Harry Potter et la Légende des Quatre Pierres
Prologue :
Sans avoir le temps de ne rien faire, Severus Rogue se trouva prisonnier d'une espèce de grande cape qui l'empêchait de voir ; Il fut soulevé dans les airs et sentit qu'on l'emmenait loin de chez lui. Lorsqu'il atterrit enfin, il compris immédiatement qui l'avait enlevé et pourquoi. Cela se sentait à l'atmosphère froide et sombre de ce lieu qu'il ne pouvait pas encore apercevoir. Ses yeux ne purent que lui confirmer ce qu'il craignait : il avait défié le seigneur des ténèbres une fois de trop.
Chapitre 1 : A la volière :
Severus Rogue sentit soudain le sentiment de béatitude du sortilège d'Imperium de Voldemort s'estomper. Cela faisait près de deux semaines qu'il y était soumis et il prit conscience qu'il devait faire quelque chose : s'enfuir étant impossible, il se dirigea vers la volière pour informer Dumbledore une dernière fois. Il devait faire vite : un Mangemort, ou pire, pouvait le surprendre à tout moment. Il écrivit donc rapidement et d'une écriture quasiment illisible ces mots :
Professeur, Je suis actuellement prisonnier de Voldemort. Je profite d'un moment de répit pour avertir de ses intentions : il s'est associé aux détraqueurs, comme vous l'aviez prévu, et Azkaban lui sera bientôt livré. Par contre, mais vous devez le savoir, il n'aura pas les géants de son côté cette fois. Il prévoit également de vous tuer ainsi que Potter et pleins d'autres mais j'ignore comment. Faîtes attention à vous.
Severus Rogue.
Au moment même où le hibou porteur de son message disparut, le professeur senti une ombre s'élever dans son dos et prononcer d'une voie glaciale « ENDOLORIS » et il s'effondra encore une fois. Lorsqu'il se réveilla, le professeur des potions de Poudlard s'étonna d'être encore vivant mais ne s'en réjoui pas. Il préférait en effet la mort à ce qui l'attendait sûrement. La porte grinça et son ancien maître entra. A sa vue, Severus ne put s'empêchait de ressentir un frisson de dégoût : le maître des ténèbres avait un visage plus blanc que celui d'un mort, ses yeux rouge braise et deux fentes lui servant de narines comme pour les serpents. Il pris la parole d'une voie aiguë et glacée et prononça les mots tant redoutés du professeur Rogue : - « Je vais te tuer pour ce que tu as fait, Severus. Tu m'as trahi une première fois il y a 14 ans et une autre alors que je t'avais donné une seconde chance, et ce pour cet amoureux des Moldus, ce sorcier protecteur des Sangs-de-Bourbe, cet Albus Dumbledore. Pour cela en particulier, tu mourras lentement. » A ces mots, Severus répondit avec un courage et un détachement qu'il était loin de soupçonner : - « Vous ne devriez pas parler comme ça du plus grand sorcier de tous les temps. »
Il espérait ainsi prendre sa revanche et pousser Voldemort à perdre son sang-froid. Mais celui-ci avait du sang de serpent dans les veines : tout ce que le professeur Rogue obtint de ces provocations fut cette réponse, calme et plus menaçante que jamais : - « J'ai changé d'avis, Severus : tu vivras et tu seras mon instrument pour tuer Dumbledore et son protégé. Mais cela ne doit pas t'empêcher de payer. Je crois que je vais tout d'abord te confier à un détraqueur. Je m'occuperais personnellement de toi plus tard. A bientôt, Severus. »
Prologue :
Sans avoir le temps de ne rien faire, Severus Rogue se trouva prisonnier d'une espèce de grande cape qui l'empêchait de voir ; Il fut soulevé dans les airs et sentit qu'on l'emmenait loin de chez lui. Lorsqu'il atterrit enfin, il compris immédiatement qui l'avait enlevé et pourquoi. Cela se sentait à l'atmosphère froide et sombre de ce lieu qu'il ne pouvait pas encore apercevoir. Ses yeux ne purent que lui confirmer ce qu'il craignait : il avait défié le seigneur des ténèbres une fois de trop.
Chapitre 1 : A la volière :
Severus Rogue sentit soudain le sentiment de béatitude du sortilège d'Imperium de Voldemort s'estomper. Cela faisait près de deux semaines qu'il y était soumis et il prit conscience qu'il devait faire quelque chose : s'enfuir étant impossible, il se dirigea vers la volière pour informer Dumbledore une dernière fois. Il devait faire vite : un Mangemort, ou pire, pouvait le surprendre à tout moment. Il écrivit donc rapidement et d'une écriture quasiment illisible ces mots :
Professeur, Je suis actuellement prisonnier de Voldemort. Je profite d'un moment de répit pour avertir de ses intentions : il s'est associé aux détraqueurs, comme vous l'aviez prévu, et Azkaban lui sera bientôt livré. Par contre, mais vous devez le savoir, il n'aura pas les géants de son côté cette fois. Il prévoit également de vous tuer ainsi que Potter et pleins d'autres mais j'ignore comment. Faîtes attention à vous.
Severus Rogue.
Au moment même où le hibou porteur de son message disparut, le professeur senti une ombre s'élever dans son dos et prononcer d'une voie glaciale « ENDOLORIS » et il s'effondra encore une fois. Lorsqu'il se réveilla, le professeur des potions de Poudlard s'étonna d'être encore vivant mais ne s'en réjoui pas. Il préférait en effet la mort à ce qui l'attendait sûrement. La porte grinça et son ancien maître entra. A sa vue, Severus ne put s'empêchait de ressentir un frisson de dégoût : le maître des ténèbres avait un visage plus blanc que celui d'un mort, ses yeux rouge braise et deux fentes lui servant de narines comme pour les serpents. Il pris la parole d'une voie aiguë et glacée et prononça les mots tant redoutés du professeur Rogue : - « Je vais te tuer pour ce que tu as fait, Severus. Tu m'as trahi une première fois il y a 14 ans et une autre alors que je t'avais donné une seconde chance, et ce pour cet amoureux des Moldus, ce sorcier protecteur des Sangs-de-Bourbe, cet Albus Dumbledore. Pour cela en particulier, tu mourras lentement. » A ces mots, Severus répondit avec un courage et un détachement qu'il était loin de soupçonner : - « Vous ne devriez pas parler comme ça du plus grand sorcier de tous les temps. »
Il espérait ainsi prendre sa revanche et pousser Voldemort à perdre son sang-froid. Mais celui-ci avait du sang de serpent dans les veines : tout ce que le professeur Rogue obtint de ces provocations fut cette réponse, calme et plus menaçante que jamais : - « J'ai changé d'avis, Severus : tu vivras et tu seras mon instrument pour tuer Dumbledore et son protégé. Mais cela ne doit pas t'empêcher de payer. Je crois que je vais tout d'abord te confier à un détraqueur. Je m'occuperais personnellement de toi plus tard. A bientôt, Severus. »
