Hello tout le monde :)!
Me revoilà avec une nouvelle fanfiction, (ma deuxième), je sais que mon absence a été plus longue que prévue mais bon cette année
c'était le brevet pour moi, héhé et oui :D! Alors révisions, révisions...
En plus maintenant je suis sûre de ne jamais faire de carrière dans le scientifique :D!
Et puis avec l'athlétisme qui me prend tout mes week-ends je savais plus où donner de la tête...
Mais bon je suis de retour avec cette petite histoire qui j'espère vous plaira :)
N'hésitez pas à me dire ce que vous pensez de l'histoire, du style d'écriture etc...
C'est bien sûr de l'outlawqueen, certains nom comme Snow-White, Tinkerbell, Hook sont en anglais car je les préfère ainsi.
Je crois que je n'ai pas grand chose d'autre à dire, voilà :)
On se retrouve en bas ;)!
Chapitre 1 : Un stage d'été
Henry se trouvait devant un immense immeuble au beau milieu de Boston, le bâtiment devait compter plus d'une cinquantaine d'étage, sur la façade on pouvait voir plusieurs banderoles avec les noms des entreprises et société qui y siégeaient : «CBS Society », « North Way Bank », « HDA » et « Walters Studio ». Il entra finalement au bout de quelques minutes même si l'idée de s'enfuir en courant lui avait traversé l'esprit, il y était et il allait la revoir après 2 ans et demi de séparation, sa mère. Enfin.
L'anxiété lui rongeait les tripes et il n'était pas sûr d'aller au bout de son voyage. Mais il le devait, il devait la revoir, la prendre dans ses bras et lui dire à quel point elle lui avait manqué. Il ne se rappelait que trop bien ce jour où Emma était arrivé au Granny's complètement paniquée brandissant une enveloppe déchirée.
*Flash-back*
La clochette du restaurant retentit comme à son habitude, peu de gens levèrent la tête et ainsi ils ne remarquèrent pas l'expression de panique qui se lisait sur le visage du shérif qui venait d'entrer.
- SNOW ! DAVID ! Elle est partie ! Je... j'ai pas pu faire quoi que ce soit...
- Elle a quitté la ville ! Elle l'a écrit, elle est partie...
Le couple, attablé avec Henry buvant tranquillement un chocolat à la cannelle comme à leur habitude, se levèrent de leur siège et leva les mains tentant de calmer leur fille complètement hystérique. Henry qui se trouvait derrière eux se leva à son tour et la dévisagea en espérant qu'il ne s'agissait pas de la personne qu'il pensait.
- Emma, chérie, calme toi. Qui est partie ?
- Regina... elle est partie... Elle a laissé ça disant qu'elle ne reviendrait pas... souffla-t-elle, accablée tenant fébrilement la lettre dans sa main droite.
- Regina ? Oh non... C'est à cause de... Marianne ?
- Elle ne le dit pas explicitement, c'est écrit qu'elle a peur de redevenir celle qu'elle était et qu'elle préfère nous savoir en sécurité plutôt qu'auprès d'elle mais je suppose que c'est à cause du retour de Marianne qu'elle pensait redevenir la méchante reine...
- Mais elle a changé ! S'écria Henry qui était resté silencieux jusque lors. Elle n'est plus cette personne !
- Henry, écoute c'est plus compliqué ta mère souffre et...
- C'EST QUOI VOTRE PROBLEME A TOUS ? POURQUOI EST-CE QUE TOUT LE MONDE S'EVERTU A M'ABANDONNER ? JE REFUSE DE LA PERDRE ! C'EST MA MERE !
- Henry s'il te plaît...
- Henry attends !
Les appels du shérif furent inutiles l'adolescent était sortit du restaurant, les larmes aux yeux.
