Bon ben voilà, j'ai récidivé et j'ai écris ce...machin ? C'est en écrivant que l'on devient écriveron !

Disclaimer: Je ne possèdes pas Hétalia, si c'était le cas...hum... il y aurait des foursomes Bad touch trio x Angleterre haha...

Angleterre traversait la ville du Luxembourg par les petites ruelles en prenant soin de ne pas être remarqué par qui que ce soit. Une personne vêtue de bleu passa rapidement dans une rue perpendiculaire à celle ou il se trouvait. Angleterre se figea prit de panique, était-ce déjà la fin ? Allait-il finir avec les autres nations ?

Il ne croyait ne toujours pas aux évènement qui s'était passé devant lui il y a une heure à peine. Aujourd'hui il aurait dû y avoir une conférence internationale où toutes les nations serait présentent, amies ou ennemies. Ce jour ci Angleterre n'avait que des malheurs, son réveil rendit l'âme et il se réveilla trop tard pour son train, il dût attendre le train suivant mais la malchance le poursuivit jusqu'à la fin, un incident survint sur sur la voie ferré et Angleterre subit 4 heures de retard. Une fois arrivé au Luxembourg, il prit un taxi direction le lieu de rendez-vous mais Angleterre subit les fameux bouchon de Luxembourg Ville, 1 heure de retard supplémentaire pour le britannique. Angleterre était enfin arrivé à destination, le bâtiment était cernés de centaines de policiers, rien d'inhabituels lors d'une conférence internationale. Mais le britannique comprit que quelque chose n'allait pas quand il vit les nations menottées.

France hurlait qu'il était bien trop beau pour finir en prison, les italiens appelaient Allemagne et Espagne à l'aide. Allemagne hurlait contre les policier pendant qu'Espagne essayait de rassurer Romano. Prusse hurlait qu'il était trop génialissime pour la prison (en plus d'être une nation sans état). Autriche se plaignait de sa condition d'arrestation qui était tous simplement vulgaire. Amérique répétait sans cesse qu'il devait y avoir une erreur que la police ne devait pas arrêter le héros. Russie était muet un sourire menaçant aux lèvres qui faisait trembler de peur les policiers qui l'embarquait.

"Toutes les nations ont été arrêtés ?" Demanda un brigadier-chef.

"Non, chef ! Nous avons trouvés Angleterre nul part, Chef !" Répondit un policier.

Le brigadier-chef aboya sur sa brigade de le trouver.

Angleterre n'eut d'autre solution que de fuir, comprendre ce qu'il s'était passé devant et trouver un plan pour sauver tous le monde. C'est ainsi qu'il se retrouva à errer dans cette maudite ville. Un coup de sifflet retentit près d'Angleterre.

"Il est ici !" hurla un policier à ses autres collègues. Angleterre repéré par la police du grand ducal, courut aussi qu'il pût dans la direction opposé, mais ses efforts fut inutiles, les policiers étaient bien trop rapides pour lui, ils le rattrapèrent et Angleterre finit à terre. Un des des policiers essaya de lui passer les menottes, le britannique se débattit autant qu'il le pouvait. Les autres policiers mirent fin a ses protestations à grand coup de matraque sur la tête et Angleterre perdit connaissance.

"Angleterre ? Angleterre !" fit une voix familière au britannique. Angleterre grogna, sa tête lui faisait mal comme quand les lendemains après une soirée bien alcoolisé. Il essaya d'ouvrir ses yeux mais il n'y parvint pas. "Allez, Angleterre, tu ne vas pas rester endormis tous le temps, tu n'es pas la Grèce !" fit la voix. Angleterre réussit finalement à ouvrir les yeux, vision d'horreur, il était couché sur un lit peu confortable, ce maudit bouffeur de grenouilles à ses pieds dans un lieu qui ne reconnaissait pas, mais grâce à son superbe sens de déduction et la décoration miteuse, il comprit qu'il était en prison.

"Enfin debout, la belle au bois dormant !"

"Shut your bloody pie hole, frog ! Ce n'est vraiment pas le moment. Où sommes-nous ?" demanda le britannique légèrement agacé.

"En prison, andouille !" Angleterre lança un regard noir à France, ce n'était vraiment le moment de faire ce genre de remarque.

"On ne peut plus plaisanter Angleterre ? Tous ce que je sais c'est qu'après notre arrestation, on a roulés pendant un certain temps, puis on nous a conduit dans ces cellules."

"En clair, tu ne sais pas où nous sommes !"

"Exactement !"

Angleterre se jeta au coup de France et l'étrangla de toute ses forces et pouvoir enfin éliminer ce déchet inutile de la surface de la terre. Les gardiens s'aperçurent très vite de la violente querelles et séparèrent les deux nation à grand coup de matraque. Un homme qui semblait être le chef de la prison apparut et ordonna aux gardiens d'emmener les nations, l'heure du jugement était arrivé. Les nations furent emmenés dans la cour, Angleterre reconnaissait cette cour ! Il était donc à la cour pénale internationale de La Haye, Angleterre sut à cette instant que ça allait être un cauchemar. Le juge arriva et le procès put commencer.

Le procureur se leva et se racla la gorge.

"Messieurs les jurés, votre honneur. Si nous présent dans cette cour, c'est pour répondre à cette éternelle question: Les nations sont elles responsable coupable ou non de crime contre l'humanité ? Messieurs la réponse est simple ! Les nations sont coupable, depuis des millénaires nous citoyen, vivons avec eux depuis des millénaires et il ne s'est pas passé un siècle sans conflit ! En obéissant à ces nations toutes ces années, des milliards des notres ont périt injustement et c'est pour ça..."

Angleterre se leva de son siège et coupa la parole du procureur.

"C'est absurde ! Nous, les nations obéissons au peuples et à vos chefs. Nous n'avons jamais pris une seule décision par nous même. Ces conflits et tous ces morts sont dût uniquement à la bêtise des dirigeants et du peuple !"

"Silence, vous n'aviez pas le droit à la parole, la prochaine je vous expulse du tribunal !" hurla le juge en frappant son marteau.

Angleterre se rassit et attendit que ce soit au tour de la défense de parler, les jours passèrent et se ressemblèrent, la défense n'eut jamais la parole. Et le verdict fut imposé sans que les nations pussent se défendre ou simplement faire appel. Les nations étaient condamnées à une peine d'emprisonnement à perpétuité. Toutes les nations furent emmenées jusqu'à leur nouvelle demeure.

Voilà, la suite un autre jour si l'histoire est suffisamment intéressante et si j'ai une idée ultra-giga-génialissime ! (donc jamais !)