Disclaimer : Rien ne m'appartient, tout est à JRK ou Bliss, sauf la traduction

Et ben voilà ma nouvelle traduction, elle sera plus lente à venir puisqu'elle est composée de trois tomes, mais rassurez vous elle est déjà terminée ainsi c'est moi qui vous ferez attendre (niark niark niark)

Harry Potter et le Pouvoir de la Trahison

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Chapitre 1

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Harry grogna et enfonça sa tête sous l'oreiller, essayant de bloquer les ronflements de Fred. Il devait rester au Terrier pour la majorité des vacances, échappant heureusement aux Dursley après une quinzaine de jours de torture à la muggle. Tante Pétunia et Oncle Vernon avaient fait de leur mieux pour l'ignorer, et Dudley (maintenant de la taille d'une petite baleine) avait pratiquement réussit à l'accuser d'utilisation illégale de magie dans la maison. Comme si Harry voulait perdre son temps à détruire en petits morceaux l'ordinateur de Dudley. Il sourit d'un air endormi alors qu'il pensait à la nouvelle Playstation en morceaux en bas des escaliers. A ce moment là, il avait pensé qu'Oncle Vernon allait le tuer, mais la preuve contre Dudley fut sa haute stature, et les parents du garçon durent accepter la vérité. Cette fois Harry était innocent.

Ron grommela dans son sommeil, en bougeant et tomba du lit avec beaucoup de bruit. Harry s'assit et fixa son meilleur ami, il continuait de dormir, et était maintenant à moitié emmitouflé dans ses couvertures sur le sol. Georges bailla et se frotta les yeux, suivant le regard de Harry à travers la pièce faiblement éclairée vers son petit frère.

« Maintenant tu sais ce que c'est de vivre avec ! » Ses dents blanche flashait dans la nuance orange de l'obscurité. Les cannons de Chudley faisait un petit somme dans leurs posters, mais l'orange fluo de leurs tenues éclairait la pièce avec un rayonnement par lui-même.

« Il peux dormir à travers tout. » Souffla Harry, en touchant sa cicatrice d'un air absent avant de jeter un coup d'œil à sa montre. Sa main lui disait qu'il était 4 h, son estomac lui disait que c'était l'heure du petit déjeuner. Pour une étrange raison, il était sans arrêt affamé depuis qu'il était arrivé ici. Ce n'est pas que Mrs Weasley ne le nourrit pas, il avait toujours droit à une troisième portion, mais il n'était pas sûr qu'il devait avoir un estomac grondant à cette heure de la nuit.

Se levant sur ses pieds, il passa par-dessus Ron et alla se pencher vers l'extérieur de la fenêtre dans la nuit. L'air était heureusement bon, et la lune argentée accrochée dans le ciel brillait comme la gelée de printemps. Bon et distant. Un gentil hululement d'une des branches extérieures le fit regarder dans les ténèbres. Les ailes fantomatiques d'Hedwig déployées traversèrent son champ de vision avant qu'elle ne vienne se percher à côté de lui, ses yeux perçants fixé sur le sol où un gnome faisait une ballade nocturne. D'un air absent, Harry regarda son ombre chancelante avant de reporter son regard vers la lune. Les étoiles autour étaient si brillantes, spécialement Mars. Cette planète activa sa mémoire, le ramenant dans la forêt interdite dans sa première année en un claquement. Il n'avait jamais découvert pourquoi les centaures étaient aussi obsédés avec la planète de la guerre cette nuit-là.

George sauta hors de son lit, un froncement inhabituel s'affichant sur son front. Cela l'effrayait lorsque Harry était comme ça. Depuis la première fois où il l'avait vu, il avait réalisé que Harry était spécial, par l'enfer, il avait été au courant du « garçon-qui-avait-survécu » depuis qu'il était assez vieux pour comprendre, mais ce n'était pas tout ce qu'il y avait sur le garçon de 15 ans aux yeux émeraudes et sa cicatrice inhabituelle. C'était comme si le monde regardait tous les mouvements de cet enfant. Il était le numéro un sur la liste à tuer de Vous-savez-qui, cela ne faisait que huit semaines qu'Harry avait été attaché à la pierre tombale avec la mort pendant au-dessus de sa tête, prête à arracher son âme avec faux de feu. Et encore, il avait survécu, au moins physiquement. Mentalement Georges n'en était pas si sûr. Il semblait être comme avant, apparemment plus heureux après qu'il ait donné le prix aux jumeaux, mais parfois il était distrait et silencieux, pas d'une façon calme, mais dans de profondes, silencieuses mais turbulentes, pensées sombres.

