Bienvenue sur cette fiction. Je suis toute nouvelle ici.

En lisant chacune des fics (en français ^^) du site, qui donne vraiment envie d'écrire du Dasey.

J'ai finis par avoir envie moi aussi d'écrire du Dasey. Soyez indulgents, s'il vous plaît, y'a sûrement quelques fautes aussi...

Bonne lecture =)

P.S: Comme je l'ai dis dans la description, l'histoire se passe à la fin de la saison 4, mais le prologue débute déjà très avancée dans l'histoire, les chapites suivants seront comme des flashbacks de ce qu'il s'est passé depuis la fin.

Les reviews anonymes sont maintenant acceptés =) _Merci Sammalfoy.


Disclaimer : Les personnes ne m'appartiennent pas, ils sont tirées de la série canadienne Life With Derek.


_Prologue

« Dis, tu t'en souviens? » Casey venait de faire irruption dans la chambre de ''son demi-frère'', elle venait de rentrer de son après-midi chez Emily, en passant elle avait vu que la porte de sa chambre était ouverte, comme une invitation qu'il lui faisait. Il avait senti sa présence, comme si une partie de lui revivait, mais il n'avait rien dit, il attendait que ce soit elle qui fasse le premier pas. Et comme si elle avait lu dans ses pensées, elle avait posé cette question.

« De quoi? demanda le jeune homme, il sentait cette tension qu'elle essayait inutilement de cacher, mais il lisait en elle.

- De mon arrivée ici…» éluda-t-elle, son cœur battait tellement vite, tellement fort, comme à chaque fois dès qu'elle était près de lui ces derniers temps.

« Hum… Oui, pourquoi? Il ne comprenait pas où elle voulait en venir.

- Moi, je m'en souviens parfaitement, j'ai à peine passée le pas de la porte et que je l'ai immédiatement regretté… Parce que je t'ai aperçu.

- C'est un compliment, je suppose? dit-il doucement, avec son éternel sourire en coin, qu'elle aimait tant.

- En entrant, je suis tombée sur un visage que je trouvais parfait, et mon cœur s'est emballée, il battait si vite, comme si il était près à imploser… Je n'avais jamais connu ça, et j'ai aussitôt regretté que tu sois devenu mon demi-frère… Je me souviens parfaitement de mon arrivée, parce que tu es la première personne que j'ai croisée… »

Elle avait expulsé cette longue tirade, un sentiment de libération l'envahit, mais la peur s'immisçait, parce qu'elle venait de lui ouvrir son cœur, toute la famille était en bas, que pouvait-il se passer de plus après tout? Elle était restée dans l'embrasure pendant tout son monologue, pourtant une poussée de courage l'a fit s'avancer, elle s'approcha du bord du lit.

« Case… son ton était suppliant, parce qu'elle disait tout ce qu'il savait déjà, tu crois vraiment que ton arrivée est passée inaperçue? Tous ces mots pour toi, ces ironies, ces petites insultes, cette surprotection, tu penses vraiment que je te détestais?

- Je

- Non Case, ce n'était qu'un moyen de t'éloigner de moi, une barrière contre…

- Cette attirance ?

- Tu me connais trop bien… ironisa-t-il, et maintenant? »

Pour seule réponse, elle s'approcha un peu plus de lui, son cœur s'emballait, il se releva de son lit, posa le livre qu'il avait essayé de lire, pour ne pas penser… elle s'assit, il attrapa son poignet, elle tourna la tête, l'air grave.

« Je vais partir Derek… elle avait lâchée ça comme une bombe sur lui, sur tout ce contre quoi il avait lutté, lui qui… elle qui le blessait profondément… il serra un peu plus sa main sur son poignet, elle fit une grimace signifiant la douleur, mais il s'en fichait, parce qu'il connaissait bien pire, oui à ce moment précis, il ressentait ce démon, la déchirure d'un cœur, la sombre mélancolie, et la pensée de futures journées insignifiantes sans elle.

- Tu… souffla-t-il

- Je dois le faire pour nous…

- Nous? cracha-t-il, non, il n'y a plus de nous, c'est fini. Il venait de lâcher son poignet, il ne faisait maintenant que la fixer d'un regard plus que terrorisant.

- D…

- NON! PARS! Hurla-t-il, excédé, il fallait qu'elle sort, il allait explosé de larmes cette fois, pars Casey pour la dernière fois, si tu m'as jamais aimé… » murmura le brun, elle se releva, fixant un point au loin, il ne fallait pas qu'elle craque, dans l'encadrement de la porte, se dirigeant toujours vers son refuge, elle chuchota à demi-mot. Une parole qui retentit dans toute la pièce comme un boomerang, traversant le cœur et le corps du brun comme pour le meurtrir une fois de plus « c'est bien parce que je t'aime que je fais ça… »