Auteur : Lakiskendrix
Traduction : Nami-chan
Disclaimers : les trucs habituels
Couple : DateSana
Je Suis Certain De Ne Jamais Avoir Souhaité un Samouraï
Chapitre 1
" Un seul événement peut éveiller en nous un étranger qui nous est totalement inconnu. Vivre c'est naître lentement."
_Antoine de Saint-Exupéry
***
Sanada Yukimura se demanda si c'était ça la mort, emprisonné vivant dans une tombe de lumière des kilomètres au-dessus du monde, sentant sa vie drainée à chaque seconde qui s'écoulait et la terre se fragmentait en ombre en dessous de son corps vivant. La mort était très certainement la seule récompense pour un homme qui avait essayé d'allé au-delà des limites humaines, cherchant la gloire haut dans le ciel. La lumière faisait mal, tordant ses pensées en souvenirs et transformant les ténèbres d'en dessous en quelque chose de malicieux alors que cela cascadait de sa terre natale et plus loin dans des terres inconnues.
Yukimura voulait s'excuser pour tout ce qu'il avait et qu'il n'avait pas fait dans sa courte vie, bien qu'il soit incertain d'envers qui il devait s'excuser. Il sentait comme si il avait tant d'erreurs, n'avait rien accomplit, n'avait pas assez fait, n'était pas assez fort, peut être n'ayant pas assez d'esprit pour être l'homme qu'il avait toujours rêvé d'être. Il ne savait pas ce qui lui manquait, ou peut être manquait t-il de tout et cette mort pleine de regret étaient la récompense d'un arrogant petit soldat.
Il avait tellement de rêves, il voulait vivre pour voir le jour où Takeda Shingen recevrai la couronne taché de sang tant mérité du souverain de tout les guerriers. Mais quel était le prix ? Pour son maître, Yukimura vivait pour tuer. Et pour lui-même, Yukimura tuait pour vivre, puisque ce monde n'était né que pour les guerriers. Combien de morts et de tragédie avait il couvert par des sourires ? Combien de fois c'était il caché sous le masque d'une passion fanatique pour le bien de son âme ?
Quel était la valeur de sa vie ?
Yukimura se demanda comment il était tombé si loin de l'esprit de conviction qu'il avait autrefois été, une créature d'enthousiasme et d'une brillance infini, fort et pur, qui ne prendrait jamais en considération la reddition comme une option. Pourtant durant les dernières semaines il était tombé si loin de sa propre image idéale.
Yukimura n'ait pas réussi à sauver son Oyakata-sama de Akechi Mitsuhide, ne pouvant rien faire de plus que de regardé en essayant de réparer un barrage alors que son créateur était découpé par les scythe du faucheur et sur le point de se noyer dans un puissant courrant. Si souvent Takeda Shingen avait été l'idole de Yukimura, son idéal, l'homme qui lui avait tout donné, le façonnant en un général dont Kaï pouvait être fier, il avait donné à Yukimura un but dans la vie. Le même homme qui était maintenant inconscient, capable de voir uniquement en rêve alors que son vengeur était écrasé par le roi des enfers.
Il était certain que Yukimura avait échoué aux yeux de Date Masamune également. Le grand leader, l'homme qui Yukimura souhaitait rencontrer en tant qu'égal, l'homme qui avait conquis son cœur de guerrier et volé son admiration, l'homme étant maintenant son reflet dans le ciel, lui aussi prisonnier du halo de cette cruelle lumière. Date en était venu à signifier tant pour Yukimura, l'inspirant avec son charisme naturel et une confiance en sois si forte qu'elle pouvait devenir vexante. Il n'y avait personne en dehors de son seigneur que Yukimura respectait plus que ce brillant fils d'Oshu, l'homme qui n'avait pas eu seulement le cran de dissoudre son armée entière, mais aussi contra la faiblesse de Yukimura avec sa propre bravoure. Yukimura avait déçu Date, l'homme qui croyait suffisamment en lui pour le laissé se tenir à ses côtés durant cette bataille finale; il avait déçu Date une fois en perdant son sang froid contre Akechi Mitsuhide, et encore en ne réussissant pas à le sauvé quant Oda Nobunaga tint son beau visage dans une prise maléfique et jura de lui crever son précieux dernier œil avec ses griffes. Pas une fois Date ne s'était découragé une fois qu'il était prit dans la spirale de sa propre confiance en soit, et il avait facilement prouvé à Yukimura qu'il était un échec en comparaison. Celui qui lui sauva la vie fut Honda Tadakatsu, le plus fort de l'ère Sengoku, le gladiateur qui mourut deux fois devant Yukimura les sauvant tous deux lui et Date.
Si seulement Yukimura avait été plus fort, plus confiant, suffisamment enflammé pour renvoyé ses agent de la mort en enfer, en les forçant à traîné avec eux leur seigneur des ténèbres pour le présenté avec le purgatoire des meurtriers.
Si seulement…
Si seulement…
Si seulement…
Yukimura ne put le penser aussi souvent qu'il le souhaita. La réalité qu'il allait mourir. Il allait mourir sans n'avoir rien accomplit.
Si je pouvais faire un seul souhait avant que cette courte vie ne s'achève, si je pouvais changer un seul aspect de mon destin, alors je souhaiterais avoir un seul instant à une époque où je pourrais honnêtement dire que le fait que je sois en vie face la différence. Je peux accepter ma mort, c'est le chemin de tout guerrier et je n'ai rien fait d'autre dans cette vie que répandre le sang pour dire le contraire, mais si l'on pouvait m'accordé un souhait, ce serait-
***
Date Masamune fut conscient que quelque chose changea, même alors qu'il était en train de se battre pour les libérer lui et son compagnon de la brillante lumière assombrissant ses yeux. Il pouvait sentir le bandeau rouge enroulé autour de sa main, les fils maintenant ensemble son mental et sa conviction, le lien qui lui rappelait le jeune homme à ses côtés, celui qu'il avait conduit dans cette bataille, celui qu'il…
Bien qui le souhaitait, Date Masamune ne put pas serrer suffisamment son poing pour conservé un seul morceau de précieux rouge entre ses mains alors que le bandeau se disloquait. Et bien que jusque la il avait été pleinement conscient, comme il l'était toujours, de la présence de Sanada Yukimura, soudainement, avec angoisse, il se sentit vraiment seul.
***
Quant bien même il ne pouvait rien voir, Yukimura sentit la chute libre alors que son corps était soufflé par les vents du destin, l'entraînant loin de la lumière qui caressait son corps et déchirait sa vie comme toute prison valable le ferait. Il ne put pas dire grand chose, ne pouvant même pas se souvenir qui il était, ne sentant pas la pression sur son corps brisé.
Il ne s'en souciait pas, la lumière était partie, et peut importe ou il était conduit, tout ce qu'il savait, tout ce qui comptait, était qu'il était finalement libre.
***
Quant Yukimura se réveilla, il sentit la terre sous son corps, ouvrit ses yeux brun-roux et vit le plus beau des ciel bleu. Il n'y avait pas de ténèbres, pas de lumière en dehors de celle du soleil, et pas d'éclair descendant des cieux pour déchirer la terre. Son corps ne pouvait pas bouger, même alors que ses grand yeux voyait les oiseaux qui volaient dans le ciel et qu'il avait très envie d'atteindre une telle liberté.
Finalement, il fut capable d'ouvrir ses lèvres et avec un voix soufflé demander, "Comment ce fait il que je sois en vie ?"
"Je ne sait pas. Qui es tu ?"
Yukimura cligna des yeux face à la réponse inattendu, et il s'assit avec la force qu'il s'obligea à posséder, uniquement pour rencontré un œil mercure familier qui allait de paire avec la voix soyeuse ravivant sa mémoire. L'homme était appuyé sur la pointe de ses pieds, accroupi pour regardé Yukimura avec une curieuse expression accentué par un froncement de sourcils, comme si il essayait de comprendre quelque chose.
"Masamune-dono !" Avec un large sourire de gratitude et un bon impulsif, Yukimura passa un bras autour du cou de son camarade, des retrouvailles pour deux êtres qui étaient revenu vivant des portes de la mort. "Masamune-dono ! Comment tu l'as fait ? Comment t'es tu échappé ? Tu l'as vaincu ? Tu es vraiment incroyable !"
"Mais de quoi es que tu parle con de taré ?"
Yukimura fut repoussé violemment, et s'assis sur l'herbe avec un posture de lassitude, il devait regarder Date Masamune se lever et le regarder de haut, forçant le général de Kaï à remarque que quelque chose n'était vraiment pas normal.