Prudemment, il poussa le coude du garçon, regardant les yeux verts cligner et revenir dans le présent. « Harry, tu vas bien ? »

« Ouais, je vais bien, j'étais juste en train de penser, c'est tout. »

« Tu es sûr ? Tu n'es pas toi-même. Tu avais fait tes devoirs avant même d'arriver ici, je le sais, j'en entendu Ron se plaindre que tu passais trop de temps près de Hermione. »

« Vraiment Georges, je vais bien, j'ai juste perpétuellement faim c'est tout. »

« J'ai une biscuit fourré si tu veux. »

Harry sourit en silence, pensant à Neville en canarie, « Non merci, je ne suis pas encore désespéré. »

« Allez, retournons au lit, peut être que Fred fermera sa bouche assez longtemps pour nous permettre d'aller dormir. »

Harry reposa sa tête sur l'oreiller, des pensées volant toujours dans sa tête. Une masse lourde sur son estomac le fit regarder dans les yeux ambre de Crookshanks (Pattenrond), le chat avait visiblement abandonné Hermione, qui dormait à la porte d'à côté dans la chambre de Ginny, et avait bougé pour attirer l'attention. Ses profonds ronronnements s'harmonisaient avec les ronflements de Fred, créant une mauvaise berceuse. Reposant une main contre la longue fourrure du chat, Harry laissa ses yeux se fermer, chuchotant une petite supplication avant que le sommeil ne l'emporte.

« S'il vous plait, pas de rêves ce soir, laissez-moi simplement me reposer. »

Georges se figea les yeux grands ouverts vers le plafond, les mots avaient atteint ses oreilles, déchirant son cœur, et lui glaçant le sang. Lui et Fred avait du partager la chambre de Ron pendant une quinzaine de jours, depuis que Bill et Charlie avait prit leur chambre/laboratoire, et pendant tout ce temps, il ne l'avait jamais entendu pleurer de peur, ou un mot de douleur. Harry n'avait jamais rien dit, s'il avait eut ses rêves pendant tout ce temps, pourquoi ne l'avait-il pas dit ?

La réponse était vraiment évidente, bien sûr, il ne voulait inquiéter personne, les rêves de Harry étaient un fait connu, et sa cicatrice était le meilleur détecteur de Voldemort. La dernière chose que le garçon voulait était des gens s'agiter à cause du retour du seigneur des ténèbres. Georges secoua sa tête ; Il était si fatigué, il y penserait plus demain. Lançant un dernier regard irrité vers Fred, il sentit le sommeil le gagner, ignorant de la peur et de la douleur qui avait commencé à envahir la pièce.

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« Non, ne lui faites pas de mal, s'il vous plait, pas mon petit garçon. » La voix était fragile et distante, le flash de lumière verte simplement une toile de fond de couleur contre l'horreur affichée devant ses yeux. Un dementor (un détraqueur) chancela vers lui, ces mains pleines de croûte, visqueuse se dirigeant silencieusement vers lui. Cornélius Fudge apparut à ses côtés, son chapeau melon dans ses mains alors qu'il demandait « Lui, êtes-vous sûr ? Il est destiné à être son pire ennemi, mais d'accord, je peux voir comment faire le meilleur alibi. Très bien, détruisez le. »

La capuche fut relevée, révélant le visage de Ron, ses yeux sombres remplis de désappointement. « Harry, comment as-tu pu, tu as tué Diggory, c'est de ta faute, tous ces gens qui meurent, et c'est entièrement de ta faute. »

« Non, tu ne peux pas croire ça. » Sa propre voix semblait dure et froide, indifférente.

« Toutes les preuves sont là, Harry, tu es celui qui est le moins suspecté. »

Harry se détourna de son ami, seulement pour se retrouver face à face avec Hermione, son visage était un masque d'indifférence. « Et dire que j'étais ton ami. Toi, qui aurais du être un horrible Slytherin, pas un superbe Gryffindor, tu as ta place avec Malfoy, Death-Eater. »

« Oui, un Death-Eater, tu as ta place avec nous, de notre côté, aide le seigneur des ténèbres à se relever, aide-nous à gagner Harry, aide-nous à gagner. » Pettigrew entra dans la scène, son corps humain, sa voix aigue, comme celle d'un rat.

