Voilà ma nouvelle fic… J'ai eu une illumination un de ces soirs et l'idée m'est venue comme ça, sur le tas, donc, vu que j'ai un peu de temps devant moi avant la rentrée, j'ai décidé de réaliser tous de suite. J'espère pouvoir poster à des intervalles régulier, autrement dit toutes les semaines mais ça va être chaud à partir du moment où on recommence les cours…
Bon, je vous embête pas plus longtemps avec du blabla…
Bonne lecture !
Diclamer : tout appartient à JK Rowling… (snif)
Attention : Ceci est un SLASH, autrement dit il y aura une relation entre deux hommes, et un lemon (light) dans ce chapitre. Donc homophobes, je vous le dit clairement : dégagez.
Résumé : Un soir où il se balade dans la forêt interdite pour fuir ses « amis », Harry fait la rencontre d'un inconnu, élève de Hogwarts apparemment, avec qui les choses vont vite… déraper. Mais qui est ce jeune homme ? Harry le découvrira à ces dépends et sombrera dans un monde qu'on lui avait caché jusque là. slash hpdm
Chapter 1 : L'inconnu
« Il » errait seul dans la forêt interdite, comme tous les soirs depuis quelques semaines maintenant… C'était son seul refuge désormais, loin des regards curieux, désapprobateur, ou autre… Il en avait marre de tous ses gens qui voulaient lui dicter sa vie et disaient « vouloir son bien ».
« Mon cul oui » pensa-t-il amèrement. « 'Nous voulons juste ton bonheur Harry…' c'est cela, prenez moi pour un con. J'ai plus 11 ans, il serait temps qu'ils comprennent, tous ses incapable ! Je ne suis rien qu'un pion, un malheureux pion dans toute cette histoire stupide, rien qu'une image… »
Plus il y pensait, plus ça le mettait en colère. Il voulait juste qu'on lui foute la paix, un point c'est tout. Il avait déjà commencer par envoyer balader Dumbledore la semaine dernière. Ce vieux gâteau voulait qu'il prenne des cours supplémentaire avec Snape ! Snape par Lucifer ! Mais il se prenait pour qui celui-là ?
« convoqué dans le bureau de Dumbledore, tout de suite » lui avait envoyé un hibou. Ca commençait bien ! Il devait suivre comme un bon toutou les ordres de mônsieur. Et bien non, il n'irait pas tout de suite, il s'y rendrait plus tard, quand l'envie lui dirait, c'est à dire 4 jours après.
- Ah, te voilà ! j'avais perdu espoir de te voir Harry, avait dit Dumbledore.
Le Griffindor n'avait rien répondu. Pas démonté pour une noise, le directeur avait continué :
- Je voudrais que tu prennes des cours particulier avec Severus-
- Je vous arrête là. Il est HORS de question, que je prenne des cours avec ce mangemort repenti aux gros cheveux sales et répugnant. Il me déteste, je le hais plus que tout, ça s'arrête là.
Sur ce, il avait pris la direction de la porte et en l'ouvrant, était tombé sur Snape. Sachant qu'il avait entendu, il lui avait fait son sourire le plus hypocrite qu'il avait pu, parce qu'il était persuadé que le Professeur de potion ne dirait rien devant Dumbledore.
Et le voilà maintenant, à batifoler dans les herbes folles, avec papillons et grand soleil. Enfin… pas tout à fait. Il faisait nuit noir dans cette immense forêt, et seuls les rayons de la lune l'éclairaient un peu, à travers les branches condensées. Il n'utilisait pas sa baguette, pour ne pas se faire repérer, sachant que si les centaures le découvraient il finirait sûrement en brochette en guise de dîné, ou alors il servirait d'alimentation pour un feu de joie. Il voulait juste profiter de son anonymat, être vivant comme un autre, parmi tous les animaux et créatures qui vivaient ici. Une fraîche brise se déposait sur ses joues rosies par le froid, et il se dit que c'est ça qui manquait à sa vie : des moments simples et agréables.
Il marcha encore pendant bien dix minutes, jusqu'à ce qu'il entende un bruit suspect. Il s'arrêta, essayant de respirer le moins possible pour ne pas se faire repérer et sortit ses grandes oreilles aux aguets. Des pas… une silhouette qui semble humaine… un élève d'Hogwarts ?