Bien que l'herbe soit verte et que le ciel soit bleu, même si les oiseaux chantaient alors qu'ils planaient et que l'arbre Sakura derrière lui laissait flotté dans l'air des pétales d'un rose pâle, ce n'était pas le pays d'où il venait. Et le Date Masamune en face de lui, portant toujours un cache-œil mais vêtu d'étranges habits inconnus toujours bleus, n'était pas le Date Masamune qui avait combattu à ses côtés et l'avait encouragé. Le même visage, le même corps, mais quelque chose n'y était pas, il y avait un froid tranchant dans cet œil unique, de l'amertume dans le mouvements de ses lèvres, et quant bien même il se tenait avec la même posture hautaine, il ne restait plus que des paillettes de cette assurance caractéristique.
"Qui es tu ?" Demanda Yukimura d'une voix entrecoupé, son cœur se serrant d'un peur soudaine, confus et cherchant discrètement ses lances avant que l'ennemi responsable de cette farce n'attaque. Tout le long, il espéra que le Date Masamune qu'il connaissait n'avait rien.
"Pourquoi tu me le demander ?" Tu as l'air de déjà très bien savoir qui je suis. Ma question est qui tu es. Et puisque qu'on y est, es tu conscient que tu viens juste de simplement tombé du ciel ?" L'air incrédule que le visage de cet homme semblait si étranger à Yukimura. La voix était la même, les gestes qu'il faisait étaient les même, la posture de son corps était la même…juste étrange. C'était Date Masamune, mais ce n'était pas Date Masamune. Il ne pouvait se retenir de fixé l'étranger familier qui devenait de plus en plus énervé à mesure que Yukimura refusait de parler.
"Ou suis je ? Tu as fait quelque chose ? Ou bien était-ce Oda Nobunaga ? Ou peut être moi ?!" Yukimura se fit plus frénétique et se força à se levé, essayant de trouvé l'équilibre de son corps affaiblit. L'homme qui était mais n'était pas Date Masamune, l'unique source de réponses qu'avait Yukimura, lança un regard conflictuel en direction du guerrier de Kaï, quelque chose de déchirer entre la pudeur et la confusion. C'était presque un air attachant, l'expression d'un jeune homme incertain, un air que ne portait jamais le dragon borgne.
Ce nouveau Date Masamune se tourna pour regardé curieusement Yukimura. "Tu…ne sais vraiment pas où tu es ? Ce n'est pas une blague ?"
"Pas du tout. Es tu vraiment Date Masamune-dono ?"
"Je ne suis pas certain sur l'honorifique mais je suis Date Masamune. Alors quel est le nom du mec qui est tombé du ciel ? Et comment ce fait il qu'il me connaisse ?" Masamune regarda intensément Yukimura attendant pratiquement une certaine réponse. Yukimura ne savait pas ce qu'il cherchait, mais cet air proche de la désespérance que ce jeune Masamune échoua à cacher prouva que c'était important pour lui.
"Je suis Sanada Genjiro Yukimura, général de-"
L'homme eu vite fait de l'interrompre, "Tu ne peut pas être sérieux. En aucune façon quelqu'un pourrait souhaiter un samouraï."
Yukimura cligna des yeux, quelque part surprit par ce soudain éclat de voix. "Quoi ? Souhaiter ?"
Le jeune homme ouvrit la bouche, la ferma, et alors prit entre l'énervement et l'incrédulité, se tourna pour s'en allé, secouant la tête et marmonnant pour lui-même. Yukimura essaya de le suivre, son corps fatigué de bataille ne coopérant toujours pas.
"Attend ! Qu'est ce que tu veux dire par 'souhaiter' ?! S'il te pâlit, dit moi, Date Masamune-dono !"
"Ne m'appelle pas comme ça ! Ce n'est pas comme si j'étais un seigneur ou un truc du genre. Tu es si bruyant, Sanada Yukimura, " mais Masamune se retourna tout de même vers lui, plus calme, moins déçu que ce qu'il était il y a encore un instant, et Yukimura ne put nier le petit plaisir qu'il ressenti en entendant cette voix familière dire son nom d'une façon familière.
"S'il te plait, que voulait tu dire par souhaiter ?" Yukimura avait souhaité, désespérément, quant Oda Nobunaga avait frappé à la porte de la mort pour lui. Si cette homme avait lui aussi fait un souhait, il y avait sûrement une connections. Il y avait sûrement une réponse.
"Ca ne veut rien dire, "répondit Masamune avec un long soupir, passant une main dans ses cheveux bruns. "C'est juste une coïncidence là où tu es tombé. Les gamins dans cette école croient que les sakura exaucent les vœux à cette période de l'année. Je n'ai jamais entendu dire qu'un souhait avait été accordé. Mais encore, je crois bien que je n'aie jamais vu quelqu'un tomber comme tu vient de le faire non plus."
"Es qu'il soit possible que ce soit ton souhait ?" Demanda Yukimura, creusant pour autant d'information qu'il le pouvait, un expression perdu accentuant ses traits, faisant grimacé Masamune alors que le double de Date troublé trouvait des aspect charmant dans un homme blessé qui ne devrait pas exister.
Masamune regarda le chiot perdu en face de lui, un homme qui était tombé du foutu ciel portant des vêtements et une armure qui donnaient de la crédibilité à ses affirmations d'un autre monde. Il ne pouvait pas croire que cela arrivait en vrai. Son vœux c'était en quelque sorte réaliser et avait livré un samouraï.
Mais ça n'expliqua pas pourquoi le vœux de Masamune n'avait pas trouvé de réponse.
"Je t'ai déjà dit que c'était une coïncidence que je t'ais vu. Tu n'étais pas mon souhait. Quelqu'un à du vraiment ce foutre de toi pour traîné ton cul ici."
"Etrange…tout de même, cette personne m'a en fait sauvé la vie, et j'aimerais vraiment parler avec ! Y a t'il un moyen de retrouvé les gens qui o fait des souhait ici ? Y a-t-il un moyen de revenir en arrière ? Je doit aider quelqu'un que j'ai laissé derrière !"
"Tu ne peut pas être sérieux."
"Je n'ai pas d'autre pistes."
L'œil unique de Masamune tressailli. S'en était trop. Il massa sa tempe et marcha un peut, essayant de donné un sens à tout ce qui arrivait. Yukimura passa en revus le terrain à la recherche de ses lances, regardant Masamune faire des mouvement de vas et viens du coin de l'œil. Victorieusement, un lance était empalée dans le sol, et il déplaça son corps brisé vers elle.
Masamune stoppa ses mouvements pour fixer la lance et son porteur blessé, se souvenant pertinemment quant les tout les trois étaient tombé du ciel et avait failli le tuer. Il ne fut pas certain de ce qui était le plus terrifiant, les lances tombante où le fait d'avoir à s'occuper des conséquence d'avoir trouvé un samouraï. Quoi qu'en parlait de ce garçon…
"Tu va bien ?" Demanda Masamune en peut tardivement alors que son état de choc commençait à s'estomper, s'inquiétant des mouvements altéré que faisait le général. Yukimura utilisa sa lance comme appuie et se tourna vers Masamune.
"J'ai été arraché d'une bataille."
"J'imagine que tu doit vraiment remercié le cinglé qui a fait le souhait."
"Effectivement. Bien que je m'inquiète toujours pour Da- où es ce que tu va ?" Cria presque Yukimura alors que Masamune commençait à partir.
Masamune hausse d'élégantes épaules "Désolé. C'est bien trop pour moi. Je me tire."
"Où es ce que tu va ? !" Yukimura vit Masamune le salué alors qu'il s'éloignait d'avantage.
"A la maison."
"…Et moi ?" Yukimura essaya de suivre, utilisant sa lance pour avancer.
"Fait ce que tu veut."
"Mais je ne sais pas où je suis ! Je ne connaît personne à part toi !"
"Tu ne me connaît pas." Cela avait été dit durement, directement, et d'une certaine façon plus brutal qu'un coup de couteau.
Masamune se tourna avec air renfrogné, et Yukimura, qui avait été soufflé par les mots cruels, fut captivé par l'œil amer du jeune homme. Il fut forcé de reconnaître que c'était peut être le double de Date Masamune, mais il y avait quelque chose de vraisemblablement plus fragile chez lui. Colère et douleur coulait s'écoulait de son œil et encadrait son visage joliment composé. En ce Masamune se trouvait une profonde mélancolie, et son expression était de celle qui appelait profondément Yukimura.
"Je m'excuse. Tu as raison. Je ne te connais pas, Masamune-dono. Mais…je ne sais pas où je suis…et tu es vraiment très semblable à quelqu'un que je connais et que j'admire grandement."
"Trouve une carte. Je ne vais pas t'aider juste parce que je ressemble à quelqu'un que tu admire."
