Il y a quelques années encore, on pouvait trouver entre deux continents un énorme rocher noir oublié de tous, d'où s'élevait dans le ciel une immense tour grise. La prestigieuse école qui s'y trouver à maintenant était oublié de tout les esprits, mais elle était durant un temps la source de rumeur dans le monde entier.

La cause de cet si grande célébrité n'était pas que dut qu'à son emplacement, pas non plus sur le faite qu'il était impossible de la localiser ni même de que son directeur et les professeurs (malgré leur réputation pour leur enseignement) étaient fous, mais parce que cet établissement acceptait moins d'une centaine d'élève, et qu'il n'y avait en tout à la suite que treize élèves, ce qui signifié une seule classe, qui pouvaient avoir leur bac.

Cette école se nommait :

Haiiro no Gakkou

Cette histoire se passe deux ans avant la destruction de l'école, dans une classe de première visant un bac Noé, surnommé « la classe grise ». Ce surnom avait était choisi à cause de leurs capacités à changer de couleur de peau en fonction de leur état d'énervement, chose qui se faisait quotidiennement vu la turbulence qui exister au sein du groupe.

Mais cette année n'était pas une comme les autres, car dans cette classe de première d'éternel redoublant, un nouvel élève allé rejoindre leur rang, en plein milieu du mois de mars.

Ce dernier avait était oublier par le professeur qui l'accompagner derrière la porte de sa futur classe. Il s'était alors posté derrière elle, et comme elle était entre ouverte il en profita pour écouter avec intérêt la discutions des six uniques élèves présent en classe, sur treize. Ils étaient assis en rond en plein milieu de la salle de cours, discutant de lui en attendant un certain professeur de physique chimie qui n'arrivait pas :

- Et vous avez pu le voir ??? Demanda un homme qui n'avait plus l'âge d'être ici, à l'allure de coureur de jupon.

- Moi oui ! s'exclama la plus jeune fille du groupe.

- Ouaip… Dis à la suite un jeune homme très fortement maquillé aux cheveux courts.

- Et à quoi il ressemble ???

- C'est UN VIEUX ! S'écria le blond.

- Quoi !? S'étonna le même homme qui avait posé la question.

- Sa tignasse est blanche…

- Et C'EST un NAIN !

- Vous plaisantez ?! S'exclamât-il.

- Mais à quoi tu t'attendais, Tyki ? Lui reprocha la plus jeune. Y'a que les gros chamalow qui veulent pas avoir leur bac qui viennent ici ! Surtout dans notre classe !

- C'n'est pas comme si on avait choisis de venir ici, chigna l'homme.

- Et encore, toi ça va, tu le fais parce que notre merveilleux, sublime et génialissime comte l'a voulut ! Mais moi, je n'ai pas eu mon mot à dire… Mon père a été sans pitié pour moi… Et dire que j'aurais fait des efforts si c'était le comte qui m'aurait demandé ça…

- D'ailleurs, en parlant de Sheryl, quand est-ce qu'il revient de son voyage de France ???

- Dans…

Le jeune homme qui était posté derrière la porte était tellement énervé par la description qu'on lui avait attribué qu'il ne se rendit pas compte que son nouveau professeur principal, celui qui l'avait laissé derrière cette porte, venait d'arrivé. Ce grand homme au long cheveux rouge vermeil, étonnait de son manque de réaction en le voyant le poussa violemment sans la moindre pitié vers le mur d'en face et entra en faisant voler la porte à travers de la salle, à coups de pied.

Sous la surprise de cet arrivé, la discussion se coupa nette et tout les élèves restèrent sans voix devant leur professeur. L'homme s'installa d'un pas rapide jusqu'à son bureau et posa brusquement ses mains sur le bureau de bois, prés à tomber en morceaux.

- A vos place, et plus vite que ça ! Cria t-il.

Les six Noé présents se mirent tranquillement devant leur table tout en se lamentant. Le jeune homme, de la place où il se trouvait, pus apercevoir la jeune fille, qui se prénommé Road, avachie sur sa table qui souriait. Elle parla à voix haute :

- Monsieur Cross, je ne me rappelle pas avoir vu dans notre emploie du temps que nous avions Anglais à cette heure si…

- Vous avez raison miss Road, mais j'ai plusieurs informations à vous donner plutôt importante, et croyez moi, c'est en tant que professeur principal que je me fais une joie de venir vous voir… Avait-il dit accompagné de son sourire démoniaque.

- …

- J'ai en premier une triste nouvelle à vous apprendre… Votre professeur de physique chimie, Mr Kévin Yeegar, est mort il y a maintenant trois heurs de cela, grâce à votre explosif Mr Tyki Mikk.

Le jeune homme put entendre quelques applaudissements retentir de la pièce tandis que l'homme continuer de parler…

- Oui, oui, bravo à vous, monsieur Tyki, mais sachez que même si vous êtes un protégé de notre proviseur, n'espérez pas cette fois si vous en tirez comme ça… Enfin, bon, vous connaissez déjà la chanson, alors passons à la suite !

L'adolescent aux cheveux blanc faillit s'étouffé sur ces dernières paroles. Un de ses élèves venaient de tuer un de leurs professeurs, mais personne ne semblait comprendre la gravité de la situation… Et puis, pire de tout, il savait parfaitement ce qu'était cette « suite », mais après les quelques événements passés, il n'avait plus aucune envie d'entrer en scène. D'ailleurs, il ne l'avait jamais voulut : on l'avait prit de force de là où il était, contre lui juste à cause d'une malheureuse soirée passé dans un bar, et il ne pouvait même pas choisir dans quel classe il aurait voulut aller. Car chose sûr, il aurait tout fait pour éviter celle là.

