Voila,ma première fic,j'espère que ça vous début n'est pas très réjouissant je dois bien l'admettre mais je garderais toujours le coté un peu "folle" de Felicity ! Je mettrais le deuxième chapitre dimanche soir ! Bonne lecture!
Aucun de ses personnages ne m'appartient.
J'ouvris brusquement les yeux. Il me fallut quelque secondes avant de savoir où j'étais, pourtant la réponse étais simple chez moi dans ma maison plus précisément dans ma chambre. Mais rien de tout cela ne me semblait juste. Je pris appuis sur mes coudes pour constater les dégâts. Des morceaux de verres étaient disperser dans toute la pièce, ma lampe de chevet pendait lamentablement au-dessus de ma tête. Je pris ce qu'il me restait de force pour me relever. Mon bras saignait plus que je ne l'imaginais et ma tête était sur le point d'explosée.
Je failli me trébuchée plusieurs fois mais je tenais bon, il fallait que j'aille à l'hôpital et vite. Je descendis les marches et saisit mes clés de voiture .Je ne savais pas vraiment ce que je faisais, j'étais comme dans un état second, la seule chose que je savais c'était qu'il fallait de toute urgence que j'aille à l'hôpital. J'aurais voulu prendre mon cellulaire pour appeler une ambulance mais il l'avait écrasé contre le mur avant que je puisse faire quelque chose et coupé ma ligne fixe. Comme si il avait tout prévu. .Je monta dans ma voiture et alluma le contact mes mains ensanglantée qui laissais déjà des marques sur le cuir de ma voiture.
La nuit étais calme aujourd'hui à l'hôpital. Je poussai un soupir et m'appuya contre le mur tout en regardant sur ma tablette des dossiers de patients. Je n'entendis pas la porte des urgences s'ouvrir jusqu'à ce que j'entende une voix faibles appeler à l'aide. Je relevai la tête. La jeune femme qui se tenait devant moi, étais dans un piteux état. Son visage était tuméfier et son bras gauche présentait une énorme coupure qui s'étendait sur presque tous son bras. Elle était pieds nue vêtue d'un t-shirt trop grand pour elle ou il était inscrit « Classe 2009 MIT »Je restai un moment choquée devant sa vision on aurait dit qu'elle sortait tous droits d'un film d'horreur jusqu'à ce qu'elle appelle une nouvelle fois à l'aide d'une voix blanche sans expressions.
-amener moi un brancard. Criais je en me digérant vers elle en la tenant par les épaules avant qu'elle ne s'effondre.
Lorsque j'ouvris les yeux je compris que j'avais réussi à parvenir à l'hôpital. Je n'avais aucun souvenir de comment mais cela importait peu pour l'instant. Je tournai la tête pour regarder les fils qui passait dans mon bras droit pour remonter à une perfusion de solutés. Un médecin entra dans la chambre et me sourit.
-Vous êtes réveillé parfait dit-il.
Je le regardai attentivement alors qu'il notait quelque chose sur sa tablette, il me semblait familier. Comme si il avait lu dans mes pensées il me sourit une deuxième fois.
-Je suis le docteur Wright, c'est moi qui vous ai prise en charge lorsque vous êtes entrée aux urgences.
Je haussai les sourcils.
-« Prises en charges ne me semble pas vraiment approprier. Un mince sourire étira mes lèvres. »Le médecin me regarda une seconde avant de poursuivre.
-Nous vous avons faits une séries de tests qui se sont avérer tous positifs mais vous avez 3 cotes casser et une coupure au bras gauche qui nécessitera des points de sutures. Votre visage est tuméfier mais d'ici quelques semaines elles auront disparues. Il fit une pause pour voir ma réaction lorsqu'il remarqua que je ne disais rien il baissa la tête et s'approcha du lit. J'étais étonner de voir à quelle point il était jeune, certainement un interne. Ses yeux vert me fixèrent un instant.
-Je vais devoir vous posez quelques questions avant de vous laisser vous reposer. Je hochai la tête et finis par baisser mes yeux sur mes mains.
-Votre nom et prénom ?
-Felicity smoak .Dis-j'en murmurant.
-Etes-vous allergiques à quelques sortes de médicaments qu'ils soient ? Il releva les yeux de sa tablette et moi de mes mains.
-Je suppose que les noisettes ça ne compte pas ? Il sourit et retourna a sa tablette.
-Y'a t'il quelqu'un que nous pouvons contacter pour vous ? De toutes les questions qu'il allait me poser je ne me saurais jamais douter que ce serait celle-là la plus difficile pour moi et déjà mon cerveaux était en ébullition. Bien sur les deux noms qui me venaient en tête étai John et Oliver. Mais je savais pertinemment que ce n'était pas une bonne idée et je n'avais aucune envie qu'il me voit dans cette état et qu'ils commencent à me poser des questions je n'en avais pas la force. J'avais d'ailleurs l'impression que je n'aurais plus la force pour quelque chose d'autres de toute ma vie. Je soupirai et fit non de la tête
-Vous souvenez-vous de ce qu'il vous êtes arrivé ?
