Bonjour à tous!
C'est une nouvelle tentative, j'ai par le passé essayé d'écrire une autre FanFiction sur un autre livre, mais j'étais plus jeune et j'avais moins de temps alors elle avait fini au oubliette ( sans jeu de mots avec le sort de J.K. Rowling)
By the way, l'univers magique dans lequel je vais tenter de vous plongez lui appartient, et les personnages principaux de mon histoire son les siens.
On admire probablement tous cette femme qui est partie de rien pour nous pondre cet univers merveilleux.
Bref, bonne lecture, je ne vous oublige aucunement à laisser vos commentaires, quoique ce serait apprécier de connaître vos opinions :)
PS: je suis ouverte à n'importe quelle suggestion, alors faire m'en part ;) et PS.2 : les fautes d'aurttografe c'est un de mes défauts (orthographes* je plaisantais)
Malgré la quantité de paperasse qui trainait sur son bureau, Harry n'avait pas du tout la tête à travailler et lorsqu'un des meilleurs Aurore du ministère de la magie passa la tête dans la porte entrebâillée agité comme si Voldemort lui-même lui était apparu, lui demanda son aide, Harry n'hésita pas une seconde. Il saisit son écharpe qui lui rappelait avec un petit vent de nostalgie celle qu'il avait porté ces longues journées d'hivers à Poudlard, puis vérifia que sa baguette était bel et bien dans le revers de sa poche et parti à la poursuite de son collègue qui s'enfonçait dans l'ascenseur. Il y avait deux femmes qui se seraient l'une contre l'autre en pleurant et quelques messages qui volaient au-dessus de leur tête. Harry se retourna vers Correst Verpos, qui regardait dans tous les sens comme s'il s'attendait à être attaquer d'une seconde à l'autre. Harry n'était pas du genre peureux, mais il jeta tout de même un coup d'œil autour de lui avant de demander à Verpos :
-Correst, peux-tu m'expliquer ce qui te tracasse à ce point-là?
Mr. Verpos, qui était un peu plus grand qu'Harry, baissa les yeux vers lui et fronça ses épais sourcils comme si Harry venait de dire quelque chose qu'il n'aurait pas dû. Pourtant, il n'avait que demander à son collègue, celui même qui avait débarqué dans son bureau quelques minutes plus tôt avec le feu aux fesses. C'est alors que son collègue extirpa de son long manteau sa baguette et la remua un peu en murmurant de manière claire :
-Isolate Silentium.
Les bruits de l'extérieur, principalement le son de l'ascenseur et des deux femmes qui continuaient de pleurnicher, semblaient se tordre, comme si quelqu'un s'amusait à modifier les sons qui les entouraient. Harry connaissait ce sort, il s'agissait en fait d'isoler les interlocuteurs de ce qui les entouraient de manière à avoir une conversation sans que personne d'autre ne puisse comprendre. Pour les deux femmes, Correst et Harry pourrait avoir une simple conversation sur la météo alors que les deux hommes pourraient avoir une conversation confidentielle. Alors que l'ascenseur s'ouvrait pour laisser entrer deux hommes du département des finances magiques, Pervos repris :
-Je suis désoler Potter pour tous se mystère, en fait je suis sur une grosse affaire qui m'A été confier par le ministre lui-même, j'ai pourtant cru que je réussirais seul… mais j'ai besoin d'un homme de confiance, j'ai besoin de toi Harry.
L'ascenseur s'ouvrit de nouveau et cette fois-ci, Correst sorti, Harry sur ses talons. Harry regarda autour de lui, rien ici ne lui paressait familier, il n'avait pas la moindre idée de l'étage où ils étaient. Tout ici était silencieux, en fait, il n'y avait personne, que des portes fermer à 2 ou 3 mètres les unes des autres le tout, dans un grand corridor qui paraissait s'étendre sur un kilomètre. Harry tenta une question :
-Je ne comprends pas Correst, pourquoi toute cette agitation? Et se sort d'isolement, est-ce vraiment nécessaire? Et comment est-ce que je peux t'aider?
Les questions se bousculaient dans son crâne, Harry commençais à être un peu exciter, cela faisait des semaines si ce n'est pas des mois qu'il n'avait pas été sur une mission plus importante que d'arrêter des petits farceurs qui se tentaient d'essayer la magie noir et qui finissaient par faire des dommages. Le bureau d'Harry était remplis dossiers contenants ce genre d'idioties. Correst s'arrêta sec, observa deux portes qui étaient face à face, puis se retourna vers Harry :
-En gros, je ne comprends pas non plus pour l'instant… Et le sort d'isolement est pour protéger le peux d'information que je détiens. Toute porte à croire qu'on m'a mis sur écoute et que ma tête a été mise à prix.
Il prit une grande inspiration, comme s'il avait manqué d'air pendant qu'il s'était exprimé. Il sorti une carte magnétique de sa poche, un peu comme celle que les moldus utilisent pour ouvrir les porte des chambres dans les hôtels, puis se tourna vers la porte qui était à leur gauche. Il inséra la carte dans la petite craque au-dessus de poigner de porte, sorti un fois de plus sa baguette et dit :
-Occulta mea.
Un déclic ce fit entendre Verpos retira la carte en la tendant à Harry.
-Je t'ai dit que j'avais besoin de toi et ce n'est pas pour remplir mes constats. Tu dois garder cette carte précieusement, la porte c'est la 17e sur la gauche, fait attention, examine bien chaque porte parce qu'il y a un système de protection installer. Toute les portes sont identiques, mais il y a parfois des fausses porte afin de s'assurer que la personne qui veut ouvrir la porte est vraiment un Aurore, par exemple, la 6e porte de gauche aujourd'hui était une fausse, il y avait une petite lune de gravé sur la poigné de porte. Si tu insères la carte dans la mauvaise porte, la pièce que tu veux ouvrir, celle de la carte, va être détruite. C'est claire Potter?
Harry avait bien compris le principe et trouvait le système assez facile mais il semblait plutôt efficace.
-Oui, c'est claire. Mais pourquoi j'ai besoin de ta carte? Demanda Harry, qui débordait encore de question
Un petit sourire sombre et triste passa sur le visage de son collègue, puis il murmura comme si ça vie en dépendait :
-J'ai besoin que tu reprennes mon enquête si je suis assassiner.
-Inconnue
