Un deuxième petit O.S parce que je m'ennuyais!

Poème : Une nuit pour une vie c'est une phrase pour une lettre .

Tout dépend de la phrase et de la nuit.

Je ne pense pas pouvoir te détester

Si le ciel t'a donné à moi ici bas ,

Si le destin nous as réuni,

Malgré mes choix

Si mon sang coule dans tes veines,

Si ma chair est tienne

Alors, non je ne peux pas te détester !

Mes mains veulent savoir si tu es réalité,

Mes yeux veulent te servir,

Mes oreilles veulent en t'écoutant se redécouvrir,

Ma voix veut chanter pour te réchauffer,

Mon nez veut connaitre ton odeur pour enfin respirer.

Mais moi dans tout ça ?

M'a-t-on proposer ou laisser le choix ?

Non surement pas…

Mais malgré tout ça…

Je veux sentir ta peau sous mes doigts ,

Regarder ton visage est mémoriser tes traits,

Je veux , j'ai la nécessité de t'entendre parler et te voir rire,

De te voir me regarder quand je t'interpréterais une berceuse qui te fera t'endormir,

Je veux sentir ton odeur qui ne sera jamais celle des autres enfants

Que l'on confond tout le temps

Pourquoi?

Parce que tu es le mien ,

Ma chair , mon sang, ma vie , mon passé et mon présent…

Me ferais-tu la joie de rester pour devenir mon futur,

Rien n'est moins sur …

Mais dis toi que moi sans toi ca na jamais existé , n'existe pas et n'existera jamais …

Pourquoi ?

Parce que la vie ne m'importe plus sans toi

Le soleil ne brille plus ,

Le temps ne s'écoule plus,

Les étoiles ne m'éclairent plus

Le ciel ne me réconforte plus

Pourquoi n'existe pas sans parce que

De même, je n'existe pas sans toi

En fait tout simplement

Parce que avant toi je ne vivais pas ….

Donc sans toi je ne vivrais plus…

Isabella Marie Swan.

One shoot:

Fruit d'une nuit ? Pfff connerie ! Je me retrouvais avec ce petit bout dans les bras et on m'avait dit que s'était le mien… Je ne les crois pas, cette merveille qui a poussé en moi et que j'ai décidé de détester ne peut pas être si beau . Ne peut pas sentir si bon , ne peut pas avoir la peau si douce . Si ?

L'uns des millions de docteurs étaient venus pour me prouver que cet enfant était le mien ou pour me dire que le viol ne devait avoir aucune conséquence sur l'amour que je donnerais à cette perle rare .

Ca se voyait qu'ils n'avaient pas vécu cette souffrance et cette humiliation.

Je n'écoutais pas ce qu'ils me disaient, tous autant qu'ils étaient , la plupart étant des hommes, il n'était pas en condition de donner leurs avis.

Pourquoi autant de médecins pour moi ? La banale et insignifiante Isabella Marie Swan …

A oui tout simplement parce que j'étais la petite fille du plus grand PDG des Etats-Unis. Mon père me surprotégeait et il s'en voulait pour ce qui m'était arrivé, il n'avait pas réussi avec tout son argent à protéger sa fille. Il m'avait donc offert les meilleurs soins…

La richesse est éphémère ou l'argent ne fait pas le bonheur ? FOUTAISES !!! De nos jours , l'argent fait le bonheur de même que la richesse fait la renommé et la puissance . Sans puissance l'homme n'est rien et si l'homme n'est rien alors il disparait sans avoir rien accomplir et ca c'est sa conscience qui meurt …

Un homme normalement constitué ne se contente jamais de ce qu'il a , il veut toujours plus …

Voila pourquoi j'étais allé me promener à Central Park et que j'avais été témoin du pire des crimes :le vol.

*Le vol résume tout les crimes imaginables …

Si on vole de l'argent , on prive quelqu'un de ce pourquoi il s'est battu …

Si on tue quelqu'un , on vole un homme ,une femme, un mari, une femme, une sœur, une nièce, un frère, un neveu ,un oncle, une tente, une grand-mère ,une mère , un grand-père ou un père, une amie, un ami à quelqu'un, on le prive d'amour …*

Si on viole une femme alors on lui prend sa virginité, sa pureté, sa pudeur, le respect pour elle-même , elle perd tout ce qu'il la définit . On l'humilie.

J'étais dans ce dernier cas, mais désormais le ciel ou le destin , m'avaient donné la preuve que la vie continuait et que je n'étais pas morte .

Je continuais à fixer cet enfant quand un homme qui devait avoir la trentaine s'avança vers moi. Pour la première fois -depuis que ma chambre était devenu la chambre du bonheur ou tout le monde venait pour « parler »- je reportais mon attention sur la personne qui s'asseyait devant moi.

-Je suis Carlisle Cullen .

Je le fixai .

-Ne t'attend pas à ce que je te fasse un discours qui ne t'atteindra pas et surement pas maintenant ! Je suis le chef de l'un des plus grand hôpital du monde et je suis là, à parler avec une fille qui s'est fait violer et qui a eu à la suite un enfant . C'est le cas de millions de femme mais vu que tu es une SWAN je suis obligé d'être présent , alors que dehors il y a pire et beaucoup plus horrible!

