Voici donc le premier chapitre de ma nouvelle fanfic sur les Maraudeurs ! J'espère que vous allez aimer et surtout, surtout laissez des reviews pour me dire ce que vous en pensez ou pour me donner des idées. En plus ça fait super plaisir !!
Londres, 1971
Comme d'habitude, je me levai la première. Même pendant les grandes vacances, j'avais toujours une horloge dans la tête. 8h00 : debout. Je commençais donc à me préparer mon chocolat chaud, ma tartine de pain (Nutella, bien sûr !). Puis je me décidai à prendre mon petit dèj devant la télé, pour une fois. Je pris mon plateau et entrai dans le salon.
Et c'est là que je le vis
-AAAAAAHHHHHH !!
Il ne bougea pas d'un pouce, mais j'entendis ma mère se précipiter dans le salon.
-Ma chérie, qu'est-ce que tu as ? Tu es blessée, brûlée ? Et… AAAHHH ! Peter, Peter, dépêche-toi !
Ca c'est ma mère. Greffière au palais de justice de Londres, rousse avec des boucles souples et des yeux d'un vert intense. Toujours à appeler au mon père à la vue de la moindre bestiole. Ceci dit, elle est formidable, toujours aux petits soins pour ses enfants, prête à nous faire plaisir. Et, comme vous l'avez remarqué, un peu trop protectrice.
Mon père finît par apparaître, le visage mal rasé, vêtu d'un simple peignoir.
-Mais qu'est-ce qu'il se passe ? Pourquoi vous hurlez comme ça toutes les deux ? Ce n'est pas…Qu'est-ce que ça fiche là ça ?
Voici mon père. Grand, brun, brillant avocat respecté de Londres, voire de tout le sud de l'Angleterre. Mais quelque peu à la ramasse le week-end, comme vous l'avez également remarqué.
Bon revenons au salon. Le « ça » en question n'avait toujours pas bougé pendant tout ce concert de cris et de paroles. Il s'agissait d'un magnifique grand duc au plumage brun noisette avec des yeux de couleur ambre. A sa patte était attachée une lettre qui portait la mention :
« Miss M.Jones
Au milieu de son salon
18, Little Street
Londres »
-Ce n'est pas possible, on nous espionne...
Ca, c'est mon frère, mon grand frère, le dernier membre de ma famille. Portrait craché de mon père physiquement, il était également tout aussi brillant. Il venait, à la grande fierté de mes parents, de rentrer à l'université de sciences politiques.
Je m'avançai prudemment et tendis les mains pour détacher la lettre. Sous les yeux de toute la famille, j'ouvris l'enveloppe et lut la première feuille qui s'y trouvait :
« COLLEGE POUDLARD, ECOLE DE SORCELLERIE
Directeur : Albus Dumbledore
Commandeur du Grand-Ordre de Merlin
Docteur en Sorcellerie, Enchanteur-en-chef, Manitou suprême de la Confédération internationale des Mages et Sorciers
Chère Miss Jones
Nous avons le plaisir de vous informer que vous bénéficier d'ores et déjà d'une inscription au collège Poudlard. Vous trouverez ci-joint la liste des ouvrages et équipements nécessaires au bon déroulement de votre scolarité.
La rentrée étant fixée le 1er septembre, nous attendons votre hibou le 31 juillet au plus tard.
Veuillez croire, chère Miss Jones, en l'expression de nos sentiments distingués.
Minerva McGonagall
Directrice-adjointe »-Maman, je crois qu'il faut que je réponde, dis-je en regardant le grand duc qui attendait.
-Quoi ?! Tu ne comptes tout de même pas y aller ! Je te l'interdis ! Une sorcière ! Poudlard n'existe pas ma petite fille, c'est sûrement une de tes amies qui a voulu te faire une blague pour t'amuser pendant les vacances.