Yukimura grimaça devant la façon dont il lui était facile de mettre en colère ce Masamune. "Je ne sait pas où trouvé une carte, Masamune-dono."
Masamune regarda la forme pathétique devant lui, son visage laissant facilement voir combien le guerrier n'était pas à sa place dans ce monde. Masamune avait essayé du mieux qu'il put de ne pas plus s'impliquer, il avait mit un point d'honneur dans sa vie à ne plus être impliqué avec qui que ce soit. Mais en face de lui ce trouvait un voyageur perdu dans le temps, plus un garçon dans sa personnalité qu'un homme peut importe sa profession, visiblement naïf, seul et désespéré. Pour une quelconque raison qu'il ne pouvait trouver, Masamune ne pouvait laisser Sanada Yukimura seul, mais il était toujours déterminé à ne pas l'apprécier
Masamune revint vers Yukimura dégoûté de lui même, attrapa l'un des bras du samouraï et le passa par dessus son épaule, se préparant à l'aider à marcher.
"Tu peut rester avec moi quelques jours. Ne cause pas de problèmes, OK ? On trouvera quelque chose pour toi."
"Merci, Masamune-dono !" Yukimura manqua de les faire tomber sans grâce avec sa gratitude.
"Attention !" réprimanda Masamune, mais il fit un léger sourire en coin devant la tournure ridicule que prenait sa vie. "Tu devait être un bien mauvais samouraï. So clumsy."
Yukimura s'arrêta même alors Masamune avait essayé de commencer à marcher, et le jeune homme ne fut pas certain si Yukimura était insulté par son commentaire bilingue où si une tout autre pensée l'avait percuté soudainement. Un air sombre avait pénétré ses yeux, passant sur son visage, quelque chose de pas tout à fait humain, un différent et sauvage côté de cette personnalité qui força Masamune à la réalisation que peut importe combien il pourrait sans le vouloir trouvé se jeune homme mignon, Yukimura avait vu et commis les pires des horreurs.
"Un mauvais samouraï…c'est peut être vrai. Que je sois ici…peut être…tu crois que c'est pour cela ?" Yukimura se tourna vers Masamune une expression à la fois interrogative et étonné, devenant stressé rapidement et de façon évidente, "Est ce que même mon monde me voudrait tellement qu'il me rejetterait ?"
Masamune ne put répondre, il n'avait aucune idée de quoi dire à un étranger qui répétait une question que Masamune c'était lui même souvent posé. En retour, Yukimura continua à regarder Masamune avec des yeux concentré qui semblaient capable de plongé au beau milieu de son cœur pour révéler son horreur caché.
Les deux étaient rendu confus par l'autre, trouvant chez l'un l'autre une créature qui était la fois étrangères et horriblement familière pour eux.
Masamune reconnu Sanada Yukimura comme un dangereux être humain, pas seulement un guerrier, mais un créature de sympathie. Mais ces yeux brun-roux commençait à paraître désespéré, l'esprit derrière eux toujours en plein travail pour essayer de comprendre. Masamune n'avait pas besoin d'un samouraï en hyper-ventilation commençant juste à réalisé la plénitude de sa situation présente.
"Comment suis-je censé pouvoir répondre à ça ? Continue de marcher."
Yukimura sorti brutalement de ses pensées alors que Masamune recommença à avancer, le forçant à levé ses pieds pour évité d'être traîné, où pire, lâché et abandonné.
"Mais-"
"Tu veut que je te laisse derrière ?"
"Non, pas du tout !"
"Alors bouge-toi."
"Mais j'ai laissé une de mes lances derrière !"
Masamune s'arrêta et regarda depuis le jeune blessé jusqu'à la lance qu'il tenait, "…comment vais-je bien pouvoir rentré dans le métro avec toi ?"
"Métro ?"
"…"
***
"A quoi est ce que je pensait ? Je peut pas ramener un samouraï comme un animal."
Masamune était étendu sur son canapé ce soir là, revenant sur les étranges événements qui se produisaient dans sa vie. Il voulait toujours croire que c'était d'une certaine façon un canular, ou bien un étrange sorte de farce bien élaboré, où encore peut être que le samouraï dans sa salle de bain était juste perdu et fou. Masamune n'appréciait pas forcement Yukimura, mais il ne le détestait pas non plus, ce qui était un problème pour un homme qui ne voulait s'attaché à personne.
Mais avoir marché avec Sanada Yukimura jusqu'à son appartement, voyant ces grand yeux explorant le monde inconnu dans lequel il avait été jeté, donnait facilement la véracité de ses dires. Depuis les grattes-ciels aux voitures, des gens aux panneaux, tout le fascinait. Masamune, qui détestait les contact physiques, était étrangement content de l'avoir tenu. Yukimura avait rapidement passé d'un éclatements émotionnel à l'autre juste en marchant jusqu'à l'appartement de Masamune. Emerveillement, terreur, confusion, joie, excitation et tant d'autres émotions étaient passé sur le visage de ce voyageur de temps blessé. Un Masamune éberlué n'avait plus aucun doute sur le fait que Yukimura était du genre à être facilement prit d'euphorie et aurait probablement réussi à trouvé la force de courir dans tout les sens pour voir de plus prêt quelque chose qui aurait attiré son regard.
Le poursuivre avant qu'il ne soit renversé par une voiture où qu'il ait empalé quelque chose (quelqu'un) avec une lance aurait été extrêmement énervant. Spécialement puisque, pendant Masamune était en bonne condition physique, il n'avait pas eu exactement le même train de vie que ce jeune samouraï, ce qui signifiait probablement beaucoup de course. En le prenant physiquement par la main et le conduisant depuis l'école, Masamune avait peut être protégé le monde d'un samouraï perdu, mais c'était jeté lui même dans l'obligation qu'était Sanada Yukimura.
"Sanada Yukimura…samouraï…il n'y pas moyen que tu sois mon souhait…"
L'esprit de Masamune n'arrivait juste pas à ce défaire de cette pensées. Ce devait être une erreur. Il n'y avait pas de corrélation entre son souhait et quoi que ce soit lié à une personne d'y il y a quatre cent ans. Avait-il accidentellement trouvé le souhait de quelqu'un ? Et qu'était il supposé faire avec maintenant ?
Quant ils avaient atteint l'appartement après nombreux regards venant d'étrangers, que Masamune avait bien sûr ignoré, le jeune samouraï avait dormi deux petites heures sur le canapé où reposait maintenant Masamune. Masamune c'était demander ce qu'il devait faire à propos des blessures, mais Yukimura ne saignait pas, semblant plus physiquement émotionnellement épuisé, alors il le laissa dormir. Un problème à la fois était tout ce que Masamune pouvait supporter à gérer pour l'instant.
Quant Yukimura c'était réveillé, Masamune lui avait dit qu'il sentait mauvais et l'avait poussé dans la salle de bain avec une serviette. En réalité, Masamune voulait juste du temps pour lui même là où il ne pourrait pas trouver de raisons de passé à côté d'un samouraï endormi et de le regardé, s'assurant qu'il était réel et chez lui. Alors il envoya Yukimura à la douche. Bizarrement, cette situation ne fit qu'empirer les choses pour Masamune.
"Masamune-dono ?"
Masamune soupira pour lui même en entendant la voix interrogative de Yukimura. Il ne pouvait pas déjà avoir fini de ce douché. Masamune s'assit et passa son bras sur le dos du canapé pour supporté son corps alors qu'il se tournait pour regarder Yukimura. Immédiatement, dès qu'il vit le guerrier de Kai, l'esprit vif de Masamune gela.
Il était toujours sec, et heureusement avait la serviette que lui avait donnée Masamune. Mais il ne portait que la serviette. Masamune déglutit et se prépara à parler, ses yeux passèrent rapidement sur chaque parcelle de peau révélée avant qu'il ne puisse s'en empêcher. Physiquement, le jeune homme en face de lui était parfait. Des cheveux auburn en bataille encadrant un beau visage plein de jeunesse et glissant sur un dos sculpté, une mèche allant par dessus son épaule pour taquiné son incroyable poitrine…et ces saletés de hanches étaient bien trop distrayantes, la serviette bien trop basse. En plus des autres choses qui le rendaient périlleux pour Masamune, Sanada Yukimura avait les os iliaques les plus dangereux. Masamune avait les pires ennuies à retiré ses de la où ils accentuaient la taille mince de Yukimura et…
Masamune pensa qu'il avait comprit le désir, un réaction typique à une attirance dérisoire, et fut un maître pour l'ignoré. Il vint à la conclusion qu'avant cet instant, il n'avait probablement ressentit le vrai désir de toute sa vie.
"Masamune-dono?"
