Avertissement : cette fic, je jure de la finir mais je suis pas en mesure de dire quand ! Attendez-vous à une attente en mai-juin et une reprise en juillet (les bacheliers comprendront certainement ce que je veux dire...)
Pairing : à méditer...suggestion seront les bienvenues au cours de l'histoire
Genre : Adventure, de l'humour en arrière-fond, de la romance à prévoir mais aussi du Drama (tout un programme donc.)
Disclaimer : perso de FFVII ne sont pas à moi (dommage)mais Malika et Maria si.
Je jure que c'est pas du Mary-Sue...
Introduction
D'abord je me présente : Malika Andorre Boilereau. Même si ce que j'écris ne me concerne pas au premier chef, je préfère mettre les choses au clair de suite : ma couleur de peau se rapproche plus du cachet d'aspirine que de celui du chocolat chaud dont je me délecte à longueur de temps quoi que mon prénom laisse penser. Mes parents sont, dirons-nous, quelque peu originaux dans le choix des prénoms. Pour information, mon frère s'appelle Orphée : le paternel était dans sa période "Grèce antique". Je vous raconte même pas le nombre de fois où les profs m'ont regardé d'une drôle de tête le jour de la rentrée quand on m'appelait...
Malgré un esprit très scientifique, je pense avoir de l'imagination mais je dois avouer que le jour où j'ai reçu ce mail, elle n'a pas suffi à me fournir une explication valable. Vous serez peut-être plus doués que moi...
Données du problème : ma meilleure amie, Maria Catherine Carange de son nom avait disparu sans laisser de trace depuis bientôt un mois. Comme de bien entendu, l'affaire avait vite été classée car elle était majeure, vivait seule- parents morts depuis longtemps et sa tutrice l'avait laissé libre de ses gestes depuis sa majorité- et n'avait laissé en plus aucune trace. C'était pas une fille à problèmes et elle était réglo- sauf quand elle s'amusait à bidouiller la sécurité informatique du lycée. Affaire classée donc et sa place en cours est restée désespérement vide.
Moi, le coup de la fugue, je n'y croyais pas trop : on ne fugue pas sans raison et le passage imminent des exams du Bac n'étaient pas une bonne raison. On se disait tout-oui, je sais c'est ce qu'on dit toujours dans ces cas-là - mais le jour où elle s'est volatilisé ma Ste Maria, elle était censée aller traîner dans le quartier -au lieu de réviser sa philosophie mais je ne lui jetterais pas la première pierre- et réfléchir au jeu de rôle qu'elle voulait mettre au point, ordinateur portable en bandouillère. J'y reviendrais d'ailleurs bientôt.
L'enlèvement ? Je préférais ne pas y penser alors le meurtre ou pire, j'évitais sogneusement d'y songer. Retour à la case départ et brouillard total jusqu'à il y a quelques jours.
Donc j'ai reçu un mail et vous avez sans doute déjà compris que c'était d'elle. Super, me direz-vous quel rapport avec FFVII ? Nous on veut une fic pas tes histoires personelles !
Ben, petit un, son jeu de rôle elle voulait le faire à partir de FFVII dont je suis une fan incontestée...petit deux, elle m'expliquais gentimment en introduction de son mail qu'elle y était jusqu'au cou. Pas dans les ennuis, hein mais dans FF...quoique vu son récit, les deux points de vue restent valables.
Je vous entend déjà derrière vos écrans chercher une autre histoire à lire, découragés par mes divagations mais bon, je continue : nous sommes tous d'accord, c'est souvent classique que quelqu'un de notre monde débarque dans celui de Final Fantasy VII. Seulement, quelqu'un saurait comment on en sort ? Parce que je serais très intéressée et Maria encore plus.
Parce que là, non seulement elle est arrivée à Midgar mais en plus c'est pas vraiment une experte de FF donc je crains qu'elle s'adapte pas trop et bon...elle a réalisé un de mes rêves qui selon elle dénoterait plutôt du cauchemar : renconter un des plus beaux bishonens qu'il m'ait été donnée de voir, c'est-à-dire Kadaj.
J'ai toujours dit qu'elle avait un don pour se mettre dans des situations incroyables mais ça se limitait à affronter des profs furieux la tête haute et avec le sourire ou à être encerclé par des filles enragées qu'elle avaient obligemment remises à leur place. Je préfère pas m'imaginer les ennemis qu'elle risque de faire là-bas. Ca me donne mal à la tête et mon esprit cartésien est sur le point de donner sa démission or il me faut réfléchir un minimum et garder du sang-froid pour vous retranscrire ce que j'ai lu. Parce que j'ai pas l'intention de l'oublier et que je m'accroche à ce mail comme à une bouée de secours.
Fin de la mise au point, on peut commencer les choses sérieuses : j'en étais donc au moment où je listais mes mails : delete, lire, delete, delete, lire...c'est fou le nombre de pourriel qu'on reçoit...
Là, je vois un mail avec en sujet : "Lis-ça Mali Mali"
"Mali Mali" c'est mon surnom -e t on ne commente pas le manque d'inventivité de celui-ci merci. Et il n'y avait qu'une personne qui le connaissait, devinez qui...Donc, comme vous vous en doutez,je frôle la crise cardiaque, je me jette sur le message et je lis. Je m'attendais à une explication en règle, des excuses et j'ai pas été deçue parce que je m'attendais pas à un récit pareil. Je vous laisse juger par vous-même...
