Chapitre 1: le début d'un rêve.
Tout a commencé dans l'état de Virginie près d'un petit village qui commençait à me plaire. Il ne pleuvait pas beaucoup et mes parents d'adoptions étaient plutôt sympa comparé aux 6 autres familles.
Enfin sympa est un bien grand mot car comme toutes les familles que j'ai eu après l'abandon de mes parents, ils avaient tous un problème. Chez les Devorte aucune personne à la maison sauf le facteur, la police, ou encore les quelques amis de Phil, le mari de ma famille d'adoption. Il devenait fou et le plus souvent je me retrouver dans ma chambre avec lui et me faisais frapper a coup de ceinture, un jour mon « frère », Jazz comme j'aimais l'appeler et rentrait dans ma chambre pendant que Phil me punissait d'avoir ouvert a Angela pendant son absence.
Flash-back:
-Tu n'as toujours pas COMPRIS que nous ne voulions pas que tu es d'amie et encore moins que tu les invites a rentrer quand nous ne sommes pas là? Es-tu sourde ou le fais tu exprès? Me cria-t-il près de l'oreille droite.
-Non je ne l'es pas fais exprès, je vous en supplies pardonnez moi, ça ne se reproduira plus. Je pleurais et tentais de cacher mon visage dans mes mains mais Phil attrapa mes mains et les tenait fermement contre son torse.
-Tu ne t'en tireras pas comme sa! Aujourd'hui tu as 17 ans… Tu as le droits a un traitement plus favorable… Pour moi, bien évidemment. Il avait chuchoté ses paroles au creux de mon cou et j'avais des frissons sur tout le corps. Je s'avais ce qui allait se passer, je ne pouvais rien y faire, cela faisait 6 ans que personnes ne m'avais toucher.
Il lâcha une de mes mains et glissa la sienne sous mon tee-shirt et remonta vers mon sein gauche.
-Tu aurais du t'en douter, que tu finirais comme ça. Tu n'es bonne que pour le ménage et la baise. Tu es une fille de prostituée, n'oublis jamais. Il remonta d'avantage sa main et la plaqua sur mon sein, sa bouche vient à l'endroit ou se trouvais mon autre sein, il léchât le tissu et fit ensuite remonter mon vêtement par-dessus ma tête. Je pleurais, le suppliait d'arrêter, mais il continuait ses gestes et des grognements de plaisir s'échappaient de sa bouche qui vient juste de se plaquer à l'endroit où il se trouvait avant que mon vêtement ne tombe a terre. Il s'était rapprochait de moi et mon sexe touchait maintenant le sien. Je pleurais tellement, j'avais peur mais j'avais tellement eu l'habitude que je savais pertinemment que si je bougeais j'aurais des bleus sur tout le corps. Alors je pensais à autre chose, je tentais d'oublier la douleur mentale et physique de se qu'il me faisait. Mais je ne pouvais pas ne pas sentir sa main lâchait mon sein et glisser le long de mon ventre pour venir cajoler mon petit bout de nerf. Il bandait je le sentais par-dessus mon jean. Il introduit deux doigts en moi et mon cauchemar commença. Il retira son pantalon et arrachât pratiquement le mien, une fois fais il me pénétra d'un coup et je sentis toute la rage et la colère qu'il mettait dans ses coup puissant et rapides. Je voulais tellement être ailleurs, partir et tout plaquer, mes amis, le lycée et cette ville qui n'était plus la mienne. Tous abandonner sauf Jasper, lui seul me comprenait. Au moment ou le monstre allait se déverser en moi, mon gardien arriva, la porte s'ouvrit et il apparu de grand yeux bleue ouvert en signe d'étonnement, mais l'étonnement ne dira que 2 seconds et la colère pris la place.
-COMMENT A TU OSAIS ! S'écria-t-il. COMMENT PEUX TU? Il regarda son père avec tellement de rage que si il avait eu des éclaires à la place des yeux Phil en serait mort. SORS DE SA CHAMBRE! Jasper avait 20 ans mais il le dépassait d'une tête, quand le montre, qui avait continué jusqu'à exploser en moi était sortit de mon entre et il remonta son pantalon il attrapa sa ceinture, il voulu l'abattre sur le torse de Jasper, ce dernier réussit a esquiver la ceinture et attrapa le poignet de son père pour lui retourner et lui coincer entre les omoplates. Il fixait son père avec ses yeux emplit de colère.
