Harry descendit dans le salon du Terrier, où l'attendait Mrs Wealsey. Il faillit trébucher à trois reprise dans les escalier encore glissant suite au passage de la serpillière magique, ensorcelée avec soin par Mrs Weasley. Il arriva enfin au salon et s'y assit au côté de son meilleur ami. Ron tourna la tête vers lui.

« Tu t'es disputé avec Ginny ?

nous…nous ne sommes plus ensembles.

-Sans vouloir te vexer. J'en suis heureux. Comprend-moi, vous n'arrêtiez pas de vous envoyer des piques. C'est mieux ainsi.

-Tu as sans doute raison. »

Harry soupira. Sa liaison avec la rouquine avait viré véritablement en fiasco au bout de six mois. A la fin ils ne pouvaient plus rester tous deux dans la même pièce sans que la situation dérive en éclats de voix. Et dire que tout avait commencer comme un conte de fée. Le brun fut tirée de ses pensées par la main de son ami sur son épaule. Son ami arborait un sourire qui se voulait réconfortant.

« Aller viens j'ai une personne qui voulait nous voir. Mais si nous restons encore là il n'est pas près de voir noter venue.

- Il s'agit donc d'un homme.

-Stop je ne dis plus rien. Ou tu vas savoir de qui il s'agit. »

Harry rit et suivit son ami dehors. Ils prirent leurs envols sur leur balai rester à l'entrée. Ron l'emmena dans un coin de Londres où plusieurs appartement s'alignaient. Ils entrèrent dans le numéro 7, montèrent au cinquième étage, et frappèrent à la deuxième porte. Une tête châtain pointa alors le bout de son nez. Et trois immenses sourires naquirent sur les trois visages.

« HARRY !

-NEVILLE ! »

Les deux amis s'enlacèrent à s'en étouffer. Puis Neville les invita à entrer. Ils discutèrent durant un long moment de tout et de rien. Des cinq dernier mois qu'ils avaient passé loin des autres. Harry appris à son ami sa rupture avec la sœur du roux. Ce qui n'attrista pas vraiment l'ancien gryffondor.

« Au fait, vous ne devinerez jamais qui j'ai aperçus à trois rue d'ici.

- Ah quoi bon nous faire tourner en rond. Dis-nous le.

- Nos chers ancien camarades de Poudlards Serpentards. Autrement dit Draco Malfoy et Blaise Zabini. Il y avait aussi Pansy Parkinson.

- Super…t'en a d'autre comme ça à nous annoncer ? Enfin c'est pratique tu nous indique les rues à ne pas fréquenter. »

Les trois amis rirent ainsi jusqu'au soir. Puis Ron et Harry prirent le chemin de la porte. Neville avait également prit son manteau.

« Où vas-tu ainsi ?

- Je vais aller faire quelque achat au magasin approximatif.

- Sois prudent.

- Que voudrais-tu qui m'arrive ? »

Il salua ses amis de la main et les regarda s'éloigner dans les airs. L'ancien gryffondor marcha jusqu'à atteindre une petite rue assez sombre. Puis il retomba sur une place bien éclairer. Avant même qu'il pu entrer dan le magasin une petite fille en robe rose pâle s'avança vers lui. Elle avait les larmes aux yeux. Neville la remarqua et la regarda gentiment, la douceur était la clé maîtresse chez Neville. Il ne savait pas agir autrement. La fillette aux cheveux blond ,coiffer en deux couette sur le côté, agrippa timidement la manche de son vis-à-vis.

« Tu es perdue ? »

La petite fille hocha la tête. Elle lui montra un chemin.

« Je…je suis passer par la mais avant je ne sait plus.

-bien…allons y. Peut-être que la mémoire te reviendra. »

Il lui sourit pour la rassurer et lui tendit la main. La petite main vint trouver la sienne. Le châtain la tirait gentiment et s'engouffra dans la ruelle que lui avait indiquer la fillette. Mais arriver au bout la rue n'était qu'un…qu'un cul de sac. Et la fillette lâcha sa main, lorsque Neville voulu la regarder, il la vit en compagnie de quatre hommes. Et l'atmosphère devint pesante. L'un des homme prit la paroles.

« Merci Abi de nous avoir aider. Maintenant rentre a la maison.

-Oui papa. »

La petite fille fila dans la direction opposé de Neville, qui était littéralement terrorisé.

« Tu veux jouer avec nous ? »

L'homme lui grippa le bras et le plaqua violement au mur. Pendant que l'un maintenait ses mains un autre prenait soin de défaire la pantalon de la victime en se mettant entre ses jambes. Neville se fit retourner violement et sa tête cogna durement le mur. A moitié sonner il suivait avec horreur ce que faisait les hommes. Essayant de se débattre et d'hurler il se prenait des coup. L'un des homme arriva à trouver son anus et introduisit son sexe à l'intérieur. Le cœur de Neville se stoppa net, il eu comme une décharge électrique. Un hurlement franchit ses lèvres ce qui déplus fortement à celui qui était en train e le prendre. Il prit ses cheveux en main et abattit son crâne contre les brique. Un son fit deviner à ses agresseur que son nez était fracturer. La tête de l'ancien gryffondor avait l tête qui tournait il sentait du sang couler de tout son corps. De son nez, de son front et de postérieur. Il sentit l'homme accéléré le rythmes et il l'entendit haleter plus fort en héméralope des petits cri d'animaux. L'agresseur s'immobilisa et cria de jouissance. Il se retira sans douceur, et quand Neville cru enfin que c'était finit un autre prit place,mais il retourna pour qu'il lui fasse face. Il souleva les deux jambes du châtain, l'adossa au mur pendant qu'encore deux autres le maintenait et il entra en lui sans se faire prier. Cela parut durer des heures au pauvres gryffondor. Il dû d'ailleurs s'évanouir car quand il rouvrit les yeux il étaient seul. Mais ce qui était sur, c'était que les quatre hommes l'avaient violer a tour de rôle. Et ils s'étaient servi d'une petite fille pour ça.

Neville sortit enfin de la rue. La tête lui tournait, il ne tenait plus sur ses jambes. Il chancelait à chaque pas et les larmes ne cessais de couler de ses joues meurtries pleine de bleus et de sang sec. Il longeait les mur jusqu'à ce qu'il fonce dans une personne. Il chancela et fut rattraper par deux bras.

« Hey fait gaffe…oh les alcoolique je te jure. »

Le châtain ne reconnue pas la voix sur le coup, mort de peur il releva la tête.

« Draco regarde c'est Londubat. »

Reconnaissant Blaise il reconnu aussi le jeune homme qui le tenait. C'était Draco Malfoy. Neville voulu se reculer mais il ne réussi qu'a s'évanouir dans les bras du blond.

« C'est quoi ça ?

-On dirait du sang, non ?

-Il en est maculé. Qu'est-ce qu'il lui est arriver ?

-Ses habits sont déchirés…il est couvert de sang…en tout qu'a rien qui ne me dise rien de bon. Emmenons-le. »

Blaise hocha la tête. Ils semèrent le jeune homme chez l'homme qui pourrait sans doute les éclairer.