Bon, je vous préviens, c'est mon premier essai sur ce fandom... C'est pas glorieux je vous l'accorde. Mais je ne peux que m'améliorer hein x)

Dites-moi quand même ce que vous en pensez !

Pairing : MelloxNear (ils sont pas trop chous tous les deux ? :3)

Rating : M (pour lemon)

Disclaimer : Les personnages ne sont pas à moi.

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Des cris d'enfants, des rires et des chants. Une après midi tout à fait normale à la Wammy's House.

Tous les enfants jouaient à différents jeux, tous, sauf un.

L'un d'entre eux était resté enfermé à l'intérieur. Il était assis d'une façon peu commune : les genoux repliés sur sa poitrine, un de ses bras tenaient une jambe, l'autre était occupé à assembler les pièces d'un puzzle blanc.

Il avait des yeux gris, froids, inexpressifs, son regard était concentré sur ce puzzle qu'il faisait presque machinalement. Son visage aux traits fins lui donnait l'air d'un enfant, il semblait chétif, fragile, comme une poupée de porcelaine. Le pyjama blanc qu'il portait s'accordait avec la pâleur de sa peau et lui donnait un air malade. Tel un gamin dans un hôpital à qui on vient de dire qu'il allait subir une opération. Il était étrangement silencieux, toujours concentré sur les pièces de carton.

Il ne frémit même pas lorsque que la porte s'ouvrit en grinçant.

Un autre garçon était appuyé contre le mur, le détailla d'un œil noir.

Il resta un instant dans cette position, les yeux fixés sur le garçon tout de blanc vêtu. Puis, il secoua ses cheveux d'un blond de blé et s'approcha lentement, ses chaussures laissant de légères marques dans la moquettes qui s'effaçaient au fil de ses pas.

Arrivé à la hauteur du garçon au puzzle, il resta debout et le toisa avec un air de mépris.

« Near. T'en as pas marre de rester là comme un con ? » Lui dit-il

Le dénommé Near ne daigna même pas le regarder, il ne bougea pas et lui répondit calmement :

« Non. Bonjour à toi aussi, Mello. »

Mello le regarda alors avec dégoût. Puis il sourit méchamment.

« Tu sais que tu me les brise.

_Pas la peine d'être vulgaire. »

Le sourire de Mello ne s'effaça pas, au lieu de s'énerver contre Near comme il le faisait toujours, il préféra tourner les talons et aller fermer la porte de la salle, à clé.

Lorsqu'il entendit le cliquetis de la porte, Near eu un moment d'hésitation, mais, imperturbable, il se contenta d'attraper un de ses mèches d'un blanc de neige et de la faire tourner entre son pouce son index.

Mello se rapprocha à nouveau de Near et se mit à sa hauteur, affichant toujours le même sourire dément.

« J'ai trouvé, Near.

_Quoi donc ?

_ Comment te faire peur.

_Vraiment ? C'est tout ce qui t'intéresse ?

_Oh oui, et te faire pleurer aussi. »

Near ne répondit pas, continuant de tourner sa mèche entre ses doigts.

Mello croqua dans son chocolat, savourant le goût agréable dans sa bouche avant de passer à l'action.

Il finit sa tablette et jeta le papier un peu plus loin.

Souriant toujours, Mello attrapa les épaules de Near et le balança sur la moquette, telle une vulgaire poupée de chiffon. Near n'afficha aucune surprise, persuadé que Mello allait le frapper, il mit quand même ses bras en bouclier devant son visage. Mais Mello n'avait pas l'intention de le frapper.

Au lieu de ça, il s'assit à califourchon sur les cuisses de Near, de telle sorte qu'il ne puisse plus bouger ses jambes. D'une main, il attrapa les poignets de l'albinos et les maintenus au-dessus de la tête de sa Némésis.

Near lui lança un regard interrogateur. Mello répondit à sa question et scellant leurs lèvres.

Near poussa un léger gémissement de surprise et Mello, satisfait de son effet, essaya de forcer l'entrée de la bouche de l'albinos. Celui-ci ne se laissa pas faire garda les lèvres fermées. Alors le blond ne se gêna pas et mordit la lèvre inférieure de Near qui, ne s'y attendant pas, ouvrit légèrement la bouche, suffisamment pour que l'organe chaud et mouillé de Mello y pénètre et commence à explorer la bouche de sa Némésis dans un baiser forcé.

Les mains de Mello partirent alors à la découverte du corps blanc de l'albinos. Ses doigts tachés de chocolat s'attardèrent sur le torse de Near, le faisant gémir.

« Mello… Qu'est-ce qui te prend ? » souffla Near une fois sa bouche libérée de l'emprise du blond

Mello ne répondit pas, et se contenta d'arracher brutalement les vêtements de sa Némésis.

A sa grande joie, les yeux habituellement inexpressifs de Near s'écarquillèrent et il cru y déceler de l'inquiétude. Aussi le blond continua son petit jeu auquel il commençait à prendre plaisir.

Lorsque Near sentit des mains se poser sur son intimité, il étouffa un cri de surprise. Mello ricana et demanda :

« Alors Near ? Tu ressens quoi là tout de suite ?

_Tu… tu me fais peur…

_C'est vrai ?

_Oui… Tu es satisfait maintenant ?

_Non. Je n'ai pas encore fini avec toi, morveux. »

Near tremblait, de peur et de froid. Son cœur menaçait de sortir de sa poitrine tellement il battait. Qu'est-ce que Mello allait encore lui faire ? Near ne préférerait pas avoir la réponse.

Malheureusement, il l'eu quand il sentit un doigt entrer en lui. Il gémit de douleur en sentant un deuxième rejoindre le premier. Il eu les larmes aux yeux au troisième.

Mello, le sourire aux lèvres, retira alors ses doigts, un grand soupir de soulagement s'échappa alors des lèvres de sa Némésis. Ce soupir se changea en hurlement de douleur lorsque le blond entra en lui.

Near se sentit scié en deux, il n'avait jamais eu aussi mal de sa vie, la douleur était d'autant plus forte que Mello faisait des vas et vient de plus en plus forts, le déchirant de l'intérieur. La souffrance atteint son paroxysme lorsqu'il sentit un liquide poisseux se déverser en lui.

Mello se rhabilla et contempla son œuvre : Near était à présent roulé en boule, tremblant et pleurant à chaudes larmes.

Mello jubila. Il avait gagné, il avait fait souffrir l'albinos, il se sentait bien, glorieux.

Il sortit une tablette de chocolat de sa poche, et croqua dedans, savourant le délicieux goût de la victoire. Puis il partit, laissant Near sur le sol.

Cependant, lorsqu'il arriva dans sa chambre, il se sentit légèrement coupable, la victoire était une chose tendre et douce, comme le chocolat... Mais la conscience de Mello n'était pas de cet avis…

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...

Y'a quelqu'un ? Vous êtes toujours vivants ?

J'espère en tout cas '^^