Base : HP

Couple : Drarry – j'y peux rien, c'est plus fort que moi ç.ç !!

Rating : Roh il est tout petit celui-là ! u.u …. Mais non ! Bande de perverses è.é !!

Résumé : Un évènement vient changé la vie si monotone de Draco Malfoy : un soir, Harry Potter, Vainqueur de Voldemort, vient frappé à sa porte alors qu'il est censé être mort… .

Mot de l'Auteuse : Hello ! Alors on m'a demandé un autre one-shot, le voici ! J'ai longuement hésité avait de le publié… puis finalement je me suis lancé, j'espère juste très sincèrement qu'il va vous plaire ç.ç !! Je suis un peu en manque d'inspiration en ce moment et après avoir perdu toute une fic de 60 pages au moins (qui était presque finit) et mon nouveau chapitre par ma dernière fiction HP qui me reste à updater, je me suis vraiment sentit découragée T.T.



L'Attirance du Mal

C'est quand on pense que la vie n'a plus rien à nous offrir, qu'elle est devenue morne, une ronde perpétuelle d'ennuies ou d'obligations quotidiennes, qu'un événement se produit, tragique ou merveilleux, et qu'alors on se sent... revivre.

C'est nouveau souffle.

Et dans cette histoire, ce nouveau souffle commence par une porte qui s'ouvre, un soir d'hivers.

Nous étions le 1er décembre et Draco Malfoy regardait la pluie par sa fenêtre, indifférent. Son esprit était ailleurs. Où? Il ne le savait pas vraiment. Mais il vaguait deci-delà. La pointe de sa plume touchait le parchemin sous ses doigts et y laissait s'échapper toute l'encre, formant une auréole verte presque parfaite. D'un soupir, il rejeta une mèche de ses cheveux qui tombait devant ses yeux. Il s'ennuyait, profondément. Et ce qui le tira de son ennuie fut le son de la cloche, à la porte d'entrée. Une visite. L'ancien serpentard se leva de son bureau, laissant retombé sur ses pattes son chat blanc, et se dirigea vers le hall. Dans le manoir le silence régnait. Au loin on entendait seulement le tic tac d'une horloge. Il était tôt.

D'une main lourde, il leva sa baguette pour stopper le système d'alarme et ouvrit la porte.

Sur le palier il vit un jeune homme du même âge que lui. Il était cependant plus négligé, les mains dans les poches, de longs cheveux ébouriffés cachés sous un bonnet d'hivers, et une grosse écharpe de laine autour du cou. Un sourire gêné ornait ses lèvres, mais Draco n'y fit pas attention. Car pour la première fois depuis plusieurs mois, il était stupéfait, amusé, inquiet, songeur, curieux, et tout ça en même temps. Ce qui faisait beaucoup d'un coup pour lui.

Ses yeux verts... se furent eux qui l'accrochèrent, et non les paroles que le jeune homme prononça.

-Heureux de te revoir, Malfoy.

Draco cligna des yeux et sortit de ses songes. Il se racla la gorge et dit de sa voix la plus neutre :

-Alors tu es toujours en vie, Potter.

Harry sourit timidement. Il tortilla un peu plus ses doigts dans ses poches et hocha de la tête.

-Oui.

Draco ne le réalisa que maintenant que sa voix était enrouée. Il fronça des sourcils.

-Je... je peux entrer ? Continua l'Elu.

Draco hésita une seconde, pas plus. Il lui ouvrit sa porte et le laissa entrer à l'intérieur, au chaud. Harry Potter tremblait, il était trempé. Cela devait faire un moment qu'il était dehors, à essayer de se décider de venir frapper à sa porte. Galant comme toujours, Draco lui retira son manteau et sécha ses vêtements d'un coup de baguette magique. Seuls ses mains tremblantes trahissaient son étonnement sans borne.

Harry Potter, vivant.

Ces trois mots... il n'arrivait pas à les recoller. Et pourtant il connaissait assez l'ex-gryffondor pour reconnaître un sosie ! C'était bien l'unique Survivant qui se tenait devant lui.

Et ca changeait tout.