*Fin du flash-back*
Henry avait passé ses deux dernières années à rechercher sa mère, il avait d'abord essayé de l'appeler ou de localiser son portable mais il l'avait retrouvé sur le bord de la route près de la limite de la ville. Puis il avait recherché dans les données des grandes villes, il se disait que sa mère portait toujours le même nom ou du moins le même prénom mais rien ne fut concluant. Il continua à la chercher sans relâche durant plus d'un an puis un beau jour il trouva une certaine Regina McCogan vivant à Washington, il avait fait directement part de sa trouvaille à Emma et ses grand-parents. Ces derniers l'aidèrent à approfondir ses recherches mais son euphorie fut de courte durée lorsqu'ils découvrirent que cette femme était en réalité l'ambassadrice canadienne aux États-Unis et qu'elle était le total opposé de l'ancienne mairesse : blonde aux yeux vert-gris légèrement enrobée. Sa déception fut si grande qu'il abandonna, le couple et leur fille ne savait plus comment le réconforter, l'adolescent passait son temps dans sa chambre à lire ou écrire dans un journal. Après des heures, des journées à essayer de lui redonner le moral ses grands parents réussirent à le faire sortir de l'appartement. Leur vie reprirent tranquillement leur court même si l'on pouvait toujours voir un voile de tristesse recouvrir les yeux de l'adolescent... Trois mois plus tard lorsque l'état de Storybrook commença à réellement se dégrader : les vols étaient de plus en plus fréquents, David et Emma étaient surmenés par le nombre d'arrestations, personne n'avait vraiment repris le poste de maire depuis le départ de la brune car personne n'avait les compétences requises. Henry décida de la retrouver et de la ramener coûte que coûte. Il chercha de nouveau l'ancienne reine à travers le pays, il commença par la capitale et vérifia l'identité de chaque Regina vivant là-bas, qui était bien sûr en nombre restreint, puis il rechercha de nouveau dans les villes affluentes sachant que sa mère n'avait jamais réellement apprécié les villes en campagne que sa tolérance était des villes comme Storybrook et aussi parce qu'il était beaucoup plus simple de se cacher au milieu de la foule... Il parcourait la liste des Regina vivant à Boston lorsqu'il vit un nom qui retint son attention : Regina Carwel. Henry avait déjà entendu ce nom. Il réfléchit pendant des heures et ce n'est que 3 jours plus tard qu'il se rappela d'où lui venait cette sensation de déjà vu, l'adolescent courut au manoir Mills, enjamba les marches deux par deux pour finalement arriver dans la bibliothèque de sa mère. Il parcourut l'étagère des yeux lorsqu'il vit des dizaines de romans écrit par une certaine Lara Carwel, sa mère adoptive n'avait cessé de vanter le talent qu'avait cette femme pour l'écriture. Il s'intéressa dès lors à cette fameuse Regina Carwel. Elle était dans le secteur jeunesse des banques, elle vivait à Boston du moins dans les banlieues environnantes et n'avait apparement aucun parent, Henry s'empressa de l'annoncer à ses grand-parents qui n'eurent pas réellement la réaction qu'il escomptait, ils lui dirent qu'il ne fallait pas qu'il se fasse de fausses idées et qu'ils ne voulaient pas qu'il réagisse aussi mal que sa première déception car oui il avait mal vécut cet échec. Le garçon avait complètement délaissé son travail, il n'adressait plus la parole à sa mère biologique la portant pour responsable d'avoir fait fuir Regina, il était devenu agressif, hargneux et très susceptible.
Mais le fait que ses grands-parents ne l'avaient pas soutenu ne l'avait pas pour autant découragé. Il économisa alors pour pouvoir partir et après 2 longues années de recherche intensive il était là devant cet immeuble près à retrouver sa mère.
Il se dirigea à l'accueil et se tourna vers une secrétaire au guichet de « North Way Bank », la jeune femme était blonde et avait le visage fin.
- Hum.. Bonjour, je viens pour un entretien pour un stage d'été.
- Alors, en ce qui concerne les stages c'est avec Madame Carwel, 27ème étage, bureau numéro 13.
- Merci beaucoup, bonne journée.
- Bonne chance, lui lança la jeune femme non sans un sourire amusé.
