Auteur: Cassiopée

Genre: Angst

Rating: G

Disclamer: Rien ne m'appartiens. Tous est à J.K. Rowling à qui j'en veux toujours pour le meurtre( ?) de Sirius.

Résumer Générale : Sirius se bat, attend encore, derrière le voir, qu'ils viennent le chercher. °edited version°


Beyond the Veil


"Hell is more bearable than nothingness."

- Philip James Bailey


Noir. Tout était noir. Les Ténèbres les plus profondes. Il ne pouvait rien voir, rien discerner – aucune silhouette, pas même la moindre ombre, la moindre nuance. Au début, il avait tenté de passer sa main devant ses yeux, il aviat pensé que ses pupilles se feraient à l'obscurité mais il n'y avait rien à percevoir. Il n'y avait que le néant absolu.

Vide. Rien autour de lui. Pas de sol ; pas de murs ; pas de plafond. Il n'y avait pas d'air. Il n'y avait pas de temps. Pas le moindre mouvement.

Froid. Une senstaion continue et lascinante. Pas glacial, juste froid. Mais un froid dérangeant, vicieux, pour lui rappeler l'existance de osn corps endolori et engourdi.

Peur. Il devait se l'avouer, il avait peur. Plus qu'il n'aurait pensé en être capable. Plus qu'il n'aurait pensé pouvoir supporter. Cette peur l'avat immédiaitement saisi et ne le relâchait plus. Elle l'étouffait. L'enserrait. Le rendrait bientôt fou ; il savait qu'il ne tiendrais pas indéfiniment. Dans peu de temps, il se laisserais murer par elle.

Des Voix. Bien que personne ne soit là, il y avait ces voix. Ces murmures constant. Jamais un mot plus haut que l'autre. Il ne pouvait les comprendre, les identifier, les localiser mais il savait : elles parlaient pour ne pas oublier… pour se rappeler leur langue, leur histoire, leur mort. Elles faisaient parcourir sur son échine un frisson à peine contenu.

L'Éternité. Le temps n'existait pas, la mort non-plus. Mais était-il seulement mort ? Combien de temps encore errerait-il de ce non-temps ? Personne ne viendrait-il le délivrer ? jours, mois, années? Ce supplice ne connaîtrait –il jamais de fin ?

Ce sera ici, sa nouvelle prison. Il be put réprimer un sourire ironique.

Il regarda autour de lui, espérant naîvement que cette fois-ci, il pour percvevoir quelque chose. Ce fut sans surprise qu'il ne vit rien. Il se sentait seul face aux Ténèbres, malgré les voix s'obstinant dans leur réguliers murmures. Ces plaintes infinies et incomprises.

Lui non plus ne voulait pas oublier. Celui qu'il avait été. Ceux qu'il avait aimé. Ce qu'il avait fait. Il ne fallait pas qu'il se laisse aller, qu'il cède à la facile et si douce folie. Il retraça son histoire dans ça tête, ne voulant pas parler au vide. Pas comme les autres. Il valait mieux que ça.

Il ferma les yeux. Des Ténèbres, il passa aux Ténèbres. Il attendrait. Qu'ils viennent le sauver, ou que son esprit cède. Il continuait cependant à se batter, il ne devait pas laisser tomber ; cette enfer connaîtrait une fin.

Il se raconta une fois encore son histoire et celle de ses proches, remaquant que ses lèvres bougeaient, devinant que sa voix se melaient aux mumrures. Ça n'avait pourtant pas d'importance, tant qu'il se souvenait. Tant qu'il se battait. Tant qu'il se tenait prêt à retourner se battre.


Vous le savez déjà : les reviews sont très beaucoup appréciés.

C.