Débarrassé de son manteau, de son chapeau et de sa grosse écharpe, Harry paraissait étonnement maigre et fragile. Et il était aussi très pâle - aussi pâle que moi, pensa Draco.

-Que viens-tu faire ici ?

Il essayait de garder une voix neutre, juste polie. Mais il avait du mal, des questions fusaient dans son esprit : pourquoi est-il en vie ? Comment avait-il fait ? Qui le savait ? Pourquoi était-il venu chez lui ?

-Je... je m'excuse, je ne voulais pas te déranger.

Harry toussa et reprit : "Je ne savais pas où allé. J'ai besoin d'aide. De ton aide."

La franchisse du brun secoua Draco. Mais pas assez pour lui ôter son bon sens. Il invita Harry à le suivre dans le salon où un feu crépitait dans une grande cheminée. Harry le remercia avec un maigre sourire et s'assit sur un des canapés vert foncé. Ses mains étaient jointes nerveusement et il ne lâchait pas du regard son hôte, comme si il eu peur qu'il s'évapore.

Draco claqua des doigts et un lefe de maison apparut, un plateau de thé entre les mains. Il lui demanda de les servir et Harry le remercia avec un merci murmuré.

Puis Draco s'assit en face de lui et dit après une profonde inspiration. Il va arrêter de me regarder oui ? C'est moi qui devrais être surpris.

-Raconte.

Harry hésita. Ses yeux se détachèrent enfin de Draco pour se poser sur le feu.

-Je suis en vie, c'est tout. Il n'y a rien d'autre à dire.

-Menteur.

Harry sourit. Il savait que Draco ne le croirait pas. Etrangement, le blond avait toujours réussit à savoir si il mentait ou non.

-Racontes-moi la vérité, reprit l'ex-serpentard d'une voix ferme.

Contre toute attente, Harry soupira et fit passé son pull et son t-shirt par-dessus sa tête. Sans savoir pourquoi, Draco se sentit gêné. Mais ce sentiment laissa presque aussitôt place à la stupéfaction. Sur tout le torse maigre et pâle du brun s'étendait une grande et profonde cicatrice en forme de pheonix.

-J'ai copié la méthode de Voldemort.

-Q..quoi ?

Harry remit ses vêtements.

-J'ai usé de sa méthode pour survivre : j'ai compartimenté mon âme.

Draco se cala dans le fond de son fauteuil et croisa ses jambes. Cela devenait intéressant.

-Donc je suis bien mort une fois, lorsque la baguette de Voldemort et la mienne se sont percutées.

-Et deux heures plus tard tu renaissais.

-Oui.

-Et je parie que tu ne l'as dit à personne jusqu'à présent ?

Harry acquiesça et un silence s'installa entre eux. Il ne fut coupé que par une troisième personne venant du hall à pas joyeux.

-Hey, Drake je suis rentr... !

Harry se retourna pour voir de qui provenait cette voix et reconnut Théodore Nott. Etonné aurait été un mot bien faible pour décrire la réaction du jeune homme. Harry lui sourit et le salua. Après tout il y avait de quoi être surpris, le survivant était censé être mort depuis trois mois déjà.

-Hum, Drake ? Est-ce que je... .

-Je pense que tu te souviens de Théodore, Potter, fit Draco d'une voix froide.

Il détestait être interrompu.

-Potter ? Répéta Théodore. Drake il... !

Sa voix affolée se perdit dans sa gorge. Ses yeux étaient grands ouverts et il semblait avoir vraiment du mal à comprendre qu'Harry Potter était en vie. Ses yeux passèrent d'Harry à Draco et il resta immobile un instant, attendant un signe.

Harry vit Malfoy acquiescer. A ce moment là Nott fit demi-tour et partit au pas de course.

-Je fais si peur que ça à voir ? Plaisanta doucement Harry.

Le regard de Draco se redirigea vers lui. Ses yeux verts pétillaient de malice et son sourire lui rappelait vaguement celui d'un vieil homme à la barbe blanche.

Harry Potter, l'homme de Dumbledore jusqu'au bout, pensa-t-il ironiquement.

-Disons que c'est... impressionnant, répondit-il. Toute la communauté sorcière te pensait morte. Tes amis ont même aidés à édifier un mémorial à ton nom. Saint Potter Sauveur de la Sorcellerie !

