Disclaimer : Les personnages et l'univers de The Walking Dead appartiennent à leurs créateurs.
"La série The Walking Dead est une source d'inspiration inépuisable. Chose qui semblait impossible, les créateurs de la série télévisée sont parvenus à créer un univers dans lequel les personnages peuvent évoluer à l'infini. Rien n'est dicté, rien n'est figé, tout évolue. On croirait entendre un vieux scientifique. The Walking Dead, c'est de la création à l'état pur. Si vous connaissez la série, vous saurez sans doute ce qu'il s'est passé dans tel ou tel épisode, mais j'ai voulu changer ça. Le principe d'une fan-fiction est d'écrire une fiction à partir d'un univers ou d'un personnage déjà créé. Celle-ci ne suivra pas l'histoire, ne suivra pas la série, ne suivra pas le court des choses. Je n'ai repris que l'univers. J'espère sincèrement qu'elle vous plaira. Parce qu'on a jamais assez de Walking Dead."
Prologue
Vous aviez déjà entendu parler des frères Dixon, avant. Ces deux hommes aux allures de délinquants, racistes, bagarreurs et solitaires.
Peu de choses importaient vraiment à leurs yeux, avant tout ça. Ils étaient seuls, bien plus seuls qu'ils ne pouvaient l'imaginer.
Il a fallu attendre que le monde tombe en ruine pour qu'ils prennent conscience de leur humanité. Alors que la plupart des survivants ont peu à peu été obligés de perdre leur sens de la confiance, de la générosité, de la compassion, de l'amour, Merle et Daryl ont trouvé dans cette fin du monde quelque chose qu'ils n'avaient jamais vraiment pensé à chercher auparavant.
Ne cherchez pas de raison, ou d'explication. Nous sommes tous des êtres humains. Mais certains, quoiqu'en dira la science, le sont plus que d'autres. Simplement parce qu'ils ont un peu plus de ce qu'on appelle communément l'humanité.
Les frères Dixon étaient de ceux-là. Quoique différents, ils se ressemblaient, et en réalité, bien plus qu'ils ne le pensaient.
...
Essayez d'allumer une bougie, lorsqu'il fait noir, que vous n'y voyez rien, et que vous n'avez aucun repère. Difficile ? Un euphémisme. Mais lorsque c'est fait, lorsque la bougie est allumée, la pièce vous semble plus éclairée qu'elle ne l'a jamais été, n'est-ce pas ?
Fermez les yeux, imaginez la lumière, que voyez-vous ?
Pour eux, c'était simple. Ils pouvaient exprimer ça en un mot.
Quatre lettres.
Et tout un monde.
Beth.
