Prologue
Pourquoi ? Mais pourquoi fallait-il qu'ils se retrouvent toujours dans le même wagon tous les quatre ? C'était ce que se demandaient tous les Serpentards qui avaient le malheur de passer par le compartiment de ces quatre garçons. Aucun de ses résidents provisoires à bord du poudlard express ne pouvaient s'empêcher de titiller les Serpentards sur leur déplorable bêtise.
L'un d'entre eux était justement en train de réfléchir à leur retour à Poudlard après deux longs mois de vacance. En dehors de sa propre maison, ou bien entendu il était adoré et cajolé par ses parents, l'école était le seul endroit où il se sentait aimer. Evidement quand on est fils unique, il faut s'attendre à être particulièrement couvé même après avoir fait preuve de courage, de bravoure, de maturité.... Et malgré le fait, qu'il contemple désormais le monde du haut de ses quinze ans, le jeune homme n'avait pas pu échapper au conseils de sa mère, à la révision complète de sa valise et aux longues embrassades où il avait senti que sa mère s'inquiétait comme tous les ans de le voir partir pour neuf mois. Poudlard était donc sa seconde maison... Il se sentait chez lui car il n'était pas mauvais du tout en cours, sûrement l'un des meilleurs élèves de sa maison en réalité, il y retrouvait ses seuls véritables amis, ceux à qui, il n'avait plus rien à cacher. Poudlard était son terrain de chasse favoris d'ailleurs... Il connaissait sur le bout des doigts la grande majorité des couloirs du château puisqu'il passait plus de temps à l'explorer qu'à faire ses devoirs. Au travers du regard vif et flamboyant des ses yeux bleu azur, le garçon observait tour à tour ses amis assis de par et d'autre des banquettes.
Un jeune garçon, aux cheveux longs et noirs, riait en se tenant le ventre. On pouvait voir ses magnifiques dents blanches, prêtes à croquer la vie avec appétit. Ses yeux étaient bleus comme celui du jeune observateur mais d'un bleu différent et pourtant tout aussi beau, chaud [nan tu peux pas dire un bleu chaud...] à la fois froid et amical et amical. Ce dernier avait une lueur amusée constamment au coin de l'œil. Comme s'il était toujours prêt à rire... et c'était d'ailleurs le cas bien souvent. Il n'était pas rare qu'il éclate de rire sans prévenir. Il faut dire qu'il était très fort pour faire des bêtises sans que les autres ne s'en aperçoivent. Le plus populaire de tous sans aucun doute. Il était très difficile pour les autres élèves de ne pas le connaître. Et même certains professeurs ne pouvaient s'empêcher de rire de bon cœur à ses pitreries. Ses yeux rieurs emplis de larmes fixaient le garçon assis à côté de lui.
Donc le rieur regardait avec amusement un autre garçon. Ce dernier avait une coupe de cheveux assez particulière, avec des mèches en l'air. Sa coiffure était indomptable comme le disait désormais la légende de leur maison. Des cheveux à l'effigie d'un garçon intenable et tout aussi indomptable. Ses trois amis aurait été prêt à parier que même les descendants de l'échevelé auraient à découdre avec cette légendaire coupe de cheveux qui le caractérisait si bien. Des cheveux courts, ou en tout cas, pas trop long mais qui partaient en tout sens. Et en effet, comme ses cheveux, il avait ce caractère particulier. Il a dû surprendre les médicos mages-femmes en sortant du ventre de sa mère celui là. Ses yeux, eux aussi, faisaient partis de la légende de Poudlard, couleur noisette, chauds et tendres mais aussi droits et fiers. Ce jeune homme était à la fois impeccable et poli devant les professeurs mais également le premier à faire des bêtises dès qu'ils ne regardaient pas. Voilà de qu il était en vérité. Un nombre considérable de filles avaient déjà tenté leur chance auprès de lui malheureusement, le jeune homme n'avait, jusque là, pas eu d'autres préoccupations que la persécution des serpentards, le quidditch et ses amis. Quelqu'un d'extérieur à leur compartiment qui aurait posé son nez contre la fenêtre aurait pu croire que le joueur de quidditch était dans une rage folle tellement il gesticulait [avec énergie]. Mais bien au contraire, il était d'humeur joyeuse et faisait un récit complet de ses vacances. Tandis que le garçon à ses côtés riait toujours aux éclats, un quatrième garçon se trouvait assis à la gauche de notre penseur et en face du joueur de quidditch.
Le dernier des occupants de ce compartiment avait le menton poser entre ses mains et semblaient totalement en extase devant le jouer de quidditch. Avec sa coiffure trop sage, il faisait pâle figure à côté des trois autres. Bien moins séduisant à première vue, il n'était pas pour autant dénué de charme. Il avait un air triste et faible dans ses yeux verts, mais on pouvait également lire dans son regard une incommensurable admiration. Il affichait un immense sourire et ses iris reflétaient une très étrange mais habituelle loyauté à ses amis. Il était normal, en effet, qu'il leur soit fidèle, car il était et de loin, le plus faible d'eux quatre et sans eux, ils n'auraient personne pour le protéger. Il n'était pourtant pas mauvais en classe mais il manquait de confiance en lui et ses amis n'étaient pas là pour arranger les choses. Être continuellement en présence d'un joueur de quidditch populaire, d'un farceur adulé et d'un préfet respecté et admiré, n'était pas chose simple. Surtout avec sa lenteur qui lui valait bien souvent les railleries de ses camarades.