-Je ne suis plus un enfant Phil. Et la ceinture a fait son temps. CASSE TOI DE CETTE CHAMBRE! Phil couru presque jusqu'au escalier et les dévala la tête la première. Jasper s'approcha de moi doucement sans se soucier de la cascade de son père et murmura en s'approchant de moi. Sa va? Il ne ta pas fait trop de mal? Je suis tellement désoler, j'aurais du débaucher plutôt mais le patron avait besoin de moi… Je suis tellement désolé. Je…
-Arrête de t'excuser ce n'est pas ta faute… Il m'a juste … Surpris a faire entrer Angie à la maison. J'avais du mal a parler, des sanglots dans ma gorge m'en empêchaient. N'en parlons plus, si te plais.
-D'accord petite sœur, promis. Je te promets que bientôt on partira tout les deux. Dès que tu auras ton Bac. On partira je te le promet. Je m'étais réfugié dans le creux de son épaule et reniflait abondamment.
-Je t'aime Jasper
-Moi aussi je t'aime petite sœur. Plus que tout au monde, je ne te laisserais pas ici seul encore une semaines. Je te le promet.
Les examens se déroulaient le lendemain et le jour d'après. Je ne pouvais les louper, j'avais travaillais dure pour les obtenir.
Fin de Flash-back
Deux semaines se sont passés depuis se jour et maintenant nous sommes cher nous, a Seattle, une ville plutôt sympathique et calme, hormis les quelques crimes et voles dans les quartiers « chaud » comme les appelés Jasper.
Nous avions quittés la Virginie et avions pris l'avions avec juste une valise pour nous deux, après avoir reçu mon diplôme j'avais trouvé Jasper sur le parking à côté de notre vieux taco et il m'avait dis de monter, que c'était le jour de la délivrance. Je lui avais demander où étais mes affaires et il m'avait répondu qu'il n'avait pas eu le temps de prendre beaucoup de choses donc je me retrouver avec 3 jeans et 4 hauts avec des dessous. Lui avait pris 2 pantalons et 4 hauts. On s'était dirigés a l'aéroport et avions fais « plouf-plouf » sur le tableau d'affichages des voles. J'étais tombais sur Seattle, j'aimais beaucoup cette ville, une de mes familles d'accueil y était passée pour des vacances et j'avais adorée.
Une fois arrivais nous nous étions précipiter dans un hôtel et avions dormis. Le lendemain matin j'avais fais les courses pour deux ou trois bricoles et avais préparée des sandwich. Mon frère s'était réveillé sur les coups de 11h et il était partit comme sa s'en rien dire au bout de 2 heures je commençais a m'inquiéter. Je le vis arriver rapidement et il m'enlaça.
-J'ai trouver un appart en ville a 2 kilomètres d'ici, il y a un bar au ré-de-chaussé, nous pourrions gagner un peu d'argent comme ça. Et une Université est a 500 mètres, tu pourrais continuer tes études et trouver un job. Bella tu vois la chance qu'on a?
-C'est magnifique Jasper, mais l'Université vas sûrement vouloir une adresse de domicile des parents? Je ne peux pas Jasper, je ne suis même pas majeur… Je t'aiderais au bar. Ne t'inquiètes pas.
-Non Bella je leur et expliqué la situation, ils disent te vouloir et vont contacter un avocat et l'assistante sociale, avec les notes que tu as obtenus, il dis te vouloir impérativement au sein de leur université et qu'ils seraient fière d'avoir une élève comme toi. Bella dis oui je t'en surplis, et pour le bar j'engagerais quelqu'un pour me filer un coup de main. Il me fis un regard de surplis et je leva les yeux au ciel.
-D'accord, mais si tu as un seul problème avec le bar tu me le dis. D'accord?
-OUI BELLA MERCI! Il me pris dans une étreinte de fer et nous fis tourner. J'étais tellement heureuse. Rien ne pourrais gâcher cette journée ou le ciel bleu était rare.
Nous partîmes donc pour aller voir cette appart. Quand nous arrivâmes les lieux étaient asses piteux. Mais le bar était plutôt correct.
-Je me s'en déjà comme chez moi. Me dit-il.
-C'est asses bizarre mais moi aussi. Me confiais-je en regardent les lieux avec un sourire de plénitude sur mes lèvres.