"Appelle-moi…juste Masamune. Ce titre appartient à quelqu'un d'autre, non ?" une fois qu'il avait eu le temps d'y réfléchir, Masamune avait eu vite fait de comprendre avec qui il avait été confondu. Mais comment un homme qui était son homonyme pouvait a ce point lui ressemblé que quelqu'un de son époque ait prit Masamune pour lui ?
"Oui, je suppose que cela est juste," Yukimura inclina sa tête avec une adorable perplexité alors qu'il disait cela, ses mèches de cheveux glissant devant ses yeux. Masamune était fasciné, même alors que Yukimura recommença à parler, "Masamune…je…je…"
"Q-quoi ?" força Masamune.
"J'ai besoin de toi…dans la salle de douche."
"Excuse-moi ?" Masamune failli tomber à la renverse du canapé, son esprit circulant dans toutes les différentes directions que cela pouvait prendre.
"Je suis désolé…je n'arrive toujours pas à comprendre ce truc de la douche. J'ai essayé comme tu m'a montré…" le mignon air d'embarras tua pratiquement Masamune, et il se leva du canapé avant que Yukimura ne l'en face tomber accidentellement.
"Ok. D'accord. Je peut t'aider avec ça."
Yukimura fit un sourire lumineux, et Masamune sentit le morceau de viande desséchée dans sa poitrine commencé à battre comme si il appartenait à un être humain.
***
Yukimura aimait la "salle de douche". C'était amusant avec tellement de choses à explorer, le distraillant complètement de toutes autres pensées négatives. Il se sentait un peut coupable parce qu'il avait passé une heure entière juste à regardé ses objets non familier, nu en dehors d'une serviette puisque Masamune lui avait demandé de se changer avec ça pour la douche. Mais au moment où il avait essayé de faire effectivement couler l'eau, il avait oublié les instructions de Masamune et fut forcé de demander à nouveau l'aide de l'homme épuisé. La douche était incroyable, et tout ce que pouvait pensée Yukimura c'était à quel point Masamune vivait dans un monde merveilleux. Il y avait tant de commodités que Yukimura n'avait jamais rêvé qu'elles puissent êtres réelles.
Masamune avait expliqué ce qu'il avait put à un Yukimura stupéfait quant ils avaient été sur le chemin du retour. Ils discutèrent de pourquoi y avait il tellement de gens partout qu'ils devaient construire de grand building pour tous les contenir. La meilleur parti c'était qu'il s'entendait tous bien. Ce pays n'avait pas été en guerre depuis des décennies. Pour Yukimura, ce monde était purement incroyable.
En pensant à la guerre, les pensées de Yukimura s'éloignèrent de ses illusions, et il s'appuya contre le carrelage, autorisant le jet d'eau à torturé sa peau, souhaitant qu'il puisse le faire saigner pour le déshonneur qu'il avait causé à son seigneur non seulement en fuyant la bataille, mais aussi de son monde. Date Masamune. Date Masamune avait été laissé seul aux portes de la mort. Est-ce que Oda Nobunaga avait gagné, réclamant le monde comme sien, condamnant à un enfer sur terre les gens que Yukimura avait juré de protéger en tant que général du tigre de Kai ? Il ne pouvait y avoir qu'une seul punition pour un tel échec, et Yukimura n'avait que lui-même pour y faire face, sa honte battant dans sa poitrine alors qu'il cogna faiblement le mur de son poing, sa fierté de guerrier se raillant de ses larmes infantiles.
Au moment où Yukimura sorti enfin de sa douche, probablement des heures après qu'on lui ait accordé du temps pour se remettre d'aplomb, Masamune se tenait dans la cuisine, faisant cuir quelque chose. Yukimura regarda envouté, notant les différence dans cette scène de ce qu'il pouvait trouver chez lui. C'était tellement un mode étrange et incroyable.
Masamune fini par sentir sa présence et se tourna vers lui, un sourire taquin quelque peut familier lancé sur ses traits. "Et bien, je suis contente que tu est au moins trouvé comment mettre des vêtements."
Yukimura fit un petit huff et marcha pour s'assoir à la table, faisant semblant de ne pas être en train de joué avec la fermeture éclaire devant sa veste. Il y repensa et se demanda si Masamune lui avait donné cette veste juste pour avoir l'opportunité de le taquiné si il ne trouvait pas tout seul.
"Le diner sera prêt dans quelques minutes."
"Tu cuisine, Masamune ?" demanda Yukimura, bien que se soit évident. Il ne savait juste pas quoi dire d'autre, il essayait durement de ne pas repenser à son grand échec, créant une conversation pour sauvé son esprit de lui-même. Il ne savait rien, ni sur pourquoi il était ici ni même comment il y était arrivé, et son seul allié était l'homme imprévisible en face de lui. Il ne savait même pas quel titre honorifique utiliser, où même si il y en avait un d'acceptable.
Pourtant Masamune sembla prendre un peut pitié de lui, soit ayant entendu son chagrin palpable depuis l'autre pièce où le sentant juste maintenant, et fit simplement remarqué, "C'est un hobby suffisant."
Encouragé par la réponse, Yukimura demande, "Masamune aime quoi d'autre ?"
Masamune lui jeté un coup d'œil, curieux de la ou cela menait, prenant la décision de continué pour conserver l'humeur amicale, "J'aime la musique, joué du piano…Euh, tu ne sais pas ce que c'est, non ? Fine. Je te montrerai plus tard pour comme ça tu sauras qu'il ne faut pas y touché. Et pour toi, samouraï ?"
Une chose qui énervait Yukimura à propos des deux Date Masamune était l'amusement qu'ils trouvaient à utilisé d'étrange langages dans une conversation. "Oh, Euh, et bien, j'aime me battre ! Particulièrement avec Oyakata-sama, Sasuke, et l'autre Date Masamune. J'aime aussi faire du cheval et les dango et…et…"
"Ne va pas te faire mal," rétorqua le sardonique Masamune, se renfrognant un peut en entendant la mention du nom de Date, éteignant le bruleur de la cuisinière. Après que quelque instant se soient passé calmement, il s'appuya contre le comptoir de la cuisine et se tourna pour faire face à Yukimura. "Bon, s'est un bonne chose que nous ayons tant en commun."
"Quel âge à Masamune ?" Yukimura essayait difficilement de se souvenir de ne pas rajouté l'honorifique comme Masamune ne semblait avoir aucun intérêt à les utiliser.
"Masamune à dix huit ans depuis aujourd'hui. Quel âge à Yukimura ?"
Yukimura fronça les sourcils alors que Masamune se moquait de lui en copiant sa façon de parler, "Dix sept ans."
Masamune prit une cuillère pour vérifier sa soupe avant de hoché la tête et d'ouvrir un placard à la recherche de bols. "Désolé ce n'est rien de spécial. Je ne m'attendait pas à avoir des invités."
Yukimura acquiesça, "C'est plus que bien, Masamune. Je suis ici par ta discrétion après tout. Je suis reconnaissant de tout ce que tu m'offre."
Masamune le regarda bizarrement avant de hausser les épaules, remplissant les bols avant de venir rejoindre Yukimura à la table pour manger. Yukimura regarda l'intéressante soupe, un mélange qu'il ne pouvait reconnaitre, et le bol n'était pas non plus très approprié pour boire.
Masamune soupira, ayant observé le samouraï perdu, et prit ostensiblement sa cuillère pour montré à Yukimura la méthode pour l'utiliser. Yukimura baissa les yeux sur son bol et ses doigts non habitués suivirent l'exemple de Masamune.
A partir de là la conversation se fit silencieuse, tout deux concentré par leurs propres pensées. Yukimura n'avait pas vraiment faim, cette journée avait été bien trop abrupte pour la faim, mais il se força à finir au moins se qu'on lui avait donné en remerciements à la gentillesse de Masamune. Masamune paraissait ressentir la même chose alors qu'il faisait des cercles avec sa cuillère à travers sa soupe, ses yeux perdu dans le lointain. Yukimura regarda son hôte discrètement, ses pensées retournèrent à leur précédente conversation et il se demanda pourquoi Masamune était seul le jour de son anniversaire. Et bien, peut être pas si seul si Yukimura était avec lui, considéra le samouraï avec clarté. Mais Yukimura n'était pas vraiment un invité, juste une responsabilité. La contemplation de Yukimura se fit plus sombre alors qu'il considéra le fait qu'il retenait peut être Masamune en dehors d'une célébration, d'où l'humeur massacrante de l'homme. Peut être avait il été sous l'arbre à souhait parce que c'était une coutume pour un anniversaire dans ce monde.
"Alors," commença Masamune, ayant remarqué l'expression inquiète de Yukimura et se doutant qu'il n'était pas un bon hôte, "Tu es vraiment général à dix-sept ans ?"
