Disclaimer : Les personnages de cette fiction appartiennent à Akira Amano.
Résumé : Suite au Grand Cataclysme, l'espoir fut rayé de tous les cœurs. Seul le désespoir subsista... Et le ciel continuait à regarder ce monde agoniser, sans la possibilité de changer quoi que ce soit. Il lui manquait trop d'éléments...
Dédicace : Ce premier chapitre est entièrement dédié à MikageKun, sans qui je ne serais pas là en train de vous proposer cette histoire aujourd'hui et que je ne remerciais jamais assez.
Rating : T, pour langage vulgaire à certains moments, et aussi pour l'ambiance et le monde dans lequel évolueront les personnages.
Quelques Informations utiles, mais pas indispensable (en clair, c'est pas la fin du monde si vous les lisez pas xD) :
- Cette fiction est une fiction à chapitre. Pour le moment, j'ai pris un peu d'avance sur la publication – j'ai commencé à l'écrire en juin, et pensé la poster à l'origine à la rentrée, étant absente la majorité de l'été... Finalement, je n'ai repris l'écriture que j'avais mis en pause début juillet que récemment, et j'ai donc décidé de la publier maintenant. La parution sera hebdomadaire (une fois par semaine). Les trois premiers chapitres sont déjà terminés et corrigés, le quatrième est en cours d'écriture.
- "Les chapitres sont assez courts – malheureusement T.T – mais devraient s'allonger un peu par la suite. Espèce d'auteur incapable de faire des trucs de même taille, va ! XD (Oui, je parle toute seule. Ne vous inquiétez pas, c'est normal xD)" Ça, c'est ce que j'avais noté avant de voir le résultat. Parce qu'en fait, au final, mes chapitres ils sont très bien en longueur xD ! Enfin, je trouve... Si vous avez une réclamation à ce sujet, n'hésitez pas =) !
- Cette fiction n'est pas vraiment un UA, mais elle ne se déroule pas dans le monde du manga. La Mafia n'existe pas à proprement parler, même s'il elle aura peut-être une sorte d'équivalent. Enfin... Vous comprendrez surement mieux ce que je veux dire au fur à mesure, à l'aide de la partie en italique au début des chapitres. *essaie d'expliquer sans spoiler sur sa fiction (Avis aux lecteurs : N'essayez pas, c'est super galère xD !)* Quand à la question de la présence des flammes de dernière volonté ou non, vous découvrirez la réponse bien assez vite...
- Je me charge moi-même de la correction de cette fiction, aussi s'il reste des fautes d'orthographe, c'est moi la fautive... Mais j'espère avoir réussi à en supprimer le maximum, pour que la lecture soit plus agréable =) !
Information Très Importante (Bon, peut-être pas tant que ça, mais au moins vous serez informés sur le genre et l'ambiance de la fiction) :
Cette fiction, comme l'indique le résumé, traite d'un lieu où même le mot espoir disparut. Ne vous étonnez donc pas d'y trouver du désespoir, du fatalisme, de la cruauté même, selon votre point de vue.
Néanmoins, vous ne vous retrouverez pas face à une fiction déprimante jusqu'au plus profond de ses entrailles. Je suis une personne optimiste. Et même avec un immense effort de volonté, je ne pourrais jamais écrire une longue fiction entièrement sur le registre du désespoir. Un chapitre, oui. Un one-shot, oui. Mais pas une fiction aussi longue.
Alors, oui, vous trouverez des notes d'espoir. Car sans cela, il n'y aurait pas d'histoire. Mais ça, vous le comprendrez en lisant.
Car au final, la question n'est pas « Dans ce monde désespéré, l'espoir pourra-t-il renaître dans le cœur de quelqu'un ? » mais bel et bien « Pourra-t-il subsister ? »
Sur ce, je vous laisse – enfin xD – lire cette fiction après ce commentaire aussi long que la moitié du chapitre !
Bonne lecture !