Ne te méprends pas , j'ai entendu parler de ton histoire et c'est horrible mais pas assez pour priver des millions de gens d'être soignés et sauvés parce que les plus grand médecins sont là a te parler.

Je le regardai , son regard n'était pas mauvais mais détaché, il faisait juste référence à une évidence et ca me touchait .

Je posais m.. le bébé et m'approchais du médecin et le pris dans mes bras. Je pensais qu'il me repousserait mais contre toutes attentes il me prit dans ses bras et je me mis à pleurer.

Une fois calmé ,il m'expliqua que mon enfant avait un problème au cerveau assez grave, qu'il connaissait un excellent neurochirurgien qui était son fils et qu'il avait toute confiance en lui mais qu'il fallait mon accord et que je ne panique pas .

Mais malgré tout je paniquais plus que nécessaire ! Je ne voulus pas voir le médecin, la peur me mordant le ventre . Ma vie était dans les mains d'un homme que je ne connaissais pas , si cet homme ne pouvait pas sauvé m...le bébé alors je n'aurais pas son visage comme celui qui auras anéantis ma vie. Je faisais confiance malgré tout à Carlisle et si il me disait qu'il fallait l'opérer alors je devais le faire.

Le jour de l'opération arriva …

Au moment ou il me prirent mon bébé, je me mis à pleurer, la peine m'avait submerger jusque dans mes os. Tout mon cœur était en alerte alors que mon âme, elle, mourait peu à peu…

Les heures s'écoulèrent comme si le temps avait été ralenti pour me torturer… Les pires scénarios s'enchainait dans ma tête … La mort en était l'idée principale … Que ferais-je si je ne récupérai pas m..l'enfant . Je n'arrivais même pas à le définir comme étant le mien mais je ne voyais pas ma vie sans lui.

Est-ce ce sentiment d'angoisse et de frayeur qui faisait désormais partis de moi, et qui s'était déclenché au moment ou m.. le bébé avait été en danger était « l'instinct maternel »?

Je ne sais pas … Je n'étais même pas sur d'être une mère et si c'était le cas alors je ne savais pas si je serais à la hauteur .

Je pleurais encore à cette révélation… je ne serais surement pas une bonne mère avec cet enfant, il méritait mieux qu'une mère qui doute ses sentiments à l'égard de son propre fils…

Mais pourrais-je m'en séparer ? Non… ce n'était même pas envisageable.

Cette nuit là, le sommeil ne réussit pas à m'emporter et j'attendais comme une folle , épuisais mais toujours debout à faire les cent pas dans mes appartements, une nouvelle, un coup de téléphone, un signe, n'importe quoi. La chambre qui avait été aménagé par mon père… enfin ses disciples… était jolie mais je m'en fichais je voulais voir l'objet de tout mes peines, en vie . C'est tout.

Ayant reçu un appel de l'hôpital qui me disait de venir , je me rendis au service que je connaissais pédiatrie que je connaissais plus que nécessaire… Je vis Carlisle et je courus vers lui . Il me serra fort dans ses bras .

Il me dit:

-Bella, viens je vais te présenter mon fils et le personnel médical .

Je voulais lui demander comment allait mon bébé mais il m'entraina si vite que je n'en eus pas le temps. Ce n'était pas plu mal, si il n'avait pas survécu je mourrais sur le coup…

Nous pénétrâmes dans une salle a laquelle je n'accordais même pas un regard …

Nous arrivâmes devant un groupe de médecin qui était dos à nous qui discutaient à voix basse.

Je les fixai, Carlisle prit la parole :

-Les enfants … Venez je vais vous présentez la maman du petit bébé que vous avez opéré.

Enfants ?

Ils se retournèrent d'un même mouvement et je plongeais mes yeux dans ceux d'un homme aux pupilles émeraudes qui devait avoir à peu près mon âge. Il était au milieu de tout les médecins et il avait des allures de médecins qui s'y connait comme un grand à la carrure de Grizzly à coté de lui. Nous nous fixâmes intensément .

-Je vous présente Bella … Bella voici (il désigna le groupe de personne en partant de la gauche vers la droite ) Dr Alice Cullen ma fille qui est pédiatre et qui s'est occupée du bébé pendant, avant et après l'opération (il me désignait une femme de petite taille , fine, aux cheveux noirs, ses yeux était noirs, d'une beauté incroyable ) , ensuite tout ca c'est le personnel infirmier (il désignait un groupe de personne) et le chef de cette équipe est la cadre Tanya Dénali ma future belle fille (c'était une blonde d'une beauté digne des plus grand mannequin au regard hautain ) , Celui là c'est Dr Emmett Cullen , mon fils, le meilleur chirurgien cardiaque que je connaisse (il me désignai un homme à la carrure d'ours et ma première pensée fut: « Et il arrive à tenir un scalpel avec ses gros doigts ? » ) et enfin le neurochirurgien le plus renommé depuis quatre générations: Dr Edward Cullen (C'était l'homme aux yeux verts, je remarquai qu'il était plutôt grand, que son nez était droit, sa bouché formait un petit sourire en coin, ses cheveux était aux reflets cuivres et en pagaille) . J'hochais la tête .

