Disclaimer : Les personnages appartiennent à Tolkien (hormis quelques OC), l'univers à Rowling.
Note : les termes désignant les peuples elfiques deviennent des noms de famille. Par exemple, le nom de famille d'Indis est Vanyar. J'espère que cette particularité ne vous choquera pas trop. Il est possible qu'un ou deux liens familiaux soient oubliés ou modifiés, à cause des problèmes que posent l'âge des personnages dans l'histoire originale, mais je fais ce que je peux. Il peut y avoir aussi des personnages du Hobbit et du Seigneur des Anneaux. Tous les personnages (légèrement OOC) sont bien sûr humains, même les créatures, comme les Balrogs.
L'histoire sera en deux parties : la génération de Fëanor, et celle de Maedhros. Il y en aura peut-être une troisième, sur Maeglin, Idril… Mais ça dépendra de mon inspiration.
Enfin, un énoooorme merci à sacrok, qui a pris le temps de me corriger. Sans elle, vous auriez eu un chapitre truffé de fautes et d'incohérences plus débiles les unes que les autres. Et là, je m'incline devant sa patience et son sang-froid.
Préfets et prises de tête
2073
Soixante-quinze années s'étaient écoulées après la défaite de Lord Voldemort. Depuis, l'Angleterre avait vécu dans une paix relative, sans mage noir notable pour alarmer la communauté magique. Pourtant, depuis un an maintenant, un certain Morgoth Bauglir commençait à faire parler de lui. Ce mystérieux sorcier viendrait -paraît-il- du Nord. On n'en savait que très peu sur lui, et pourtant il semblait lié à de sinistres affaires de meurtres, de vols, de menaces et d'enlèvements.
Assis à son bureau, Manwë Súlimo, directeur de l'Ecole de Sorcellerie Poudlard, réfléchissait. L'arrivée de cette nouvelle menace l'inquiétait, et pourtant il lui semblait avoir déjà rencontré ce Bauglir. Seulement, il ne savait plus où, ni quand. Un bruit le tira de ses pensées. Tournant la tête, il vit que Thorondor, son hibou, tapait le carreau à coups de bec, sûrement pour lui apporter la réponse du Ministre de la Magie, Eru Ilúvatar. Manwë ouvrit au hibou qui se posa sur le dossier de son fauteuil et tendit la patte avec laquelle il portait la lettre. Son maître lui donna une friandise, gratouilla sa tête couverte de plumes brun-dorées et ouvrit l'enveloppe. Le contenu ne le surprit qu'à peine : il fallait mettre en place des protections supplémentaires autour de l'école.
Il s'apprêtait à rédiger une réponse lorsqu'on frappa à la porte.
-Entrez.
Le panneau de bois s'ouvrit, laissant apparaître un homme d'une vingtaine d'années, aux cheveux longs aussi blonds que la courte barbe qui grignotait son visage au teint hâlé. Le nouveau venu, de haute taille, semblait fait pour la lutte.
-Ah, Mr Astaldo. Asseyez-vous, je vous prie.
Tulkas Astaldo, vingt-cinq ans, était un sorcier jovial en toutes situations. Son corps de colosse impressionnait ses interlocuteurs, mais sa bonne humeur dissipait vite les malaises. Il avait entamé une carrière d'Auror, mais à cause de la nouvelle menace venue du Nord, le Ministre l'avait recommandé à Manwë comme professeur de Défense contre les Forces du Mal. Tulkas était donc l'une des nouvelles protections de l'école. D'après Ilúvatar, et le chef du Bureau des Aurors, c'était un homme très pédagogue, patient, efficace et digne de confiance. Le directeur lui avait demandé de venir afin de se faire une idée personnelle du futur enseignant. Et il n'en fut pas déçu : Tulkas était tout à fait qualifié pour cette charge.