-Pourtant maman, tu ne peux pas nier que Melann a toujours eu des réactions bizarres, anormales, répondit mon frère Gwenn. Rappelle-toi le jour où les garçons du quartier ont commencé à l'embêter à cause de sa nouvelle robe, lorsqu'elle avait 5 ans. Ils étaient dans le parc et alors qu'il n'y avait pas le moindre vent, l'arbre les a tous giflés. Mais Melann, elle, elle s'en est tiré sans même une égratignure. Et le jour où….
-Bon ça va, ça va ! J'ai compris, ma fille est une… sorcière, dit-elle les lèvres pincées. Il est cependant hors de question que mon bébé aille faire ses études dans une école d'anormaux dont on ne sait même pas où elle se trouve !
Si ma mère pensait avoir terminé avec cette histoire, elle se fourrait le doigt dans l'œil jusqu'à l'omoplate. Moi qui n'avait jamais eu le moindre don particulier, voilà que je m'en trouvais un. Mes amis m'avaient toujours secrètement épaté, et moi j'étais au milieu de ce groupe, un peu complexée par mon absence de talents. Je n'allais pas laisser passer une aussi belle occasion !
-Maman, tu n'as pas le droit ! Je veux y aller ! Pourquoi veux-tu m'en empêcher ?
-C'est vrai chérie, dit mon père qui ouvrait la bouche pour la première fois depuis le début de la discussion. Pourquoi ne pourrait-elle pas y aller ? Si elle en a envie, c'est son droit. C'est même peut-être mieux pour elle.
-Oui, c'est PEUT-ETRE mieux pour elle mais ce n'est absolument pas sûr ! Il est simplement hors de question que ma petite fille chérie aille dans une école où je ne pourrais pas veiller sur elle, surtout dans une espèce d'école bizarre. C'est clos et cacheté, je ne veux plus entendre reparler de cette histoire ! Et toi, OUSTE ! ajouta-t-elle en direction de l'oiseau.
Puis elle sortit de la pièce, bientôt imitée par mon frère. Je restai seule avec mon père.
-Tu veux vraiment y aller Melann ?
-Oui papa, c'est la première fois que je sens que je peux faire quelque chose d'intéressant ! S'il te plaît laisse-moi y aller mon petit papounet chéri et adoré !
-Moi je ne suis absolument pas contre, mais avec ta mère ça risque d'être une autre paire de manche. Je veux bien lui en parler mais elle garde un très mauvais souvenir du côté sorcier de ma famille.
-QUOI ?! Il y avait des sorciers dans la famille ?
-Oui, ma grand-mère en était une. Lorsque j'ai été en âge de me marier, elle m'a présenté à de nombreuses jeunes filles sorcières dans l'espoir que j'en épouse une et que la ligne magique reprenne dans la famille. Ce qui n'est jamais arrivé. J'ai épousé ta mère et lorsque je l'ai annoncé à ma famille, ma grand-mère est partie illico presto après avoir arrosé ta mère de toutes les insultes qui lui passaient par la tête. Enfin bref, depuis ce jour elle refuse d'entendre parler de magie mais nous avons tout de même mis ton frère au courant à ses 18 ans. Il était prévu que nous fassions pareil avec toi mais je crois que ce jour est arrivé un peu plus tôt que prévu. Néanmoins je vais voir ce que je peux faire pour ta mère.