Harry prit l'initiative de suivre cette ombre qui l'intriguait, il n'arrivait pas à reconnaître son identité dans la nuit. Mais bien vite, l'homme se sentit suivit et demanda d'un ton qui se voulait sûr:
- Qui est ce ?
Harry, ne reconnaissant pas la voix, ne répondit pas tout de suite.
La voix « Je sais qu'il y a quelqu'un , répondez ! »
Harry « Ennemi ou ami ? »
Le voix « Ami. »
Harry « Et que fait un jeune homme, seul dans la forêt la plus dangereuse d'Angleterre ? »
L'inconnu au bataillon « Je pourrais vous poser la même question… »
Harry « On peut se tutoyer je pense… »
L'inconnu au bataillon « On peut, effectivement. »
Harry « Alors, qu'est ce qui t'emmène ici ? »
L'Ami « j'suis juste à la recherche de calme et sérénité… et toi ? »
Harry « la même chose »
Après un court silence, La Voix- inconnu au bataillon- ami, reprit :
- Elève de Poudlard je présume ?
- Dans le mile.
- Je veux pas savoir qui tu es.
- Tant mieux, moi non plus.
- Mais c'est bizarre, je n'ai jamais entendu ta voix…
- Et moi donc !
VRAAAAAM
- C'était quoi ça ? demanda l'inconnu, pas très rassuré
- J'aimerais bien le savoir… On dirait qu'un troupeau nous fonce droit dessus… vite, dégageons d'ici !
Harry prit ses jambes à son cou, et une fois sortit (de justesse) de la ligne du troupeau, il se jeta au sol, à l'abri d'un buisson, son inconnu avec.
- Mais qu'est ce que… ?
- Chut
Les deux garçons tendirent l'oreille, et des voix s'élevèrent, du troupeau arrêter.
- Je vous assure que j'ai entendu des voix….
- Il n'y à personne ici, repartons !
- Et le troupeau s'éloigna à nouveau. Une fois que les bruits de sabots ne furent plus qu'un lointain murmure, Harry expliqua :
C'était des centaures. Heureusement qu'ils ne nous on pas vu.
Puis, il se rendit compte qu'il était allongé sur l'homme inconnu, sentant son souffle chaud caresser son visage. Un étrange sentiment de bien être le posséda, et quand il essaya de se relever, sa main s'emmêla dans celle de l'étranger, ce qui le troubla encore plus. Leurs corps collés l'un à l'autre et seulement séparés par des vêtements, semblaient s'appeler. Leurs lèvres se frôlèrent, et ne comprenant pas ce qui leurs arrivaient, les deux garçons s'embrassèrent, d'abord timidement, puis de façon de plus en plus passionnée. Le corps d'Harry commença à se frotter à celui du bel inconnu, qui lui répondit par un sensuel roulement de hanche. Leurs mains jointes se caressaient comme pour mieux se connaître et bientôt celles l'inconnu se retrouvèrent dans la nuque du brun, tandis que celles du brun, parcouraient le torse de l'inconnu. Harry, sauvagement attiré par ce corps, et voulant le posséder pleinement, commença à dégrafer ce qui semblait être une cape - de trop, à son goût. Puis, de fil en aiguilles, tous les habits quittèrent leurs propriétaires –comme par enchantement- ce qui laissait libre court à toute sorte d'activités, classées confidentielles. (nda : Je vais quand même vous en faire part, je ne voudrait pas que vous restiez sur votre faim tout de suite… niark niark). Harry, au début au dessus, se retrouva en dessous- apparemment le tempérament de l'inconnu était plutôt bien trempé et il ne voulait pas se laisser dominer. Se régalant de chaque secondes passées ensemble, les deux garçons léchèrent (ce qu'il y avait à lécher), mordillèrent (ce qu'il y avait à mordiller), et sucèrent… et bien, ce qu'il y avait à sucer pardi! Après une bonne demi-heure où les deux prirent leur pieds, la raison leur revint- enfin.