Dans les moindres détails et pire encore mais si je voulais m'occuper de cette affaire moi-même j'allais devoir inventer quelque chose qui tiendrait la route.
-J'étais chez moi dans ma chambre et j'ai entendue du bruit, il y'avait effectivement quelqu'un nous nous sommes battus et à en voir le résultat il a gagné. C'était un voleur je n'ai pas pu l'empêcher de partir et voyant que j'étais blessée je suis venue jusqu'ici.
Bon, cela me semblait plausible même si je savais que cette histoire ne tiendrait pas longtemps devant Oliver, j'étais une piètre menteuse et je le savais mais lorsqu'il s'agissait d'Oliver j'en devenais pitoyable il faudrait donc que je trouve autre chose…Je me passa les mains dans les cheveux et sentit une grosse bosse sur le bas de mon crane, je grimaçai.
-Nous allons devoir appeler la police dit-il tout en prenant délicatement ma tête pour regarder ma bosse.
-Oui… dis-je distraite par la douleur, attendez, quoi ? Non je ne veux pas appeler la police. Il releva la tête.
-Je suis désolée mademoiselle Smoak mais il s'avère que vous n'avez pas vraiment le choix. C'est la procédure. Dit-il d'un air désolé.
-Et combien de temps vais-je devoir rester ?le ton de ma voix était devenu plus aigüe que je ne l'aurais voulue sur le mot « rester ».
-Nous allons vous gardez en observations le reste de la nuit mais je vais devoir vous demandez de rester jusque Lundi.
Je me relevai en position assise si vite que je le regrettais déjà.
-Non, je reste jusque demain matin mais je ne veux pas rester dans un hôpital une nuit de plus. Il haussa les sourcils et m'obligea à me recoucher.
-Très bien je vous ferais signer une décharge demain, en attendant la police je vais vous recoudre.
Je frissonnais déjà rien qu'à y penser. Il sortit de la chambre et revenu quelque minutes plus tard avec un chariot. Il me demanda de tendre mon bras et enleva le pansement sur ma plaie. J'eu un haut de cœur que je ne pus malheureusement pas retenir.
Le peu que j'avais mangé se soir la atterrit sur le lit. Wright me passa un bassin réniforme. Désolée fut la seule chose que je pu dire .Mon corps n'en pouvait plus et mon esprit non plus par la même occasion. J'avais juste envie de m'enfuir d'ici le plus vite possible et d'oublier tous ce qu'il s'était passé. Mais je savais que fuir n'était pas la solution et que je n'étais pas comme ça, je n'étais pas du genre à courir me cacher a la moindre occasion.
-Je vais chercher de nouveau draps dit-il toujours en souriant comme si il n'avait pas remarqué que je venais de remettre tous mon diner .Je me pris la tête entre les mains et essaya de me concentrer pour ne pas craquer. J'avais beaucoup pleuré cette nuit et je pensais ne plus jamais pouvoir pleurer de ma vie. Je cédais tous simplement à la panique et c'était horrible c'était comme lorsque vous aller faire une crise de panique vous savez quand elle va arriver et vous ne pouvez rien faire contre c'est juste comme sa un point c'est tout. Ma respiration commençait à se faire de plus en plus rapide, jusqu'à ce que le médecin rentre dans la chambre.
Il enleva les draps et remis de nouveau en un rien de temps et se concentra sur les sutures qu'il avait à faire. Je ne sentis rien du tout. Bien sûr idiote tu étais anesthésié je levai les yeux au ciel malgré moi. Docteur Wright venait juste de finir lorsqu'il me demanda
-Quelque chose ne va pas mademoiselle Smoak ?
-euh non répond dis-je gênée devant ma stupidité. Quelqu'un toqua à la porte et deux hommes en uniformes débarquèrent dans la chambre. Ils me posèrent toutes sortes de questions sur ce qu'il m'était arrivé si j'avais pu voir quelque chose n'importe quoi qui pourrait les aider mais je répondais toujours négativement à leurs questions.
Je voulais juste fermer les yeux deux minutes et prendre conscience de ce qu'il m'était arrivé. Lorsqu'ils passèrent le pas de la porte je poussa un énorme soupir. Mentir autant ne m'avais jamais été bénéfique d'une façon ou d'une autre je finissais toujours par m'en vouloir mais là c'était différent. Personne ne pourrait m'aider ou faire ce que je voulais faire. En fermant les yeux les images me revinrent en tête plus vifs les unes que les autres, douloureuses. Je serai les dents et me retourna sur mon flanc droit en veillant à ne pas arracher ma perf.
Je ne dormis pas cette nuit-là je pouvais juste sentir son corps sur moi qui me déchirait de l'intérieur.