Et il me planta un baiser sur le front et sortit du salon. J'étais abasourdie. Des sorciers dans la famille ! Je montais lentement dans ma chambre encore sous le choc. Puis je me rendis compte que je tenais encore l'enveloppe. Il m'en restait une à lire. Je m'installai confortablement sur mon lit et ma chatte Lily vînt se blottir contre moi. Je commençai la lecture :
« COLLEGE POUDLARD - ECOLE DE SORCELLERIE
Uniforme
Liste des vêtements dont les élèves de 1ère année devront être obligatoirement équipés :
Trois robes de travail (noires), modèle normal
Un chapeau pointu (noir)
Une paire de gants protecteurs (en cuir de dragon ou autre matière semblable)
Une cape d'hiver (noire avec des attaches en argent)
Livres et manuels
Chaque élève devra se procurer un exemplaire des ouvrages suivants :
Le livre des sorts et enchantements (niveau 1), de Miranda Fauconnette
Histoire de la magie, de Bathilda Tourdesac
Magie théorique, de Adalbert Lasornette
Manuel de métamorphose à l'usage des débutants, de Emeric G. Changé
Milles herbes et champignons magiques, de Phyllida Augirolle
Potions magiques, de Arsenius Beaulitron
Vie et habitat des animaux fantastiques, de Norbert Dragonneau
Forces obscures : comment s'en protéger, de Quentin Jentremble
Fournitures1 baguette magique
1 chaudron (modèle standard en étain, taille 2)
1 boîtes de fioles en verre ou en cristal
1 télescope
1 balance en cuivre
Les élèves peuvent également emporter un hibou OU un chat OU un crapaud.
IL EST RAPPELE AUX PARENTS QUE LES ELEVES DE PREMIERE ANNEE NE SONT PAS AUTORISES A POSSEDER LEUR PROPRE BALAI. »
Je sentis aussi une plus petite feuille de la taille d'une carte postale.
« Chère Miss Jones
Venant du monde moldu vous devez ignorer où vous procurer vos fournitures et comment prendre le train qui vous amènera à l'école. Sachez qu'il vous faut vous rendre au Chaudron Baveur afin de trouver tout ce dont vous avez besoin. Adressez-vous au barman. Le quai du Poudlard Express se situe sur la voie 9 ¾. Pour vous y rendre, il faut que vous traversiez le mur qui sépare les quais 9 et 10.
Veuillez croire, chère Miss Jones, en l'expression de nos sentiments distingués
Minerva MacGonagall
Directrice-adjointe »
OUF ! Lorsque j'avais lu la liste des fournitures, j'ai cru que je n'aurai jamais tout ce qui était demandé ! Je regardai par la fenêtre. Maintenant que j'y pense, je ne me suis même pas présentée ! Me voici donc Melann Jones, 10 ans et demi presque 11, fille d'une greffière et d'un avocat, petite sœur de Gwenn, brillant étudiant. Je mesure environ 1.50m. Je suis brune et bronzée comme mon père mais j'ai hérité des longues boucles souples de ma mère ainsi que de ces yeux verts brillants. Je suis plutôt timide pour des yeux extérieurs, mais extravertie voire expansive avec les gens que je connais. Très susceptible et très rancunière.
Je suppose que vous avez aussi remarqué ça, mais ma mère est bretonne. C'est pour cela que mon frère et moi portons des prénoms bretons. Melann veut dire Mélanie en français. Quant à Gwenn, son nom c'est Gwennaël. Il n'existe pas de traduction française mais cela veut dire « ange blanc » en breton.
Je me sens moi-même très bretonne, voire un peu trop parfois.
-Melann !
Je courus au rez-de-chaussée où mes parents m'attendaient, assis à la table de la cuisine face-à-face. Ma mère prit la parole la première.
-J'ai un peu discuté avec ton père de cette école et nous avons décidé ensemble de te laisser y aller.
-OOOUUUAAAIIISSS !! Merci papa, merci maman ! Vous êtes les meilleurs parents de toute la terre, de tout l'univers !
Je sautillai sur place comme une démente et courus dans la chambre de Gwenn.
-J'y vais, j'y vais ! Je suis trop contente !
Gwenn me sourit et me prit dans se bras.
-Eh ben, on dirait qu'on va laisser les parents tous seuls ! Ils vont bien s'ennuyer sans nous deux !