- Donc, pour informer des quelques paumés qui ne seraient pas encore au courant, vous allez devoir accueillir un nouvel élève dans cette classe.

Un court silence s'ensuivit.

- Je répète… S'impatienta l'homme aux cheveux rouge. Un nouvel élève va venir dans cette classe, et j'aimerais qu'il se pointe.

Et puisque ces paroles n'avaient eu aucun effet, le professeur se tourna vers la porte, enfin le trou qui s'y trouvé maintenant, et remarqua son petit élève prêt à déguerpir.

Et sans même s'y attendre, sous une fraction de seconde, le roux dégaina son flingue et tira une fois, puis deux.

Les élèves, intrigués, se penchaient de sur leur table et observaient le garçon terrorisé, mais malheureusement pas touché.

- Si tu ne te ramènes pas tout de suite, je ne t'éviterai pas la prochaine foi, abruti !

Et sous cette courte menace, le jeune homme rentra à toute vitesse dans la pièce. Cross lui donna une craie et le poussa vers le tableau.

- J'trouve qu'il est pas mal, pour un vieux, ironisa Road.

- Il a du faire un sacré lifting. Remarqua Tyki.

- Je lui demanderai bien quel crème il utilise, pour avoir une peau pareille à son âge… Mais quel maquillage de mauvais goût !

Tous la regardèrent, étonner.

- quoi ?

- Laisse tomber, Lulu…

Le nouvel élève avait en effet de sacré trace moche sur la figure, chaque être présent ici pouvait reconnaître les traces d'une malédiction et non d'un simple maquillage. Tout les Noé savaient cela, sans même avoir besoin de lire leur cour, sauf une apparemment.

Le jeune homme se retourna vers eux, et s'inclina.

- Je m'appelle Allen Walker, ravi de vous rencontrez. J'ai seize ans, je suis anglais et j'aime manger.

- Bravo, que tout le monde l'applaudisse. Ordonna leur professeur, d'où fut le fruit de quelque bruit sourd. Mets-toi au fond, contre la fenêtre. Tyki Mikk te prêtera ses livres le temps que tu ailles chercher les tiens.

Allen regarda avec intérêt son voisin de table. Il était grand, un peu trop vieux à son goût pour se trouver dans une classe de premier mais il était surtout très classe par ses cheveux tiré en arrière et son smoking.

C'était aussi l'homme, s'il n'y avait pas de deuxième Tyki ici qui venait de tuer un professeur, et cela plaisait déjà moins à notre jeune recrue. Il se cala alors sur le mur, s'éloignant le plus possible du jeune homme qui lui parla malgré tout.

- Dis-moi, je peux te poser une question ?

- … oui ? Hésita Allen.

- Comment t'as eu ta marque à l'œil ?

Allen, trop accablé par de vieux souvenirs, regarda par une fenêtre des nuages.

- C'est une très longue histoire, très compliquée…

- Oh… Et comment ça se fait que tu sois ici ?

Le plus jeune serra ses points, mordu sa lèvre et retenu ses larmes. Si cet imbécile de personne n'était pas dans cette classe, il aurait sans doute déballé tous ses malheurs en hurlant et insultant le roux. Mais il tenait malgré tout à la vie, et préféra ne rien dire qui pourrait être dangereux…

- C'est aussi très compliqué, à ce que je vois… Déclara Tyki, qui ne comprenait rien.

- …

- Enfin, peu importe la cause, dit toi que ce n'est pas demain la veille que tu partiras d'ici ! Considèrent nous comme une deuxième famille, car je sens que l'on va rester encore tous ensemble plusieurs années… Dit-il en plaçant ses pieds sur le bureau.

Leur professeur principal, qui venait de cité quelque dernier point que personne n'avait écouté, s'avança dans la salle, ce qui attira tout les regards. Celui ci s'arrêta devant le jeune Walker, étonnait, et lui dit :

- Vous viendrez me voir à la fin de cette heure ci, à la salle des professeurs. J'ai encore quelque petite chose à vous donnez…

Il avait dit cela en souriant, presque sadiquement, se qui provoqua un frisson dans le dos de son interlocuteur. Et il partit rapidement, comme il était revenu sans prendre la peine de remettre la porte.

Tous regardaient le jeune Walker.

- Il a un truc de louche avec toi, ce type. Dit l'homme un peu trop maquillé.

Couvert de sueur provoqué par la peur, Allen baissa la tête, horrifié.

- Hé ! S'exclama la jeune fille, ça va ?

- Oui… non.

- Faut savoir !

- C'est juste que… C'est juste que… que…

Mais Allen ne trouvait pas ces mots, et la sonnerie retentit dans les couloirs. Chacun se levèrent, tapotant l'épaule du jeune garçon pour le soutenir tous reparti à leurs occupations, sauf un : son voisin de table.

Tant que j'y pense, tu saurais retrouver la salle des prof ?

Une lueur d'espoir se forma dans les yeux du nouveau.

Non, mais aucune importance ! HAHAHA ! Je lui expliquerais que je me suis perdu et…

Ok, alors pas de problème, je t'accompagne ! Dit-il, en employant le ton d'un hurluberlu.