alors que Percy Jackson a les cheveux châtain foncé.
-Il n'a pas aussi les cheveux noir?
-Non! C'est ce que tout-le-monde croit, mais un vrai fan de Percy Jackson sait qu'il a les cheveux châtain foncé. Et puis en plus, il est américain.
-Ça sonne très américain « Potter ».
-Mais non! Et puis Percy Jackson est un demi-dieux!
-Ha... Potter serait un demi-dieux...
-Et puis Percy Jackson appartient à Rick Riordan, alors qu'Harry Potter...
-M'appartient.
-Tu... Non... Tu es...
-Oui!
-Tu es J.K. Rowling!
-Eh oui!
-Pas possible!
-Ça t'en bouche un coin, hein?
-C'est fou, je me l'imaginais tellement différente. Blonde, oui, mais...
-Hehe! Je suis un garçon plein de surprises!
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À Serdaigle, Crabbe et Goyle s'épanouissent joyeusement.
-Alors, Goyle, qu'est-ce qu'on fait?
-Sais pas, Crabbe.
Xénophilius Lovegood s'approche d'eux, un grand sourire étalé sur les lèvres.
-Avez-vous déjà vu le bonhomme sept-heures? demande-t-il.
-Ouais... Et la fée clochette, aussi. Tu veux que je te montre?
-En vrai?
-Ouais. La voilà.
Crabbe balance son poing au visage du pauvre Lovegood.
-Vous avez raison! Je vous ses étoiles! Oh! Merci, merci les copains!
Il est aux anges.
Mais le lendemain, il se réveillera avec un mal de crâne énorme. Il se dira tout-de-même que ça en valait bien la peine.
Après relecture, je me rends compte qu'il ne se passe pas grand chose dans cette fic... Au pire... Dîtes-moi ce que vous en pensez!