Chapitre Un : La voûte grisâtre :
La vie d'un être humain ne tient qu'à peu de choses. Celle d'un monde aussi. Il suffit qu'une personne obtienne le pouvoir de voyager entre les univers parallèles et décide de tenter une ou deux petites expériences pour que ce soit la fin de l'un d'entre eux. Des expériences comme... Essayer de faire changer de monde le soi d'un autre univers, par exemple.
Un adolescent regardait le ciel gris et morne qui s'étendait au-dessus de lui. Assis sur le toit d'un taudis, il était entouré jusqu'aux limites de sa vision de bâtiments semblables. La ville dans laquelle il se trouvait ressemblait plus à un bidonville qu'autre chose. Elle était pauvre, délabrée et surtout sans rêves ni volonté. Ceux qui y naissaient y mourraient, sans même espérer en sortir. C'était comme cela. Leur monde se résumait à cet espace.
Les cheveux ternes et sales du jeune homme retombaient tristement sur ses épaules, bien que certains, rebelles, parvenaient encore à tenir en l'air et en arrière. Cet effet lui donnait une coupe plutôt inhabituelle, parmi toutes les mèches pitoyables et pendantes de la plupart des habitants.
Ses deux yeux mélancoliques et ennuyés fixaient le ciel avec insistance, comme si par ce simple acte celui-ci pouvait enfin daigner se dégager. Ironiquement, les orbes et les cheveux de l'adolescent étaient du même gris que la vaste étendue qui le surplombait.
Autrefois, le monde semblait changeant au jeune homme. Sa mère trouvait toujours le moyen de l'égayer ou de transformer la guerre quotidienne pour la survie en un jeu. Mais cela était trop beau pour être vrai. Il était impossible d'être heureux dans cette ville. La suite de son histoire le lui avait confirmé. Sa mère avait contracté une maladie assez grave et son cœur fragile avait lâché. Comme ça, sans prévenir.
A cause de ce putain de monde, où il était impossible d'obtenir des soins décents, elle était partie. Décédée. Et il s'était retrouvé plus seul que jamais, dans une cité où chacun avait déjà trop à faire pour en plus se préoccuper des autres. Ils n'en avaient pas la volonté, oui !
Il n'y avait qu'un seul but dans la vie des habitants : survivre. La seule manière de s'y soustraire était de mourir. Mais ce fardeau retombait alors sur les enfants. La solution devait être mourir sans avoir eu de gosses, alors ? Au moins, cela évitait de condamner d'autres innocents à une existence non-désirée. Mourir était peut-être la réponse, tout compte fait.
Cette réflexion importait peu à l'adolescent. De toute manière, il avait promis à sa mère de se battre jusqu'au bout et sa fierté lui interdisait d'abandonner ou de trahir son serment. Alors, il attendait. Il ne savait plus très bien après quoi, mais il continuait d'attendre en survivant chaque jour.
Dans ce monde, les plus faibles ne tenaient pas longtemps. Ils finissaient par mourir de faim, leurs ressources drainées par d'autres, plus puissants. Horriblement triste, mais cruellement vrai. C'était la loi du plus fort qui régnait. Rien n'aurait pu empêcher cela, car il n'existait aucun gouvernement, aucune loi. Personne n'avait le temps pour ces choses ; survivre était le mot d'ordre de la société. On racontait même que certains avaient dévorés leurs enfants ou leurs voisins pour se sustenter.
Cela n'aurait pas étonné le jeune homme si ces rumeurs s'étaient avérées vraies. Il avait déjà vu des gens tenter de manger des graviers, alors de là à considérer les autres êtres humains comme des steaks, il n'y avait qu'un pas.
L'adolescent s'arracha à sa contemplation céleste et ses pensées et sauta souplement du toit sur lequel il était assis. Il commença à marcher sur le sol sale et jonché de détritus de la ville, passant devant de nombreuses habitations précaires, la plupart du temps crées à partir de toutes sortes d'objets entassés et entremêlés pour faire des murs. Les plus chanceux avaient de la tôle rouillée pour le plafond, alors que d'autres se contentaient de draps salis et souvent déchirés.