Deux jours après avoir aménagé nous avions fini de retaper le bar en installent de nouvelles tables en bois recouvert d'un noir laqué et un nouveau comptoir constitué de vitre a partir du comptoir, noir également, jusqu'au sol . Quand t-a ma chambre et celle de Jasper je les avais refaite moi-même en violet et noir pour moi et jaune orange et noir pour Jazz. En prenant sur le compte de Jasper l'argent qu'il faut, je ne sais pas comment ça se fait qu'il est tant d'argent.
-Jasper, comment se fait-il que tu es t'en d'argent? Tu as tous payé et tous ça à du coûter assez cher?
-Ne t'inquiètes pas Bella, On vas dire que maman et papa me devais pas mal pour tout se qu'il nous ont fais subir alors j'ai pris sur leurs compte et dans le coffre fort. Bella c'est pour tout se qu'il nous ont fais et les anniversaires ou ils ne nous ont rien offert.
-Tu n'aurais pas dus faire ça Jasper, sa ne se fais pas même quand se sont des personnes horribles qui vous ont fais du mal… Au quoi que.. Tu as raisons, sans ça on aurait du faire la manche. Merci Jasper d'avoir tout risqué pour moi. Je t'es toujours considéré comme mon frère depuis que je suis arrivais dans ta famille je me suis sentis a ma place quand tu ma prise dans tes bras et l'amour que tu me prote en est égale. Mais risquer aussi gros pour moi… Moi je l'aurais fais pour toi, alors… Je ne peux t'en vouloir, mais ne le REFAIS PLUS JAMAIS, tu m'entends?
-Oué Bella j'ai compris.
-Bon t'en mieux alors. Je t'aime fréro.
-Je t'aime fort aussi ma Bellicima.
Il ris et je lui administra une tape sur le torse. Il ris de plus belle et me décoiffa avec sa main gauche. Je me redressa et lui sauta sur le dos en tentent de l'étouffer.
-Je te tuerais JASPER DEVORTE. Ne refais plus jamais se que tu viens de faire.
-Ok tite sœur ne t'inquiètes pas. Je me retourna pour partir vers ma chambre quand je sentis deux bras encercler mon dos et mes genoux et mon corps décollèrent du sol.
-JASPER, lâche moi, sale gamin.
-Non je crois pas-tu dois aller en cour, a tu oublié? Et l'Université c'est pas par là.
-HO. MON. DIEU. C'est aujourd'hui? J'ai totalement oublié. Haaa Jasper? Je suis en retard!
-Mais non il te reste 15 minutes, pas de panique. Il leva les yeux aux ciel, il était désespéré, il éclata de rire. Je fis mine d'être en colère et j'éclata de rire avec lui.
-Bonne journée Bella, et n'oublis pas que se soir tu travailles. Parle du Club a tes futurs amis. Il avait commençais a me le rabattre depuis 10 minutes. Et là pour le coup j'allais vraiment être en retard.
Je couru jusqu'aux portes de l'Université et atterries sur un petit lutin aux cheveux brun et aux yeux vert, habillé d'une jupe et d'un haut avec quelques paillettes.
-Je suis vraiment désolé, je suis en retard, je vais t'aider a ramasser si tu veux?
-Merci c'est gentil et t'inquiètes pas, moi aussi je suis à la bourre, se matin mon abruti de frère c'est amusé a cacher mes chaussures. Elle fis tourner ses yeux en rond et regarda le bouquin de chimie que je tenais dans les bras. Tu as cours en quoi?
-K16, en chimie et toi?
-K16 aussi, viens je sais où c'est, mon frère ma tout expliqué hier.
-Ok jte suis. Et au faite moi c'est Bella. Et toi?
-Alice, Alice Cullen. Je viens de Forks et je vis a côté de l'Université avec mon frère.
-Ok, moi j'habite au-dessus du bar qui vient d'être rénové a l'entré sud. Et j'habite avec mon.. Frère.
-Pourquoi as-tu hésitais sur « frère »? Désoler je suis vraiment très cureuse et …
-Non c'est bon.. Enfaîte c'est pas vraiment mon frère, j'ai étais placer dans une famille d'accueil et je le considère tout comme. Je fis un petit sourire en coin qui se voulait rassurant.
-D'accord, si tu as besoin de parler je suis là, moi et mon frère aussi on a était placé. Carlisle et Esmée sont comme des parents depuis que j'ai 7 ans. Mon frère avait 8ans, il se rappelle de plus de choses que moi… Elle avait les yeux perdu dans le néant, la tristesse se lisait sur c'est trais.