L'adolescent prit l'ascenseur la montée lui parut une éternité. Il avait les mains moites et elle tremblaient, son estomac formait nœud et son cerveau était pratiquement en surchauffe. Le discret « ding » de l'ascenseur le ramena à la réalité et il se retrouva devant des dizaines de bureaux tous plus luxueux les uns que les autres. Il commença a chercher le numéro 13 lorsqu'il en vit la porte sur sa droite, dessus se trouvait un petit écriteau « , DIRECTRICE DE STAGE ». Il frappa d'une main fébrile et entendit au bout de quelques secondes un « Entrez ». Henry tourna la poignée et pénétra dans la pièce et il y découvrit une brune de dos trafiquant quelque chose sur son étagère.
- Bonjour, lança-t-elle, je vous en pris asseyez vous je suis à vous dans deux petites minutes.
Henry fut traversé par un énorme soulagement lorsqu'il entendit la voix de la jeune femme, c'était elle, il l'avait retrouvé. Il s'exécuta et s'assit tout en parcourant la pièce du regard.
- Je suppose que vous êtes là pour le stage d'été dans la banque ? Questionna-t-elle.
- Euh... oui c'est ça. Répondit-il calmement même si l'envie de lui dire qu'il était là pour elle était très forte.
- Bien. Bon on va commencé comme ça, je suis désolée mais cette étagère ne fait que de tomber depuis ce matin et je deviens folle alors... Elle fit tombé un dossier entier au même instant et s'abaissa pour récupérer les feuilles éparpillées par terre. Merde ! C'est pas vrai !
- Je peux vous aider ? Proposa Henry qui avait du mal à rester sans rien faire devant sa mère qui ne l'avait toujours pas regardé.
- Non ça ira merci. Alors je vais vous poser quelques questions puis on remplira votre dossier. Est-ce que vous vous y connaissez un peu en finances ? Peut-être que l'un de vos parents travaille dans ce milieu.
- J'ai désormais ma mère qui y travaille mais je n'ai pas eu l'occasion de beaucoup en parler avec elle et sinon l'autre est shérif alors...
- Je vois... C'est souvent difficile de parler de son travail ou même de parler tout court avec son enfant quand on est surmené, je sais ce que c'est...
- …
La brune se redressa découragée par son résultat catastrophique, l'étagère était encore plus penchée qu'avant et des papiers jonchaient au sol, elle les enjamba puis se tourna vers vers l'adolescent. Ce fut la douche froide pour le garçon, elle le regarda dans le blanc des yeux et ne tiqua même pas. Elle s'installa à son bureau mine de rien et remis naturellement ses cheveux en place. Elle ne l'avait pas reconnu, il devait avoir certes beaucoup changé en 2 ans et demi mais elle n'avait pas reconnu son fils qu'elle avait élevé pendant plus de dix ans. La panique s'empara de lui, et si elle avait perdu sa mémoire comme beaucoup en franchissant la ligne ? Et si elle n'avait aucun souvenir de lui ? Pas même son prénom. Il tenta de se rassurer intérieurement, elle avait lancé la malédiction sa mémoire n'avait donc pas été effacée et n'est donc pas mis en danger par la frontière, il inspira profondément et se concentra sur autre chose, qui fut l'apparence de sa mère. Elle n'avait clairement pas changé, elle avait les mêmes cheveux ébènes si ce n'est un peu plus long, les même yeux chocolats, la même cicatrice au dessus de sa lèvre supérieure et le même regard impassible bien qu'elle ait l'air beaucoup détendue que d'ordinaire. L'ancienne mairesse saisit un stylo et reporta son attention sur Henry.
- Je dois vous avertir sur certains points, premièrement les dates ne sont pas discutables et si elles ne conviennent pas avec vos loisirs alors vous pouvez directement quitter les lieux, l'adolescent sourit en attendant la brune lui exposer les règles, non, elle n'avait clairement pas du tout changé. Et quatrièmement vous ne devrez en aucun cas vous trouver dans la salle de réunion en dehors des heures de débats, compris ?
- Oui... j'ai compris.
- Bien. Bon je vais remplir votre formulaire de pré-sélection alors, votre âge ?