« Rejoins-moi Harry. » Les yeux rouges luisaient dans les ténèbres ; si serpentines, c'était comme si le Basilique était revenu d'entre les morts. La silhouette fine et squelettique avança dans la lumière, une fine main tendue, « Rejoins-moi Harry, tes parents étaient des menteurs, des tricheurs. Exactement comme Dumbledore, tu recherches la lumière Harry, laisse-moi te montrer ce que tu recherches ; laisse-moi t'aider à la trouver. Dumbledore ne peut pas venir à ton aide, il est inutile, je suis puissant. Tu sais ce qui est bien Harry. »

Il se sentit avancer, insupportablement séduit.

Une partie de lui-même criait, lui demandant ce qu'il pensait que cela ferait, comment il pensait que cela l'aiderait. Ne pouvait-il pas voir les mensonges, la trahison ? Alors qu'il s'avançait plus près, Harry sentit un malaise le prendre pour la première fois, en voyant l'éclat fou dans les yeux de son ennemi.

La baguette s'allongea comme une vipère, frappant sa cicatrice avec sa pointe. Lumière. Une brillante, douloureuse lumière traversa ses yeux alors qu'un feu transperçait son crâne, frappant ses nerfs, brisant l'image riante de Voldemort en un millier de morceaux. Il tint sa tête fermement, touchant sa cicatrice du bout des doigts, sentant un liquide, et un os. Retirant sa main, il regarda le sang argenté, goûtant de son doigt, ruisselant entre ses yeux, il sentit les battements de son cœur s'accélérer, sentit ses poumons se condamner alors qu'une pression intense traversait sa cage thoracique. Essayant de rattraper son souffle, il s'étrangla, il ne pouvait pas respirer, il ne pouvait pas penser, tout ce qu'il pouvait sentir était la peur et la douleur, en voyant sa vie défiler à travers sa conscience alors que le monde devenait noir.

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Ses yeux s'ouvrirent d'un coup en grand, prenant en compte la lumière brillante de l'aube, ainsi que la réalité de la pièce chaudement colorée dans laquelle il était. Crookshanks le regarda prudemment, murmurant toujours sa berceuse. Une heure, il avait réussit à dormir pour une seule heure. Une heure emplie de terreur. Les rêves avaient été avant clairs et concis, maintenant ils étaient tordus et pervertis. Il avait graduellement, au cours du temps, réussit à s'éveiller sans crier, à ne pas par instinct toucher sa tête douloureuse, simplement dans le cas où quelqu'un le verrait et poserait des questions. Recherchant ses lunettes, il attrapa les verres et les glissa sur son nez. Se levant maladroitement, il attrapa son jean et un T-shirt, les enfilant avant de se glisser hors de la pièce, le battement du cœur encore rapide alors que l'adrénaline quittait lentement son système sanguin.

Marchant sur la pointe des pieds dans la cuisine, il fit taire Crookshanks, qui semblait insisté à vouloir le suivre quelque soit sa direction. Le chat miaula silencieusement, sautant à côté de l'évier alors que Harry attrapa un verre d'eau et se percha sur la table de la cuisine, balançant ses pieds. Une patte de fourrure toucha les gouttes d'eau cristalline qui tombait du robinet, mesurant le silence de la pièce. Harry était perdu dans ses pensées, ignorant le sneakoscope qui gisait abandonné à la surface, tournant gentiment, brillant légèrement, son esprit était sur d'autres choses. Il regardait, alors que le feu d'une aube d'été éclairait l'horizon, lentement le soleil brillant, montrant son visage à la fin de la nuit. Cela allait être un autre jour chaud, assez rare en Angleterre, quelque chose qui doit être chérit.