Une fois le colosse blond parti, Manwë put enfin rédiger sa réponse (dans laquelle il mit ses impressions positives sur le nouvel enseignant) et envoya Thorondor la porter à Londres, puis il se dit qu'il faudrait quand même songer à choisir les huit Préfets et les deux Préfets-en-Chef pour l'année scolaire suivante. Les Préfets étaient nommés à partir de la cinquième année. Leur tâche consistait à veiller au respect du règlement, et à accompagner les élèves de première année dans leurs dortoirs le jour de la rentrée. Il y en avait deux par Maison : un garçon et une fille. Les Préfets-en-Chef étaient deux (là aussi, un garçon et une fille) et nommés en septième et dernière année. Seulement, il n'était pas nécessaire d'être Préfet pour être Préfet-en-Chef. Mais un Préfet avait plus de chances d'être désigné.
Saisissant deux parchemins listant les futurs élèves de cinquième et de septième année, il commença d'abord par les Gryffondor. Lui-même avait cumulé ces deux titres lorsqu'il appartenait à la maison des Rouge et Or. Le directeur sourit en repensant à ses souvenirs de jeunesse. Mais il les chassa bien vite. Les insignes ne se distribueraient pas tous seuls.
Il commença par la liste des élèves finissant leur quatrième année. A Gryffondor, deux attirèrent son attention : Fingolfin Noldor et Lúthien Teleri. A Poufsouffle : Rían Bëor et Huor Thalion. A Serdaigle : Uinen Wasser et Ossë Thunder. Et à Serpentard : Blake Thuringwethil et Lungorthin Valaraukar. Une fois ceci fait, il regarda la liste des élèves entrant bientôt en septième année.
Nommer les deux Préfets-en-Chef s'avéra plus difficile. Pour commencer, Manwë hésitait à choisir Glorfindel Gold (parmi les Gryffondor), même si le jeune homme n'était pas Préfet. Mais en réfléchissant bien, il aurait plus sa place en tant que capitaine de l'équipe de Quidditch. Ses compétences de Gardien entraient en ligne de compte.
Une fois la parenthèse mentale sur le Quidditch fermée, Manwë repéra le nom d'une jeune fille de la même Maison : Morwen Bëor. Il avait eu de bons retours sur cette dernière : travailleuses, respectueuse du règlement, sérieuse en cours. Elle aurait tout aussi bien pu avoir sa place à Serdaigle, mais le Choixpeau magique a toujours raison. Oui, Morwen était un très bon choix. Le directeur regarda ensuite les listes de Poufsouffle et de Serdaigle, mais aucun garçon ne lui paraissait apte à être l'homologue de la jeune fille. C'est en parcourant la liste des Serpentard qu'il vit deux noms, respectivement celui de l'actuel Préfet (et seul ancien de l'année précédente, les autres ayant fini leur scolarité) et celui d'un autre élève : Fëanor Noldor et Sauron Gorthaur.
Manwë reposa le parchemin et se massa les tempes. Sauron était un élève brillant, poli, intelligent et responsable. Cependant, d'après ce que le directeur savait, le jeune homme mettait mal à l'aise ses camarades. Quant à Fëanor, il avait ce que Nienna Fëanturi, professeur d'Arithmancie, avait qualifié -en pleurant tellement elle était à bout- de «caractère de merde». Et le reste de l'équipe pédagogique ne pouvait qu'être d'accord. Même Aulë Mahal, qui enseignait les Arts et la musique magiques, n'avait pu défendre son élève préféré. Néanmoins, il serait injuste de le destituer de son titre de Préfet pour l'empêcher de devenir Préfet-en-Chef. Manwë n'eut donc pas d'autre choix que de le nommer.
-Je sens que l'année scolaire sera longue, soupira le directeur.
Thorondor hulula comme pour acquiescer.