- 14 ans.
- D'accord, prénom ?
- Henry.
L'adolescent vit le regard de la brune s'assombrir à l'entente de son prénom et bizarrement cela lui réchauffa le cœur car pour lui cela voulait dire que sa mère ne l'avait pas oublié, elle avait donc gardé sa mémoire. Cette dernière secoua la tête, se racla la gorge et continua.
- Nom ?
- Mills. Henry Mills.
Alors qu'elle s'apprêtait à écrire la jeune femme suspendit son mouvement et leva la lentement la tête vers lui. Son regard passa de désintéressé à abasourdi, elle avait la bouche entrouverte sans qu'un seul ne puisse sortir et le fixait comme si devant elle se trouvait un fantôme. Elle était soudainement partagée entre la joie, la tristesse, la surprise et même la peur, elle posa doucement son stylo, ferma le dossier et continua de le regarder sans bouger.
- Henry... souffla-t-elle, c'est bien toi ?
- Salut m'man.
L'ancienne mairesse se leva doucement suivit de près par le garçon, contourna son bureau mais ne s'approcha pas plus.
- Qu... Qu'est-ce que tu fais ici ? Comment m'as tu retrouvé ?
- Bah j'ai cherché sur internet toutes les Regina vivant au États-Unis puis je t'ai trouvé...
- Ce que je veux dire c'est pourquoi es-tu ici ?
Le jeune homme déglutit difficilement avant de murmurer une réponse presque inaudible.
- Tu me manquais et c'est plus pareil sans toi...
- Henry... souffla la brune, tu n'aurais pas dû... Je... je t'ai pourtant dis de ne pas me chercher dans la lettre...
- Mais tu es partie du jour au lendemain, tu m'as laissé seul ! S'exclama-t-il alors que les larmes lui montaient aux yeux.
- Non s'il te plaît ne pleurs pas... Je n'ai jamais aimé te voir pleurer, sèches ces larmes... supplia-t-elle n'osant pas porter sa main au visage de l'adolescent pour les sécher. On... Je... Suis moi c'est pas vraiment le bon endroit pour parler...
Elle s'empara de son sac et de son manteau puis indiqua l'ascenseur à son fils, la descente fut un supplice pour chacun d'eux mais la jeune femme prit finalement la parole.
- Je t'en prie dis moi que quelqu'un sait que tu es là...
- …
- C'est pas vrai... Tu devrais appeler quelqu'un pour dire où tu es, ta mère doit se faire du soucis j'étais inquiète lorsque tu étais parti.
L'évocation de sa mère biologique fut comme un coup de poignard pour le garçon, Regina considérait qu'Emma était sa mère et non elle.
Les portes s'ouvrirent et la brune sortit la première.
- Attend moi une seconde. Elle s'avança au guichet où se trouvait la même secrétaire qu'Henry avait rencontré un peu auparavant. Caroline, je... je m'en vais tu diras à Simon que je rentrerais probablement tard, d'accord ?
- Oui pas de problème. Dis, ça va ? Tu as l'air toute... chamboulée...
- Henry est là... chuchota la brune.
- Henry ? Genre ton fils qui est pas ton fils et que tu as laissé avec sa mère biologique ? Mais comment ça se fait ?
- Oui ce Henry là... Je n'en sais pas plus que toi Care'... mais le fait est qu'il est là, préviens Simon pour ça aussi.
- Ok je le ferais. Courage, je sais que c'est pas facile de revoir des êtres chers qu'on a pas vu depuis longtemps, c'est comme moi mon père on s'était pas vu depuis plus de dix ans il est revenu comme ça mais on su pa... Oh merde je recommence c'est ça ?
La blonde qui avait tendance à s'étaler et dériver des conversations réussit à faire sourire Regina qui ne pouvait s'en empêcher devant sa spontanéité.
- Mais rappelles toi, tu n'es pas seule et le revoir n'est pas forcément une mauvaise chose.
Regina pris alors son amie dans ses bras puis s'éloigna, elle revint rapidement sur ses pas et rajouta.