Draco s'arrêta net. Voilà qu'il recommençait à le narguer- les vieilles habitudes ont la vie dure... .

Pourtant, Harry ne réagit pas. Il se contenta de le fixer, songeur. Draco se redressa dans son siège, mal à l'aise. Il aurait tout donné pour savoir à quoi il pensait en le regardant comme ça. Croyait-il qu'il était resté à un stade enfantin ou avait-il remarqué que sa présence le réjouissait ?

-Alors, quelle est la suite de ton histoire ? Se reprit-il.

Il le vit hésiter puis dire :

-Oh pas grand chose. Tu as raison, personne n'est au courant de ma résurrection. J'ai été tellement affaibli par elle, que je suis resté caché pendant deux mois pour dormir et me reposer en paix. Je n'étais pas prêt à réapparaître devant mes amis et subir leurs larmes de joie, ni à faire face à la presse et leurs interminables questions. Et puis, une fois que je me suis remis sur pied, j'ai marché, pendant longtemps. J'ai beaucoup lu - surtout des journaux, je voulais savoir ce que les gens disaient sur moi après coup, ou ce qu'ils osaient faire dans mon dos.

Draco sentit un frison glacé remonté le long de sa colonne vertébrale. Est-ce que Potter faisait allusion à... ?

-Et enfin j'ai atterri devant chez toi, acheva Harry comme si c'était la fin logique à toute sa 'joyeuse' histoire.

-Pour me rendre une petite visite je suppose ?

Le brun sourit mystérieusement.

-As-tu une chambre d'ami ? J'aimerai prendre une douche.

Une douche ? Ben voyons ! Draco sut à ce moment précis que ses doutes étaient confirmés. Potter était là pour une seule raison.

-Mais bien sûr, Krobdead va t'y mener.

Avec un "pop" significatif, l'elfe de maison réapparut dans le salon et pria Harry de le suivre, ce que le brun fit presque joyeusement.

Draco ne le quitta pas des yeux jusqu'à ce qu'il ait disparut dans les étages.

Il poussa un profond soupir et s'autorisa enfin à serrer des poings et grincer des dents. Quelle enflure !!

-Draco !

Venant d'une pièce jointe, Théodore se précipita vers lui, suivit de Blaise, de Zachari et de Pansy.

-Alors c'était vraiment lui ? Demanda Blaise, médusé.

Draco hocha de la tête.

-Et que comptes-tu faire ? Ajouta Zach.

-Il faut le tuer ou l'emprisonner et le plus tôt sera le mieux ! S'emporta Théodore, nerveux.

Pansy hocha de la tête, rejetant ses mèches brunes dans son dos.

-Non, répondit Draco.

-Non ?

-Non, Blaise. Je vais le laisser faire. On verra bien ce qu'il veut vraiment.

-Mais te tuer putain ! Drake tu mets ta vie en jeu là ! Siffla Pansy.

Le comportement du blond avait la sale manie de lui taper sur le système ! Il avait tout mais il voulait toujours plus et pour cela il pouvait rester trois jours entier agenouillé devant la mort elle-même sans bouger un seul nerf facial !

-C'est ça qui est amusant.

Pansy, Zach et Théo frissonnèrent. Leur maître pouvait être si effrayant parfois.

Blaise, lui, se contenta de sourire de toutes ses dents.


Il était environ 0h08 lorsque Draco sentit enfin un poids alourdir son lit.

Il sourit dans l'ombre.

-Pas trop tôt, cela fait déjà plusieurs heures que je t'attends, Potter.

Il l'attendit murmuré un "lumos" et le bout de sa baguette s'illumina. Baguette qui n'était en fait qu'à quelques centimètres de son visage.

-Désolé, j'avais besoin de dormir un peu avant, répondit sarcastiquement le brun.

Il posa sa main sur l'oreiller de Draco, juste à côté de son oreille et enfonça sa baguette sous sa gorge.

-Alors tu vas me tuer, là maintenant ?

-Je ne sais pas, j'hésite encore, Malfoy.

Sa voix avait changé. Maintenant elle était froide, glaciale même. Tout sourire avait disparut de son visage et il le fusillait des yeux.