Yukimura sursauta un peut face à la soudaine question après un si long silence. "Oui ! C'est mon plus grand honneur !"
Masamune lui fit un sourire curieux, "Wow. Ton chef devait probablement beaucoup t'aimer, peut être un peut trop, où alors il voulait te voir mort. Tu es toujours un gamin. Mais encore, j'imagine que l'espérance de vie dans cet ère ne visait pas exactement la longévité."
Yukimura se renfrogna profondément. "Ne parle pas de Oyakata-sama de cette manière ! Et je ne suis pas un enfant."
Masamune leva ses main en paix, intérieurement prit par l'amusement alors que le garçon en face de lui se mit à faire la moue, mais la conversation mourus rapidement à nouveau. C'était incroyablement mal à l'aise. Ils étaient tout les deux des étranger forcé dans cette situation, forcé à se débrouillé avec l'un l'autre, tout deux trop confus par l'autre pour essayer et faire de meilleure tentative d'amitié.
"Je sui désolé," émit faiblement Yukimura, la tête baissé.
Masamune arqua un sourcil en retour. "Tu t'excuse maintenant ? Pour quoi ?
"Pour beaucoup de choses…pour être dans ce monde, m'imposer à toi, et puis après être le plus horrible des invités. Aujourd'hui et le jour de ta naissance, et il y a surement quelqu'un qui souhaite le célébrer avec toi. Je suis horrible et inconvenant. Et même ainsi tu as été si gentil à m'offrir un toit et m'a même nourrit."
"Ne soit pas tout boudeur, c'est vraiment gênant. Et ne t'en fait pas pour ça."
"Mais-"
"Si je dis ne t'en fait pas pour ça, alors ne t'en fait pas," déclara Masamune alors qu'il s'appuyait contre le dossier de sa chaise. "Maintenant, la première chose d'on nous avons besoin de parler c'est de l'endroit où tu es. Tu n'arrête pas de dire que tu es d'un autre monde, mais je pense qu'il est plus juste de dire que tu es d'un époque différente."
"Epoque ?" répéta Yukimura avec étonnement, ses pensées passant de son excuse à cette nouvelle conversation que débutait Masamune.
"Oui," Masamune hocha la tête, désigna Yukimura puis luis même, "Tu es une partie de mon histoire."
"Vraiment ? Combien d'année ?"
Masamune décida d'être franc. "Tu es mort depuis un bon bout de temps."
Les pensées de Yukimura se tordaient entres elles, essayant de donné une signification à tout cela. "Comment suis-je mort ?"
"Désolé. Je ne vais même pas me risqué la dedans. La science fiction ma apprit mieux que ça."
Yukimura se sentait de plus en plus perdu à chaque mots que prononçait Masamune.
Masamune remarqua son expression mystifié et ajouté, "Ne t'inquiète vraiment pas pour ça. On doit d'abord trouvé quoi faire avec toi. Je ne sais pas pourquoi tu es ici, ni même comment tu y es arrivé. On doit juste faire avec. Alors ne t'en fait pas, on trouvera bien quelque chose."
Yukimura lui fit un sourire, mais en même temps fit ce petit air boudeur que Masamune détestait parce qu'il l'adorait intérieurement. Le sourire Masamune ne sen souciait pas. Le sourire était de conciliation, pas sincère.
"Fini ?" demanda Masamune, regardant le bol presque vide de Yukimura?
Yukimura regarda de Masamune au bol et hocha la tête, posant la cuillère qu'il avait serrée sans le savoir dans le bol, incertain de quoi faire avec. Masamune lui prit simplement le bol et le plaça dans le sien avant de repartir vers la cuisine, accordant une fois de plus à Yukimura quelques instant pour se rassembler.
N'allant nulle part avec ses pensées et ayant besoin de distraction, Yukimura se leva pour suivre Masamune, l'homme devenait de plus en plus dépendant plus il restait dans cette étrange époque. Il le regarda nettoyé les deux couverts et les ranger avec les autres dans le placard. Yukimura se demanda si il devait aider, mais on lui avait si souvent dit dans les dernières heures de ne touché à rien qu'il n'y parvint pas. Un tel sens global de facilité semblait existé dans cette époque…
Comme il le faisait toujours quant Yukimura ne le voulait pas, comme le Date du passé, Masamune prit son regard et un sourire moqueur glissa sur ses traits.
"Hm ? Oh, tu le lève, et l'eau arrive. Tu le baisse, l'eau s'arrête," Masamune fit un exemple pratique de ses mots alors qu'il ouvrait et fermait le robinet, "Eau qui coule. Eau qui ne coule pas. Eau qui coule. Eau qui ne coule pas. You see ?"
Yukimura s'énerva un peut. Il n'était pas stupide, simplement ignorant et curieux. "Comment l'eau arrive t'elle ici ?"
Masamune se stoppa, et ouvrit sa bouche avec arrogance avant de la refermé brutalement, silencieux avant de finalement admettre, "…Je ne sais pas vraiment comment t'expliquer ça si facilement."
Yukimura lui fit son petit sourire aux joue gonflés, et Masamune acquiesça gracieusement sa victoire.
***
Masamune se renfrogna avec contemplation, ses yeux passant de la porte de sa chambre au canapé.
"Où mettre le samouraï ?"
Il avait distrait Yukimura pendant qu'il essayait de trouvé une solution à cette situation en allumant la télévision et le laissant complètement mystifier par un quelconque anime. Masamune était un peut inquiet de ce que Yukimura pourrait apprendre en regardant la télévision au début, mais il se dit que tout ce qu'un anime pouvait faire c'était lui apprendre des façon impossible pour tuer des gens, et Yukimura savait déjà probablement comment faire ça de toute façon.
Le problème était que Masamune ne voulait pas vraiment de Yukimura dans son appartement, encore moins dans sa chambre. C'était sa place, là où il pouvait se détendre et être lui-même. Yukimura avait déjà prit racine dans son appartement, mais Masamune devait au moins garder sa chambre. Yukimura était si en dehors des normes, si étrange, et Masamune détestait que se jeune homme qu'il ne connaissait que depuis quelques heure réveillait en lui quelque chose d'aussi inhabituel. Il ne savait simplement pas ce que c'était. Il ne voulait pas savoir. Le désir il pouvait faire avec, le désir était inutile et un dilemme typique d'adolescent, mais la façon avec laquelle le cœur de Masamune semblait bondir chaque fois que le samouraï lui faisait un sourire était quelque chose de complètement en dehors de son domaine.
Masamune avait peur de ce qui pourrait arriver s'il laissait Yukimura venir dans sa chambre. Quelles directions éventuelles es pensées pourraient prendre. En même temps, son appartement était plutôt petit, et il n'était pas vraiment du genre à forcé le samouraï à dormir par terre, bien que se soit en fait plutôt normal pour Yukimura si Masamune revenait sur l'époque.
Masamune était un fan des conceptions de l'Ouest. Son appartement était équipé de meubles de l'Ouest et d'un lit. Contrairement à lui, Yukimura pensait probablement que son appartement était étranger comme tout ce qu'il avait croisé en marchant dehors. En y repensant, l'hésitation de Yukimura à s'assoir à la table et à manger avec la cuillère était plus évidente.
"Hey, Yukimura ?" appela M Masamune, forçant le guerrier extasié à se tourné dans sa direction. "Qu'est ce que tu préfère, canapé où sol ?"
"Quoi ?"
"Pour dormi. Tu préférerait un futon au sol, où juste le canapé comme tu la fait plus tôt ?"
"Lequel et le plus pratique pour toi, Masamune ?"
Masamune grogna à la politesse, "Ce n'était pas ce que je te demandais. Veux-tu dormir par terre où sur le canapé ?"
Yukimura regarda le canapé et puis le sol comme si il essayait de décider lequel était le plus confortable. "Je ne sait pas."
Masamune lança ses mains en l'air et retourna dans sa chambre, annonçant platement, "Alors tu ira par terre !"
Masamune déroula le futon sur le sol de sa chambre alors qu'il clamait son humeur. Il ne comprenait pas pourquoi Yukimura lui faisait sortir de ses gons si souvent. Masamune prit une profonde inspiration, se souvenant de combien Yukimura était perdu. Le pauvre garçon, né dans un conflictuel monde de guerre et de manière, n'avait probablement plus la moindre idée de ce qui était convenable et essayait probablement de faire son chemin dans le présent du mieux qu'il le pouvait sans causé de sérieuses insultes. Masamune décida d'avoir le futon sur le sol de sa chambre, pour être un peut gentil, et pour rappeler au samouraï si il se réveillait apeuré qu'il n'était pas complètement seul.
Cela fonctionna.