30 juillet, manoir Formenos
Le petit-déjeuner du dimanche était toujours un vrai spectacle dans la famille Noldor. Mais quand on élevait cinq adolescents, il ne fallait pas s'étonner. Seulement, les disputes prenaient de telles proportions que des fois, les parents hésitaient à ligoter et bâillonner leur progéniture. Et ce n'était malheureusement pas un phénomène récent. En fait, cela remontait à la période où Fëanor était âgé de quatre ans, et Fingolfin et Findis, deux ans. En gros, depuis qu'ils avaient l'âge de comprendre que non, jeter de la purée avec sa cuiller ne plaisait pas aux parents. Treize années s'étaient écoulées, et les deux autres enfants nés après avaient suivi leurs aînés dans le projet de rendre chèvres Finwë et Indis.
Ce matin-là, il n'y avait pour l'instant que les deux plus jeunes de levés, Finarfin, treize ans, et Irimë, quatorze ans. Le premier avait des cheveux d'or pâle toujours peignés à la manière «petit garçon sage» qui faisait craquer sa mère. Alors que tout le reste de la fratrie regardait le monde avec des yeux gris, les siens étaient bleu ciel et innocents. Mais il ne fallait pas s'y tromper : le benjamin pouvait être un vrai petit démon (ce qui restait extrêmement rare). Quant à Irimë, elle avait hérité des cheveux noirs de son père. Ses boucles longues jusqu'au milieu du dos cascadaient librement, irisées de bleu. Elle ne le savait pas encore, à cause de son manque de confiance en elle, mais son charme naissant avait attiré l'attention de deux ou trois garçons assis derrière elle en Métamorphose.
Un silence relatif régnait, et la belle Indis remercia Merlin que les deux derniers de ses enfants soient aussi les plus calmes. Fingolfin, quinze ans, et sa jumelle Findis arrivèrent ensuite, bâillant à s'en décrocher la mâchoire. Quand on les voyait, il était difficile de deviner un tel lien de parenté : la jeune fille ressemblait traits pour traits à sa mère, ses ondulations dorées contrastant avec le noir des piques que Fingolfin se faisait au gel tous les matins avec application. Leur seul trait physique commun était la couleur des yeux. Les discussions commencèrent, mais pas encore de quoi s'alarmer. Néanmoins, Indis sentit que ça n'allait pas durer.
Une vingtaine de minutes après les jumeaux, Fëanor, dix-sept ans, arriva en dernier. Il était incontestablement le plus beau des trois garçons. Contrairement à ses frères, il laissait sa chevelure d'un noir d'encre pousser un peu, ce qui donnait de légères boucles de longueur inégales, pouvant aller jusqu'au menton. Et ce côté rebelle de son physique déjà avantageux en avait fait craquer plus d'une. Hélas, dans ses yeux gris métallisé, il n'y avait aucune chaleur, mais une flamme froide et agressive qui vous pétrifiait sur place.
Indis, en voyant son beau-fils, craignit le pire. Mais pour une fois, sa prière fut entendue, car deux hiboux tapèrent du bec à la fenêtre. La belle blonde ouvrit et les deux rapaces se posèrent sur la table. Prudemment, Irimë retira son bol de céréales. Fëanor prit les lettres que tenaient les hiboux, et ceux-ci s'envolèrent. Il y avait cinq enveloppes, une pour chaque enfant. Tous ouvrirent celle qui leur était destinée, et un cri de joie se fit entendre.
-Maman, s'exclama Fingolfin, je suis Préfet de Gryffondor !
Indis le félicita, tout comme Findis. Leur père, Finwë, vint à ce moment et exprima sa fierté pour son fils. Fëanor, quant à lui, eut un sourire que Finarfin trouva effrayant. En effet, le Serpentard annonça calmement à son père qu'il était Préfet-en-Chef. Finwë le félicita, mais Fingolfin pâlit à vue d'œil. Il avait oublié que son demi-frère était Préfet avant. Ce dernier lui adressa un sourire cruel, signifiant «je vais te faire vivre l'enfer cette année».