Chacun de ses amis avaient son caractère, mais il savait parfaitement que cette année allait une fois de plus, leur permettre de faire les quatre cent coups aux serpentards, d'attaquer ce cher Rogue, de s'amuser à semer Rusard et à sa teigne de chatte dans les couloirs et les bas-fonds du château. Une fois de plus, il devrait faire semblant de ne pas remarquer les gloussements des filles destinés à ses amis et comme de coutume, il aurait des mois très chargés où il risquait d'être très fatigué... mais il ne voulait pas penser à ça dès son arrivée à Poudlard.
Voilà quatre ans qu'ils se connaissaient tous les quatre et il savait parfaitement qu'il pourrait compter sur ses trois amis en cas de besoin. Et ils savaient tous parfaitement qu'ils auraient encore besoin les uns des autres. Chacun à leur manière soit, mais cette année allait à nouveau être des plus intéressantes, remplie de nouvelles aventures... et de beaucoup de nouvelles découvertes... C'était sur, l'année serait chargée... Et une fois n'était pas coutume, de tout évidence, ça serait encore une année studieuse bien que pleines de bêtises pour les Maraudeurs.
En tout cas, ce dont Remus ne se doutait pas à cet instant précis alors qu'il foulait du pied le sol du quai, c'était que cette année serait une année de grand changement pour lui, son cerveau d'élève studieux, ses nerfs d'acier d'amis de Sirius Black, de James Potter, de Peter Pettigrow( nerfs d'acier qui étaient, entre nous, indispensables), et son cœur qui ne demandait qu'à être cueilli... et bien entendu, il ne pouvait pas savoir non plus que ça serait la même chose pour ses trois amis...
Mais son égarement fut trop long pour que ses amis hyper attentifs « et hyper actifs » ne réagissent pas...
- Lup ? l'appela James doucement, l'air un peu inquiet par le silence de son ami. On est arrivé au château.
Après un rapide coup d'œil à l'extérieur de la calèche tiré par il ne savait quoi, Remus s'aperçut, en effet, qu'ils étaient arrivés devant la grande porte qui allait les mener au magnifique festin de rentrée. Tant mieux, il avait une faim de loup en ce début d'année...
Pourquoi ? Mais pourquoi fallait-il qu'ils se retrouvent toujours dans le même wagon tous les quatre ? C'était ce que se demandaient tous les Serpentards qui avaient le malheur de passer par le compartiment de ces quatre garçons. Aucun de ses résidents provisoires à bord du poudlard express ne pouvaient s'empêcher de titiller les Serpentards sur leur déplorable bêtise.
L'un d'entre eux était justement en train de réfléchir à leur retour à Poudlard après deux longs mois de vacance. En dehors de sa propre maison, ou bien entendu il était adoré et cajolé par ses parents, l'école était le seul endroit où il se sentait aimer. Evidement quand on est fils unique, il faut s'attendre à être particulièrement couvé même après avoir fait preuve de courage, de bravoure, de maturité.... Et malgré le fait, qu'il contemple désormais le monde du haut de ses quinze ans, le jeune homme n'avait pas pu échapper au conseils de sa mère, à la révision complète de sa valise et aux longues embrassades où il avait senti que sa mère s'inquiétait comme tous les ans de le voir partir pour neuf mois. Poudlard était donc sa seconde maison... Il se sentait chez lui car il n'était pas mauvais du tout en cours, sûrement l'un des meilleurs élèves de sa maison en réalité, il y retrouvait ses seuls véritables amis, ceux à qui, il n'avait plus rien à cacher. Poudlard était son terrain de chasse favoris d'ailleurs... Il connaissait sur le bout des doigts la grande majorité des couloirs du château puisqu'il passait plus de temps à l'explorer qu'à faire ses devoirs. Au travers du regard vif et flamboyant des ses yeux bleu azur, le garçon observait tour à tour ses amis assis de par et d'autre des banquettes.
Un jeune garçon, aux cheveux longs et noirs, riait en se tenant le ventre. On pouvait voir ses magnifiques dents blanches, prêtes à croquer la vie avec appétit. Ses yeux étaient bleus comme celui du jeune observateur mais d'un bleu différent et pourtant tout aussi beau, chaud [nan tu peux pas dire un bleu chaud...] à la fois froid et amical et amical. Ce dernier avait une lueur amusée constamment au coin de l'œil. Comme s'il était toujours prêt à rire... et c'était d'ailleurs le cas bien souvent. Il n'était pas rare qu'il éclate de rire sans prévenir. Il faut dire qu'il était très fort pour faire des bêtises sans que les autres ne s'en aperçoivent. Le plus populaire de tous sans aucun doute. Il était très difficile pour les autres élèves de ne pas le connaître. Et même certains professeurs ne pouvaient s'empêcher de rire de bon cœur à ses pitreries. Ses yeux rieurs emplis de larmes fixaient le garçon assis à côté de lui.