***
Durant leur première nuit tout les deux, ils étaient tout les deux bien trop épuisé par les événements de la journée pour réaliser leur situation. Masamune avait honnêtement souhaité dès qu'il s'était réveillé que Yukimura ne soit qu'un rêve. Mais dès qu'il fit le futon vide, il avait commencé à réalisé que perdre le samouraï n'était pas du tout une pensée joyeuse. D'un autre côté, Yukimura, qui avait pour habitude de se levé tôt, se sentit incroyablement seul et se fut uniquement le visage familier de Masamune qui lui accorda un peut de paix.
Ce fut la seconde nuit qu'ils eurent tout deux des problèmes pour dormir. Masamune n'était pas habituer à avoir quelqu'un dans sa chambre, et Yukimura n'était pas habituer à la chambre en elle-même et se débattait avec ses propres pensées sans fin. Ils étaient tout les deux conscient que l'autre était éveillé, en entendant les mouvements et les soupirs.
Quant Masamune lui posa une question, il n'eu pas à demander si Yukimura était réveillé. "Comment il était ?"
Et Yukimura n'eu pas besoin de demander à qu'il il faisait référence, mais se demanda depuis combien de temps cela avait perturbé Masamune." Fort, puissant, charismatique…je ne suis même pas certain qu'il y ait assez de mots pour décrire Date Masamune."
Yukimura entendit Masamune bougé, tourna dans son lit en direction de Yukimura. "Tu l'aime bien."
"C'est une personne vraiment admirable."
"Je voulait pas dire de cette façon."
"Que veux-tu dire ?"demanda Yukimura, tournant sa tête vers Masamune, bien qu'ils ne puissent se voir à cause de la hauteur du lit.
"Ne t'en fait pas pour ça et va dormir."
Yukimura sentit que c'était mieux d'obéir, mais ce fut Masamune qui ramena le sujet pas moins de cinq minutes plus tard.
"Tu l'aimait vraiment, pas vrai ? Est ce qu'il avait une opinion favorable de toi aussi ?"
Yukimura se demanda combien il pouvait en dire, mais il se dit que ça n'avait pas vraiment d'importance. Date Masamune n'était pas là. Et qui savait si Yukimura pourrait rentrer chez lui. "Je suis plutôt amoureux avec le fait de me battre contre lui, comme tant d'autre il n'inspire rien d'autre que de la passion en moi. Mais je ne peux m'empêcher de sentir comme si il avait ses yeux loin au dessus de moi. Il est Date Masamune. Il a beaucoup de gens qui a la fois le supporte et dépendent de lui, spécialement son valeureux œil droit qui est aussi toujours à ses côtés. Il n'a pas besoin de moi, et je ne suis même pas certain de ce qu'il pense vraiment de moi. Je ne sais même pas vraiment pourquoi il ma supporté quant il la fait."
"Et tu sourit toujours en disant quelque chose d'aussi triste. You're depressing. Il n'ait vraiment pas comme moi du tout, c'est ça ?"
"Je doit admettre que je ne voit pas Date Masamune vivre dans ce monde comme tu le fait. Il vient de la même époque que moi après tout. Mais comme tu as dit quant on c'est rencontré, je ne te connais pas. Et je n'ai jamais vu un Date Masamune sans la force d'Oshu. La seul personne à qui tu as besoin de prouvé quoi que ce soit, la seul personne dont tu semble à avoir te soucier, n'est uniquement que toi. Je ne pense pas qu'un tel choix n'ait jamais été accordé à Date Masamune. Pas en face de ce que cela coûterait aux gens qui ont besoin de lui."
Etrangement démoralisé, Masamune changea le ton de la conversation. "Hey, si il est si génial, peut être qu'il viendra te sauver. Tout ses traits héroïques doivent bien allé quelque part."
Yukimura rit face à l'image. "Ce n'est pas une histoire. Il et un seigneur de guerre, et cela ne signifie pas nécessairement un héros. Je suis certain que si il est encore en vie à cet instant; il a des choses bien plus importantes à pensées que la où je suis allé."
"Oh, maintenant tu n'est pas juste avec toi même."
"Si il venait, tu serait probablement extrêmement amusé par son cheval."
"Je prend ta parole pour ça."
Ce fut calme après cela, mais le peut d'humour leur fut suffisant pour les conduirent tout deux au sommeil.
***
Yukimura soupira, comme il l'avait fait chaque matin depuis dix jours passés, regardant entre l'horloge digitale et un Masamune endormi qui refusait de se réveiller.
C'était devenu une routine. Yukimura se réveillait au levé du soleil, étirait son corps en guérison dans le salon et souhaitait pouvoir s'entraîner avec ses lances. Masamune ne se levait pas avant tard dans l'après midi quant Yukimura finissait par le levé, alors le jeune samouraï était autorisé à regardé calmement la télévision et d'absorbé l'étrange époque dans laquelle il était tombé, où emprunter l'un des nombreux livre dispersé sur les étagères.
Yukimura devait suivre d'importante règles. Il n'avait pas la permission de s'approcher du périmètre du piano ni des d'aucuns des papiers dispersé autour. Il pouvait regarder l'immense collection de CD de Masamune où même essayer de faire marcher le lecteur DVD où la console de jeux (Lesquels Masamune ne semblait pas vraiment toucher lui même). Il ne pouvait pas utiliser la cuisine où joué avec le téléphone, et il n'eu jamais la permission de ne serai ce que regardé le lecteur MP3 de Masamune, qui était vraiment brillant et fascinait Yukimura par les sons qu'il faisait.
Chaque nuits, Masamune déposait quelques uns de ses vêtements plié dans la salle de bain pour que Yukimura, après qu'il eu terminé ses petit exercices, puissent les porter après avoir prit une douche. Puis Yukimura trouvait un moyen de s'amuser jusqu'à ce qu'il soit l'heure de réveiller Masamune parce qu'il avait faim.
Yukimura n'aimait pas à quel point Masamune pouvait être silencieux. Ce n'était pas que Yukimura le comparait avec le Date Masamune de son époque, mais même pour se Masamune, un tel silence ne semblait pas naturel. Yukimura n'aimait pas non plus le peut que Masamune s'occupait de lui même. Même quant il cuisinait pour Yukimura il mangeait rarement quelque chose, passant la plupart de son temps à gribouillé des note assis au piano, essayant de les jouer avant des les froisser et de les jeté plus loin, jamais satisfait de son travail.
Une fois par jour, on frappait à la porte et Masamune l'ignorait platement. Cette situation rendait Yukimura vastement curieux, mais une autre de ses règles était qu'il n'était jamais autorisé à ouvrir la porte pour qui que ce soit où même allé dehors tout seul. Ce qui signifiait que Yukimura ne pouvait jamais aller dehors parce que Masamune ne voulait jamais. Il y avait même un morceau de papier noir accroché devant le trou dans la porte que Yukimura avait vue une fois Masamune utiliser pour voir qui était dehors.
Masamune lui avait expliqué ce qu'était le téléphone, mais Yukimura avait pour ordre de ne jamais y répondre, il devait le laisser sonné pour que Masamune puise écouté ses messages plus tard. Mais c'était confus pour Yukimura, parce que non seulement Masamune ne répondait jamais à son téléphone, mais il effaçait aussi les message sans jamais les écouter.
Lors de sa cinquième nuit avec Masamune, Yukimura essaya de démarrer une conversation alors qu'ils étaient assis sur le canapé, une tentative pour conduire Masamune hors de sa réclusion pour que Yukimura puisse enfin voir allé dehors.
"Alors…tu ne fait jamais rien, Masamune ?"
Masamune sembla amuser par la formulation de cette question au début. "Que veux-tu dire ?"
"Eh bien, je veut dire, euh, ça t'arrive de sortir dehors ?"
"Il n'y à rien d'intéressant à trouvé dehors," répondit paresseusement Masamune, ignorant Yukimura et appuyant sa tête contre le dos du canapé pour fermé son œil.
"Tu m'as trouvé dehors !" s'exclama Yukimura en se redressant.
Masamune lui donna un petit ricanement en retour, "Je te l'accorde. C'était plutôt intéressant. Ne t'offense pas, mais je ne pense pas avoir besoin que cela ce répète."
"Mais c'est toujours intéressant," fit remarqué Yukimura, "peut être y a t'il d'autres choses intéressantes qu'on pourrait voir."
Yukimura était déterminé à le faire sortir.
Pour la frustration de Yukimura, Masamune était tout autant déterminer à les garder tout deux enfermé.
Yukimura ne pouvait pas comprendre de quoi se cachait Masamune. Du peut qu'il avait vu avec ses yeux, et les détails incroyables qu'il avait appris à la télévision, Masamune vivait dans un monde pleins de merveilles.
