Bonjour et je souhaite la bienvenue aux courageux(ses) qui viennent d'ouvrir cette fiction.
Je me lance dans l'univers d'Hunger Games avec cette idée qui me trotte dans la tête depuis quelques temps. J'ai en tête tous les tributs, leurs fiches sont faites, il ne me manque qu'à rédiger.
Je ne donne pas plus d'indications si ce n'est que le prologue peut être... intriguant voire incompréhensible, essayez de vous faire une idée.
Si le projet a l'air de marcher, je vous dit à bientôt !
Dans l'année, une matinée à elle seule est source d'inquiétude, plus que les journées de famine. Cette aube, située peu après l'équinoxe de printemps, le vingt-neuf mars, fait rêver certain et cauchemarder d'autres. L'aurore se lève tôt et entraine avec elle les habitants réveillés par les doux rayons du soleil. La révolte d'il y a quarante ans n'est qu'un souvenir confus, voguant dans les esprits par le biais du désespoir. Les rebelles restent dans l'ombre et attendent leur heure, sans agir. Ils subissent leur châtiment imposé depuis leur défaite. Les Hunger Games sont prêts à faire leurs neuf cent vingtième victimes et le quarantième gagnant à être couronné. Toutefois, le Capitole prétend se lasser des Jeux de la Faim, les tributs ne souffrent plus assez. Les arènes en deviendraient récurrentes. C'est pour cela que le Président Snow compte bien faire de ses nouvelles proies des divertissements et faire remonter la popularité des Hunger Games. Les tributs ne le savent pas mais ces quelques jours risquent d'être les pires dans leur existence.
Tribut femelle du Un : « Il ne manque pas de toupet, je vais lui montrer ce qu'est une vraie carrière, moi. »
Tribut mâle du Un : « Chaton ne survivra pas bien longtemps, on peut me croire sur ce point, c'est certain. »
Tribut femelle du Deux : « Je ne comptais pas participer c'est à cet instant que je réalise que j'ai bien fait d'apprendre à manier les armes. »
Tribut mâle du Deux : « Je n'ai besoin de rien d'autre que ma force et ma dignité, et certainement pas d'elle. »
Tribut femelle du Trois : « Je suis petite, faible, je n'ai jamais touché à une arme mais j'ai mes chances si j'arrive à ne pas perdre toute ma tête. »
Tribut mâle du Trois : « Elle me fait pitié… je sens que je vais faire une connerie… »
Tribut femelle du Quatre : « Mes connaissances ne me suffiront pas, j'ai besoin de partenaires puissants, de protecteurs je dois m'allier aux carrières, à n'importe quel prix. »
Tribut mâle du Quatre : « Elle ne pense tout de même pas que nous allons l'accepter avec deux ou trois petits sourires et un air abattu, si ? »
Tribut femelle du Cinq : « Tout ira bien, je sais me cacher, je ne me ferai pas remarquer, ils ne feront pas attention à moi et s'entretueront jusqu'à ce qu'il ne reste que moi. »
Tribut mâle du Cinq : « Le sort est sensé nous être favorable ? Pourtant ce n'est pas avec une partenaire qui a peur d'un couteau que je réussirai à former une alliance. »
Tribut femelle du Six : « Peu sûr de lui, celui-ci ironie du sort, il n'a pas l'air de savoir grand chose, il va falloir que je me débrouille seule. »
Tribut mâle du Six : « Il y aura des lames, il y en a toujours, je peux revenir, je reviendrai ! »
Tribut femelle du Sept : « Je ne me permettrai pas de le laisser mourir, je dois le protéger coûte que coûte, jusqu'à la fin. »
Tribut mâle du Sept : « Pourquoi le sort s'acharne-t-il sur nous, à la fin ? »
Tribut femelle du Huit : « Ce gamin ne gagnera pas, il ne fera pas long feu pendant le bain de sang, je serai prête à le parier. »
Tribut mâle du Huit : « Ils auront bien tôt fait de comprendre que j'ai beau avoir l'air complètement paumé et à la ramasse, je peux me battre sans problèmes. »
Tribut femelle du Neuf : « Heureusement que les trois jours d'entraînement seront là, mais je ne pense pas que ma note volera très haut… »
Tribut mâle du Neuf : « Je peux toujours rêver, je ne sais pas chasser, ni me servir d'une arme et la discrétion n'est pas mon fort par conséquent, je suis foutu. »
Tribut femelle du Dix : « Ils ne doivent pas savoir que je ne suis pas sans défense, je ne mourrai pas au bain de sang. »
Tribut mâle du Dix : « Une gamine de son âge n'a strictement aucune chance, j'espère juste que je n'aurai pas à la tuer. »
Tribut femelle du Onze : « Il n'a pas l'air d'avoir de grandes convictions et si il ne veut pas construire son avenir, ce n'est pas mon problème. »
Tribut mâle du Onze : « Je ne supporte pas la fraîcheur, cette arène n'aura pas intérêt à être gelée, je pourrai me laisser mourir si c'est le cas. »
Tribut femelle du Douze : « Une pioche, ce n'est pas compliqué d'en mettre une dans l'arène, si ? »
Tribut mâle du Douze : « Je peux le rallier de mon côté, ça ne doit pas être bien compliqué, il vient du même quartier, il me connait sans doute, il n'a pas le droit de me laisser ! »