-On viens d'arriver, tu te m'es a côté de moi?
-Avec plaisir, Bella. On pourra parler de tout et de rien.
-Ok.
Arrivé en cours il manquait encore des personnes, donc nous étions un peu rassurées avec Alice. Nous nous installions vers le fond de la classe. Le prof entra à son tour dans la classe et se mit derrière son bureau les poins sur la table.
-Bonjour a tous et a toutes, je suis Mr. Robness. Je vais vous enseignez la Chimie cette année. Donc que se soit claire, les élèves qui arrive dans mon cours et qui ne veulent pas travaille, vous pouvez d'ores et déjà sortir de mon cours. Nous nous regardions avec Alice, personnes ne bougeaient.
-Très bien dans se cas, nous pouvons commençais.
Le cours s'était bien passer, et la matinée aussi. Alice et moi avions 2 cours sur 4 en communs. Il était 12h45 l'heure d'aller manger. En arrivant dans la cafette je trouvais rapidement Alice, assise à une table. Elle me fis de grands gestes et je me dirigeais donc vers elle.
-Re. Lui dis-je.
-Re, alors tes deux autres cours? Tu t'es pas trop fais chier? Elle rit.
-Non pas du tout, mes profs ont l'air cool, ils sont tous jeunes et rient avec nous.
-Cool alors, moi j'ai une vieille peau en anglais qui peut pas me saquer. Pas cool pour mon premier jour. Elle sourit.
Nous commençâmes a mangeais quand j'aperçu un jeune homme arriver vers nous. Il avait les cheveux cuivré et son regard était vert émeraude. Il était tellement beau que si il n'y avait eu que lui est moi je lui aurais sauter dessus. Je sortis de ma transe en le voyant s'arrêter devant notre table.
-Qui c'est? Dit-il en mettant ses mains devant les yeux d'Alice.
-EDWAARRDDD ! Elle se retourna et lui sauta au coup. Merde c'était sûrement son petit copain. Putain quelle chanceuse.
-Bella, je te présente mon grand frère. Edward, Bella une nouvelle amie de classe.
Il me fis un sourire et je crus m'étranger tellement mon cœur s'amuser à détruire ma cage thoracique. Son sourire en coin ravageur. Je dus rougir car ma peau me brûlait le visage.
-Bonjour. Dit-il en me regardent de bas en haut. Je me sentis perdre l'équilibre dans mes pensées. Tout était en fusion autour de moi.
-Bon..Bonj..Bonjour. Je bégayais, c'était bien la première fois que ça m'arriver. Désoler j'ai un peux chaud, je crois que je vais sortir dehors je reviens.
-Ok pas de soucis on t'attend. Elle me fis un clin d'œil et je sortis dehors fumer.
Mais qu'es qui m'avais pris de bégayer ainsi. Pourquoi ce garçons était sont frère. Mais qu'es qu'il est beau. Je soupirais de fantasme a son sujet quand une voie me sortie de mes pensés.
-Tu aurais du feu s'il te plais? HO. MON. DIEU. C'était lui. C'était sa voie.
-Heu… Oui. Tiens. Je parviens a tirer de ma poche avant mon briquet et lui tendis. En lui passent l'objet mes doigts effleurèrent les siens et ma peau s'électrisa a cette endroit. Je me retourna et regarda la portail de l'Université.
-Hum… Tu viens a l'Université pour faire quoi?
-Etudier le droit, et plus particulièrement les droits des enfants. Et toi?
-Je finis mes étude de photographe.
-…Ok.
-Alice m'a dit que ton frère avait un bar près de l'entrée?
-Oui, on l'ouvre se soir normalement. Je dois aussi chanter, mon frère a tenté de me convaincre se matin. Je ris a cette pensée et au souvenir de notre chamaillerie.
-Hé bien, Alice et moi viendrons pour te voir alors. Il me fis un autre clin d'œil et se dirigea dans les couloirs.
Quand je reviens dans la cafette Alice me demanda se qu'il m'avait dis, je lui répondis qu'il viendrait avec elle au bar et que j'allais chanter devant eux. A cette mention elle rit et me dévisagea.
-Tu chantes? Moi comme une casserole. Non sans déc, j'ai fais mourir le chat a ma cousine, il a sautait du 15eme étage de son immeuble. Pauvre chat. J'éclatais de rire et elle me suivis.