Attrapant une pomme du panier de fruits, il mordit avidement dedans, marchant vers la porte arrière et sur la pelouse humide de rosée. Ses pieds nus protestants contre le froid, les orteils se recroquevillant légèrement sur le sol doux. S'asseyant dans un rayon de soleil, il mangea en silence, jouant négligemment avec Crookshanks, souriant aux antiques miaulements du félin. Levant un doigt vers sa cicatrice, il le fit descendre la ligne irrégulière, emportant un résidu pâle argenté brillant comme de la poussière de diamant. D'étranges choses arrivaient, et aucune d'elles ne semblait bonne.

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« Surveillez-le. » siffla la voix froidement, « Vous ne comprenez pas l'intensité de son pouvoir, s'il survit sa prochaine année, il grandira en force et en connaissance, chaque jour, où vous échouez il devient plus dur à vaincre. »

« Oui, Seigneur, je suis très désolé. Nous devrions l'avoir bientôt. » Pettigrew se releva du sol, reprenant sa place parmi ses compagnons Death-Eater.

« Mon seigneur. » gronda une voix des profondeurs, ne s'associant à aucun visage.

« Ceux qui sont autour de lui sont faibles ; ils sont méfiants par rapport au garçon, soupçonneux de chacun. Leur manque de confiance est une faiblesse, une faiblesse que nous pouvons utilisé pour détruire le garçon. Il a même des doutes sur lui-même, des doutes de son intégrité. »

« Un bon point, frère. » Le Seigneur des ténèbres gronda de là où il se tenait, une main squelettique serrant sa baguette, comme s'il craignait qu'elle lui soit retirée. L'autre main reposée sur la tête d'un sceptre, en forme de serpent, ses yeux brillant de mille feux, ses crochets luisant de malveillance dans l'obscurité environnante. « Trouvez plus, peut-être qu'il est temps pour le garçon-qui-a-survécu, de devenir le garçon qui a trahi. »

Lord Voldemort se détourna de ses mignons, ses robes se froissant alors qu'il marchait dans les ténèbres, il aimait l'idée. La pensée de Dumbledore, entre tous, se tournant contre leur seul espoir, leur seul sauveur, était à savourer. Gloussant gentiment, il ferma ses yeux. Le soleil ne brillait jamais ici, la faible puissance de la lumière était écrasée par les ténèbres oppressantes, la main du diable.

« Harry Potter, il est temps de mourir. »

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Fred bailla et s'assit, se frottant les yeux alors que la chaude lumière solaire traversait la pièce. Les canons de Chudley étaient déjà en train de s'entraîner au Quidditch, riant silencieusement à l'intérieur de leurs images. Se levant, il se dirige vers la fenêtre, criant de surprise alors qu'il marchait sur quelque chose gisant sur le sol.

« Ow ! »

« Désolé Ron, pourquoi es-tu sur le sol ? »

Son plus jeune frère cligna des yeux légèrement dans les vapes, voyant le plafond de sa chambre d'une toute nouvelle perspective. « Sais pas, j'ai du tombé du lit. »

S'asseyant, il massa sa tête et souleva ses couvertures, s'enchevêtrant dedans pendant un moment avant de se libérer de leurs plis. « Est-ce que tu as remarqué quand Harry s'est levé ? » demanda-t-il au plus vieux des jumeaux, dirigeant sa tête dans la direction du lit défait.

« Aucune idée »

Un frappement sur la porte sortit Georges de sa contemplation, le faisant grogner de surprise. « Qui est ce ? »

« Moi et Ginny, es-tu décent ? » demanda la voix d'Hermione à travers la porte.

« Est-ce qu'un pyjama compte comme décent ? »

« Ca ira. » Elle ouvrit la porte, clignant des yeux à la lumière orange avant de s'asseoir sur le lit de Harry. « Vous saviez qu'il est 11 h 15 ? »

« Quoi ? » George s'assit précipitamment, « Qu'est-ce qui ne va pas avec maman ? »

« Rien, » Ginny soupira, « Elle a simplement décidé de laisser ses précieux chéris se reposer, c'est tout. »

Georges fit une grimace, il y avait quelque chose qui l'inquiétait, quelque chose sur le bout de sa langue, une inquiétude désespéré d'être exprimé, il ne pouvait simplement pas savoir quoi.