Yukimura aimait croire qu'ils étaient suffisamment proches pour que Masamune lui accorde un peut de confiance. En accordant que ce n'était pas de l'amitié au départ, se devait être au moins un acceptation volatile de l'autre dans un espace clos. Parfois ils semblaient sur la même longueur d'onde, ayant d'amusante conversation et regardant la télévision, mais d'autre fois c'était plus difficile. Masamune devait s'habituer à avoir quelqu'un dans sa vie pendant que Yukimura essayait de ce mettre à niveau, constamment mit en position de conflit par rapport à l'anxiété du présent et son extrême culpabilité pour ses échecs dans un passé dont il ne faisait plus partie. C'était une relation déroutante qu'aucun des deux ne savait vraiment comment définir.
Etrangement, ce qui sembla commencer à ennuyé le plus Masamune dans leur conversations était quant Yukimura parlait de rentrer chez lui. Parfois il posait des questions à Masamune sur l'arbre à souhait, où partageait une idée qu'il avait, et le facilement amusé mais impétueux Masamune devenait silencieux où irritable.
Leur pire bataille remontait à trois jours, quant Masamune était sorti pendant que Yukimura faisait la sieste, endormi par la beauté de Masamune jouant du piano. Yukimura s'était réveillé inquiet, habitué à avoir la présence de Masamune quelque part prêt de lui, il était inquiet pour lui, et puis se mit en colère d'avoir été laissé derrière. Il avait bouilli de rage, et finalement avait décidé que si Masamune devait tant manqué d'égard envers lui, alors Yukimura n'avait pas non plus à l'écouter.
Quant Yukimura couru à l'extérieur, il fut submergé par un sentiment de liberté, un joie emplissant son cœur alors qu'il était finalement en dehors des limites de l'appartement. Puis il avait regardé dans l'horizon et réalisa que la vastitude de se monde ne lui appartenait pas. Les grattes-ciels, les gens, les panneaux, les voitures, tout…
Il ne connaissait rien de ce monde, ne connaissait personne en dehors de Masamune, et donc comment pouvait il se sauver. Malheureux, Yukimura retourna à l'appartement, se détestant lui et ses faiblesses.
Masamune, des sacs pleins les mains, était revenu quant Yukimura rentra.
Leur bataille fut quelque chose de plus cruel et de plus douloureux que toute celle qu'il avait put combattre dans une vrai guerre. Il s'était parlé sèchement, disputé, combattant brutalement avec les mots. Et Masamune s'était retiré dans sa chambre cette nuit pendant que Yukimura resta sur le canapé.
Ni l'un ni l'autre n'avait dormit. Environ vers quatre heure du matin Masamune était sorti de sa chambre, paraissant exténué, tenant un livre et le tendant à Yukimura qui l'observait attentivement.
"Je suis désolé. Je n'ai jamais voulu qu'on se batte comme ça. Je voulais te connaître. Je voulais te comprendre mieux pour que l'on ne soit plus si maladroit l'un avec l'autre. Je ne sais pas grand chose sur les samouraï en dehors de leur importance historique. Je ne sais pas ce que tu as traversé personnellement. Mais je voulait au moins essayer."
"Que c'est il passé ?" demanda Yukimura alors que Masamune s'asseyait sur le canapé, tout prêt de lui, comme si il se retenait de ne pas vérifier physiquement que Yukimura était bien là.
Masamune fut silencieux pour un long moment, mais il dit finalement, "En dehors des courses, et tu devrais vraiment mme remercié pour te nourrir pendant qu'on y est, en fait je suis allé chercher des livres qui parlaient de toi. De ta vie. Je ne voulais pas te le dire parce que…et bien, c'était simplement bizarre et je ne voulais pas vraiment que tu sache tout ce que je fais. Parce que je voulais tout savoir. Tu n'a que dix-sept ans, et tu n'a même pas encore fait tout ça. Et…je me demandais si quelque chose avait change. Si ta présence ici arrêterait ton histoire, si tu ne rentrait pas."
"Est ce que j'ai disparu dans l'histoire ?"
"Non."
C'était une réponse froide qui sembla en quelque sorte construire un mur entre eux, un mur qu'aucun ne voulait mais avait besoin pour garder un certain et étrange équilibre.
Yukimura essaya d'alléger l'humeur, faisant un sourire rayonnant comme il le faisait toujours pour rendre lui et d'autres personnes heureuse. "Oh, wow, On se souvient tellement de moi qu'on écrit sur moi ? C'est stupéfiant !"
Masamune se figea, complètement indifférent au sourire, son unique œil vacillant vers Yukimura, le regardant avec une sombre incrédulité.
"Masamune ?"
"Jaime bien le toi que je connaît maintenant…je n'ai pas envie de penser à la personne que tu deviendra."
"Je suis si horrible ?"
Un froid silence accompagna le débat interne de Masamune.
"Tu es un héros," Masamune soupira. "Tu es mort en héros."
Yukimura senti son cœur battre rapidement, la peur de l'échecs et son immense culpabilité se dénouèrent. Il était destiné à rentré chez lui. Il serait un héros. Il n'échouerait pas pour les gens qui comptent pour lui. La maladie appeler responsabilité revendiquait son âme, et il voulait crier sous un ciel de paradis qu'il était prêt pour le prochain défis, un partie de sa conviction perdu revenait en sachant qu'il allait être tout ce dont il avait toujours rêvé.
"C'est ce qui te rend heureux ? Savoir que tu meurs en héros ? Même si c'est brutal et terrible, du moment qu'on se souvient combien tu étais héroïque tu es bien ?" la voix de Masamune abritait une amertume qui brisa complètement la joie du guerrier.
"Qu'est ce qui ne va pas Masamune ?"demanda Yukimura avec inquiétude, essayant de comprendre le vrai problème.
Masamune paru considérer sa réponse, essayant une ou deux fois de parler avant de redevenir silencieux, et puis, "Je viens de réaliser qui tu es. Je te connais, mais je ne te connais pas vraiment. Ce que tu as fait, ferait, fera. Comment tu mourras. Je pense à toi comme je te connait…et…"
"Et ?" demanda Yukimura, essayant de brasser les déclaration troublante pour qu'elles aient du sens.
"Et j'aime te connaître en tant que personne, pas un personnage dans l'histoire. Je n'aime pas savoir comment tu va mourir."
Masamune avait l'air si fatigué, même en regardant Yukimura intensément, et il semblait qu'il tremblait d'indécision. Plus vite que Yukimura put enregistrer, l'homme réclama la petite distance les séparant pour serrer Yukimura contre lui. La surprise que ressenti Yukimura permit à Masamune de l'allonger sur le canapé, ses bras enroulé fermement autour du plus petit corps, l'empêchant de partir.
"Je ne le voulait pas, mais je suis content que tu soit ici. Alors peut importe combien ça peut paraitre héroïque de mourir de cette façon, essaye de vivre aussi vieux que tu le peux, même si ce n'est pas pour moi."
Yukimura ne répondit rien, ne sachant pas ce qu'il pourrait dire. Masamune se contenta de le serrer plus fort, cachant sa honte dans le cou de Yukimura, sentant son odeur. Les paupières de Yukimura papillonnèrent alors que de discrètes lèvres passèrent contre son pouls plaçant doucement un baiser léger comme une plume. Les bras ses resserrèrent, et Yukimura souhaita pour lui-même que Masamune le lâche, si seulement qu'un petit peur, si seulement pour laissé Yukimura lui rendre son étreinte.
Ils ne dirent rien de plus cette nuit là, et éventuellement les bras de Masamune se relâchèrent alors que le sommeil le prit finalement. Ce ne fut qu'après ça que Yukimura réussi à défaire les bras de Masamune d'autour de son corps. Il bougea maladroitement pour placé les bras du jeune homme à ses côtés, et puis il gesticula pour qu'ils soient tout les deux plus confortables. Masamune était toujours au dessus de lui, et les bras de Yukimura berçaient son corps alors qu'il enfouissait le côté de son visage dans les doux cheveux de Yukimura.
Cette nuit ils restèrent tout les deux sur le canapé, Yukimura parvenant à la tenir prêt de lui pour de longues heures. Comme toujours, Masamune était profondément endormi, et Yukimura souri de façon engageante au jeune homme qui s'accrochait à lui.
Yukimura ne savait pas comment il allait mourir, ni même pourquoi Masamune était si perturbé par cela. Yukimura espérait mourir comme un guerrier, et un guerrier ne s'efforçait pas nécessairement d'esquivé une mort inévitable alors autant espérer pouvoir mourir bien et avec fierté. Que pouvait-il demander de plus que d'être remémoré ?"