-Tu sais Malfoy, j'ai été très surpris et surtout très vexé de voir que tu avais été le premier à créer des dégâts une fois ma mort annoncée. Quand j'ai lu les journaux j'ai d'abord crut qu'ils plaisantaient, ou que Rita Skeeter faisait encore des siennes. Puis j'ai fait un tour en ville et discrètement à Poudlard.

Draco ne put empêcher un rictus de se dessiner sur ses lèvres.

-Tu n'es vraiment qu'un enfoiré, cracha Harry. Tout ce temps que j'ai passé à rassembler les Horcruxes pour enfin tuer Voldemort ! Et pendant que je me tuais à la tâche, que je souffrais pour revenir à la vie, et vivre ce que j'avais espéré être une vie normale, TOI, toi tu prenais SA place !!

Cette fois-ci Draco éclata de rire. Le mot "mal" collait parfaitement à l'expression qu'il donnait à son visage d'ange.

-Je n'ai fais que profiter de la situation, Potter ! Je suis et je resterais toujours un serpentard. Cela n'aurait pas dût t'échapper.

-Oh non je n'ai pas oublier, mais la seule personne que j'aurais soupçonner de prendre la place de Voldemort aurait été ton père, et non toi. Je... je me sens trahis, d'un certaine façon, Malfoy.

Draco perdit son sourire.

-Je ne vois pas pourquoi, claqua-t-il. Nous n'avons jamais été ami.

-Non, mais tu étais mon ennemi et...

-Je le suis toujours.

Harry le défia des yeux. Sa colère avait augmenté d'un cran.

-Pourquoi ne m'as-tu pas encore tué, Potter ?

Draco se releva doucement, la baguette d'Harry toujours plantée dans sa gorge.

-Pourquoi es-tu venu me voir directement après ta résurrection alors tu es encore faible ? Pourquoi n'as-tu pas prévenu tes amis, qui m'en veulent à mort eux aussi ?

Harry ne répondit pas. Draco était assez maintenant et le défiait de faire le moindre geste.

-Tu veux que je te dise ce que je pense ? Continua le blond d'une voix suave.

« Je pense que parce que je suis différent de Voldemort, parce que je ne m'amuse pas à torturer les gens comme lui mais que je me contente de les manipuler ; parce que malgré ce que je 'magouille dans ton dos' la communauté sorcière se croit en paix… .

Draco ponctua chacun de ses mots par de petits gestes. Sa main droite se baladait sur la joue d'Harry alors que sa main gauche taquinait sa hanche.

Nullement impressionné, le brun ne réagit pas et attendit la fin de sa réplique.

-…parce que je sais que tu ne t'es jamais sentit aussi proche de ton ennemi qu'en cette nuit, Potter, tu m'en veux, tu m'en veux à mort mais je pense aussi que tu ne feras rien contre ça. Parce que si tu es venu ici ce soir, c'était dans l'espoir sombre et tout à fait indigne d'un héros-sauveur-du-monde, que j'accepterai de te garder avec moi, pour que tu vives cette 'vie normale', comme tu le dis si bien.

« Mais tu es là, avec ta baguette, à hésiter, encore, toujours. Tu ne changeras jamais, Potter ».

Il souffla ces derniers mots à son oreille et sentit la baguette d'Harry crépitée contre sa peau.

-Aurais-je tord ? Ricana-t-il, stoppant pourtant tous ses gestes.

Il se sentit alors pousser un arrière. Fou de rage Harry s'était jeté sur lui. Car cet enfoiré avait raison, oh oui putain, il avait raison ! Harry avait eut l'espoir fou et totalement dément que le mal l'accueillerait à bras ouverts. Car Draco Malfoy était devenu le mal, le mal absolu : comme il l'avait dit ses méthodes étaient plus longues, plus silencieuses que Voldemort, mais certainement plus dangereuses. Et Harry en avait marre de se battre. Il s'était battu toute sa vie et il en était même mort. Alors revivre pour mourir aussitôt après en essayant de tuer Draco Malfoy… oui, essayer, car Harry savait très bien que jamais il ne le battra. De un, parce que Malfoy était totalement différent de Voldemort : inexpressif, calme, droit, une vraie statue de glace – sauf en sa présence. De deux, parce que sa méthode de combat était totalement différente elle aussi. De trois, parce que Harry, il avait eut raison là aussi, était trop proche de lui. Ils avaient vécut 7 ans côte à côte et Harry était incapable de lui faire le moindre mal.