-Carlisle, comment va mon bébé ?

Le dénommé Edward me tourna le dos pendant quelques secondes avant de me refaire fasse ,mon bébé dans les bras … Je courus vers lui et le pris dans mes bras en fessant attention à ne pas lui faire mal … Quand je touchais l'avant-bras du médecin une décharge électrique me submergea et vu la manière dont il me regarda, je n'étais pas la seule …

Je me mis à pleurer en tenant mon enfant dans le bras , il était vivant! Moi qui l'avait cru partir et qui ne voyait pas ma vie sans lui. Mon cœur était gonflé par la joie. Je m'avançais et enlaçais chacun leur tour, tout les médecins et le personnel infirmiers en les remerciant. Sauf Tanya qui avait quitté la pièce.

-Merci, vraiment merci pour tout , je ne sais pas ce que je peux faire pour vous remercier , je peux faire quelque chose ?

Tout le monde répondit par la négation sauf le petit lutin qui me regarda et qui me dit:

-Moi! Je sais que ce n'est pas forcement dans tes priorités mais … Passe moi ton numéro s'il te plait , faut qu'on apprenne à mieux se connaitre qu'on aille faire du shopping !!!

-Alice … menacèrent Edward, Emmett et Carlisle en même temps .

-Oui bien sur ! Souris-je. J'étais tellement heureuse que je m'en fichais!

Quelques mois plus tard je vivais avec mon fils dans une magnifique maison à Chicago. Il avait beaucoup grandi et était devenu un amour, il n'avait que trois mois mais il faisait déjà ses nuits. J'avais gardé contact avec la famille Cullen. Alice, nous étions devenus très proche et ne cessions de nous appeler tel des meilleurs amies, Emmett me surprotégeai et se moquait de moi à chaque fois que je le voyais, Carlisle m'avait beaucoup aidé à remonter la pente… J'avais rencontrer Esmé qui avait pris le rôle de la grand-mère de mon poussin , Rosalie qui m'avait beaucoup aidé avec son instinct maternel et qui m'avait donné plein de conseil, elle était en couple avec Emmett et il se marrirait dans quelques mois et Jasper a qui je pouvais tout dire et qui était amouraché d'Alice…

Edward avait été le plus présent, nous passions beaucoup de temps ensemble, il m'avait énormément réconforter lorsque je craquais et c'était le seul avec Carlisle à connaitre la vrai histoire de cette nuit qui avait changé ma vie …

Je pensais éprouver quelque sentiments à son égard, et vu la manière dont on réagissait lorsque nous étions ensemble, lui non plus n'était pas insensible… Le bonheur existait peut-être … Même pour moi …

En tout cas lorsqu'il me prenait dans ses bras, je me sentais entière. Lorsqu'il me regardait, je me sentais femme . Lorsqu'il me parlait je me sentais vivre …

Ce matin-là, je sortis chercher le courrier et je tombais sur une invitation, j'ouvris et lu avec une intention que je ne me connaissais pas. Mais une seule phrase captura mon intention:

« Tanya Dénali et Edward Cullen ont décidé de s'unir par les liens sacrés du mariage »

Cette phrase résonna dans ma tête pendant un long moment … Je restais figé pendant un long moment à relire cette phrase en espérant qu'elle disparaisse et finalement je rentrai chez moi. J'appelai l'agence de voyage et prenais un billet pour la France. Je préparai quelques affaires. J'habillai mon bout de chou qui venait juste de se réveiller. Je prévenus mon père de mon départ et lui dis de ne dire à personne ou je me rendais. Je pris mon sac à main contenant mes clés , mon porte feuille, mes cartes bleues.

Je recouvrai les meubles et rangeai tout. Je fermai les volets de cette maison, lorsque j'arrivais devant la porte d'entrée je regardai derrière moi, la maison était vide, tout était noir, seule la porte d'entrée qui étai ouverte laissait la lumière entre…« Comme moi » pensais-je. Je relisais la phrase qui résonnait toujours dans ma tête et laissai tomber la lettre à mes pieds . Je fermai la porte de ma maison en même temps que celle de ma vie ici… Pour ne plus jamais y revenir … Partir pour tout oublier et ne plus jamais les voir…

Alice m'appela à mainte reprise comme les autres Cullen mais je ne répondis pas … Edward insista plus que les autres mais je souffrais tellement par sa faute… Je jetais mon téléphone et en rachetais un nouveau avec un nouveau numéro.

Partir loin… Avec Alexandre… Voila tout ce que je voulais …

Mes larmes coulèrent, le titre du poème que j'avais écrit me torturait…

« Un nuit, pour une vie c'est une phrase pour une lettre » .

Fin.

**: "Les cervolants de Kaboul: Paroles du père D'un des petits garçon! Trés bon film au passage ^^ .

Alors ? une petit review?

Amicalement F.