L'hygiène n'était vraiment pas le point fort de la cité. Aussi, dès qu'une épidémie était déclarée, la zone concernée était barricadée et mise à l'écart pendant plusieurs mois. Généralement, quand on enlevait les barrières et que l'on brûlait les lieux, il restait très peu de survivants, mais la crise médicale était passée. Cette méthode horrible avait au moins le mérite d'être efficace. L'adolescent s'était une fois retrouvé dans une de ces ''zones'' dangereuses. Sur mille trois cent personnes enfermées, douze seulement, dont lui, y avait échappé ou survécu. Pour sa part, il avait été contaminé par le virus puis avait bénéficié d'un miracle : il s'en était sorti. Depuis, son corps était devenu beaucoup plus résistant.
Néanmoins, le principal problème de la ville n'était pas les maladies mais bel et bien l'eau. Le liquide vital était la principale origine des problèmes sanitaires et le moyen de diffusion de maladies le plus rapide et malsain. L'on croyait découvrir enfin une source potable et l'on mourrait trois jours après d'un virus.
Déjà rare, l'eau était devenue suspecte au regard de chacun, ce qui n'arrangeait pas la soif perpétuelle des habitants. Au final, beaucoup ne buvaient quasiment jamais et chaque année, de très nombreuses personnes mourraient de déshydratation.
Malgré ces nombreux facteurs de mortalité, la population déjà basse ne diminuait pas beaucoup, à cause d'une très forte natalité. Les femmes avaient en moyenne une dizaine d'enfants, dont un, deux rarement et trois miraculeusement survivaient jusqu'à leurs dix-huit ans. Si rien ne s'améliorait dans les mois à venir, il commencerait cependant à y avoir des conséquences visibles de cette baisse. Trop de personnes mourraient, maintenant.
L'adolescent, qui faisait peur à beaucoup de monde en raison de sa condition physique assez bonne, son allure de voyou et la rumeur selon laquelle il possédait des explosifs, avait trouvé un moyen idéal pour se mourir. Il gardait l'une des rares plantations de la ville et, en échange, il recevait un ou deux fruits et légumes par jour. C'était peu, mais il s'estimait déjà heureux d'avoir accès à ce genre de produits.
Sa réputation et les bruits qui courraient éloignant les intrus à sa place, il faisait pour la quinzième fois de la matinée le tour du bloc d'habitation lorsqu'il le rencontra.
Lui, ce qu'il avait tant attendu. Celui qu'il avait tant cherché. Celui qui allait révolutionner sa vie.
Tsunayoshi Sawada.
Un adolescent courrait rapidement, tentant d'échapper à ses poursuivants. Ses pieds nus claquaient sur le sol sale, soulevant des nuages de poussière à chaque pas. Les personnes derrière lui avaient des chaussures et, de ce fait, étaient avantagés. Le jeune homme ne douta pas un seul instant de la provenance de ce bien si rare ni de l'identité de leur propriétaires : ils étaient des « sangsues ».
Dans l'immense ville, si on pouvait appeler ville l'ensemble délabré qui s'étendait sur plusieurs centaines de kilomètres, où la règle d'or était survivre, chacun passait ses jours entiers à la recherche de quoi manger ou boire, dès l'âge où marcher devenait possible. La faim et la soif sévissaient, causant des milliers de morts chaque année. Ces deux facteurs étaient la première cause de mortalité dans la cité, après la maladie.
Certaines personnes parvenaient à trouver un moyen de subsistance régulier, mais ces cas étaient exceptionnels. La plupart des habitants s'endormaient sans savoir s'ils arriveraient à manger le lendemain. L'adolescent faisait partie de ceux-ci. D'autres personnes, dans leur désespoir ou par avidité, volaient et dévalisaient les plus faibles, profitant d'eux. Ils étaient couramment appelés "sangsues", un surnom qui découlait sans aucun doute de leur capacité à s'enrichir sur le dos des autres, l'argent étant ici la nourriture et l'eau. Les poursuivants du jeune homme étaient de cette catégorie.
