Bonjour, bonjour. Ceci est ma première fic, j'espère qu'elle vous plaira. Je m'excuse d'avance pour les fautes d'orthographes qu'il risque d'y avoir. Bien, petite mise au point :

-paroles des personnages

« Pensées de Eiji »

Blabla de l'auteure

Dernier point, les personnages ne sont pas à moi, ils appartiennent à… Ceux qui ont créé Prince of Tennis et dont j'ignore le nom.

Cette fic contient (risque de contenir) des scènes explicites entre homme alors si vous n'aimez pas c'est en haut à droite la petite croix blanche sur fond rouge. Merci d'avance.

Bonne lecture.

P.-S. Faites plaisir à l'auteure et laisser des reviews.

Chapitre 1

Eiji regardait par la fenêtre, ne prêtant aucune oreille au cours de géographie. A quoi ça pouvait bien lui servir de toute façon de savoir que la Russie avait perdu 25% de sa surface après la chute de l'URSS ? Il n'avait aucune envie d'aller là-bas, il faisait beaucoup trop froid et puis, l'URSS n'existait plus alors… C'était tellement plus intéressant de regarder ce qui se passait dans la cour. Par exemple, ce chat qui surveillait du coin de l'œil un oiseau posé sur la branche d'un arbre. Eiji soupira légèrement, de toute façon il faisait beaucoup trop beau dehors pour écouter un cours quelconque.

Puis, enfin, la cloche sonna et Eiji reporta son attention sur le prof juste à temps pour l'entendre dire :

-Au prochain cours, interro sur la Russie.

Le sourire du jeune tennisman se figea, il n'avait pas pris de notes… Il ne savait absolument rien sur la Russie. Dépité, il sortit de la classe, ne sachant comment rattraper ses lacunes, jusqu'à ce que son regard se pose sur Fuji. Lui avait forcément pris des notes, il suffisait des les lui demander. En quelques foulées, il rejoignit son ami.

-Hem, fit-il. Dis-moi Fuji, il se trouve que je n'ai pas été très attentif pendant le cours. Ainsi je n'ai pas pris de notes. Peux-tu me prêter les tiennes ?

Le Prodige lui sourit, les yeux demi fermés(ou ouvert) et dit :

-Dis plutôt que tu n'as pas du tout écouté.

-Euh, oui effectivement. Mais s'il te plaît, je t'en prie, prêt moi tes notes, je ferais tout ce que tu voudras après.

-Tout ce que je voudrai…

Eiji eu un léger mouvement de recule quand il vit son ami ouvrir les yeux. Ce n'était peut-être pas la meilleure des choses à faire que de promettre à Fuji tout ce qu'il voulait. Sous ses aires de gentil génie du tennis, Eiji savait que son ami était un véritable sadique complètement pervers. Malheureusement pour le roux, on ne revenait pas sur sa parole et ce qui est dit est dit.

-Oui, confirma-t'il.

-D'accord, je veux bien te prêter mes notes.

Et le brun (=Fuji, je n'avais pas envie de m'amuser à écrire châtains à chaque fois et ça sonne moins bien) sortit les précieuses feuilles pour les tendre à son ami. Eiji sourit, il allait pouvoir rattraper toutes les fois où il avait rêvassé. Il les mit dans son sac, puis les deux garçons se dirigèrent vers les courts de tennis. L'entraînement se déroula sans accro.

Une fois chez lui, Kikumaru recopia avec application les notes de Fuji. Il était un peu anxieux à la chose qu'il allait devoir faire pour satisfaire son ami. Il pouvait lui demander n'importe quoi et surtout des choses horribles comme lui donner son dessert à la cantine, porter son sac et il ne savait quoi d'autre.

« Il attire plein de gens, les filles sont folles de lui car on croit qu'il est gentil mais en vrai c'est un pervers. »

Il respira un grand coup, de toute façon il n'avait plus vraiment le choix et il continua à réviser.

Le lendemain, il put rendre ses notes au brun. Celui-ci lui sourit sans rien dire.

« Peut-être qu'il a oublié. »

Pourtant Eiji n'y crut pas trop, il ne fallait jamais sous-estimer le Prodige autant sur un court que chaque jour.

Puis, le jour de l'interro arriva. Malgré les notes de Fuji, Kikumaru peina, c'est comme ça lorsque l'on n'écoute pas en cours. Après la leçon Fuji lui demanda :

-Comment ça c'est passé pour toi ?

-Ça va, merci encore pour tes notes.

Et une nouvelle fois son ami sourit sans rien dire. Le roux se posait des questions, pourquoi ne lui avait-il encore rien demandé ? Bah, tant mieux pour lui, il pourrait garder ses desserts.

Après le cours se déroula l'entraînement, Eiji s'en donna à cœur joie. Puis, une fois le matériel rangé, il alla se changer en dernier. Dans le vestiaire, il fut surpris de trouver Fuji assis sur un banc.

-Tu attends quelqu'un, lui demanda le roux.

-Oui, toi.

-Ah… Qu'y a-t'il ?

-Quand tu as dit que tu ferais tout ce que je voudrai, tu le pensais vraiment n'est-ce pas ?

-Euh… Oui, répondit l'acrobate ne sachant pas très bien où son ami voulait ne venir.

-Bien.

-Tu as trouvé ce que tu voulais ?

-Oui.

-Qu'est-ce que c'est ?

Dans un mouvement vif le brun se leva et plaqua Kikumaru contre le mur. Il approcha son visage près de celui du roux, leurs nez se frôlaient. Fuji ouvrit les yeux et dit :

-Toi !

-Quoi !

A suivre.