Bonjour à toutes!
ça faisait très... très longtemps que j'avais arrété d'écrire. Genre huit ans... et d'un coup... tiens ça serait rigolo si yavait une fille... il lui arriverait ça... et ça... Et PAF me revoilà!
Pour celles qui me connaissent, toutes mes excuses pour vous avoir lâchées en plein suspsens sur d'autres fic. Sachez que là, j'ai déjà écrit les ¾ de l'histoire XD
Pour celles qui ne m'ont jamais lu, mon concept c'est « plus l'héroïne a souffert, plus je prends mon pied à écrire »... et là... j'ai pris un pied d'enfer...
Certaines scènes peuvent choquer les âmes les plus... normales ^^ Bienvenue dans le monde de la pédophilie. J'ai écrit ma fic en croisant les doigts pour que vous veniez me crier dessus que je suis cinglée et à enfermer ah ah ah
J'espère malgré tout que vous prendrez autant de plaisir à me lire que j'en ai pris à écrire.
XOXO
Prologue
Déménagement. Encore. Dieu que j'aime les déménagements.
Même si je ne sais jamais où l'on va, pour combien de temps ni à quoi ressemblera ma chambre. La seule chose qui reste immuable durant nos déménagements, c'est l'air frais. Il ne le sait pas, il ne l'a toujours pas vu, et je ne compte pas franchement lui dire, mais la carrosserie a pris un méchant coup, la tôle a bougé et laisse passer de l'air frais dans le coffre. C'est mon seul moment de plaisir lors des déménagements. C'est mon seul moment de plaisir dans ma vie: après être jetée et enfermée dans le coffre de sa berline et que l'on roule des heures pour changer de cachette, l'air vient caresser mon visage. Pas cet air rance et poussièreux dont j'ai l'habitude. L'air frais des campagnes.
Alors qu'il se vide à nouveau en moi, je regarde toute la poussière qui s'était envolée retomber sur le sol poisseux de ma nouvelle cave cadenassée qui sera ma nouvelle chambre jusqu'à notre prochain déménagement et je me jure qu'un jour, je le tuerai. Que plus jamais personne ne me fera de mal.
