Spleen

C'est en lisant un poème de Baudelaire que cette idée m'est venue, en cour de Français. Dès que je l'ai commencé, j'ai pensé à notre cher Ulquiorra, même si l'enfant de la poésie est une fille.

Disclamer: Le brun appartient à Tite Kubo (et à Aizen), le poème à feu Charles Baudelaire (les bienfaits de la lune_Le Spleen de Paris).

Ratig: K

Résumé: La tristesse d'Ulquiorra.


La Lune, qui est le caprice même, regarda par la fenêtre, pendant que tu dormais dans ton berceau, et se dit : "Cette enfant me plaît."

Il y avait devant lui un homme étrange. Son aura empestait le Shinigmai, mais elle était aussi noire que celles de hollows. Il semblait jauger les Adjuchas présents comme pour en séléctionner quelques uns.

Et elle descendit moelleusement son escalier de nuages, et passa sans bruit à travers les vitres. Puis elle s'étendit sur toi avec la tendresse souple d'une mère, et elle déposa ses couleurs sur ta face.

Son regard sadique s'arrêta sur lui et il se figea. Non, ce n'était pas un Shinigami. C'était quelque chose de plus fort, de plus terrifiant, à la puissance inouïe. "Toi, je veux que tu m'accompagne..." Le jeune hollow s'avança vers lui, l'échine courbée et dit: "Oui, maître."

Tes prunelles en sony restées vertes, et tes joues, extraordinairement pâles. C'est en contemplant cette visiteuse que tes yeux se sont si bizarrement agrandis ; et elle t'a si tendrement sérrée à la gorge que tu en as gardé pour toujours l'envie de pleurer.

Il était à présent un Espada, l'un des plus puissant mais malgré sa force il ne pourrait jamais oublier qu'il s'était agenouillé sans combattre devant celui qu'il avait appelé "Maître" et que pour toujours, sa servitude crasse lui collerait à la peau. Et c'est pour ça que son silence assourdissant pleurait sa douleur.

Cependant, dans l'expansion de sa joie, la Lune remplissait toute la chambre, comme une atmosphère phosphotique, comme un poison lumineux ; et toute cette lumière vivante pensait et disait : "Tu subiras éternellement l'influence de mon baiser. Tu seras belle à ma manière. Tu aimeras ce que j'aime et ce qui m'aime." [...]

Jamais Ulquiorra ne pourrais oublier Aizen, jamais il ne pourrait être libre. Il avait renoncé à son indépendance le jour où il avait été choisis. Il décidait donc de continuer à s'enfoncer dans le poison de traître et toujours faire tout dans l'espoir que cela justifie son renoncement. En attendant, sa souffrance se murait dans son mutisme et il suivait le cour du Temps...


C'est une petite OS pour patienter . J'ai déjà écrit le Chapitre deux de SGInfirmery que j'ai coupé à un endroit qui vous fera trépigner de rage... Pourquoi? Parce que ,comme dirait Gin ,ça rapporte plus (Shiro: plus de quoi? Moi: Plus de rewiews, tien!) Il ne me reste plus qu'à finir LDT et je vous poste ça! SGI semble avancer plus vite que LDT mais ne vous attendez pas à ce que mes chapitres soit égulier: J'ai le BAC à la fin de l'année et on m'assome d'épruves communes! Et "starter", la suite de APTK va arriver en même temps: Date limite de livraison: 14/02/2010