- Très bon tout ça, commenta la voix, tout en caressant la paume de la main d'Harry
- Ca fait longtemps que je m'étais pas sentis aussi… moi, se confia le brun
- La plénitude absolue…
- Je crois qu'on ferait mieux de rentrer… répondit raisonnablement notre Grffindor
- T'es déjà pas un Slytherin toi… J'opterais bien pour Ravenclaw…
- Peut être…
- Oui, peut être….
Les 2 étudiants se rhabillèrent, en essayant de ne pas perdre la moitié de leurs vêtements, et l'inconnu dit :
- Au plaisir de te revoir… enfin, le « voir » est à nuancer…
- Ouais !
Ils approchèrent l'un de l'autre et s'embrassèrent sensuellement avant de se quitter à contre coeur.. Ils empruntèrent chacun un chemin différent pour rentrer, et ainsi restèrent en parfait anonymat. (Enfin, ça c'est qu'Harry croyait, parce que si lui n'avait pas reconnu son partenaire, celui-ci avait su qui il était à la première parole). Il sentit son cœur se déchirer… il était tellement bien aux côté de cet homme. Même s'ils n'avaient passé que quelques instants ensemble, il lui sembla qu'il avait été plus heureux que tous les moments de sa vie réunis.
Rentrant au château, des sensations plein la tête, Notre griffindor ne fit que se remémorer ces minutes de pur bonheur. Quand il entra dans la salle commune, se fut pour découvrir une Hermione endormie sur l'un des canapés rouges. Sûrement qu'elle l'attendait comme chaque soir, veillant à ce qu'il ne lui soit rien arrivé. Potter regagna les escaliers menant à son dortoir à pas de loup pour ne pas la réveiller, mais trébucha malencontreusement sur un tabouret, qui n'avait rien à faire là.
BBBAM !
- Harry ? questionna la jeune fille, encore plongée dans les brumes du réveille
- Bonne nuit Herm', répondit-il froidement.
- Harry, où est-ce que t'étais encore passé ? et pourquoi tu rentres toujours aussi tard ?
- Bonne nuit, répéta-t-il, prêt à monter.
La jeune fille se releva et couru vers lui, lui bloquant l'entrée de son dortoir.
- Ca suffit ! On est ami, non ? Pourrais-tu juste me dire que tu es resté dans l'enceinte du château ? je me fais du souci pour toi chaque soir je te signal.
- Ecoute, ça te regarde pas OK ? je fais ce que je veux, quand je veux, où je veux, et j'ai pas de compte à te rendre, alors laisse moi. J'ai le droit d'avoir une vie dont tous le monde ne connaît pas les plus petits détails.
Et il la poussa d'un geste brusque, courra à toute blinde dans les escaliers, entra et claqua la porte derrière lui, défiant la jeune fille de le suivre.
Hermione resta un instant immobile, le regard dans le vague, puis alla à son dortoir, fatiguée de se faire envoyer balader depuis la rentrée. D'un côté, elle comprenait qu'Harry ai besoin d'espace, après la presse qui criait au scandale sur lui, la mort de son parrain, les attaques de Voldemeort, mais c'était elle, sa meilleure amie, enfin, pour ce qu'elle croyait, qu'il rejetai comme du linge sal. Elle aurait voulu l'aider, et plus elle tentait de le faire, plus il la repoussait. Tant pis, c'était la dernière fois, s'était-elle dit.
De son coté, le brun s'endormi assez vite, et c'est seulement le lendemain matin qu'il se rendit compte… qu'il avait échangé de caleçon avec son inconnu ! Le tissu était étonnement doux, du satin apparemment, et il se demandait comment diable il avait pu passer à coté de ça la nuit dernière. Il était jaune clair, avec comme motif, un serpent vert qui s'entortillait à sa cuisse, ce qui accrût sensiblement sa curiosité. « Un Slytherin ? l'un de ses élèves qui se moquent de nous à longueur de journée ? humm il risque de perdre un oeil en voyant mon caleçon rouge à vif d'or clignotant que Luna m' a offert, avec écrit « ATTRAPEUR BRILLANT» d'autant plus qu'il n'y a que 2 attrapeurs hommes dans le château : moi et… Draco ! mais si il fait une syncope et se retrouve chez Pompom, du cou je saurais qui c'est, donc c'est pas plus mal en fin de compte… »
Mais là il n'y était pas du tout ! Quand il vit le-dit caleçon, le Slytherin en question murmura « c'est bien ce que je pensais », et fut très loin de tomber à la renverse. Les seules personnes qui furent à l'infirmerie le lendemain même étaient Neville Londubat (toujours aussi habile que doué), et une première année de Ravenclaw… donc, rien d'intéressant.
