C'est ma première fanfiction donc merci d'être indulgent avec moi.

Désolé pour les éventuelles fautes d'orthographe.


Un choix à faire

Prologue :

C'était le soir, au réfectoire il y avait une fête pour la victoire de la guerre. Car ça y est, Cronos était vaincu mais pourtant je n'étais pas d'humeur à faire la fête. Lors du combat, il y eu une explosion et la plupart des demi-dieux n'ont pu être reconnu dans les décombres, d'autre était même en cendre. Plusieurs sang-mêlé étaient manquant dont Annabeth et après plusieurs heures de recherches, ils ont considéré que les disparus était mort dans l'explosion et que par conséquent n'étaient pas reconnaissable. Comment ont-ils pu arrêter les recherches aussi vite ?! Je ne laissais pas tomber, je continuais de chercher. Au bout de plusieurs heures de recherche acharnée, Grover vint à ma rencontre et me dit : « Arrêtes ! Ça ne sert à rien, il est trop tard ! »

Après ses paroles, je montai sur Blackjack qui me ramena à la colonie des sang-mêlé.

J'étais toujours dans mon bungalow en train de regarder une photo d'Annabeth que j'avais prise par surprise sur la plage, elle riait de bonheur, comme si rien n'importait en ce moment. Il m'était donc impossible de croire que je ne l'a reverra plus jamais. On avait survécu à tant de combats, à tant d'épreuve qu'il était impossible que ce soit fini, je ne le voulais pas.

Quelqu'un frappa à la porte, me sortant de ma contemplation. C'était Grover :

« - Eh Percy ! Ça va ?

- Je… je ne sais pas. Je n'arrête pas de pensé à elle, à son rire enjôleur, à ses cheveux blonds, légèrement ondulés et si doux, à ses yeux d'un gris hypnotisant, à sa peau parfaite, à son visage d'une beauté indescriptible. A elle, quoi ! À toutes les batailles que l'on a gagné grâce à son intelligence, c'est un génie. Ou devrai-je dire c'était un génie, un puit de sagesse. » Dis-je avec nostalgie, une larme coulant le long de sa joue et tombant sur la photo.

Grover c'était assis à mes côtés et ne dit rien de plus. Je lui en étais reconnaissant. Au bout d'un quart d'heure environ, Grover décida de partir.

Je m'allongeai sur mon lit avec la photo collé contre ma poitrine et m'endormis en laissant échapper quelles que larmes.

Le lendemain matin, je me suis réveillé avec une étrange sensation au niveau de mon cœur, un manque. Bien sûr que j'avais rêvé d'elle. Je reposai la photo sur la table de chevet et me rendit dans la salle de bain en trainant des pieds. Je me regardais dans le miroir, j'avais une tête horrible, je faisais peur à voir.

Une fois prêt, j'allais au réfectoire prendre mon petit déjeuner même si je savais que je n'allai pas manger grand-chose, voir rien.

A mon arrivée dans le réfectoire, tous les visages se tournèrent vers moi.

Je sais que je fais peur mais quand même ! Me disais-je en allant m'assoir à ma table où Grover était.

« - Yo ! T'as une mine affreuse ! Me salua-t-il.

-Merci ! » Disais-je d'un ton ironique et avec un faux sourire.

Ce fût les seuls mots à être prononcés de tout le petit-déjeuner et je n'ai rien mangé pensant encore et toujours à elle, le regard ailleurs.

Une fois fini, je partis à la plage en passant par la forêt comme j'avais l'habitude de le faire avec Annabeth. Annabeth, son nom n'arrêtait pas de tourné en bouclé dans ma tête, je ne pensais qu'à elle, j'avais l'espoir qu'elle était encore en vie.

J'allais dans l'eau avec l'intention d'oublier les évènements des derniers jours et restais un long moment avant de remonter à la surface.

Je regardai l'heure, il était 10h30. Je devais me préparer pour la cérémonie d'adieux des demi-dieux mort au combat.

La cérémonie finie, je retournai dans mon bungalow et n'en sorti plus de toute la journée.

Cela faisait un mois que la guerre était finie, un mois qu'elle était morte. Un mois que l'espoir me consumait de l'intérieur. Tout le monde au camp me regardait avec pitié, je ne m'en étais toujours pas remis.

C'est à ce moment que je pris une grande décision.

J'allais parti du camp pour toujours, ne plus y retourné. Je souffrais trop car tous ce que je regardais me rappelaient Annabeth.

Je décidai d'attendre que tout le monde dorme pour partir. Je préparai deux lettres, une pour Grover et l'autre pour Chiron leur disant mes adieux pour toujours.

La nuit venue, je parti sans me retourné.

Je rentrais chez moi.


Merci de laisser un commentaire et j'aimerais avoir votre avis sur une question que je me pose, il y a une suite à ce prologue mais je me demande si je ne devrais pas le laisser en one-shot.