Les personnages sont à notre vénéré dieu Masashi Kishimoto. J'ai essayé de l'amadouer avec des offrandes pour qu'il me les revende, mais il n'a pas voulu… Il a simplement accepté que je les lui emprunte pour cette fiction.
Prologue :
On dit souvent que notre vie est pourrie. Eh bien, pour moi c'est la vérité. Comment ça, qui suis-je ? Vous êtes dans le bordel de mon esprit, et vous ne me connaissez pas ? Pfff… Je me présente, Sasuke Uchiha, 28 ans, co-président de Mangekyou Sharingan Corporation (aussi appelée MS corp). Comment ça, vous ne connaissez pas ? C'est la plus grande entreprise d'électronique du Japon !
… Enfin passons. J'habite à Tokyo, dans une petite villa de 1500 m². Oui, elle est petite ! Enfin je vis seul, donc ça passe… Et oui, malgré mon physique divin, mon visage doux et charmeur, mes yeux d'un noir de jais, mon corps qui transpire la sensualité... Malgré que je sois le tombeur de ces dames, je n'ai personne dans ma vie. Enfin, des coups d'un soir, j'en ai tant que je veux, mais pas plus. Je les séduis, je m'envoie en l'air toute la nuit en leur offrant le septième ciel toute la nuit (oui, je baise comme un dieu !) et je pars le matin avant qu'ils ne se réveillent. Je ne veux pas m'attacher.
Enfin, ce n'est pas le sujet… Je disais donc que, comme si ça ne suffisait pas que je sois poursuivi par des hordes de fans toute la journée, que le président de la société (alias mon propre frère, Itachi Uchiha) soit un sale sadique et que mes parents soient morts quand j'avais huit ans, il faut que je perde les clés de chez moi… Mais si, je vous assure que c'est grave…
Une main sur mon épaule et un « Monsieur » rauque me font me retourner pour découvrir… une bombe. Blond, deux yeux bleu caraïbe, un sourire gêné qui le rendait… absolument magnifique, ou diablement sexy, au choix. Je reviens à la réalité quand je vois ses lèvres bouger. Je me force à l'écouter…
« Euh… Je suis désolé d'vous déranger monsieur, vous êtes sûrement très occupé, pour ce que j'en sais, mais je…
-Accouche ! me suis-je entendu grogner.
-Euh… vous avez fait tomber ça, alors j'me suis dit que je devrais peut-être vous les rapporter… fit-il en me tendant mes clés.
-Hn… Sur ce, à jamais.
J'ai attrapé mes clés et je suis rentré chez moi en vitesse… Mais si j'avais su ce qui allait se passer, je ne les aurai pas reprises à cet inconnu… non mieux, je ne les aurai pas laissées tomber par terre.