La cloche venait d'annoncer la fin de ma journée, et t'en mieux car je n'en pouvais plus de ses mongoles qui vous accoste à tous les angles des couloirs. Je sais que je ne suis pas moche mais au point que tout les blaireaux de l'Université m'accoste sans était vraiment trop. Je sortis donc du Bahut et me dirigeais vers l'angle de ma rue quand deux gas me plaquèrent contre le mure du bâtiment et m'entraînèrent dans une ruelle, je t'entais de donner des cousp de pied mais un des deux me tenait ferment les jambes. J'aurais voulu appeler à l'aide mais ma voie était enraillé par des sanglots de terreur.
-Hé bé la belle que fais tu dans la rue seul, hum… je sens qu'on vas pas mal se marrer. Fit le premier. Il commença à enlever sa ceinture et baissa légèrement son pantalon pour en sortir sa queue.
-Hum… je crois bien aussi. Un ma poulette, tu sais que t'a l'aire hyper bonne avec ta jupe. On va t'apprendre à sortir comme sa dans notre rue et a nous ignorer dans les couloirs. SALOPE. A genoux et vite.
J'exécuta son ordre et le fit rentrer dans ma bouche, il attrapa mes cheveux dans une main, le second mec était a ma gauche et tirait sur sa queue comme un âne et je continuer à pleurer en silence. Tout mes muscles ne me servaient plus a rien, je ne pouvais plus bouger, ni crier. Ils allaient avoir tous se qu'il me demander de faire, j'avais peur, mais encore une fois, j'avais l'habitude. Le premier m'arracha mon string et me releva les anches pour mettre son pénis a mon entrée. Il rentra en moi avec force. J'avais les mains sur le mur et lui était derrière moi. Le second toujours dans ma bouche m'enfonça son manche bien au fond de ma gorge pour une profonde, il accéléra le rythme et me baisé la bouche. Je ne pouvais plus rien faire. Mon corps réagissait sans que je ne le veuille.
Quelques minutes plus tard, ils me laissèrent là comme un poubelle qu'on viendrait de jeter les ordures. J'étais vide, ma tête basculer d'avant en arrière, mon dos se posa sur le mure et tomba sur le sol, je ne voulais plus pensé, je voulais en finir. Je déteste cette ville. Au bout d'un temps, je ne sais pas combien de temps exactement, je sortis de la ruelle et me mis a marcher vers la pharmacie.
-Bonjours, je voudrais une pilule du lendemain s'il vous plais.
-Oui, je vous apporte ça. Sa va mademoiselle?
-Oui tous va bien. Je me forçais a lui sourire pour ne pas avoir de questions indiscrètes.
Je ressortis est avala directement la petite pilule qui me sauverais sûrement d'un accouchement, d'un fou et pervers comme les deux hommes qui m'avais agressé. Je pleurais silencieusement en rentrent dans le bar ou déjà une bonne vingtaine de personnes s'amuser, Jasper m'interpella.
-Bella, j'ai besoin de toi. Viens s'il te plais, la table 12 et 15 veulent boire. Il leva enfin son regard vers mon visage et il s'interrompit immédiatement. Qu'es qui t'es arrivé? Bella réponds moi, s'il te plais. Qu'es qui c'est passer?
-Rii..Rieen.. Quand..Ali..cE… Arrivera.. Dis..Lui..De..e Monter. O..oK? Je sangloter et n'arriver pas a enchaîner mes mots.
-Jpeux pas te laisser comme sa et je sais même pas qui c'est Alice? Va te reposer je te rejoins dans 2 minutes le temps de fermer. Monte vite de coucher.
-Non, Jazz elle ne va... commençais-je avant de voir mon lutin arriver. Elle est là Jazz ne ferme pas ok. Tout va bien jte raconterais plus tard.
Je monta les escaliers en faisant signe a Lice de ma suivre, pour enfin me dirigeais vers ma chambre et m'allongeais en position fœtale sur mon lit.
Quand Alice déboula dans ma chambre je ne me relevais même pas. J'avais le regard dans le vide, la vie s'acharner donc vraiment sur moi.
-Bella. Chuchota Alice de ma porte. Elle se dirigea vers moi à pas lent. Qu'es qui c'est passer? Raconte moi, Bella parle. Elle me caressa le bras et je sentis une première larme couler sur ma joue, laissant dans son sillage une partie de moi.