Mais Masamune avait détruit sa propre fierté pour le serrer, avait enroulé ses bras fermement pour retenir Yukimura à jamais. Yukimura ne savait pas ce qu'il pourrait dire pour chasser le démon qui avait poussé cet homme merveilleux dans ses bras. Tout ce qu'il savait c'était qu'il voulait lui aussi serrer Masamune fortement, et être la présence rassurante dans le petit monde dans lequel ils vivaient.
Après cette nui, Yukimura est Masamune était retourné à leur habituel façon d'être l'un avec l'autre, les deux prétendant que l'évènement qui les avait tout deux tellement mis en colère n'était jamais arrivé. Mais il y avait quelques petit changement. Masamune avait changé. Yukimura avait changé. Le mur construit cette nuit là était toujours présent, mais il sembla qu'ils le touchaient, cherchant non sans hésitation une quelconque fissure qui leur permettrait de se retrouvé, et avec un peut de chance, de se touché.
***
Une semaine plus tard Masamune regardait le plus jeune alors qu'il était endormi. C'était sa routine. Il s'inclinait sur le côté du lit pour regarder le beau jeune homme, imaginant follement les détails d'une vie qui ne pourrait jamais être. Il s'endormait avec des pensées très plaisante, et la première chose qu'il voyait chaque matin était ce visage plein de joie qui le réveillait pour avoir à manger. Il portait les vêtements légèrement trop larges de Masamune, et si Masamune avait de la chance, il n'aurait pas encore rattaché ses cheveux. Il était adorable. C'était horrible. Parce que Masamune voulait ça pour le reste de sa vie et l'histoire avait prouvé qu'il ne le pourrait jamais.
C'était énervant.
Mais la personne contre qui Masamune était le plus en colère était contre lui. Au lieu de venir activement en aide à Yukimura pour qu'il retourne à son époque, il faisait tout ce qu'il pouvait pour saboter cet être qui avait complètement fait son chemin dans la vie de Masamune. Masamune n'était fier de ses singeries, il savait qu'il était très injuste envers Yukimura. En même temps, il ne pouvait se l'en empêcher.
Après l'erreur qu'avait été la librairie, après avoir apprit plus sur la personne qu'était Yukimura, et détester ce qui allait lui arriver, Masamune était arrivé à la conclusion que ses sentiments étaient loin d'un simple désir. Il s'était mit dans l'embarras cette nuit là, il avait eu besoin de sentir Yukimura dans ses bras, incapable de dormir jusqu'à ce qu'il ait put prétendre que le jeune homme était en sécurité.
Il avait commencé à laisser les livres d'histoire trainé, dans l'espoir que Yukimura les lirait et apprendrait tout, et que d'une façon il pourrait affronter le temps et sauvé se vie. Où juste choisisse de rester. Masamune voulait vraiment qu'il reste. Yukimura était troublé par les livres, mais ne les touchait jamais, ce qui ne faisait qu'agacer Masamune. Ce que Yukimura ne comprenait pas, c'était que Masamune essayait simplement de le garder.
Un soir, Masamune invita Yukimura à l'aider dans la cuisine pour la première fois. La joie contagieuse du jeune samouraï créa un sourire sur le visage de Masamune. Depuis l'incident de la librairie, leurs conversations c'étaient améliorées, ils étaient devenu plus ouvert l'un envers l'autre, et généralement ils étaient plus proches.
Ils commencèrent à parler d'un feuilleton télévisé obsédant Yukimura qui avait entrainé Masamune avec lui. C'était à propos d'un premier amour dans l'époque de laquelle venait Yukimura. C'était aussi l'ouverture parfaite dont avait besoin Masamune.
"ET pour toi alors, Yukimura ? Déjà eu un premier amour ?" demanda Masamune tirant sur la queue de cheval du jeune homme quant Yukimura se retourna pour mettre dans la casseroles les légumes découpé. Masamune rit quant le jeune homme émit un cri.
Yukimura regarda méchamment Masamune et chassa sa main quant il tenta de le refaire. "C'était méchant, Masamune." Il s'arrêté pour réfléchir à sa réponse alors que Masamune lui tendait d'autres légumes. "Je peux peut être trouvé une grande admiration en d'autre personnes, mais je ne pense pas que j'ai été un jour amoureux. De plus. Je n'ai rien à offrir à une femme où même à un amant. Ma dédicacions n'appartiens qu'a Oyakata-sama. Ce serait cruel de donné de faux espoirs."
Masamune se renfrogna. "Eh bien, ton seigneur n'est pas là."
Yukimura le regarda avec réflexion avant de s'exclamer. "Mais je suis toujours le Sanada Yukimura qui sert Takeda Shingen. L'endroit où le temps où je suis importe peut."
Masamune sentit sa poitrine se comprimé, comme si il était rejeté. Ses épaules se hérissant d'une colère contenue, Masamune s'éloigna en murmurant, "Pas étonnant que tu soit si seul. Eteint le gaz dans cinq minutes. Tu m'a vue le faire donc tu dois savoir comment."
"Je ne suis pas seul."
"Tu continue de te dire ça Yukimura. En tout cas, même si tu ne l'est pas maintenant, un jour tu le seras avec certitude."
Masamune n'avait plus rien essayé depuis, jouant les bonnes cartes pour rester dans les bonnes grâces de Yukimura après avoir été si cruel pour contré sa propre douleur. C'était vrai, Masamune avait remarqué, celui qui tombait en premier soufrait le plus, particulièrement quant ils étaient amoureux d'un samouraï mort il y a quatre cent ans.
Mais au moins Masamune avait sa routine. Pour maintenant il pouvait prétendre qu'il avait une chance, et il ferait tout ce qui était en son pouvoir pour gagner le cœur de ce jeune homme.
Dans les ténèbres de la chambre, la main de Masamune descendit pour caresser une longue et soyeuse mèche de cheveux. Au moins sil avait ça. A la différence de Masamune, Yukimura avait le sommeil léger, prêt à se réveiller au moindre mouvement. Le fait qu'il ne se réveilla pas à cet instant prouvait qu'il avait confiance en se sanctuaire, le monde qui existait dans l'appartement de Masamune juste pour eux.
Masamune en était d'une certaine façon venu à tombé amoureux de Yukimura, mais il n'était pas naïf. Il y avait toujours des parties du cœur de Yukimura entièrement dévoué au passé. Un grande partie appartenait à Date Masamune et il détestait ça. Il savait qu'il y avait des aspect de Yukimura que seul l'autre Date pouvait commencer à comprendre, mais en même temps, il y avait des parties de Yukimura qui n'appartenait qu'a Masamune également. Cela suffisait à Masamune. Date pouvait avoir le désir de combattre de Yukimura. Masamune était simplement content de gagné tout le reste.
Un mensonge.
Masamune voulait tout, même alors qu'il essayait de se trompé lui-même. Il se demanda vaguement si l'autre Date Masamune essayait lui aussi de se trompé lui-même. Masamune n'avait aucun doute sur le fait que Date ressentait la même chose que lui. Parce que ils étaient en quelque sorte tout les deux Date Masamune, et c'était Sanada Yukimura. Combien de temps cela prendra quant Yukimura sera reparti pour que cet homme ne prennent finalement ce que Masamune avait revendiqué ? Ça n'arriverait jamais. Parce que Masamune ne laisserait jamais partir Sanada Yukimura.
Maudit soit le passé. Maudit soit le présent. Réincarnation potentielle où pas, maudit soit Date Masamune lui aussi.
Le monde qu'il avait trouvé dans le cœur de Yukimura était le seule dans lequel voulait vivre Masamune. Dans son âme était la force et dans son sourire était le paradis que Masamune avait toujours recherché. Il savait qu'il y avait des parties de Yukimura qu'il ne pouvait changer. Il ne vivait pas dans une époque qui pourrait apprécier les désirs d'un guerrier, mais n'était ce pas ce qu'avait secrètement désiré Yukimura ? Un monde dans lequel il pourrait être heureux, où il pouvait trouver une valeur sans avoir à tuer. C'était tout ce que Masamune avait put comprendre après avoir entendu Yukimura trouvé un tel émerveillement dans un monde sans massacres.
Maudit soit toute chose. Maudit soient ils tous.
Sanada Yukimura était tout ce qu'il aurait put demander dans un souhait.
Il ne laisserait jamais partir Sanada Yukimura.
***
"Chaque homme doit savoir se regardé pour apprendre le sens de la vie. Ce n'est pas quelque chose que l'on découvre : c'est quelque chose que l'on façonne."
-Antoine de Saint Exupéry
TBC
Note: pardon si les citations ne sont pas tout à fait exactes, je ne parviens pas à les retrouvé en français, alors ça fait aussi parti de la traduction.