Le Griffindor se ressassa sa nuit pendant plusieurs jours, puis, ne pouvant retourner tout de suite dans son lieu favoris à cause du travail, commença à désespérer… les cours étaient monotones, et il avait vraiment besoin de revoir cet étrange inconnu au bataillon…
- Potter le solitaire…!
- Malfoy, alias Lucifer deuxième du nom, répliqua-t-il
- Tu ne crois pas si bien dire, répondit le vert, en se léchant les lèvres, avec un regard provocateur.
S'il avait noté, le Griffindor aurait alors compris… mais il n'avait pas remarqué cette lueur malsaine qui crépitait au fond des prunelles du blond.
- Alors Potter, pourquoi la belette et la Sang de bourbe ne te collent-ils plus au train depuis un certain temps ? T'as coupé les ponts ?
- En quelque sorte…
- Je compatis mon vieux. Rien de tel que le mal et la luxure… ces Griffi étaient délibérément trop… Griffindor. Tu devrais te tourner vers d'autres personnes….
Luna passa à ce moment là.
- Prenons Lovegood par exemple, belle, intelligente… elle doit être sauvage dans un lit, continua Draco tout en passant ses regard sur le corps de la jeune fille.
- Serait-ce ta faon de me demander de t'arranger une relation longue durée, moi qui la connais bien ?
- Pas du tout… je suis un allumeur, je sais très bien me débrouiller seul. D'autant plus que le mot « longuedurée » n'existe pas dans mon vocabulaire. J'aime voir souffrir mes victimes d'une nuit…les voir pleurer de tous leur grands yeux, et me supplier à genoux de les garder, en me promettant leur amour éternel. Je suis la mal incarné Potter, ne l'oublie pas.
« le mal incarné ». Etonnement, Harry fut séduit par cette image qui l'attirait indéniablement. Voyant que ses paroles avaient eu de l'effet sur le Griffindor, Draco se permit un petit sourire et susurra :
- Un jour je te ferais connaître ce monde Potter..
Il allait s'éloigner quand une pensée le retint.
- Le cours de Snape, c'est dans dix minutes, pas plus tard.
Et hop il partit en un clin d'œil, sans omettre le pas félin spécial drague classe. Harry leva un sourcil de scepticisme, ce mec était délibérément taré… beau, mais taré. « beau ? fermez vos yeux, vous n'avez rien lu cher lecteurs. vous inquiétez pas je délire… je dois juste être en manque.. et c'est pas le cour de snape qui va m'apaiser »
Il se dirigea d'un pas lourd vers les cachots, sans oublier de passer par les cuisines où il se fit servir une plaquette de chocolat (ration de survie obligatoire avant deux heures douloureuses). Arrivé aux portes de l'enfer, il resta en rentrait, et regarda attentivement les Slytherin. « Qui ça pourrait bien être ? Crabbe et Goyle sont déjà exclus… donc il reste Zabinni, Flint, Malfoy .Bon, et bien j'suis pas sortit de l'auberge…Blaise est pas mal, Malfoy encore mieux, mais comme il me l'a si bien fait remarquer il jette quiconque aurait le malheur de s'approcher trop près de lui. »
L'entrée de Snape sur scène coupa court aux pensées du brun, et il du prendre son courage à deux mains pour se résoudre à se rendre dans ce cours stupide. Il s'assit au fond, seul . Comme de par hasard, le prof décida qu'aujourd'hui ils feraient équipes de deux pour réaliser une potion de leur invention.