Un malaise s'était installé dans la cuisine. Les tensions, ravivées. En effet, lorsque les cinq adolescents vivant sous le même toit étaient répartis dans les quatre Maisons, ça pouvait faire des étincelles. Surtout lorsque l'aîné, l'irascible Fëanor, était à Serpentard, et que son cadet Fingolfin était à Gryffondor. Combien de fois avait-on dû les séparer, en quatre ans de scolarité commune ? Fort heureusement, les trois autres enfants ne posaient pas de problèmes en eux-mêmes. Findis et Finarfin étaient à Poufsouffle, et Irimë à Serdaigle. Mais si les deux filles et le benjamin n'étaient presque jamais la source des conflits, ils se mêlaient avec plaisir aux disputes entre leurs deux aînés. Findis se rangeait toujours du côté de son jumeau, Irimë tentait de calmer Fëanor, et le doux Finarfin, soit il comptait les points, soit il s'interposait. Mais depuis le jour où Fëanor lui donna le coup de poing destiné à Fingolfin, le jeune Poufsouffle avait abandonné la deuxième option.
Fëanor était le fils de Finwë et de sa première épouse, Miriel Serindë. Mais sa mère mourut en le mettant au monde. L'hiver 2055 fut terrible, non pas en terme de froid, mais parce qu'une étrange épidémie s'était propagée. Miriel avait contracté le virus, ce qui causa sa mort. Par miracle, son nouveau-né avait survécu, mais ça s'était joué à peu de choses. Un an plus tard, Finwë épousa Indis Vanyar. Les mariages arrangés étaient monnaie courante chez les sorciers, et celui-ci en était un, en quelque sorte. Fëanor n'avait jamais aimé Indis, qui pourtant faisait de nombreux efforts.
-Et si nous allions au Chemin de Traverse pour acheter tout ça, suggéra Finwë afin de dissiper le malaise qui s'était installé.
Les cinq adolescents se levèrent et partirent s'habiller. Finwë vit alors que sa femme gardait les sourcils froncés.
-Qu'y a-t-il ?
-J'espère ne pas recevoir de lettres de Poudlard cette année, répondit Indis. Mais je sens que ça va vite dégénérer. Essaie de discuter avec Fëanor, il n'y a que toi qu'il veuille bien écouter.
-J'essaierai, mais j'ai aussi beaucoup de mal à communiquer avec lui ces derniers temps.
Avant de partir, Fëanor jeta un dernier coup d'œil à une photo posée sur son bureau. Elle représentait une jeune fille de seize ans, aux longs cheveux roux et aux yeux gris sombre. Sur sa robe noire était brodé l'écusson de Serdaigle. Nerdanel Weasley était bien la seule, à Poudlard, qui pouvait accomplir l'exploit de calmer les pulsions colériques de son petit ami, le fils aîné de Finwë. Rien que pour ça, elle aurait mérité une médaille à son nom dans la Salle des Trophées, pour service rendu à l'école.
Il a été dit plus haut que les petits-déjeuners étaient sujets à de nombreux problèmes chez les Noldor. En fait, les repas matinaux restaient calmes, posés et sereins comparés aux rares sorties en famille. Mais peu importe les situations, le schéma restait le même : Fëanor contre les jumeaux (ou seulement Fingolfin), les deux plus jeunes tentant de calmer les choses ou fuyant à l'autre bout de la pièce (ou de la rue) lorsque ça prenait de trop grandes proportions. Mais les parents avaient trouvé une solution : faire deux groupes. Ainsi, Indis partait avec ses filles et Finwë avec ses fils.
C'est chez l'apothicaire que Fingolfin rencontra Anairë Potter, une quatrième année qui, comme lui, était à Gryffondor. Il délaissa son père et ses frères pour venir la rejoindre.
-Salut, Finn, dit-elle en souriant. Tu passes de bonnes vacances ?
-Oui, et toi ?
«Idiot, se dit le jeune garçon, c'est tout ce que tu trouves à lui dire ?». Il reprit contenance, chose difficile quand on croisait le regard vert malachite de la jeune fille.