-Deux.. Hommes…Ruelle.. Le mure… ALICE! Je me redressais et enfuit ma tête dans la creux de son épaule.
-Ho mon dieu Bella… Elle pleurait également maintenant. Ne pleure pas, tu vois se que sa fait sur moi, mon maquillage est niqué maintenant. Bravo. Bella, il faut que tu aille voir la police.
-Plus tard, mon frère a besoin de moi, il faut que j'aille chanter. Alice tu peux m'aider a me maquiller?
-Bien sur j'adore sa mais tu devrais te reposer. Même si je te paris tous se que tu veux que mon frère va tomber raide dingue de toi une fois que je t'aurais préparée. Pff.. Pas la peine il l'est déjà.
-QUOIII? Alice … Répète.
-Mon idiot de frère et dingue de toi, c'est claire la? Maintenant dors un peut.
-Heu.. Non tu dis n'importe quoi. Ce n'était pas possible, en juste une journée tomber raide dingue d'une personne est impossible, quoi que, moi de lui alors…Non pas possible.
-Bella regarde toi dans une glace tu es magnifique, toute les meufs voudrais avoir tes cheveux, ton visage, ton corps, ton esprits. Sans déc t'es super comme meuf.
Alice me permis de dormir 1h et me prépara a mon entrée sur seine habillée dans une robe courte noir a paillettes et un maquillage légué pour cacher mes cernes.
-Bon il est temps dis aller, merci Alice.
Je me mis donc en place sur l'estrade, pris la guitare de Jasper et commença à jouer:
-Pour toi Jazz. It's not over, celle qui nous va le mieux mon frère.
Mes larmes me coupent comme des rasoirs
Et non, ce n'est pas seulement ma faute,
Est-toi ou bien moi?
Et tous les mots que nous ne disions pas reviennent,
Et maintenant nous en avons honte,
Il n'y a plus de sens a jouer a ça,
Si tu as fais tout se que tu pouvais…
Mais là, c'est fini, c'est fini, pourquoi est ce fini?
Nous avions la chance de le faire,
Maintenant c'est fini, c'est fini, ça ne peut pas l'être,
J'aimerais tant revenir en arrière… Mais c'est fini…
Je me suis perdu dans ces luttes,
J'ai perdu le sens du bien et du mal,
Je pleure, je pleure…
La douleur envahit tout mon esprit,
Je veux juste souffrir dans mon lit,
Je veux jeter au loin ma vie ,
Sans la laisser mourir, sans la laisser mourir.
Mais là, c'est fini, c'est fini, pourquoi est ce fini?
Nous avions la chance de le faire,
Maintenant c'est fini, c'est fini, ça ne peut pas l'être,
J'aimerais tant revenir en arrière…
Je meurs lentement, je meurs lentement,
Ne me dis pas que ça ne durera pas,
Tu brises mon cœur, TU BRISES MON CŒUR,
Ne dis pas que nous ne serons jamais ensemble…
Nous pourrons l'être, encore et encore,
Nous pourrons l'être, pour toujours!
Je meurs lentement, je meurs lentement,
Ne me dis pas que ça ne durera pas,
TU BRISES MON CŒUR,TU BRISES MON CŒUR,
Ne dis pas que nous ne serons jamais ensemble…
Nous pourrons l'être, encore et encore,
Nous pourrons l'être, pour toujours!
Ça n'est pas fini, ça n'est pas fini,
Ce n'est jamais fini, sauf si tu le laisse partir,
Ce n'est pas fini, ce n'est pas fini, jamais fini,
Sauf si tu le laisse te détruire,
Ce n'est pas fini..
-Je t'aime grand frère. Il pleurait, je le voyait, il me remercia d'un mouvement de tête et continua sa tournée. Maintenant un autre pour une personne que je viens de rencontrais. Merci Alice, pour tout.
Je m'installais au piano et commença les notes de « Lili » d'Aaron.