Donc le rieur regardait avec amusement un autre garçon. Ce dernier avait une coupe de cheveux assez particulière, avec des mèches en l'air. Sa coiffure était indomptable comme le disait désormais la légende de leur maison. Des cheveux à l'effigie d'un garçon intenable et tout aussi indomptable. Ses trois amis aurait été prêt à parier que même les descendants de l'échevelé auraient à découdre avec cette légendaire coupe de cheveux qui le caractérisait si bien. Des cheveux courts, ou en tout cas, pas trop long mais qui partaient en tout sens. Et en effet, comme ses cheveux, il avait ce caractère particulier. Il a dû surprendre les médicos mages-femmes en sortant du ventre de sa mère celui là. Ses yeux, eux aussi, faisaient partis de la légende de Poudlard, couleur noisette, chauds et tendres mais aussi droits et fiers. Ce jeune homme était à la fois impeccable et poli devant les professeurs mais également le premier à faire des bêtises dès qu'ils ne regardaient pas. Voilà de qu il était en vérité. Un nombre considérable de filles avaient déjà tenté leur chance auprès de lui malheureusement, le jeune homme n'avait, jusque là, pas eu d'autres préoccupations que la persécution des serpentards, le quidditch et ses amis. Quelqu'un d'extérieur à leur compartiment qui aurait posé son nez contre la fenêtre aurait pu croire que le joueur de quidditch était dans une rage folle tellement il gesticulait [avec énergie]. Mais bien au contraire, il était d'humeur joyeuse et faisait un récit complet de ses vacances. Tandis que le garçon à ses côtés riait toujours aux éclats, un quatrième garçon se trouvait assis à la gauche de notre penseur et en face du joueur de quidditch.
Le dernier des occupants de ce compartiment avait le menton poser entre ses mains et semblaient totalement en extase devant le jouer de quidditch. Avec sa coiffure trop sage, il faisait pâle figure à côté des trois autres. Bien moins séduisant à première vue, il n'était pas pour autant dénué de charme. Il avait un air triste et faible dans ses yeux verts, mais on pouvait également lire dans son regard une incommensurable admiration. Il affichait un immense sourire et ses iris reflétaient une très étrange mais habituelle loyauté à ses amis. Il était normal, en effet, qu'il leur soit fidèle, car il était et de loin, le plus faible d'eux quatre et sans eux, ils n'auraient personne pour le protéger. Il n'était pourtant pas mauvais en classe mais il manquait de confiance en lui et ses amis n'étaient pas là pour arranger les choses. Être continuellement en présence d'un joueur de quidditch populaire, d'un farceur adulé et d'un préfet respecté et admiré, n'était pas chose simple. Surtout avec sa lenteur qui lui valait bien souvent les railleries de ses camarades.
Chacun de ses amis avaient son caractère, mais il savait parfaitement que cette année allait une fois de plus, leur permettre de faire les quatre cent coups aux serpentards, d'attaquer ce cher Rogue, de s'amuser à semer Rusard et à sa teigne de chatte dans les couloirs et les bas-fonds du château. Une fois de plus, il devrait faire semblant de ne pas remarquer les gloussements des filles destinés à ses amis et comme de coutume, il aurait des mois très chargés où il risquait d'être très fatigué... mais il ne voulait pas penser à ça dès son arrivée à Poudlard.
Voilà quatre ans qu'ils se connaissaient tous les quatre et il savait parfaitement qu'il pourrait compter sur ses trois amis en cas de besoin. Et ils savaient tous parfaitement qu'ils auraient encore besoin les uns des autres. Chacun à leur manière soit, mais cette année allait à nouveau être des plus intéressantes, remplie de nouvelles aventures... et de beaucoup de nouvelles découvertes... C'était sur, l'année serait chargée... Et une fois n'était pas coutume, de tout évidence, ça serait encore une année studieuse bien que pleines de bêtises pour les Maraudeurs.
En tout cas, ce dont Remus ne se doutait pas à cet instant précis alors qu'il foulait du pied le sol du quai, c'était que cette année serait une année de grand changement pour lui, son cerveau d'élève studieux, ses nerfs d'acier d'amis de Sirius Black, de James Potter, de Peter Pettigrow( nerfs d'acier qui étaient, entre nous, indispensables), et son cœur qui ne demandait qu'à être cueilli... et bien entendu, il ne pouvait pas savoir non plus que ça serait la même chose pour ses trois amis...
Mais son égarement fut trop long pour que ses amis hyper attentifs « et hyper actifs » ne réagissent pas...
- Lup ? l'appela James doucement, l'air un peu inquiet par le silence de son ami. On est arrivé au château.
Après un rapide coup d'œil à l'extérieur de la calèche tiré par il ne savait quoi, Remus s'aperçut, en effet, qu'ils étaient arrivés devant la grande porte qui allait les mener au magnifique festin de rentrée. Tant mieux, il avait une faim de loup en ce début d'année...