Depuis une bonne dizaine de minutes, ils avaient pris en chasse l'adolescent, alors que celui-ci venait juste d'acquérir un bout de pomme de terre. Heureusement, alors que la future victime avait le dos tourné, elle avait pressenti qu'il allait se passer quelque chose. Elle était immédiatement partie en courant avant que les profiteurs lui tombe dessus, d'où la course-poursuite au lieu que ses assaillants l'assomment et la détroussent dans les règles de l'art.
L'adolescent était conscient qu'il n'avait presque plus aucune chance de leur échapper. Ses forces lui faisaient défaut, contrairement à ses poursuivants qui semblaient assez en forme. Des petits cailloux perforaient ses pieds en permanence, l'obligeant à ralentir et lui arrachant des petits cris de douleur. Les profiteurs, quant à eux, bien chaussées, n'avaient aucun problème avec le terrain. Le jeune homme était sûr qu'ils avaient obtenu leurs chaussures de la même manière qu'ils étaient actuellement en train d'essayer d'avoir un repas.
Les "sangsues" gagnaient progressivement du terrain. Bientôt, ils le rattraperaient. Et qui sait ce qui arriverait alors ? L'adolescent eu un frisson a cette pensée. Il jeta un coup d'œil en arrière. Ses poursuivants continuaient de réduire la distance entre eux. Ils accélérèrent puis... Ils s'arrêtèrent brusquement. Le jeune homme, qui regardait toujours derrière lui vit là une occasion inespérée de s'échapper.
Mais il n'alla pas loin : quelques secondes plus tard, il percuta quelque chose sur sa route et tomba à terre sous le choc. Il entendit, la tête encore bourdonnante de sa collision avec le sol, la conversation de ses poursuivants. Celle-ci portait sur l'obstacle qu'il avait rencontré et lui indiqua la cause de la fin de la poursuite.
- C'est Hayato Gokudera !
- Qui ?
- Le mec qui a pour surnom "Hayato la bombe fumante" !
- Quoi ? Tu veux dire, celui qui a des explosifs sur lui ?
Le jeune à terre grimaça. Sa tête lui faisait mal et il n'avait pas encore les idées bien coordonnées. Aussi, il n'était pas sûr d'avoir bien compris ce que disait ceux qui avaient tenté de l'agresser.
- Ouais, à ce qu'on raconte.
- Alors qu'est-ce que vous attendez pour vous tirer ?
L'adolescent vit ses poursuivants s'enfuir sans demander leur reste. Quant à lui, il était au sol, sur le dos, à demi-relevé grâce à ses jambes et ses bras. A la merci de celui qui avait fait fuir ses poursuivants. Il prit alors réellement conscience de sa situation.
Le dénommé Hayato Gokudera était d'humeur massacrante. Alors qu'il effectuait un quinzième tour des bâtiments sous sa surveillance, des personnes avaient osé s'infiltrer dans le périmètre qu'il gardait. La suite de la scène fut de ce fait plus une succession de réactions qu'autre chose.
L'intrus involontaire, mortifié, tourna sa tête vers son futur agresseur dans un élan de courage. Il regretta aussitôt son geste. Le jeune qui lui faisait face semblait vraiment en colère et des menaces assez explicites de mort se lisaient dans ses yeux. L'adolescent au sol, prénommé Tsunayoshi Sawada, aurait dû en toute logique fuir en courant face à cela, mais il resta pétrifié.
