Hey ! The bimbo m'as fait encore plus aimer le couple Raymond/Kevin, du coup j'ai décidé d'écrire.

J'espère que ça va vous paire


Raymond avait semblé tendu tout le long du trajet de retour.

Kevin avait essayé de ne pas en tenir compte mais il avait craqué en arrivant.

Ça avait commencé par une demande sur son êtas, puis il avait questionné un potentiel problème avec ce que qui c'était passer plus tôt.

Mais le capitaine avait répondu que non et détourner le regard.

Le professeur, peu convaincu, avait insisté. L'interrogant du regard, lançant par-ci, par-là une question détournée.

Jusqu'à ce que son mari craque, mais pas de la manière qu'il avait imaginé.

Holt avait attrapé avec force, mais sans violence, le col de son mari et l'avait rapproché avec douceur de lui, déposant un chaste baiser sur ses lèvres.

Kevin s'était alors pris à cette tentation, embrassant timidement son homme, comme si c'était la première fois.

Leurs lèvres se séparent mais ils restent immobiles, à peine quelques centimètres les séparent. Les yeux n'arrivent pas se détacher, se fixant avec retenu et leurs souffles s'entrechoque l'un contre l'autre tant ils sont proches.

Cheddar finit par japper, cassant leurs jeux de regard.

Alors, pris d'une soudaine envie, Kevin avait pris la main de Raymond et l'avait guidé jusqu'à leur chambre, fermant la porte au nez du corgi.

Le professeur avait alors invité son mari à s'allonger sur le lit, le rejoignant aussitôt, s'appuyant sur son flanc.

Alors que leur regard s'accroche à nouveau sans rien dire, le rouquin avait sourit, murmurant qu'ils ressemblent à deux adolescents.

Souriant à son tour, le capitaine avait répondu, sur le même ton murmurant, qui s'en fichait.

Ils avaient continué un moment à se regarder avec tendresse, jusqu'à ce que Raymond fasse le premier pas, déposant un léger baiser dans le cou de son mari, juste en dessous de sa barbe.

Kevin avait soupiré d'aise, avec beaucoup de retenue, et à son tour avait déposé un baiser, en dessous de l'oreille de son mari.

La main du professeur s'était lentement glissé jusqu'à la chemise de son mari, déboutonnant le premier bouton, déposant au passage un baiser sur la peau découverte.

Le Capitaine avait fait glisser ses mains jusqu'à son amant, faisant tomber sa veste de ses épaules.

Et le reste, le reste n'appartient qu'à eux.