Lili, prend un autre chemin,
En dehors de ton monde illusoire,
S'il te plaît, pose ces drogues,
Que tu as dans les mains,
Tu verras que tu es capable,
De respirer par toi-même,
Il y a tellement de choses,
Qu'il te faut comprendre,
A chaque pas,
Dans chacune de tes marches,
Dans chaque villes,
De chacune de tes pensées,
Je serais ton guide,
Dans chaque rue,
De n'importe quel lieu,
Dans tous les endroits où tu n'es jamais allée,
Je serais ton guide,
Lili, Tu sais qu'il reste encore une place,
Pour les gens comme nous,
Le même sang coule,
Dans toutes les mains,
Tu vois, ce ne sont pas les ailes,
Qui font l'ange,
Tu dois juste sortir,
Les démons de ta tête,
A chaque pas,
Dans chacune de tes marches,
Dans chaque villes,
De chacune de tes pensées,
Je serai ton guide,
Dans chaque rue,
De n'importe quel lieu,
Dans tous les endroits où tu n'es jamais allée,
Je serais ton guide,
Lili, Aussi simple qu'un baiser,
Nous trouverons une réponse,
Laisse toutes tes peurs,
Derrière toi, dans l'ombre,
Ne deviens pas un fantôme,
Sans aucune couleur,
Car tu es la plus belle peinture,
Que la vie ait pu faire,
A chaque pas,
Dans chacune de tes marches,
Dans chaque villes,
De chacune de tes pensées,
Je serai ton guide,
Dans chaque rue,
De n'importe quel lieu,
Dans tous les endroits où tu n'es jamais allée,
Je serais ton guide…
Je la regarder, près du comptoir ou elle et son frère m'applaudissaient et des larmes coulèrent sur mes joues ainsi que sur les siennes. Je sautais de la scène et me précipitais dans ses bras.
-Merci Alice pour tout ce que tu as fais pour moi. Merci.
-Bella… Je te connais que depuis se matin et jt'aime comme ma sœur, Bella…Je ne sais plus quoi dire.
-Tu mas rendu le sourire, merci, Lili.
-De rien, Au Edward, tu connais Bella, bon je vais chercher quelque chose a boire vous voulez quelque chose?
-Une bière Lili, s'il te plais.
-Rien un coca si tu veux. Merci. Alice disparu derrière les personnes autour de nous.
-Tu chantes super bien Bella.
-Heu… Merci. Je rougis face aux compliments.
-De rien je dis simplement la vérité. Il me gratifia de son sourire en coin. Je vais dehors fumer, tu m'accompagne?
-Hum… Avec plaisir.
Nous sortîmes dans la rue, nos regard se croisèrent et je me colla aux mure du bâtiment. Il vient se mettre a ma droite, nos regard toujours accrochés l'un a l'autre.
-Hum… Tu aurais du feu? Désolé j'ai pas pensé a prendre le mien en passant à l'appart.
-Oui bien sur, tien. Je lui re-passais mon briquet et fus a nouveaux confronté aux décharges quand nos doigts se rencontrèrent.
-Hum.. Plutôt étrange ces décharges quand tes doigts touchent les miens?
-Tu as remarqué? Oui c'est asses étrange…
-Attends je voudrais juste tenter une chose. Tu veux bien?
-Oui quoi?
-Ferme les yeux, et fais moi confiance. Tu peux?
-Ou..Oui.
Je fermes donc les yeux et sentis un main se poser sur ma joue, le courant se répartis jusque dans mon bas-ventre. Puis sa respiration se mêla à la mienne, il se rapprocha de moi, lentement, tellement lentement que ma bouche, se dirigea d'elle-même vers la sienne, se fut un baiser, long et passionné. Je dus m'écarter pour reprendre ma respiration. Je le regardais dans ses yeux devenus noir de désire. Il se rapprocha encore de moi est nos lèvres se rencontrèrent de nouveaux, ses lèvres m'avaient manqué juste le temps de reprendre notre respiration. Je devenais accro a ce mec.
Mais soudain des flash-back me revinrent de deux heures au part avant ou j'avais était violée et insultée . Je le repousser donc, aillant peur moi-même de mon geste devenu trop soudain a la réponse de son baisé.
-Désoler, il faut que je rentre… Je dois parler a Alice. C'est importent. On se vois demain à la cantine. Je ne sais même pas comment j'ai réussis a aligner autant de mots en une phrase avec Edward juste en face de moi qui me portais un regard inquiet.
-Ok…Bonne.. Bonne nuit. Je rêves ou il venait de bégayer comme moi au bahut.
-Toi..Toi aussi. Je rougis violemment.
Un fois rentrais je proposa à Alice de rester à la maison pour dormir, il était tard et Edward venait de partir. Alice me sauta dessus et nous montions dans ma chambre après avoir fermé le bar. Ce soir là, se fus dur de m'endormir.
