Affliction

Ce soir là, le bar avait fait bon plein. Alors que je passai une dernière fois ma baguette sur le plan de travail, la porte claqua.

L'homme qui entra semblait fatigué et profondément peiné. Lorsqu'il enleva son capuchon, je fus capable de nommer ce visage qui ne m'était pourtant pas inconnu. Sa chevelure blonde le trahirait toujours.

Il commanda une Bière au beurre. J'allais lui expliquer que je fermai quand il me regarda droit dans les yeux. Ces yeux larmoyants sur ce visage suffirent à me faire comprendre la gravité de la situation.

Mais comme pour que cela devienne réalité. Triste réalité : «Harry est mort».