Fred jeta une paire de jeans à son jumeau et esquiva Bill, qui accusait tout ceux en vue d'avoir mangé la dernière pomme. « Je ne peux pas le croire, la dernière ! Et c'était une bonne verte, elle m'attendait ! »

« Je pensais que tu étais trop cool pour manger un fruit. » affirma Ron ; souriant alors qu'il fit cliqueté la boucle d'oreille de son plus vieux frère. Ils étaient facilement de la même taille maintenant, ce qui semblait quelque part rendre plus dépressif le plus vieux Weasley.

« La ferme Ronnykins (trouvais pas un mignon diminutif, ouvert aux suggestions), Où est Harry ? »

« Nous ne sommes pas sûr, nous étions sur le point de le découvrir. » répondit Fred alors qu'il revenait dans la pièce.

« Harry ! » cria George, puis se rappelant soudainement, « Bien sûr, c'est là où il est ! »

Il ignora les regards étranges que ses frères lui donnaient et fonça en bas des escaliers, attrapa un morceau de bacon directement de la poêle brûlante et le fit jongler entre ses paumes.

« George, prends une assiette ! » Sa mère réprimanda, « Et enfile un T-shirt, il n'y a aucune fille à impressionner. »

« Oui, maman, est-ce que tu as vu Harry ? »

« Non chéri, pourquoi ? »

« Ouais pourquoi ? » demanda Hermione alors qu'elle et Ron entraient dans la cuisine.

« Je pense qu'il a encore des rêves, et ce ne sont pas des rêves à propos de Cho. »

Ginny arrêta de tartiner son pain de beurre, et jeta un coup d'œil à travers la fenêtre. Elle pouvait le voir allongé dans un rayon de soleil sur la pelouse, ses cheveux sombres brillant comme de l'encre. Crookshanks était assit à ses côtés, gardant un œil sur le garçon. Clignant des yeux, elle posa le couteau à beurre, et sortit par la porte, ignorée par sa famille alors qu'ils devenaient impliqués dans une grande discussion sur ce que ses rêves pouvaient être.

Ses pieds nus trottinaient sur la pelouse. Accueillent le chat avec une rapide caresse, elle se pencha à côté d'Harry, examinant ses traits endormis. Il n'y avait aucune expression, pratiquement rigide. Il ne s'agitait ni ne se retournait ; il était simplement allongé là, acceptant n'importe quel rêve que son subconscient torturé lui offrait. Quelque chose de petit sur son front attrapa ses yeux, s'agenouillant à côté. Elle ne vit pas une paire d'yeux, la regardant de la haie, et n'entendit pas un grondement silencieux alors qu'elle se prépara à toucher la cicatrice de Harry.

Elle sentit de la chaleur et retira sa main, le visage pâle, fixant la gouttelette qui brillait vers elle d'un ton moqueur, écarlate contre sa peau blanche. Cela devenait mauvais ; Elle ne s'était jamais attendue à ça, pas avant un million d'année ! Avec un soupir, elle frissonna, la pensée la faisant reculer. La goutte tomba de son doigt s'écrasant sur le sol, teintant les brins d'herbe avec l'horrible tâche de sang.

Le Seigneur des ténèbres était vraiment revenu au pouvoir, avec l'intention de détruire ses ennemis, et Harry avait déjà commencé à souffrir, se levant sur ses pieds, Ginny se retourna vers la maison, elle devait le dire aux autres, quelque chose devait être fait. Elle ne vit pas la louve argentée tapit dans les broussailles, elle ne vit pas un chien noir à côté de lui, haletant dans la chaleur de l'été… La paire de canins attendait, en regardant. Ils savaient que le temps était venu mais ils feraient tout ce qui serait en leur pouvoir pour arrêter la Destiné de faire sien le garçon-qui-a-survécu.

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A/N : Et voilà le début d'une nouvelle traduction, vous avez aimé ???? Si oui dites le, sinon dites-le aussi (je vais pas traduire une histoire de 91 chapitres au total si vous ne l'aimez pas)

Dod : c'est sur elle va pas se décarcasser (couchez, Ducros) pour rien.

Je vais traduire en parallèle une histoire de Severitus 'Le pêché d'un père' qui devrait arriver sous peu

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A venir : Qu'est ce que Voldemort a prévu ? Pourquoi la cicatrice d'Harry saigne, qui sont le chien et le loup (comme si il y avait besoin de demander) ? et qu'est ce qui attends Harry cette année ? Découvrez le bientôt !

Dod : Dans notre prochain chapitre. A vous les studios.