Mon frère devait partir s'installer dans un appartement à 100 km de la maison pour ses études. Je ris donc aux éclats lorsqu'il me dit ça, je lui déposai un p'tit bisou sur la joue et courut dans ma chambre. Je commençai par rédiger ma lettre à Poudlard pour leur dire que j'acceptais mon inscription. Le grand duc, qui attendait toujours, vînt se poster à ma fenêtrede ma chambre et me tendit la patte droite. Il attendit patiemment pendant que je fixai maladroitement la réponse (je n'avais pas tellement eu l'occasion de pratiquer ce genre d'exercice). Puis je descendais avec ma liste de fournitures et le mot de McGonagall qui m'expliquait comment me rendre sur mes lieux d'achats.
Ma mère eut quelques réticences mais accepta tout de même d'aller au Chaudron Baveur l'après-midi. Jamais une fin de matinée ma parut aussi longue. Enfin, laissant mon frère seul, nous partîmes tous les trois au centre-ville. Après avoir tourné en rond pendant environ 2h, je remarquai enfin un pub d'allure miteux que personne ne semblait voir. Ma mère eut une mimique de dégoût mais elle ne se démonta pas pour autant. Ca, c'est une autre caractéristique de ma mère, une fois que sa décision est prise, on ne trouve plus le bouton marche arrière !
A l'intérieur, il y avait des créatures bizarres dont je n'aurais jamais soupçonné l'existence. Ma mère se planta de façon énergique devant un barman aux cheveux foisonnants (si, si ils l'étaient encore à cette époque !).
-Bonjour, monsieur…
-Tom, madame.
-Bien, monsieur Tom, Mrs McGonagall nous a dit de nous adresser à vous pour acheter ls fournitures de notre fille.
-Bien. Hagrid ! J'ai besoin de toi, rugit-il.
Un géant barbu aux cheveux noirs et hirsutes s'approcha de nous d'un pas lourd. La petite partie de son visage que laissait paraître la masse noire semblait jeune et rieuse.
-Tu fais ta rentrée pour la première fois à Poudlard ?
-Oui, répondis-je d'une voix timide, quelque peu impressionnée par le physique imposant de mon interlocuteur.
-Bon, suis-moi. Madame, monsieur, si vous voulez venir…
-Bien sûr que nous venons ! Hors de question que mon bébé parte toute seule avec un inconnu !
Sur le coup, je rougis de honte et fixa ardemment le bout de mes chaussures (c'est super intéressant dans les cas comme celui-ci). Le géant éclata de rire.
-Bien sûr que je comprends. Allez, venez, n'ayez pas peur je suis avec vous.
C'est sûr que question garde du corps on aurait eu du mal à faire mieux ! Il nous entraîna derrière le pub et à l'aide d'un parapluie rose, il tapota plusieurs briques. Celles-ci s'écartèrent pour former une arche, nous laissant passer sur une longue allée, la plus incongrue que j'ai jamais vu.
-Bienvenue sur le Chemin de Traverse ! Je sais, c'est un peu impressionnant quand on a pas l'habitude, me glissa-t-il dans un chuchotement.
J'étais ébahie. Tout cela existait bel et bien… et à Londres en plus ! Hagrid nous guida dans les différentes boutiques de Chemin et nous achetâmes toutes mes fournitures. Sur le chemin du retour, en passant devant Gringotts, il m'explique que chaque nouvel élève moldu disposait de 1000 gallions afin de subvenir à ses besoins dans ce monde nouveau. Devant le magazin de Quidditch, il m'expliqua les règles, les équipes, les balais… J'étais fascinée ! J'avais vraiment hâte de voir ce sport.
-Au fait, tu veux un animal ? Tu peux en amener un à Poudlard. Un chat, un hibou ou un crapaud.
-Oui, j'ai vu. Mais j'ai déjà ma chatte Lily à la maison
-Bon dans ce cas, je crois que nous avons fait le tour.
Hagrid nous ramena au Chaudron Baveur. Après un rapide au revoir et la certitude rassurante que je le reverrai à Poudlard, nous quittâmes les lieux pour rentrer à la maison.