Gokudera sortit de ses poches miraculeusement entières deux bâtonnets de dynamite et les enflamma avec un briquet. Ces explosifs étaient le résultat de ses activités suite à la mort de sa mère. Après son décès, il avait constaté avec regret la perte de toutes les connaissances médicales, physiques, chimiques ; scientifiques en général, accumulées durant les années précédant le Grand Cataclysme. Il avait suffit que le monde soit presque anéanti et que les gens soient obligés de se battre pour survivre pour que tout ce savoir soit oublié.
L'adolescent, qui ne pouvait décidément pas laisser passer cela, avait étudié avec hargne les livres rescapés qui traitaient de ces connaissances. Il les avaient mémorisées, utilisées, mélangées. Et il avait recréé des bâtons de dynamite et un briquet à partir de quasiment rien.
La première fois qu'il avait produit une explosion, Gokudera avait trouvé cela magnifique. Cela lui avait semblé si vivant par rapport au monde terne et grisâtre qui l'entourait... Ainsi, il s'était créé toute une panoplie d'explosifs, comprenant ceux dont la mèche était en train de se consumer dans ses mains.
Tsunayoshi déglutit. Il avait peur, très peur. Il ne voulait pas finir dispersé en morceaux ! C'était vraiment trop stupide, après tout ce qu'il avait déjà enduré !
Son adversaire s'apprêta à lancer les dynamites.
Un bruit sourd se fit entendre, mettant fin à la chaîne de réactions et en déclenchant une nouvelle par inadvertance. Les deux adolescents sursautèrent. L'adolescent aux cheveux gris sentit une vive douleur au-dessus de son pied droit et sa jambe se dérober sous lui suite à son bond. Il venait de se tordre la cheville. Un accident de ce genre était vite arrivé à cause de l'alimentation malsaine de chacun.
Le châtain allait tourner la tête vers l'origine du son lorsqu'un nouvel événement accapara son attention et celle du possesseur d'explosifs, jusqu'alors focalisée sur son membre endolori. Dans son sursaut, Gokudera avait malencontreusement lâché ses bâtons de dynamites, qui gisaient au sol. D'après la longueur de la mèche, il ne lui restait pas plus de cinq secondes à vivre. Au vu de la force actuelle de ses explosions, l'inconnu à terre, qui avait reculé précipitamment à l'entente du vacarme, était suffisamment éloigné de lui pour n'être que légèrement blessé. Mais lui était à la fois trop près pour y échapper et trop loin pour les atteindre en rampant et les éteindre. C'était sa fin.
Tsunayoshi regarda les explosifs au sol, puis l'adolescent et ainsi de suite. Il resta pétrifié. La scène se déroulait au ralentit sous ses yeux, pendant que son intuition tentait de lui dire quelque chose. Le regard de Gokudera se fit étonné, puis consterné avant de devenir résigné.
A ce moment-là, le jeune homme au sol sut.
Une seule pensée se détacha de toutes les autres, paniquées. Car c'était la vérité. Ce que lui soufflait son instinct. Non, c'était ce qu'il voulait.
Gokudera ne devait pas mourir. Il ne voulait pas qu'il meure.
Les dynamites explosèrent.
Un éclat orangé brilla au milieu de la tempête de poussière.
Fin du chapitre Un ! Merci d'avoir lu^^ !
J'espère que ce début était assez clair... Cela ne fait pas longtemps que je me suis vraiment mise à écrire, alors j'ai souvent l'impression de faire des choses trop brouillonnes, trop bâclées... Ou alors de répéter trente-six fois la même chose... N'hésitez pas à me dire ce que vous en avez pensé =) !
Au sujet de Gokudera et de sa cheville, si la blessure peut vous sembler exagérée par rapport à sa cause, un petit bond de rien du tout, sachez que j'ai trouvé pire : moi xD ! J'ai réussi à me la tordre en faisant un pas en arrière pour réceptionner un ballon. Du coup, je me suis prise ledit ballon en pleine tête en bonus xD ! (C'est ce qui s'appelle avoir la Tsuna-attitude xD !)
A la semaine prochaine pour le chapitre deux^^ !
