Attention, Fic Post- Reliques de la Mort Pré-épilogue, SPOILERS!
Résumé: Harry Potter, sorcier de 17 ans à l'école de sorcellerie Poudlard pour sorcier et sorcières vient de défaire Tom Elvis Jedusor, un puissant mage noir s'étant autoproclamé Lord Voldemort. Ce qui lui importe le plus pour le moment: Ginevra Molly Weasley ou simplement Ginny, il l'avait plaqué l'année d'avant de peur que le Dark Lord n'en fasse sa cible principale, maintenant comment lui faire accepter son retour…
Les personnage appartiennent à J.K. Rowling.
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.:: Chapitre Premier: Comment la retrouver?::.
Arrivé sur le seuil de son lit à baldaquin, Harry ne pensait qu'à Ginny, elle qui avait manqué de peu plusieurs sortilèges mortels lors de la bataille finale, elle qui avait été sa petite amie l'année précédente, elle qui lui faisait oublier ses soucis.
-Je ne veux pas la forcer! Ces mots était sortis de sa bouche malgré lui, heureusement personne n'était là, d'ailleurs, elle n'était pas là non plus, il ne pouvait lui en vouloir, un de ses frères est mort et c'était de sa faute, il le savait.
Harry eu alors l'idée du livre que lui avait offert Ron pour son 17ème anniversaire: «Douze moyens infaillibles de séduire une sorcière».
Harry se doutait qu'il ne trouverait pas de chapitre nommé «Sortir avec une sorcière quand on est l'élu» mais il pourrait tout de même trouver des conseils sur le langage par exemple mais pour sa, il devait aller le chercher au Terrier, hors il n'avait aucune envie de rencontrer un Weasley (surtout pas Ginny), il voulait les laisser seuls avec leur deuil, il ne voulait pas leur imposé sa présence, lui a cause de qui tout était arrivé. Ron qui était reparti veiller avec les autres au chevet de Fred, tué par une explosion lors du combat final. Il prit sa cape d'invisibilité, s'en recouvra et descendit tous les escaliers d'une traite en prenant garde de sauter la marche escamotable et ne fit pas de bruit à l'approche de Peeves, l'esprit frappeur du château. Arrivé au portail d'entrée, Harry fit un pas et tourna sur lui-même en pensant fermement à sa destination: «Le Terrier» alors que l'habituelle sensation d'étreinte le saisit.
Le Terrier n'avait pas beaucoup changé depuis le mariage, tout était en désordre, la faute au mangemorts, mais un voile de poussière s'était déposé dans toute la maison, preuve de la longue absence des Weasley chez leur tante Murielle. Harry se hâta d'enlever sa cape et de monter quatre à quatre les marches jusqu'à la chambre de Ron où Hermione avait laissé le livre pendant le mois d'Août. A peine eu t-il touché la couverture qu'une série de «pop» se faufila jusqu'à son oreille: Les Weasley était rentré. Il remit sa cape en vitesse et descendit les escaliers jusqu'à ce que Ginny le croise en sens inverse, prenant toutes les précautions pour l'éviter, il la suivi dans sa chambre sans faire de bruit et réussi à s'assoir contre le mur, il voulait être là, il savait qu'elle aurait besoin d'un soutien, ce qu'il ignorait c'était si elle l'acceptera…
Il ne pouvait s'empêcher de sourire en la regardant, même quand elle pleurait (ce qui était rare car comme elle dit, avoir grandit avec Fred et George l'a endurci) Fred était mort, il n'y aurait plus de pull en laine avec un grand «F» dessus tricoté par Mrs Weasley, plus de dragon en feu d'artifice et il ne restait plus qu'un demi George. Harry ne voyait pas comment il pouvait l'aider mais elle, elle l'aidait par sa présence dans la pièce. Alors que la dernière des Weasley s'endormait, Harry pris la couverture et lui posa un baiser sur le front en lui murmurant «Bonne nuit» et déposa la couverture au dessus de la tête de sa bien aimée, le soleil va se lever s'était-ildit, il ne valait mieux pas qu'elle se réveille sinon elle serait de très mauvaise humeur ce qui n'avait rien de bon pour lui, pensa Harry.
Il avait décidé, il irait au Square Grimmaud, il laissa un mot à Ginny et quitta la pièce sans aucun bruit, j'aurai eu le temps d'y réfléchir d'ici là, si sa dure plus longtemps elle m'en voudra à jamais, pensa t-il alors qu'il traversait le portail du jardin permettant le transplanage avant de sentir à nouveau cette désagréable sensation caractéristique de ce transport.