- Ah oui... Mon étagère est cassé et mes dossiers sont éparpillés par terre si tu pouvais appeler Mark.
- T'es pas croyable ! Bon files ! Je le ferais.
Elle s'en alla définitivement et rattrapa Henry au passage.
- On va aller dans un restaurant, je suppose que tu n'as pas mangé...
- Non.
xxXxx
Les deux Mills arrivèrent dans un petit restaurant classique, ils s'installèrent au fond de la salle et commandèrent leur plat.
- Hum... Donc tu travailles dans une banque... Tenta l'adolescent dans le but d'engager la conversation.
- Oui, c'est exact. Je m'y connais en finances alors...
- Ok...
Tous les deux avaient du mal à communiquer et chacun fixait son assiette, gênés.
- Alors tu as appelé ta mère ?
- Non pas encore.
- Fais le maintenant. Elle sera rassurée.
Henry essaya de protester mais le regard que lui lança la jeune femme lui fit ravaler toute envie de rébellion, il sortit son téléphone et composa le numéro du shérif qui décrocha pratiquement aussitôt.
- Allo Heny ? Oh mon dieu tu vas bien ?
- Oui, je vais bien.
- Où es-tu ? On te cherche depuis ce matin, tu répondais pas ! Dis moi où tu es et je vais venir te chercher !
- Non ! Non... S'il-te-plaît... Je suis à Boston...
- D'accord tu es à... Attend ! Quoi ?
- ...
- Ne me dis pas que tu es allé cherch...
- Si. Et je l'ai trouvé, j'ai trouvé ma mère.
A cet instant, Regina voulut s'enfoncer dans sa chaise. Elle imagina ô combien la remarque de son fils avait dût blesser la blonde.
- Vraiment ? C'est... c'est formidable... Et elle va bien ?
- Oui, elle va bien et elle...
- Attends, tu sais quoi passes la moi s'il-te-plaît.
- Ok j'te la passe. L'adolescent tendit son téléphone à la brune qui hésita quelques secondes puis prit l'appareil en main.
- A...Allo ?
- Regina c'est bien vous ?
- Oui c'est moi...
- Wo je dois admettre que ça fait bizarre de vous entendre, en même temps 2 ans et demi sans nouvelles...
- La faute à qui... murmura la brune.
- Et bien juste sachez qu'on s'est inquiété...
- Je m'en excuse...
- Oh vous savez ce serez plus à moi de m'excuser c'est de ma faute mais je comprend pas j'dois dire. Enfin vous êtes partie sans rien dire à part nous laisser une lettre... Enfin deux mais...
- C'est... compliqué, répondit-elle de moins en moins à l'aise.
- C'est pas grave... Je dois vraiment vous faire peur... faut que j'me calme mais faut dire qu'Henry m'a foutu une de ces frousses... L'ancienne reine leva les yeux au ciel, Emma non plus n'avait pas changé toujours aussi... Rapide. Dites... Est-ce que je peux compter sur vous pour ramener Henry à Storybrook j'ai... des... des... des problèmes de voiture...
- C'est que...
- Vous n'aurez pas besoin de faire l'aller-retour dans la journée je demanderai à Granny de vous garder une chambre à l'auberge.
- Je... La brune soupira mais finit par accepter. Très bien...
- Merci beaucoup, bon et bien... à bientôt.
Et la blonde raccrocha. Henry quand à lui avait entendu la conversation savait pertinemment que sa mère biologique mentait et l'en remerciait intérieurement.
- Alors ? Vous vous êtes dis quoi ? Demanda innocemment l'adolescent.
- Henry, ça fait peut-être deux ans que je ne t'ai pas vu mais je te connais, ne mens pas. Je sais que tu as entendu. Le garçon baissa les yeux en signe de défaite puis la brune reprit la parole. Bon... On passe chez moi pour que je puisse me changer et on y va.
- D'accord.
- C'est parti.
- ...
- ...
- Maman ?
- Oui ?
- Je suis heureux de te revoir.
- Moi aussi Henry. Moi aussi.