Lentement, Harry retira sa baguette.

Le blond en profita aussitôt : il se jeta sur lui de façon à se retrouver au-dessus de lui, et lui coinça sa baguette au-dessus de sa tête.

-Tu as perdu, Potter.

Ses yeux brillaient comme ils n'avaient jamais brillé. Enfin, de l'action dans sa vie. Harry Potter avait toujours été le seul à faire vivre ses journées à Poudlard. Le narguer, le voir plus bas que terre avait toujours été sa plus grande satisfaction. Quand il avait appris sa mort, il s'était enfermé deux jours, seuls, chez lui, pour réfléchir. Ce n'était qu'après cela qu'il avait pris la décision de gouverner le monde sorcier. Enfin, ce n'était pas de sa faute si les sorciers étaient stupides et avaient crut en ses beaux discours. Sans eux, il n'aurait jamais put devenir ce qu'il était aujourd'hui : Ministre de la Magie, ni ce qu'il faisait maintenant : lécher Harry Potter.

Il ne bougeait pas mais Draco savait que sa langue contre son cou lui retournait l'estomac.

On a toujours une baguette à porter de main, pensa-t-il perversement.

Ses mains s'afférèrent sous son t-shirt et contournèrent sa cicatrice en forme de pheonix.

L'homme qui avait survécu deux fois était à lui, rien qu'à lui.

Il déboutonna sa chemise, une de ses mains toujours plaqué sur sa baguette – il n'était pas aussi stupide – et commença à sucer chaque parcelle de son torse, doucement, langoureusement, telle une torture. Il allait lui faire subir la plus belle de toutes les tortures.

Mais Harry souffrait déjà. Sa main libre c'était aventuré son l'oreiller du blond et était tombé sur sa baguette magique. Et Harry hésitait, souffrant intérieurement. Car Draco était dangereux, mais ses mains sur son corps étaient si douces…, car Draco allait le prendre entièrement, mais il était déjà mort une fois, et il en avait marre de se battre sans cesse avec sa conscience et son cœur… car Draco lui faisait maintenant des choses inavouables – ses mains passant la frontière de son pantalon - et que jamais il ne pourrait retourner vers ses amis après cela, comme jamais il ne pourrait avouer être de son côté, et non du leur… mais c'était si bon et il ne voulait pas qu'il s'arrête.

Et enfin, il hésitait entre l'avenir des sorciers et le sien. Et il voyait très bien sa vie passée là, entre les mains de Malfoy, dans un manoir, où sa vie pourrait être un brin normal, et où son côté obscur pourrait enfin être en paix avec son côté de Sauveur du Monde.

Il soupira, ses yeux s'égarèrent vers les cheveux blonds de Malfoy, à hauteur de son entrejambe.

Peut-être pouvait-il se permettre d'être un peu égoïste, non ?

Malfoy se redressa subitement, ses yeux étaient assombris par le plaisir, et vint plaquer sa bouche contre la sienne, liant brutalement leurs lèvres et langues.

Harry serra la baguette noire sous l'oreiller… puis la relâcha.

Oui, il avait le droit d'être un peu égoïste, après tout.

Entre ses lèvres, Draco sourit, fier de sa victoire.

Car, le bout de bois sous son oreiller ne lui aurait été d'une grande utilité… .

FIN


Mot de l'auteuse : Et oui c'est une fin !! C'est un one-shot et rien de plus, tout comme «Comme Vampire et Loup ». J'espère que vous avez tout de même aimé ;p ! Surtout le côté trèèès sssssssserpentard de Draco XD !!

Bises à vous tous !! … et hum… donnez moi votre avis quand même, siouplait ç.ç !!

PS : « On a toujours une baguette à porter de main, pensa-t-il perversement » -- Je tiens à préciser que je ne suis pas responsable de cette phrase… elle est venue toute seule ! Si si, j'vous jure !! (par ce cacher derrière son HP7).