J'installai mes paquets dans un coin de ma chambre et chercha ce qui m'avait le plus fasciné. Dans une longue boîte se trouvait ma baguette magique. Je la sortit et la regardai encore. 28 cm en bois d'acajou avec une plume de phénix à l'intérieur. C'est ce que le vendeur avait dit.
-C'est avec ça que tu comptes me faire peur maintenant ?
Je sursautai. Gwenn était rentré dans ma chambre et me contemplait d'un air narquois.
-Ben oui ! Figure-toi que lorsque je serais une grande sorcière, je te transformerai en crapaud et même Jenny ne voudra plus de toi !
-Comment sais-tu pour Jenny et moi ?
-Je suis plus perspicace que j'en ai l'ai grand frère !
-Dans ce cas…
Et il attrapa la règle qui se trouvait sur mon bureau et nous commençâmes à nous battre comme dans Star Wars avec les sabres lasers. C'est une de nos petites habitudes. Finissant la partie en riant aux éclats, le portable de Gwenn sonna.
-File, c'est Jenny chériiie !
Et il rentra dans sa chambre en me tirant la langue. En parlant de coup de fil, je devais peut-être appeler Lucy. C'est ma meilleure amie depuis la moyenne section. Impossible de nous séparer… sauf peut-être Poudlard. Mais il faut bien que je lui annonce que je n'irai pas au collège avec elle cette année. Je décrochai le téléphone et composai son numéro. Sonnerie… sonnerie… sonnerie
-Allô, Melann ?
-Salut Lucy, comment tu vas ?
-Moi ? Super méga mais alors super méga bien !
-…
-Mais sans doute que ça va pas te plaire à toi. Il fait absolument que je te dise un truc : je pourrais sans doute pas aller au collège avec toi. Je suis vraiment désolée…
-Et t'es super méga bien de me dire ça ?
Bon c'est vrai de toute façon je lui annonçais aussi que je n'irai pas au collège avec elle, mais ça m'a fait très mal lorsqu'elle m'a dit ça juste après m'avoir dit qu'elle allait super bien. Moi, au contraire, j'avais eu une grosse boule dans l'estomac.
-Ecoute Melann, s'il te plaît, il m'est arrivé un truc super bizarre, mais je veux que tu me promettes de rester mon amie même après ce que je t'aurais dit.
-Bien sûr ! On est les meilleures amie du monde, je pourrais jamais te faire la gueule ! De toute façon, moi non plus je n'aurais pas pu aller au collège avec toi.
-Euh… en fait… je suis une sorcière, m'annonca-t-elle d'une toute petite voix.
-AAHH, c'est vrai ? Moi aussi, répondis-je soudain excitée comme une puce.
-Quoi ? T'es sérieuse ?
Lucy ne semblait pas en revenir. Et moi non plus d'ailleurs.
-Oui, j'ai reçu ce matin la lettre pour Poudlard.
-Yes, me too ! Avec la liste des fournitures et le Poudlard Express et tout ?
-Oui ! Tu as acheté tes fournitures ?
C'étai la meilleure journée de ma vie. J'apprenais que j'étais une sorcière, mais en plus que ma meilleure amie l'était aussi et que nous allions faire nos études ensemble ! Finalement, même pas Poudlard ne nous séparerait.
-Non, pas encore, me répondit-elle. J'y vais demain.
Nous restâmes encore une bonne heure à parler des fournitures, de Poudlard, de Quidditch et des maisons dans lesquelles nous voulions être (Hagrid m'avait aussi parlé de ça, ce que je me suis empressée de raconter à Lucy). Au final, je la laissai puis décidai d'accrocher au-dessus de mon bureau un calendrier où je pourrais barrer les jours me séparant DU jour de ma vie.
Cette nuit-là, j'eu beaucoup de mal à m'endormir, si bien que je m'installai à la fentre pour me remémorer en boucle cette fabuleuse journée.
Voilà c'est tout pour aujourd'hui ! Laissez-moi des reviews pour me dire vos impressions ! Je continue ou pas ?