- C'est moi qui fait les groupes ! Alors, voyons voir… Granger avec Bulstrode, Longduba avec Goyle, Potter avec Zabinni, Weasel… eu Weasley avec Malfoy …ect…
Le plan de classe se modifia, et quand tous furent en place, Snape reprit :
- Bien, le cours peut donc commencer.. toutes les instructions sont au tableau. Des questions ? personne, bien. Alors allez-y. Et pas d'étourderie Longdubat… vous avez déjà eu votre quotta de bêtises pour l'année.
Harry et Blaises s'entendaient plutôt bien, traduction : ils arrivaient à concevoir une potion sans se taper dessus, et même en se parlant de manière civilisée, ce qui n'était pas le cas de tous le monde. Draco et Ron, par exemple, qui étaient juste devant, se réduisaient à s'insulter copieusement. Excédé, Le dragon hurla :
- Tu n'es qu'un imbécile Weasmoche ! combien de fois il va falloir que je t'explique que si on met une racine de mandragore avec des tiges séchées ça rendra la potion toxique !
- C'est pas la peine de te prendre pour quelqu'un de supérieur, TU es un imbécile.
- Très bien, dans ce cas demandons à un témoin ce qu'il en pense… Potter par exemple.
Toute la classe avait suivit la scène, et maintenant l'attention générale était portée sur un certain Griffindor. Personne ou presque ne comprenait pourquoi Malfoy avait fait un choix aussi périlleux pour lui… pourtant il avait l'air confiant et sûr de lui. Il y avait quelque chose là dessous… Snape darda Harry comme s'il allait bondir sur lui, le défiant ainsi de prendre faveur du roux. Le plus concerné par contre n'avait que faire de ce qu'il dirait, c'était vraiment le dernier de ces soucis…il opta donc pour la voix de la raison.
- Ron, Malfoy a raison. Tu vas empoisonné quelqu'un avec tes talents…
Ronald n'en revenait pas ! Harry l'avait toujours défendu ! Quant à Draco, il arbora son sourire de vainqueur. Quand tous le monde revint à son travail, le blond dit :
- Alors « roony », qu'est ce que ça fait de se prendre une claque par son meilleur ami ?
- Tu risques pas de comprendre, t'auras jamais d'amis Malfoy !
- J'ai bien mieux que des amis, j'ai des amis fidèles ! Et encore un point pour moi…
- De tout façon tu vaux rien., cracha le Griffindor.
- Si seulement….
La suite du cour se fit dans un calme absolu, où Draco avait décidé de tout faire lui même, ce qui arrangeait Ron qui ne voulait pas se ridiculiser à nouveau.
« AAAAAAAAAAAhhhhh » hurla une voix.
Hermione venait de se prendre l'intégralité de sa potion sur la tête… effectivement, la jeune fille avait jugé utile de qualifiée sa partenaire de « déchet de l'humanité » quand Milicent avait contredit son raisonnement, ce à quoi la Slytherin avait répondu par un geste plus que radical. Elle avait prit son chaudron à deux mains, consciencieusement, et avait vidé la mixture jaune sur Hermione qui hurlait maintenant comme une demeurée.
- Et bien Mademoiselle Granger, ce n'est pas la peine de nous faire part de vos états d'âmes, qu'attende vous pour aller à l'infirmerie ?
Mais Hermione se rendit compte à ce moment là que la potion lui donnait d'énormes pustules vertes qui fleurissaient maintenant sur toute sa peau, comme des boutons d'or au printemps, ce qui la fit hurler de plus belle. Les Slytherin répondirent par des rires comparables à ceux des gorilles, quant aux Griffindor, ils la gratifièrent de regards compatissant. Seul Harry souriait, comme s'il trouvait la plaisanterie bien bonne. Mais, heureusement pour lui, Draco fut l'unique personne qui le remarqua, et il en éprouva un contentement digne de ce nom.
La jeune victime partit en pleurant, direction l'infirmerie…
Finalement, le jour j arriva : vendredi ! pas de cours le lendemain, ce qui signifiait… une nuit de rêve en perspective, enfin s' « il » était là… Harry se prépara mentalement, essayant de ne pas trop espérer tout en désirant intensément revoir l'inconnu. Peut-être lui demanderait-il son nom ? peut-être…
vuala, j'espère que ça vous a plu... dites moi ce que vous en pensez, ça m'aidera pour la suite! merci
Lou
