Un poney pour un petit caporal
Note : Je n'ai pas écrit de fan fiction depuis très longtemps, merci d'être conciliant. De plus cette fanfic est considérée comme un AU. Ne vous attendez pas à ce que l'histoire suis a 100% l'intrigue ou sois très fidèle à l'œuvre originale (présence de Ocxcanon et de romance).
Crédit : L'Attaque des titans, AOT, SNK, les personnages officiels, l'univers appartient à Hajime Isayama
Éponée et la fanfiction Un poney pour un petit caporal m'appartient, cette fanfiction n'est pas écrite dans un but lucratif.
Prologue :
Le fier animal se tenait droit fièrement contemplant le paysage désolé autour d'elle. La nature commençais à reprendre ses droits. Les bâtiments détruit par les titans étaient les seuls vestiges prouvant que des humains avaient vécu ici. Cela faisait cinq ans maintenant, elle était seule … Très seule.
La jument noir pangaré secoua la tête, sa crinière d'onyx secouer par le vent lui retomba sur les yeux. Ronflant doucement des naseaux l'équidé se détourna du spectacle qu'elle regardait : un titan qui bêtement essayait de contourner une église effondrée, grimpant sur le toit pour retomber inlassablement sur le dos. Qu'elle créature aussi bête que hideuse, les titans étaient si stupides pour elle c'était facile de les observés autant qu'elle le désirait sans craindre de se faire manger. Ils n'étaient intéressés que par la viande humaine tel des zombies gigantesque... Pourtant, un jour elle les avaient craint et elle les craignaient toujours autant.
Elle devait trouver un endroit où passer la nuit, ce serait peut-être une nuit pluvieuse. Le stupide titan soudainement émit un gargouillis sonore se redressant maladroitement sur ses jambes tel un enfant en bas âge qui essaierais d'apprendre à marcher. Le cheval tourna ses oreilles dans la direction opposé bien que son regard s'était posé à nouveau sur la créature. Ce qu'elle entendait n'était pas le tonnerre mais le martèlement d'un troupeau de chevaux sur le sol.
Le titan fit un sourire béa tendant ses bras vers un groupe de cavaliers qui fonçaient sur lui avant de se faire couper la main droite puis la nuque, les cavaliers se projetant dans les airs avec aisance à l'aide d'un drôle d'équipement. Le cheval regardait la scène avec des yeux écarquiller des humains, des humains étaient là pour la première fois depuis des années.