-Enfin, corrigea Fingolfin, de bonnes vacances si on considère que je suis encore en vie.
-Ah, souffla Anairë en le regardant avec des yeux ronds.
-Bref, rien de spécial. Et toi, que fais-tu de beau ?
-Je suis chez mes grands-parents pour deux semaines.
D'un signe de la tête, elle montra un couple de sorciers âgés de près de soixante-dix ans, James Sirius Potter et son épouse, hésitant entre deux fioles aux contenus de la même couleur fuchsia.
Pendant ce temps, Fëanor réapprovisionnait son stock de foies de chauve-souris, car lesdits organes disparaissaient rapidement de la boîte du jeune homme. En effet, il s'était spécialisé dans la potion d'Enflure, qu'il était trop fier de réussir avec une telle perfection sans vouloir la partager. Un jour, Findis eut à peine le temps de trouver que son jus de citrouille avait un drôle de goût qu'elle gonfla de manière alarmante. Fëanor rit tellement ce jour-là qu'il s'était sûrement forgé des abdos en acier. La mère de la jeune fille avait bien sûr réparé les dégâts, mais jamais le coupable ne s'était dénoncé.
Enfin, Finarfin, aidé de son père, choisissait de nouvelles fioles, les siennes ayant explosé lors d'un cours de Potions particulièrement difficile, en fin d'année. Mais le jeune garçon ne s'intéressait pas vraiment aux fioles, car un autre sujet lui trottait dans la tête : il voulait un balai.
-Ecoute, soupira Finwë, tu ne fais pas partie de l'équipe de Quidditch de Poufsouffle, et tu n'es pas sûr de te présenter pour les sélections. Je refuse d'acheter un balai pour rien. Peut-être l'année prochaine.
Finarfin bouda jusqu'à ce que lui, son père et ses frères sortent de la boutique. Au même moment, Indis et ses filles sortaient de la librairie Fleury et Bott. Les affaires scolaires étant achetées, les parents autorisèrent leurs enfants à se promener pendant qu'eux iraient boire un verre au Chaudron Baveur. Findis et Irimë filèrent à la boutique de Mme Guipure pour s'acheter de nouvelles robes, Fingolfin et Finarfin se payèrent des glaces, et Fëanor s'engouffra dans la mystérieuse et malfamée Allée des Embrumes.
Hum, hum, voilà…
Une petite mise au point s'impose, à propos de Nerdanel et de Mahtan. C'est vrai, c'est un peu facile d'en faire des Weasley à cause des cheveux roux, même si ça les ancre dans l'univers de Rowling. Mais ce n'est pas seulement à cause de leur rousseur que je les ai intégrés à cette famille, mais aussi à cause des fils de Nerdanel et Fëanor. Tous les sept me font penser aux Weasley, avec des parallèles plus ou moins tordus (ce qui n'est pas logique en soi) : Maedhros / Bill (statut d'aîné, mutilations, et classe indiscutable), Maglor / Charlie (deuxième né, mais je n'ai pas d'autre idée, c'est par élimination), Celegorm / Ginny (il est le seul blond, elle est la seule fille, donc ils sont «à part»), Caranthir / Ron (sale caractère), Curufin / Percy (sale caractère aussi, mais en plus, investissement dans le travail. Curufin est celui à qui Fëanor a le plus transmis son savoir), Amrod et Amras / Fred et George (j'ai vraiment besoin de développer ?). Donc voilà, après ces comparaisons totalement bancales, j'espère avoir bien expliqué ce choix.
Autre chose : Valaraukar est l'autre nom des Balrogs. Mais si j'ai choisi le premier, c'est parce que les sonorités me paraissent plus agressives et dures que pour le deuxième.
Si vous avez des questions sur mes choix de répartition, que ce soit pour les élèves ou les professeurs, ou sur tout autre point de l'histoire, n'hésitez pas, je vous détaillerai tout ça avec plaisir.
