Don empoisonné

Disclamer : Je ne possède pas Harry Potter, ni son monde. Tout cela appartient à J.K Rowling, seule l'histoire vient de moi XD.

Prairing : Harry/Draco

Présence de relations HOMOSEXUELLES, bien qu'il y a mention des couples hétéros, de ce fait ceux qui n'aiment pas ce genre de relation veuillez quitter ou vous pouvez continuer mais sans laisser d'insultes merci de votre compréhension.

Rating : M

Genre : tragique, romance, drama, angst

Résumé : Après la guerre une étrange maladie s'est répandue au sein de la communauté sorcière, personne ne savait de quoi il s'agissait et comment la guérir, seul la mort les attend au bout du chemin.

Bêta : Ambre's Yaoi

Note de l'auteur :

Tout d'abord je tiens à m'excuser d'avance pour les fautes d'orthographes et de syntaxe, bien que l'histoire ait été relue. S'il manque des mots ou si vous voyez une faute qui vous pique aux yeux, veuillez me le signaler s'il vous plait.

C'est mon cadeau d'anniversaire pour ma bêta XD, bon pas vraiment dans le thème joyeux et festif, mais comme elle voulait en connaître la fin, car je lui avais déjà parlé de cette idée, je lui offre finalement ce « one-shot » en intégral.

Pour ceux qui ont déjà lu (mais aussi tous ceux qui veulent donner leur avis) cet 'one-shot' en entier, j'aimerais avoir votre avis sur quelle version est la mieilleur : cette version coupée en plusieurs chapitres ou l'ancienne version avec un seul chapitre seulement.

Bonne lecture Ambre et aux autres qui sont ici ! (Par contre faut bien suivre à quel moment les scènes se passent)


Prologue : Le don des sorciers

La beauté est une chose puissante. Envoutante, attirante, et rend les autres envieux, elle suscite également chez eux un désir profond qui les rend fou, au point d'avoir envie de la posséder. Et ceux qu'importe le prix et même s'il faut la détruire.

Le pouvoir attire votre entourage, mais n'espérez pas des amis, seule l'hypocrisie vous suivra.

L'intelligence rend votre point de vue décalé des autres individus. Vous aurez certes la connaissance mais cela vous isolera du monde. Car nous, ignorants, nous ne saurons pas, ne te comprendra pas. Et il est bien connu que ce que nous ignorions, nous le rejetons.

Le talent vous enferme dans une cage, aussi dorée soit-elle vous y serez prisonnier. Plus grand est votre talent, plus vos ailes seront brisées, dans les mains de votre Mécène qui vous conduit droit vers l'extase qu'est la folie.

Aussi beau que soit votre don, au final seule la solitude et la tristesse vous attendent au bout du chemin. Tel est la crû vérité de ceux qui ont souffert. Mais peu de personne choisisse d'être banale, car tout au fond eux, tous espèrent devenir spécial.

...

De nombreuses facultés pouvaient être associées à un don. La vie elle-même est un don, la particularité de vivre au lieu d'être à six mètres sous terre. Pourtant, on dit qu'un don est une qualité naturelle qui nous rend spéciale, unique aux yeux des autres.

Les princesses de contes de fées recevaient de leur marraine des dons fantastiques, comme être la plus belle ou la plus gracieuse, devenir une muse en art ou en musique et bien d'autres encore.

Et chez la marraine la bonne fée alors ? Tout cela ne représentait que du vent, elles étaient des sorcières, qu'importe le nom que les moldus pouvaient leur donner. Or pour un sorcier ou une sorcière le plus important cadeau que pouvait leur offrir mère nature était le don de la magie.

La Magie était une entité vivante et pensante. Elle avait été créée après le ciel, après la Terre. Elle avait de cesse offerte sa vitalité à des humains qui devinrent ses enfants. Au début par solitude, elle avait fait grâce d'une partie d'elle-même à quelques humains, puis par amour en voyant à quel point ses premiers enfants l'aimaient et la vénéraient. Elle était tellement heureuse de voir la sollicitude des siens envers leur compères, et adoraient les contempler créer des monts et merveilles qu'elle-même n'avait jamais pensés : transformer des pierres en roses, de l'eau en vin, geler l'eau ou la mouvoir, inventer des potions de guérisons...

Ces temps merveilleux où ses enfants étaient considérés comme des êtres à part et divins rendaient les autres humains admiratifs. Seulement la peur, l'avarice, et la jalousie rongèrent ces personnes sans pouvoir, au point qu'ils commencèrent à persécuter, à torturer et même à tuer ses enfants nommés sorciers. Elle pleura ne pouvant rien faire, elle gémit de douleur et de peine. Elle implora les dieux de lui venir en aide. Ces derniers lui accordèrent un peu de pouvoir qu'elle transmit aux sorciers afin qu'ils se coupèrent des humains renommés moldus.

Ce fut une renaissance, une nouvelle vie, elle était plaisante et agréable. C'était l'apogée du monde sorcier. Néanmoins au plus grand regret de la Magie, certains de ses enfants voulurent prendre le pouvoir, être le seul dirigeant de cette société prospère et un massacre arriva. Il eut des conflits, des bagarres et enfin la guerre : entre des villes, entre des pays, entre des nations. Ils n'écoutaient plus la sage voix de leur Mère. Elle, protectrice bienveillante, de toutes créatures qu'elle avait crées, ne pouvait plus raisonner ses enfants biens aimés. À la fin, la Magie n'avait même plus de larmes, sa tristesse se transforma en rage. Ses enfants ne l'écoutaient plus, ils devenaient comme les moldus d'autrefois, avide de pouvoir et d'argent, cruel les uns envers les autres, humaines ou créatures. Ils oublièrent même leur histoire et leurs traditions. Sa colère, sa frustration et son impuissance firent qu'elle voulut les punir, tous autant qu'ils étaient. Sa punition sera définitive.


J'espère n'avoir pas été trop hors sujet dans ce prologue mais l'essentiel est là.